La petite Ophélie n'a pas eu une enfance toute rose on dirait
Heureusement que son imagination lui permet de s'évader,au delà de l'arc-en-ciel
J'ai hâte de connaître la suite des aventures de toute la famille!
Vraiment top J'ai vu ce challenge mais par un énorme manque de temps je ne m'y risquerai pas, trop de choses sur le feu mais ton histoire a un gros potentiel selon moi (et vu que j'ai jamais tord)
C'est beau l'imaginaire surtout chez un enfant, c'est sa liberté et même adulte, l'imaginaire c'est la clé de la liberté
@Ada Merciii pour tes commentaires ! Après les canards et les arcs-en-ciel, voici une nouvelle petite touche d'enfance...au royaume des morts-vivants !
@Elinoee Pour rendre à César ce qui appartient à César, cet hôpital n'est pas ma création : il a été partagé dans la galerie par @Benzoldu57 et @LadyMaheia (sous le nom "Hopital"). Merci beaucoup pour tes commentaires. Le coup des zombies à la TV, j'ai eu cette idée rapidement mais ça n'a pas donné aussi bien que je l'espérais, c'est pourquoi je ne l'ai pas incorporé à l'histoire. Concernant Ophélie, en effet elle a eu une enfance difficile, mais cela a contribué à faire d'elle la femme forte qu'elle est désormais. Et aussi, j'ai essayé de montrer qu'elle restait profondément positive malgré tout !
@Jurysan On ne se moque pas des blouses avec motifs canards ! Mince quoi, c'est la fin du monde, soyons sérieux ! Concernant le récit «hors-série», je te remerciiie ! Je m’attendais à ta participation au challenge - et l’espérais ! -, mais je comprends parfaitement (tu es plus sérieuse que moi qui suis également censé avoir d’autres priorités... ). Bien d’accord avec toi concernant l’imaginaire, c’est joliment dit.
***
Précédemment :
- Le lycée a été pris d’assaut par les «créatures». Marin a pu fuir avec sa professeure Cécile et un autre élève, Léo. Mais Colin, son frère jumeau, et Cannelle, une lycéenne, n’ont pas eu cette chance. Eric, le père de Cécile, est venu à leur rescousse.
- La clinique dans laquelle travaillent Nathan et sa petite amie Sofia a aussi subi une attaque. Ils se sont réfugiés avec leur collègue Kopé dans une salle mais sont désormais pris au piège. Ils y ont trouvé un bébé dont les parents ont été tués.
Récapitulatif des personnages :
Les événements racontés ici se déroulent en même temps que ceux survenus dans les parties 1/3 et 2/3 du premier chapitre. Il s’agit donc toujours du «Jour 0». Le narrateur change cependant : pour cette fois, ce sera Axelle, la fille aînée, qui se trouve au collège au moment où tout bascule...
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Aujourd’hui, c’était pas du tout comme d’habitude. Il s’est passé que des choses bizarres.
Je me suis réveillée très beaucoup tôt à cause du monstre sous le lit de ma petite sœur, Roxane. Elle aussi, ça l’a réveillé. Nous avons essayé de lui parler mais il a juste disparu sans rien dire. Après ça, ma sœur s’est rendormie. Roxane c’est pas une trouillarde comme moi, elle s’en fiche du monstre sous son lit. Mais moi, comme j’avais encore un peu peur, je suis sortie de la chambre...en courant mais chut.
Je ne voulais pas réveiller Maman et Nathan, alors je suis allée dans le salon pour papoter avec Eternal Sunshine. C’est un rongeur et c’est moi qui m’en occupe car, quand je serai grande, je serai vétérinaire. Il vit dans une super grande cage trop cool avec plein de jouets de toutes les couleurs, et des toboggans ! Son pelage est rose bien que ce soit un garçon. Moi j’aime bien car c’est ma couleur préférée. Et sinon, Eternal Sunshine, il n’est pas comme les autres rongeurs... Il est très beaucoup plus intelligent ! - Hello dear Axelle ! Alors, le vilain monstre sous le lit t’a encore empêché de dormir ?
Bien sûr que non, nous ne parlions pas pour de vrai. Il n’est pas intelligent à ce point-là quand même ! - Oui... J’ai peur. Il est méchant. - Tu sais qu’il n’existe que dans ton imagination, isn’t it ? - Tu en es sûr ? - Oui, je te le promets Axelle. Alors que moi, j’existe vraiment. Et j’ai faim. S’il-te-please, tu pourrais me nourrir ?!
Jaloux, mon chien Cookie est venu réclamer des papouilles. C’est un gentil dalmatien même si dès fois il fait caca juste devant la maison. Moi je ne trouve pas que ses tâches ressemblent aux pépites de chocolat dans les cookies que cuisinent Maman, mais bon. Cookie s’est mis à gémir face à la porte d’entrée, pour me dire qu’il voulait que nous allions nous promener. Comme j’avais trop peur de retourner au lit, j’ai accepté et nous sommes allés près de la mare qui se trouve à côté de la maison.
Cookie il fait tout qu’est-ce que je dis. Il donne la patte, il roule, il fait le mort... On s’amuse bien tous les deux !
Mais comme j’aime bien aussi m’amuser toute seule, j’ai construit un bonhomme de neige. Maman, elle dit souvent que l’hiver c’est nul, mais moi j’aime bien. Surtout quand il y a de la neige.
Au bout d’un moment, j’ai vu un truc étrange et brillant par terre. ça ressemblait à une jolie petite balle rouge. Je l’ai prise dans ma main, j’ai humé son odeur... ça sentait bon, je pense que c’était un fruit. J’ai hésité à y goûter mais finalement j’ai décidé de le planter, pour voir ce que ça donnerait plus tard. Moi j’adore les expériences scientifiques, on me dit souvent que je suis un vrai petit génie... A l’école, je suis la plus forte en Biologie et en Physique-Chimie !
- AXELLE JADIS !
Concentrée, je n’ai pas vu Maman arriver. Quand elle prononce mon nom en entier ainsi, c’est généralement qu’elle n’est pas contente du tout. Et, en effet, elle m’a grondé pour m’être absentée de la maison sans lui avoir demandé l’autorisation. Elle m’a dit qu’elle avait été très inquiète de ne pas m’y trouver. J’ai eu beau lui expliquer que c’était la faute à Cookie, qu’il avait insisté très beaucoup pour aller dehors, Maman m’a quand même dit que j’aurai une punition le soir en rentrant du collège.
A ce moment-là, Maman ne savait pas encore que, le soir, nous ne rentrerions pas à la maison.
***
Au collège, tout s’est passé normalement jusqu’à ce que s’élève soudain le hurlement de l’alarme incendie. C’est horrible, ce son, ça casse les oreilles ! Le professeur a dit que nous devions tous nous diriger calmement vers la cour de récréation. Dans les couloirs, j’ai vu que les autres classes faisaient comme nous.
Dehors, j’ai vu deux enseignants parler ensemble et me suis rapprochée en catimini pour les espionner. - Tu savais toi qu’on aurait un test incendie ce matin ? - Non, je suis aussi surpris que toi ! Ils pourraient prévenir, quand même...
Quelques minutes se sont écoulées. L’alarme retentissait encore à l’intérieur du bâtiment. Je discutais avec mes amis quand Roxane nous a rejoint. - T’as pas le droit de venir avec nous. On doit rester regroupés par classe, lui ai-je rappelé. Tu vas te faire gronder par ton prof ! - M’en fiche ! a répondu ma rebelle de petite sœur, faisant glousser nos camarades d’école. De toutes façons, j’suis sûre qu’il y a même pas le feu !
Interrompant notre conversation, Monsieur Monkam, professeur de Sport, s’est avancé vers nous. Roxane est devenue rouge écarlate et ses yeux se sont mis à briller. C’était pas dur de deviner qu’elle était amoureuse de lui en cachette. - Axelle, Roxane ! Je ne sais pas ce que vous faites ensemble alors que vous n’êtes pas dans la même classe... Mais tant mieux, je vous cherchais !
- Ah bon, vous ME cherchiez ? a demandé Roxane, un sourire béat sur les lèvres.
Monsieur Monkam l’a regardé avec un air légèrement perplexe. - Euh... Oui, votre mère vous attend à l’accueil. On m’a demandé de vous y conduire.
Avec ma sœur, nous étions l’une comme l’autre surprises. C’était très beaucoup bizarre, ça ! Maman ne nous avait jamais dit qu’elle viendrait nous chercher pendant la matinée. D’ailleurs, elle ne faisait jamais ça, venir nous chercher au collège avant la fin des cours !
Roxane et moi avons emboîté le pas de Monsieur Monkam, marchant en nous bouchant les oreilles avec nos mains. Le collège était grand, nous avons fait de nombreux détours. Et nous avons même emprunté des couloirs secrets qui sont normalement réservés rien qu’aux professeurs !
Et puis, quand nous sommes arrivés dans le hall d’entrée, on a encore assisté à un événement inhabituel... La Directrice, Madame Martin, elle devait vraiment être très fatiguée pour dormir par terre comme ça !
Monsieur Monkam a appuyé sur le bouton de l’alarme incendie, juste au-dessus de la Directrice, et le vacarme s’est aussitôt arrêté. Il s’est ensuite agenouillé devant elle. Il a posé ses trois doigts du milieu sous son poignet et a semblé attendre quelque chose. Au bout de quelques secondes, il a retiré ses doigts et a fermé les yeux. Il est resté comme ça, sans rien dire, pendant encore plusieurs secondes. Roxane et moi nous nous sommes regardés avec inquiétude. Peut-être qu’en fait, Madame Martin, elle s’était endormie...pour toujours ?
Monsieur Monkam s’est relevé, il a pris son téléphone et a composé un numéro. Il a attendu que ça décroche, mais personne n’a répondu. - Évidemment, c’est toujours quand on a besoin d’eux...
Il a réessayé une seconde fois, en vain. Finalement, il s’est tourné vers nous. Il a eu l’air plutôt déboussolé, tout à coup. - Je réessayerai tout à l'heure, nous dit-il.
Mais moi je ne comprenais pas de qui ou de quoi il parlait.
Nous sommes finalement arrivés dans la salle d’attente. Maman s’y trouvait, elle avait le téléphone collée contre son oreille comme si elle était en train d’appeler quelqu’un. Et avec elle, il y avait notre petit frère Félix. Elle avait aussi été le chercher à l’école...
Quand elle nous a vu, Maman a aussitôt posé son téléphone pour nous prendre dans ses bras. - Mes chéries ! Je suis si soulagée de vous voir !
- Aujourd’hui, Maman vient vous récupérer plus tôt que d’habitude, d’accord ? - Ah bon ! Mais pourquoi ? l’ai-je interrogé. - Attends Axelle, je... J’essaie de prévenir les jumeaux que nous venons les chercher.
Je me suis tue en l’observant tenter de joindre mes demi-frères, Colin et Marin. En temps normal, ils font le chemin du lycée à la maison tout seuls. Ce sont des grands eux, pas comme Roxane, Félix et moi. Mais pas non plus grands comme des adultes. - Bon sang ! Mais pourquoi vous ne décrochez jamais ?! s’est énervée Maman.
Elle a raccroché puis appelé encore, plusieurs fois. - J’essaie depuis un moment, je leur ai envoyé plusieurs textos, et pas de réponse..., a-t-elle dit en se prenant la tête dans les mains.
Je me suis sentie stupéfaite. Maman n’était pas du genre à se lamenter sur son sort, et je ne l’avais jamais ressentie stressée comme ça. Elle semblait encore plus paniquée que moi quand j’avais vu le monstre sous le lit. - Madame, que se passe-t-il ? s'est enquis Monsieur Monkam.
Maman a regardé le professeur comme si elle venait seulement de remarquer sa présence. - Qu...! Je dois partir avec mes enfants. Et vous... Vous êtes tout pâle, ça va ?
C’est vrai qu’il avait le teint blême depuis que nous avions vu Madame Martin allongée au sol. - Je... Je crois que oui. C’est que... Bref. Dites-moi... Est-ce que vous avez une autorisation pour récupérer vos filles ?
Cette question a semblé agacé Maman, qui a radicalement changé d’attitude. De gazelle sur le point de se faire dévorer, elle s’est muée en lionne prête à défendre ses petits. - Mais au fait, vous êtes...? - Je suis Monsieur Monkam... Je... J’enseigne l’Éducation Physique à vos filles.
- D’accord Monsieur Monkam, maintenant vous allez m’écouter bien attentivement. Vous allez être tenté de me prendre pour une timbrée mais je ne le suis pas, alors écoutez-moi bien. Je m’en f**s de votre autorisation à la c**, d’accord ? Là, en ce moment, il se passe des choses graves en ville ! Il y a des gens dangereux qui attaquent tout le monde. Vous devez demander à tous les parents de venir chercher leurs enfants immédiatement !! Personne n’est en sécurité à l’école !!
Notre prof, ça se voyait qu’il ne savait pas du tout quoi répondre à Maman. Moi-même, ça m’a perturbé de la voir si différente de d’habitude. - Maman, qu’est-ce qui se passe ? lui ai-je demandé.
- Axelle... Les enfants. Il y a des gens dehors qui sont très méchants. C’est pour ça que je suis venue vous chercher, pour que nous soyons ensemble et que je vous protège. Et maintenant, nous allons retrouver les jumeaux au lycée, OK ?
Monsieur Monkam, il a porté les mains à ses lèvres comme s’il venait de réaliser un truc : - Attendez, vous allez au lycée là ? Les «gens dangereux» dont vous parlez, vous pensez qu’ils ont pu...s’y rendre aussi ? - J’en sais rien, je n’arrive pas à avoir mes fils au téléphone ni le secréta... - Allons-y maintenant ! l’a coupé Monsieur Monkam en bondissant de son siège. - Quoi ?! Mais... - Ma copine est enseignante au lycée, alors si ce que vous dites est vrai, je viens avec vous !
Maman a semblé hésité. - Et on y va tout de suite !!
C’était comme ça et pas autrement. Alors Maman a été d’accord et nous sommes partis tous les cinq.
Nous sommes repassés devant Madame Martin, toujours étendue par terre. Maman a posé ses mains devant les yeux de Félix afin qu’il ne la voit pas.
Monsieur Monkam, lui, a déclenché à nouveau l’alarme incendie. Sûrement pour prévenir les autres professeurs et enfants que les méchants allaient venir les attaquer...
Nous sommes partis avec la voiture de Monsieur Monkam. Le lycée des garçons, il n’est pas très loin de mon collège à pied, mais il a affirmé que c’était plus rapide en voiture.
Sur la route, Maman a reçu un appel téléphonique. J’ai compris tout de suite que c’était l’un des jumeaux car elle a soupiré de soulagement en décrochant. J’étais contente. En discutant, ils ont convenu de ne pas se retrouver au lycée, finalement, mais à la clinique dans laquelle Nathan travaille. Je l’aime beaucoup mon beau-papa, ça m’a rassurée de savoir que nous allions tous nous retrouver.
Maman a dit le nom de la dame qui se trouvait avec les jumeaux et c’était justement l’amoureuse de Monsieur Monkam ! Celui-ci a retrouvé le sourire et il a dit que le monde était vraiment incroyablement petit car, après avoir récupéré son amoureuse au lycée, il comptait justement se rendre dans cette même clinique où sa maman travaille également !
Quand elle a raccroché, j’ai demandé à Maman si nous allions rentrer à la maison après tout ça. Elle a dit qu’elle ne savait pas, mais moi je voulais savoir alors j’ai insisté. Maman s’est tournée vers moi et m’a dit que nous ne pouvions plus retourner chez nous parce que les méchants s’y trouvaient. Dans ma tête, tout s’est aussitôt mis à défiler. J’ai pensé aux animaux, Eternal Sunshine et Cookie, et je me suis mise à pleurer. Puis j’ai pensé à l’urne dans laquelle il y avait les cendres de mon papa, sur la cheminée dans le salon. A mon matériel d’apprentie vétérinaire, à notre chambre à Roxane et moi, à tous nos jouets. J’ai pensé à mon coin préféré, au bord de la mare où j’aime me balader avec Cookie. Et à cette mystérieuse plante trouvée le matin-même et que je ne verrai jamais pousser...
A suivre...
Merci à cette-personne-dont-j'ai-oublié-de-noter-le-nom-et-maintenant-je-n'ai-plus-accès-à-la-galerie pour l'école partagée dans la galerie (School).
Axelle semble être une petite fille intelligente et pleine de vie, elle aime les animaux et elle est très curieuse.
Elle a donc planter cette balle rouge dans le sol...
(Moi je n'ai pas Stranger ville donc je ne connais pas ce pack du jeu je découvre avec ton histoire, c'est intéressant )
Toujours aussi bien raconté! Et j'aime vraiment ton récapitulatif il est super bien fait!
Hummmm je ne sais pas trop quoi penser... Axelle n'est quand même pas responsable de tout ? Elle a juste planté un fruit mais y'en avait ailleurs des fruits non ?
En tout cas, de son côté pour l'instant c'est "plutôt heureux" par rapport aux jumeaux et à l’hôpital ; en espérant que ça continue. Très triste pour les animaux c'est totalement compréhensible mais bon, la vie humaine avant tout...et qui sait ? Un cookie est si vite arrivé (oui j'y crois que le chien va bien et qu'il cherche ses maîtres même si il est plutôt probable qu'il ait défendu la maison)
Je suis contente d'avoir eu cette suite, ça manquait
Et monsieur Monkam, a-t-il un lien avec Sofia ? Genre le petit frère de Sofia ? En tout cas il est tout beau ce jeunot (mais bon, Sofia en first hein )
finalement elle aurait peut-être dû manger se "fruit rouge" (si tu suis la logique de Strangerville)
J'espère que les animaux ne se feront pas manger tout cru
Je suis bien contente de voir cette suite,je l'attendais avec impatience Vivement le J1 !!
Merci pour le récap' des personnages,ça aide vraiment bien (je devrais sans doute le faire aussi pour mes histoires...)
"Très beaucoup bizarre" Pour une enfant qui est déjà au collège,elle a vraiment des soucis d'expression,Axelle
Le fruit rouge bizarre a certainement un lien avec cette épidémie de morts-vivants..!
Cool que tout le monde soit parti pour se retrouver;enfin les vivants en tout cas
Pauvre Cookie quand même,j'espère qu'il aura trouvé le moyen de s'échapper de la maison... (le hamster rose on s'en f.. un peu,hein )
Salut salut
J'ai pris mon temps pour venir ici mais je ne suis pas déçu j'aime beaucoup cette histoire avec cette famille qui a l'air très attachante et pleine de surprise du peu que j'ai pu voir et nous voilà plonger dans ce qu'il semblerait être le début de la fin avec les zombies j'adore j'ai hâte de voir comment tout ceci va évoluer
Id Origins : Machalow56
Studio : ici
Histoire - La légende D'Alexander - (Terminéé)
Legacy (En cours G3) - La Famille Ignis
Nsbc (En cours G3) - La Famille Geminos
Klept'eau challenge - (Terminé)
Arbre Généalogique des Igins - ici
Arbre Généalogique des Geminos - ici
Et bien... Ça ne manque pas d'action par ici! Ta façon de créer des zombies avec les sims est très ingénieuse, j'adore vraiment l'idée de montrer le début de l'apocalypse à travers les différents points de vue des membres de la famille, et j'ai hâte de lire la suite!
@Ada Oui, Axelle a le trait de caractère «génie», elle s’intéresse à beaucoup de choses en effet. Mais pour le moment, elle est très naïve, et ce monde qui se métamorphose autour d’elle risque de la dévorer toute crue si elle ne grandit pas rapidement !!
Je n’ai pas encore tellement exploré Strangerville donc ne t’attends pas à découvrir ce pack avec moi, je ne sais pas si mon histoire aura un rapport avec celle imaginée par les concepteurs du jeu.
Merci beaucoup pour l’histoire, ça fait plaisir ! Concernant le récap’, je me suis inspiré des comics de The Walking Dead dont je suis fan.
@Jurysan Intéressant ton questionnement sur la responsabilité d’Axelle dans l’invasion. Alors qu’elle a juste fait une petite expérience botanique, rien de plus. Je t’assure, ce n’est rien qu’une banale plante, elle n’a absolument rien de paranormale...
Oui, espérons que Cookie ait survécu et soit à la recherche de ses humains préférés (avec Eternal Sunshine sur le dos !). Sinon, pauvres animaux... Pour moi, ils font partie intégrante de la famille Jadis.
Je l’ai Ophélie l’a adopté, il était haut comme trois pommes le p’tit Cookie !
Ravi d’avoir fait ton bonheur en publiant la suite, c’est vrai que ça faisait un moment !
Sofia et M. Monkam frangins ? Intéressant. Si c’est le cas, qu’on me présente les parents ! Je tiens à les remercier personnellement de m’avoir «pondu» deux Sims aussi canons.
@Titif Alerte au spoil ! Je n’ai pas encore joué à Strangerville (malgré les apparences...) !!
L’espoir est partagé pour les animaux mais ça sent mauvais quand même, faut l’avouer...
@Elinoee C’est cool de savoir que mon histoire plait et est attendue par quelques lecteurs, je te remercie pour ton message.
J’avoue pour le récapitulatif, ça pourrait être intéressant (ça éviterait à Célian de faire le tour de l’île à chaque fois ! )... Et, en même temps, bon courage si tu fais ça, vu le nombre de personnages que tu joues !!
Concernant les «soucis d’expression» d’Axelle, euh... J’y connais rien en enfant, pour mon excuse ! Je ne sais pas comment ils s’expriment IRL. Je voulais montrer qu’elle vivait encore dans sa bulle toute rose et candide, mais j’avoue que ça fait peut-être un peu caricatural maintenant que tu le dis. Bon, en même temps, toi tu joues bien une certaine Gaïa qui discute avec un jouet hamster et un épouvantail imaginaire !
Le fruit rouge, quel fruit rouge ? Connais pas...
Tu m’as beaucoup choqué (et fait rire) en disant que tu t’en f*** un peu qu’Eternal Sunshine survive... Pauvre petit hamster, moi je l’adore !
@Chaos56 Merci pour ta lecture ! Je comprends que ça t’ai pris du temps, moi-même je galère pour rattraper mon retard sur tes deux histoires parallèles.
@PrincesseSey Je te remercie pour ton commentaire. Je galère beaucoup à donner un peu de réalisme à cette histoire alors ça fait plaisir (tu verras d’ailleurs dans ce chapitre qu’il y a deux-trois «montages» assez grossiers) ! Cette fois-ci, ce n’est pas un membre de la famille Jadis qui est à l’honneur, mais un autre des survivants... Je te laisse découvrir ça par toi-même...
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Précédemment :
- Le lycée a été pris d’assaut par les «créatures». Marin a pu fuir avec sa professeure Cécile et un autre élève, Léo. Mais Colin, son frère jumeau, et Cannelle, une lycéenne, n’ont pas eu cette chance. Eric, le père de Cécile, est venu à leur rescousse.
- La clinique dans laquelle travaillent Nathan et sa petite amie Sofia a aussi subi une attaque. Ils se sont réfugiés avec leur collègue Kopé dans une salle mais sont désormais pris au piège. Ils y ont trouvé un bébé dont les parents ont disparu.
- Ophélie et Félix sont venus chercher Axelle et Roxane au collège. Les Jadis ne peuvent plus retourner chez eux à cause des «créatures». Un professeur, Hugo, s’est greffé à eux car il veut se rendre au même endroit : la clinique. De son côté, Marin s’y rend également avec Cécile, Eric et Léo.
Récapitulatif des personnages :
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- AVANT -
Avant tout ça, j’étais une fille plutôt ordinaire, avec une vie banale à souhait. Enfant unique, j’avais été élevée par mon père, Eric. C’est un sacré marginal, difficile à supporter dans ses mauvais jours, mais j’ai toujours pu compter sur lui. De mon côté, j'avais été ce genre d'adolescente parfaitement invisible : ni rejetée ni populaire, première de la classe mais pas fayotte, avec un peu de rondeurs, quelques boutons d'acné...
Avec mon père, nous aimions beaucoup bricoler tous les deux. Comme lui, j'étais assez manuelle et perfectionniste. Pendant toutes mes études, je m’étais montrée studieuse, j'avais des facilités. «Un vrai petit génie, ma fille !» répétait-il avec fierté à qui voulait bien l’écouter. Devenue jeune adulte, j’avais passé des concours et, finalement, j’étais devenue professeure de Français dans un lycée.
Mon côté «rat de bibliothèque» ne m’avait pas valu un franc succès auprès de la gente masculine. Mais j’avais quand même fini par me dégoter un copain, Hugo. Pendant quelques mois, je m’étais sentie follement éprise de lui. Faut dire qu’il est beau et costaud, Hugo, et aussi tellement doux et gentil...
Mais finalement un peu trop amoureux. En tout cas, plus que moi. J’ai fini par réaliser qu’il m’attirait surtout physiquement, parce que sinon je le trouvais parfois un peu ennuyeux. Au fond, j’aurais voulu avoir un petit ami plus...intello. Après avoir longuement hésité, j’avais pris ma décision : j’allais rompre avec Hugo.
- QUELQUES HEURES PLUS TÔT -
Voilà comment j’imaginais cette journée : donner des cours au lycée, mettre fin à ma relation avec Hugo (en douceur MAIS avec détermination), puis rentrer chez moi pour me morfondre devant la télé en bouffant des cupcakes. Ça n’était déjà pas le meilleur programme qui soit, vous me direz !
Mais, de toutes façons, rien ne s'est passé comme je l'avais prévu. Tout est allé de mal en pis. Déjà, j’ai appris que j’étais enceinte. Ce qui m’a mis dans une rage folle. Avouez que porter l’enfant du mec qu’on s’apprête à larguer, c’est pas franchement l’idéal ! Et puis, après ça... Il y a eu bien pire.
Ce à quoi j’ai assisté est inénarrable et je voudrais pouvoir le rayer de ma mémoire. Je ne saurais pas tellement expliquer comment j’ai pu survivre à ce qui s’est passé au lycée. Avec mon père et deux élèves, Marin et Léo, nous avons pu fuir in extremis. Sans Colin. Sans Cannelle.
- MAINTENANT -
Notre petit groupe est arrivé devant une clinique où j’ai pu retrouver Hugo. Et je dois vous avouer - non sans honte ! - qu’en me blottissant dans les bras de mon mec, je me suis sentie instantanément mieux.
Au milieu de tout ce chaos, celui que je comptais plaquer quelques heures plus tôt est devenu mon principal repère. Si la présence de mon père m’avait déjà un peu rassurée, celle d’Hugo me faisait recouvrer l’espoir. Et si tout finissait par rentrer dans l’ordre ?
Mais, là encore, j’ai vite été ramenée à la réalité.
Devant la clinique, mon élève Marin a retrouvé sa famille. Marin, il avait un jumeau, Colin. Le matin même, je leur donnais un cours de Français. Bon sang, c’est tellement insensé ! J’ai assisté à... J’ai tout vu. Heureusement, j’ai pu empêcher Marin de regarder quand son frère a été...
Leur mère, quand elle a vu Marin sans Colin, elle a tout de suite compris. Elle a poussé un cri déchirant avant de s’effondrer en larmes.
Ses gosses l’ont regardé sans rien dire, les yeux débordants de tristesse. Marin avait déjà cessé de dire le moindre mot depuis que nous avions quitté le lycée. Depuis qu’il avait vu Colin, devenu l’une de ces créatures. Quant à moi, je me sentais tellement coupable face à la douleur de cette mère. Colin, il m’avait sauvé la vie. Il était mort en voulant me protéger. Si seulement j'avais pu...
***
A mesure que la maman des jumeaux parvenait à reprendre pied, la nuit nous tombait dessus. Certes toujours précoce au cœur de l'hiver, elle s'annonçait plus angoissante que jamais : ses ombres pouvaient désormais dissimuler des monstres réels. Nous étions quatre adultes, deux adolescents et trois enfants. Il fallait agir.
La clinique, c’était un bâtiment imposant de plusieurs étages. Nous devions rentrer à l’intérieur : la mère d’Hugo s’y trouvait. La famille de Marin y était également pour retrouver l’un des siens, un certain Nathan. C’était lui qui leur avait téléphoné et, d’après lui, il y avait eu du grabuge ici aussi. Nous devions faire preuve d’une extrême prudence, car les créatures ne montreraient aucune pitié si elles parvenaient à nous attraper...
D’un commun accord, nous avons décidé de rester groupés. En unissant nos forces, nous pourrions plus aisément retrouver nos proches au sein du bâtiment. Ensuite seulement, chacun reprendrait la route de son côté...
Au rez-de-chaussée, nous n'avons vu personne. Ni entendu le moindre bruit. Nous retenions tous notre souffle. Nous sommes arrivés au premier étage, les sens aux aguets. Nous avancions à pas feutrés comme une seule âme. Dans ma poitrine, je sentais mon cœur battre à toute vitesse. J'avais tellement peur de croiser la route d'une de ces créatures...
Nous vérifions chaque pièce une par une. Hugo et mon père menaient notre groupe aux côtés de la mère des jumeaux. Nous sommes arrivés dans une salle pleine de couveuses et avons tous ressenti un choc. La pièce était sens dessus-dessous, il s'y était passé des choses. Et puis, un pan du mur était maculé...de sang ?
J'ai vu Marin devenir tout pâle. Il a détourné les yeux du mur et s'est dirigé vers le lavabo pour boire un verre d'eau. Entre deux gorgées, il respirait fort par la bouche, comme s'il luttait pour ne pas vomir. Je voulais l'aider, lui glisser quelques mots réconfortants... - Tiens bon, ça va aller ! Tiens bon...
C'était tout ce que j'avais trouvé à dire et, intérieurement, je me maudissais d'être aussi inutile. Marin ne dit rien mais m'adressa un petit sourire. - Allez, nous devons avancer avec les autres, lui rappelais-je.
- Maman !! entendis-je s'exclamer Hugo.
Rapidement, nous avons été retrouver les autres, qui se trouvaient dans la salle voisine. Et pas seulement eux...
J'assistais aux retrouvailles d'Hugo et de sa maman, Kopé, que je rencontrais pour la première fois. Drôles de circonstances pour faire connaissance avec sa belle-mère : "Salut ! Moi c'est Cécile, la petite copine de votre fils. J'étais sur le point de le larguer, aujourd'hui même d'ailleurs, mais j'avoue que j'ai un peu reporté ce projet pour cause d'apocalypse. Oh ! Et sinon, devinez qui va devenir grand-mère bientôt ?!"
Dans la salle, il y avait également un nourrisson - le seul d'entre nous à garder le sourire dans ces circonstances ! -, et une médecin.
- Bonjour, je m'appelle Ophélie, se présenta la mère des jumeaux à la médecin. Je recherche mon époux, Nathan Jadis, il est médecin ici. Est-ce que vous savez où il est et...s'il va bien ? - Ophélie..., répéta la médecin pour toute réponse.
Quelque chose la troublait visiblement, mais elle sembla ensuite reprendre ses esprits : - Moi c'est Sofia. Nous étions tous les quatre, avec Nathan. Et puis...on l'a perdu. - Quoi ?! Comment ça vous l'avez perdu, ça veut dire quoi ? s'inquiéta Ophélie.
- Nous étions pris au piège, répondit Kopé. Nathan a créé une diversion pour que tous les monstres le suivent. Il les a volontairement fait se diriger vers une salle au dernier étage. Nous les avons suivi et nous avons pu les enfermer dans la salle. Mais nous n'avons pas retrouvé Nathan ensuite. - Vous avez enfermé mon mari dans une salle remplie de créatures ?! - Non Ophélie..., poursuivit Sofia. Nathan n'était plus à l'intérieur de la salle ! Il s'est comme volatilisé. - Mais ce n'est...
- Navré de vous interrompre, Mesdames, la coupa mon père. Toutes les créatures n'ont pas été faites prisonnières, j'en ai bien peur. En d'autres termes : nous avons de la compagnie...
C'était trop beau pour être vrai. Les choses avaient été bien trop simples jusqu'ici. Derrière la porte de notre salle, une de ces choses nous avait repéré.
Ces yeux... Je n'avais jamais vu ça de ma vie. Un frisson de terreur me parcourut l'échine.
Nous avions la force du nombre, certes. Mais ça ne m'empêchait pas d'être tétanisée. Mon père, loin d'être aussi dégonflé, se plaça devant moi. Un réflexe de papa protecteur ? Ou un réflexe d'homme à qui on a répété toute sa vie qu'il fallait être fort et brave ? Comme j'aurais aimé avoir été élevée à la façon d'un homme, à ce moment précis de ma vie...
La créature se jeta sur lui. Sans tiquer. Pas la moindre once d'humanité dans le regard, juste...une promesse morbide. Papa, je l'avais déjà vu se battre plusieurs fois. Dans sa jeunesse, il avait été engagé en politique. Très engagé. Et ça en venait parfois aux poings. Un sanguin, mon père.
Mais c'était il y a pas mal d'années déjà, et mon cher Papa semblait un peu rouillé. A moins que ce ne soit cette créature qui possède une force...surhumaine. Quoi qu'il en soit, elle lui mettait une raclée monumentale. Et la bagarre, bruyante, avait attiré jusqu'à nous une seconde créature...
Mon père ne semblait plus être désormais qu'un petit être sans défense. Sous mes yeux, le monstre lui planta les canines dans le cou. Un peu de sang jaillit, mais il en but la majeure partie. Ce monstre était littéralement en train de tuer mon père à la façon d'un vampire. Et j'assistais, impuissante, prisonnière de ma peur, à la réalisation de l'un de mes pires cauchemars d'enfant : on m'enlevait mon père pour toujours.
BING !
BING !
Ophélie Jadis ne partageait visiblement pas ma couardise. Elle attaqua les deux créatures, leur assénant un violent coup sur le haut du crâne avec une statuette. Les deux créatures gisaient sur le sol, inertes. Elle posa la statuette sur le sol, comme si elle était soudain devenue trop lourde à porter. De son côté, mon père semblait sonné mais - merci la vie, merci !! - il était vivant.
- Assez perdu de temps, dit-elle, le regard déterminé. Allons trouver mon mari !
Ce n'était plus une mère éplorée qui se tenait face à nous, mais une femme prête à en découdre pour sauver l'homme qu'elle aimait. J'étais impressionnée, et en même temps, cela m'ôtait l'excuse du genre : le courage appartenait tant aux hommes qu'aux femmes. Il allait falloir que je puise sérieusement en moi pour en trouver un peu...
Tout le monde s’exécuta. Sofia nous guidait dans le bâtiment, mais en réalité c'est Ophélie que nous suivions. Toujours groupés et avec une extrême prudence, nous montions jusqu'au troisième et dernier étage. Celui où se trouvaient toutes les créatures, et où nous étions censés retrouver le fameux Nathan.
Nulle trace de l'homme disparu. En revanche, nous sommes tombés sur la salle où se trouvaient toutes les créatures. Il y en avait plusieurs dizaines, tournant en rond, pantins désarticulés errant sans buts. Toutes souriaient à pleines dents, mais leur regard se perdait dans le vide. C'était un spectacle glaçant.
Mon regard se fixa sur ce qui avait été, peu de temps auparavant, une jeune femme. Peut-être qu'elle aussi, elle menait sa petite vie tranquillement, ne demandant rien à personne.
C'était elle, mais ça aurait pu être moi, à sa place, parmi les créatures...
Mes pensées furent interrompues quand mon père chuta au sol avec fracas. J'accourus dans la seconde auprès de lui, secondée par Kopé et Hugo. Les larmes me montèrent aux yeux, j'étais à nouveau cette demoiselle en détresse incapable de se maîtriser. Je ne voyais plus rien d'autre que mon père, plus vulnérable que jamais. Hugo me rassura rapidement : son pouls était un peu faible mais rien d'inquiétant. Il s'était simplement évanoui. - Tout va bien, ma douce. Il va s'en sortir. On va le porter jusqu'à un lit, d'acc...
Hugo n'eut pas le temps de finir sa phrase : l'une des petites filles cria qu'elle voyait Nathan par la fenêtre.
Comme un seul homme, toute la famille Jadis, et aussi Sofia, se ruèrent pour aller voir.
La nuit et le neige entravaient la vue mais ne nous empêchèrent pas de faire ce terrible constat : nous arrivions trop tard. Nathan n'était plus des nôtres, il était devenu l'un des leurs...
Quelle suite palpitante!
Ah je vois que tu aimes bien les comics walking dead, moi je regarde la série et j'adore
Cécile enceinte qui voulait rompre avec son copain, oh ce n'est pas la situation idéal dans un monde avec des créatures
Je dois dire que j'aime beaucoup le look de Eric, j'ai eu peur qu'il meurt tuer par une créature vampire!
C'est dommage, j'ai cru que Nathan avait survécu mais non
Très intéressante cette histoire!
Mais non vous z-inquiétez pas,Nathan est juste en train de jouer à faire un ange de neige Non mais quelle idée,dans cette tenue! Il est déjà tout bleu! Bon,ok j'arrête de me moquer de ton "petit budget effets spéciaux",en vrai je suis à fond dans l'histoire,c'est de ta faute,fallait pas nous le faire remarquer
Bon,n'empêche qu'il n'est peut-être pas mort,Nathan? Moi je dis qu'il faut aller voir (prudemment)!
Bon,sinon,l'hôpital est bien sinistre...la salle des couveuses,archi glauque,quelle horreur
J'espère que le papa de Cécile va s'en sortir...merci Ophélie quand même,c'est la seule qui a réagi! On sent la femme de poigne,quel caractère
C'était sympa et très intéressant d'avoir un petit retour en arrière sur la vie de Cécile,je me demande quels choix elle va faire concernant Hugo et leur enfant. Ce n'est pas l'amour fou,mais bon,vu que c'est la fin du monde on fait moins la fine bouche,hein
La rencontre entre Sofia et Ophélie...oups. Non,mais c'est forcé que Nathan soit toujours en vie,il ne peut pas s'en tirer aussi facilement!
Tes personnages sont tous très attachants en tout cas,vivement la suite
Et puis je suis qu'Eternal Sunshine va survivre,obligé avec un nom pareil... oui,j'avoue,les hamsters des sims m'énervent un peu,mais je n'ai rien contre IRL,hein
Oui, ça deviens compliquer quand on lit pas mal d'histoires qui sont en cours avec des majs régulières en plus de celle que nous faisons sans prendre en compte la vie irl ^^
J'aime beaucoup les personnages qui ne soit pas lisse, ''ni tout blanc ni tout noir'' Céline est dans une situation bien difficile, mais qui sait, peut-être qu'au cours de l'histoire elle va s'attacher réellement à Hugo et former une petite famille.. s'il survit bien sûr et ça, je ne mettrais pas ma main à couper
Il se passe beaucoup de choses mine de rien dans ce chapitre et ça l'air de s'empirer au fur et à mesure, et je me demande bien qui sera le suivant à tomber
Au moins ils sont bien avec le tapis de yoga les zombies c'est vrai que c'est mieux que la position ''fesses à l'air'', quoique si tu a heure de gloire tu peut utiliser la marque de scène ''ou le personnage meure'' c'est ce que j'utilise maintenant
Id Origins : Machalow56
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Histoire - La légende D'Alexander - (Terminéé)
Legacy (En cours G3) - La Famille Ignis
Nsbc (En cours G3) - La Famille Geminos
Klept'eau challenge - (Terminé)
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Alors d'abord, je suis très impressionnée par la scénarisation de cette histoire, car on sait à quel point il est compliqué de mettre en scène ce genre de trucs dans les sims ! Chapeau bas, je serais incapable de faire preuve d'assez de patience !
D'habitude ce n'est pas du tout mon truc les histoires de zombies, mais j'aime beaucoup la profondeur de ton histoire. Surtout la prof qui voulait larguer son mec et a reporté pour cause d'apocalypse
Et est-ce qu'Ophélie va apprendre que son mec, devenu zombie, la trompait avec cette chère Sofia ?
Ah Sofia rencontre Ophélie ! (oui moi c'est la première chose que je retiens et que je dis, oui ) Bon faut que ça finisse en couple les deux là, elles ont perdu le même homme qu'elles aimaient donc voilà, elles vont se rapprocher c'est scientifique (si si je t'assure )
Je souligne la jolie mise en scène et je compatis au temps que ça prend de faire ça
Je suis comme @lilyluciole les histoires de zombis c'est pas du tout mon truc normalement mais j'aime bien la profondeur de ton histoire Et toujours pareil, la prof qui avait prévu de larguer son mec pour finir à manger des cookies devant la tv le soir Finalement, tout ça est soit reporté soit annulé pour cause d'apocalypsims Comme quoi, les priorités dans la vie ça change
Et oui, j'avais bien précisé comme @lilyluciole c'pas ma faute si je voulais dire la même chose
Après, j'aime aussi les personnages ni tout blanc ni tout noir, moi j'aime le gris il a plus de nuances (mais ça, je crois que tu le sais déjà ou que tu l'as deviné du moins ^^)
Je crois aussi qu'Hugo ne va pas forcément en réchapper mais que du coup son enfant apprendra que son papa était un héros dans l'apocalypsims
Oui, je viens de reprendre ce que disais @Chaos56 c'pas ma faute, tout ça aussi j'voulais le direuh !
Bon pis j'ai commencé par Sofia, alors je termine par elle Du moment qu'elle survit à tout, tu peux tuer qui tu veux moi ça me va
Réponses
Heureusement que son imagination lui permet de s'évader,au delà de l'arc-en-ciel
J'ai hâte de connaître la suite des aventures de toute la famille!
C'est beau l'imaginaire surtout chez un enfant, c'est sa liberté et même adulte, l'imaginaire c'est la clé de la liberté
[VDC] La Transformation de Sayuri Suh
En cours 📝
[Histoire] L'Héritage des Suh
(pause) [NSBC] L'Arc-en-Ciel Baranovski
(pause) [Double challenge] Les Archéologues Contraires
(pause) Les Short&One-Shots de Jury (challenges courts)
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Les Mondes de Jury
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@Elinoee Pour rendre à César ce qui appartient à César, cet hôpital n'est pas ma création : il a été partagé dans la galerie par @Benzoldu57 et @LadyMaheia (sous le nom "Hopital"). Merci beaucoup pour tes commentaires. Le coup des zombies à la TV, j'ai eu cette idée rapidement mais ça n'a pas donné aussi bien que je l'espérais, c'est pourquoi je ne l'ai pas incorporé à l'histoire.
@Jurysan On ne se moque pas des blouses avec motifs canards !
Aujourd’hui, c’était pas du tout comme d’habitude. Il s’est passé que des choses bizarres.
Je me suis réveillée très beaucoup tôt à cause du monstre sous le lit de ma petite sœur, Roxane. Elle aussi, ça l’a réveillé. Nous avons essayé de lui parler mais il a juste disparu sans rien dire. Après ça, ma sœur s’est rendormie. Roxane c’est pas une trouillarde comme moi, elle s’en fiche du monstre sous son lit. Mais moi, comme j’avais encore un peu peur, je suis sortie de la chambre...en courant mais chut.
- Hello dear Axelle ! Alors, le vilain monstre sous le lit t’a encore empêché de dormir ?
Bien sûr que non, nous ne parlions pas pour de vrai. Il n’est pas intelligent à ce point-là quand même !
- Oui... J’ai peur. Il est méchant.
- Tu sais qu’il n’existe que dans ton imagination, isn’t it ?
- Tu en es sûr ?
- Oui, je te le promets Axelle. Alors que moi, j’existe vraiment. Et j’ai faim. S’il-te-please, tu pourrais me nourrir ?!
Jaloux, mon chien Cookie est venu réclamer des papouilles. C’est un gentil dalmatien même si dès fois il fait caca juste devant la maison. Moi je ne trouve pas que ses tâches ressemblent aux pépites de chocolat dans les cookies que cuisinent Maman, mais bon. Cookie s’est mis à gémir face à la porte d’entrée, pour me dire qu’il voulait que nous allions nous promener. Comme j’avais trop peur de retourner au lit, j’ai accepté et nous sommes allés près de la mare qui se trouve à côté de la maison.
Mais comme j’aime bien aussi m’amuser toute seule, j’ai construit un bonhomme de neige. Maman, elle dit souvent que l’hiver c’est nul, mais moi j’aime bien. Surtout quand il y a de la neige.
Concentrée, je n’ai pas vu Maman arriver. Quand elle prononce mon nom en entier ainsi, c’est généralement qu’elle n’est pas contente du tout. Et, en effet, elle m’a grondé pour m’être absentée de la maison sans lui avoir demandé l’autorisation. Elle m’a dit qu’elle avait été très inquiète de ne pas m’y trouver. J’ai eu beau lui expliquer que c’était la faute à Cookie, qu’il avait insisté très beaucoup pour aller dehors, Maman m’a quand même dit que j’aurai une punition le soir en rentrant du collège.
A ce moment-là, Maman ne savait pas encore que, le soir, nous ne rentrerions pas à la maison.
Au collège, tout s’est passé normalement jusqu’à ce que s’élève soudain le hurlement de l’alarme incendie. C’est horrible, ce son, ça casse les oreilles ! Le professeur a dit que nous devions tous nous diriger calmement vers la cour de récréation. Dans les couloirs, j’ai vu que les autres classes faisaient comme nous.
- Tu savais toi qu’on aurait un test incendie ce matin ?
- Non, je suis aussi surpris que toi ! Ils pourraient prévenir, quand même...
- T’as pas le droit de venir avec nous. On doit rester regroupés par classe, lui ai-je rappelé. Tu vas te faire gronder par ton prof !
- M’en fiche ! a répondu ma rebelle de petite sœur, faisant glousser nos camarades d’école. De toutes façons, j’suis sûre qu’il y a même pas le feu !
- Axelle, Roxane ! Je ne sais pas ce que vous faites ensemble alors que vous n’êtes pas dans la même classe... Mais tant mieux, je vous cherchais !
Monsieur Monkam l’a regardé avec un air légèrement perplexe.
- Euh... Oui, votre mère vous attend à l’accueil. On m’a demandé de vous y conduire.
Roxane et moi avons emboîté le pas de Monsieur Monkam, marchant en nous bouchant les oreilles avec nos mains. Le collège était grand, nous avons fait de nombreux détours. Et nous avons même emprunté des couloirs secrets qui sont normalement réservés rien qu’aux professeurs !
Et puis, quand nous sommes arrivés dans le hall d’entrée, on a encore assisté à un événement inhabituel... La Directrice, Madame Martin, elle devait vraiment être très fatiguée pour dormir par terre comme ça !
Monsieur Monkam s’est relevé, il a pris son téléphone et a composé un numéro. Il a attendu que ça décroche, mais personne n’a répondu.
- Évidemment, c’est toujours quand on a besoin d’eux...
Il a réessayé une seconde fois, en vain. Finalement, il s’est tourné vers nous. Il a eu l’air plutôt déboussolé, tout à coup.
- Je réessayerai tout à l'heure, nous dit-il.
Mais moi je ne comprenais pas de qui ou de quoi il parlait.
Nous sommes finalement arrivés dans la salle d’attente. Maman s’y trouvait, elle avait le téléphone collée contre son oreille comme si elle était en train d’appeler quelqu’un. Et avec elle, il y avait notre petit frère Félix. Elle avait aussi été le chercher à l’école...
- Mes chéries ! Je suis si soulagée de vous voir !
- Ah bon ! Mais pourquoi ? l’ai-je interrogé.
- Attends Axelle, je... J’essaie de prévenir les jumeaux que nous venons les chercher.
Je me suis tue en l’observant tenter de joindre mes demi-frères, Colin et Marin. En temps normal, ils font le chemin du lycée à la maison tout seuls. Ce sont des grands eux, pas comme Roxane, Félix et moi. Mais pas non plus grands comme des adultes.
- Bon sang ! Mais pourquoi vous ne décrochez jamais ?! s’est énervée Maman.
Elle a raccroché puis appelé encore, plusieurs fois.
- J’essaie depuis un moment, je leur ai envoyé plusieurs textos, et pas de réponse..., a-t-elle dit en se prenant la tête dans les mains.
Je me suis sentie stupéfaite. Maman n’était pas du genre à se lamenter sur son sort, et je ne l’avais jamais ressentie stressée comme ça. Elle semblait encore plus paniquée que moi quand j’avais vu le monstre sous le lit.
- Madame, que se passe-t-il ? s'est enquis Monsieur Monkam.
- Qu...! Je dois partir avec mes enfants. Et vous... Vous êtes tout pâle, ça va ?
C’est vrai qu’il avait le teint blême depuis que nous avions vu Madame Martin allongée au sol.
- Je... Je crois que oui. C’est que... Bref. Dites-moi... Est-ce que vous avez une autorisation pour récupérer vos filles ?
Cette question a semblé agacé Maman, qui a radicalement changé d’attitude. De gazelle sur le point de se faire dévorer, elle s’est muée en lionne prête à défendre ses petits.
- Mais au fait, vous êtes...?
- Je suis Monsieur Monkam... Je... J’enseigne l’Éducation Physique à vos filles.
Notre prof, ça se voyait qu’il ne savait pas du tout quoi répondre à Maman. Moi-même, ça m’a perturbé de la voir si différente de d’habitude.
- Maman, qu’est-ce qui se passe ? lui ai-je demandé.
Monsieur Monkam, il a porté les mains à ses lèvres comme s’il venait de réaliser un truc :
- Attendez, vous allez au lycée là ? Les «gens dangereux» dont vous parlez, vous pensez qu’ils ont pu...s’y rendre aussi ?
- J’en sais rien, je n’arrive pas à avoir mes fils au téléphone ni le secréta...
- Allons-y maintenant ! l’a coupé Monsieur Monkam en bondissant de son siège.
- Quoi ?! Mais...
- Ma copine est enseignante au lycée, alors si ce que vous dites est vrai, je viens avec vous !
Maman a semblé hésité.
- Et on y va tout de suite !!
C’était comme ça et pas autrement. Alors Maman a été d’accord et nous sommes partis tous les cinq.
Sur la route, Maman a reçu un appel téléphonique. J’ai compris tout de suite que c’était l’un des jumeaux car elle a soupiré de soulagement en décrochant. J’étais contente. En discutant, ils ont convenu de ne pas se retrouver au lycée, finalement, mais à la clinique dans laquelle Nathan travaille. Je l’aime beaucoup mon beau-papa, ça m’a rassurée de savoir que nous allions tous nous retrouver.
Maman a dit le nom de la dame qui se trouvait avec les jumeaux et c’était justement l’amoureuse de Monsieur Monkam ! Celui-ci a retrouvé le sourire et il a dit que le monde était vraiment incroyablement petit car, après avoir récupéré son amoureuse au lycée, il comptait justement se rendre dans cette même clinique où sa maman travaille également !
Quand elle a raccroché, j’ai demandé à Maman si nous allions rentrer à la maison après tout ça. Elle a dit qu’elle ne savait pas, mais moi je voulais savoir alors j’ai insisté. Maman s’est tournée vers moi et m’a dit que nous ne pouvions plus retourner chez nous parce que les méchants s’y trouvaient. Dans ma tête, tout s’est aussitôt mis à défiler. J’ai pensé aux animaux, Eternal Sunshine et Cookie, et je me suis mise à pleurer. Puis j’ai pensé à l’urne dans laquelle il y avait les cendres de mon papa, sur la cheminée dans le salon. A mon matériel d’apprentie vétérinaire, à notre chambre à Roxane et moi, à tous nos jouets. J’ai pensé à mon coin préféré, au bord de la mare où j’aime me balader avec Cookie. Et à cette mystérieuse plante trouvée le matin-même et que je ne verrai jamais pousser...
Merci à cette-personne-dont-j'ai-oublié-de-noter-le-nom-et-maintenant-je-n'ai-plus-accès-à-la-galerie pour l'école partagée dans la galerie (School).
Bonus :
- Les fantastiques aventures de la famille Portejoie [Magic Legacy]
- Les survivants de la fin du monde [science-fiction / zombiRes]
- Le charme de la vengeance [Challenge de la Veuve Noire]
Elle a donc planter cette balle rouge dans le sol...
(Moi je n'ai pas Stranger ville donc je ne connais pas ce pack du jeu
Toujours aussi bien raconté! Et j'aime vraiment ton récapitulatif
BD Sims: eklablog
Hummmm je ne sais pas trop quoi penser... Axelle n'est quand même pas responsable de tout ? Elle a juste planté un fruit mais y'en avait ailleurs des fruits non ?
En tout cas, de son côté pour l'instant c'est "plutôt heureux" par rapport aux jumeaux et à l’hôpital ; en espérant que ça continue. Très triste pour les animaux c'est totalement compréhensible mais bon, la vie humaine avant tout...et qui sait ? Un cookie est si vite arrivé
Je suis contente d'avoir eu cette suite, ça manquait
Et monsieur Monkam, a-t-il un lien avec Sofia ? Genre le petit frère de Sofia ?
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J'espère que les animaux ne se feront pas manger tout cru
Histoires: La vie de Livi(en cours)
Merci pour le récap' des personnages,ça aide vraiment bien (je devrais sans doute le faire aussi pour mes histoires...)
"Très beaucoup bizarre"
Le fruit rouge bizarre a certainement un lien avec cette épidémie de morts-vivants..!
Cool que tout le monde soit parti pour se retrouver;enfin les vivants en tout cas
Pauvre Cookie quand même,j'espère qu'il aura trouvé le moyen de s'échapper de la maison... (le hamster rose on s'en f.. un peu,hein
J'ai pris mon temps pour venir ici mais je ne suis pas déçu
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Histoires courtes et cie
Je n’ai pas encore tellement exploré Strangerville donc ne t’attends pas à découvrir ce pack avec moi, je ne sais pas si mon histoire aura un rapport avec celle imaginée par les concepteurs du jeu.
Merci beaucoup pour l’histoire, ça fait plaisir ! Concernant le récap’, je me suis inspiré des comics de The Walking Dead dont je suis fan.
@Jurysan Intéressant ton questionnement sur la responsabilité d’Axelle dans l’invasion. Alors qu’elle a juste fait une petite expérience botanique, rien de plus.
Oui, espérons que Cookie ait survécu et soit à la recherche de ses humains préférés (avec Eternal Sunshine sur le dos !). Sinon, pauvres animaux... Pour moi, ils font partie intégrante de la famille Jadis.
Je l’ai Ophélie l’a adopté, il était haut comme trois pommes le p’tit Cookie !
Sofia et M. Monkam frangins ? Intéressant. Si c’est le cas, qu’on me présente les parents ! Je tiens à les remercier personnellement de m’avoir «pondu» deux Sims aussi canons.
@Titif Alerte au spoil ! Je n’ai pas encore joué à Strangerville (malgré les apparences...) !!
L’espoir est partagé pour les animaux mais ça sent mauvais quand même, faut l’avouer...
@Elinoee C’est cool de savoir que mon histoire plait et est attendue par quelques lecteurs, je te remercie pour ton message.
J’avoue pour le récapitulatif, ça pourrait être intéressant (ça éviterait à Célian de faire le tour de l’île à chaque fois !
Concernant les «soucis d’expression» d’Axelle, euh... J’y connais rien en enfant, pour mon excuse ! Je ne sais pas comment ils s’expriment IRL.
Le fruit rouge, quel fruit rouge ? Connais pas...
Tu m’as beaucoup choqué (et fait rire) en disant que tu t’en f*** un peu qu’Eternal Sunshine survive... Pauvre petit hamster, moi je l’adore !
@Chaos56 Merci pour ta lecture !
@PrincesseSey Je te remercie pour ton commentaire.
- AVANT -
Avant tout ça, j’étais une fille plutôt ordinaire, avec une vie banale à souhait. Enfant unique, j’avais été élevée par mon père, Eric. C’est un sacré marginal, difficile à supporter dans ses mauvais jours, mais j’ai toujours pu compter sur lui. De mon côté, j'avais été ce genre d'adolescente parfaitement invisible : ni rejetée ni populaire, première de la classe mais pas fayotte, avec un peu de rondeurs, quelques boutons d'acné...
Mon côté «rat de bibliothèque» ne m’avait pas valu un franc succès auprès de la gente masculine. Mais j’avais quand même fini par me dégoter un copain, Hugo. Pendant quelques mois, je m’étais sentie follement éprise de lui. Faut dire qu’il est beau et costaud, Hugo, et aussi tellement doux et gentil...
- QUELQUES HEURES PLUS TÔT -
Voilà comment j’imaginais cette journée : donner des cours au lycée, mettre fin à ma relation avec Hugo (en douceur MAIS avec détermination), puis rentrer chez moi pour me morfondre devant la télé en bouffant des cupcakes. Ça n’était déjà pas le meilleur programme qui soit, vous me direz !
- MAINTENANT -
Notre petit groupe est arrivé devant une clinique où j’ai pu retrouver Hugo. Et je dois vous avouer - non sans honte ! - qu’en me blottissant dans les bras de mon mec, je me suis sentie instantanément mieux.
Leur mère, quand elle a vu Marin sans Colin, elle a tout de suite compris. Elle a poussé un cri déchirant avant de s’effondrer en larmes.
A mesure que la maman des jumeaux parvenait à reprendre pied, la nuit nous tombait dessus. Certes toujours précoce au cœur de l'hiver, elle s'annonçait plus angoissante que jamais : ses ombres pouvaient désormais dissimuler des monstres réels. Nous étions quatre adultes, deux adolescents et trois enfants. Il fallait agir.
- Tiens bon, ça va aller ! Tiens bon...
C'était tout ce que j'avais trouvé à dire et, intérieurement, je me maudissais d'être aussi inutile. Marin ne dit rien mais m'adressa un petit sourire.
- Allez, nous devons avancer avec les autres, lui rappelais-je.
Rapidement, nous avons été retrouver les autres, qui se trouvaient dans la salle voisine. Et pas seulement eux...
- Ophélie..., répéta la médecin pour toute réponse.
Quelque chose la troublait visiblement, mais elle sembla ensuite reprendre ses esprits :
- Moi c'est Sofia. Nous étions tous les quatre, avec Nathan. Et puis...on l'a perdu.
- Quoi ?! Comment ça vous l'avez perdu, ça veut dire quoi ? s'inquiéta Ophélie.
- Vous avez enfermé mon mari dans une salle remplie de créatures ?!
- Non Ophélie..., poursuivit Sofia. Nathan n'était plus à l'intérieur de la salle ! Il s'est comme volatilisé.
- Mais ce n'est...
C'était trop beau pour être vrai. Les choses avaient été bien trop simples jusqu'ici. Derrière la porte de notre salle, une de ces choses nous avait repéré.
BING !
Ce n'était plus une mère éplorée qui se tenait face à nous, mais une femme prête à en découdre pour sauver l'homme qu'elle aimait. J'étais impressionnée, et en même temps, cela m'ôtait l'excuse du genre : le courage appartenait tant aux hommes qu'aux femmes. Il allait falloir que je puise sérieusement en moi pour en trouver un peu...
- Tout va bien, ma douce. Il va s'en sortir. On va le porter jusqu'à un lit, d'acc...
Hugo n'eut pas le temps de finir sa phrase : l'une des petites filles cria qu'elle voyait Nathan par la fenêtre.
La nuit et le neige entravaient la vue mais ne nous empêchèrent pas de faire ce terrible constat : nous arrivions trop tard. Nathan n'était plus des nôtres, il était devenu l'un des leurs...
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Ah je vois que tu aimes bien les comics walking dead, moi je regarde la série et j'adore
Cécile enceinte qui voulait rompre avec son copain, oh ce n'est pas la situation idéal dans un monde avec des créatures
Je dois dire que j'aime beaucoup le look de Eric, j'ai eu peur qu'il meurt tuer par une créature vampire!
C'est dommage, j'ai cru que Nathan avait survécu mais non
Très intéressante cette histoire!
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Bon,n'empêche qu'il n'est peut-être pas mort,Nathan? Moi je dis qu'il faut aller voir (prudemment)!
Bon,sinon,l'hôpital est bien sinistre...la salle des couveuses,archi glauque,quelle horreur
J'espère que le papa de Cécile va s'en sortir...merci Ophélie quand même,c'est la seule qui a réagi! On sent la femme de poigne,quel caractère
C'était sympa et très intéressant d'avoir un petit retour en arrière sur la vie de Cécile,je me demande quels choix elle va faire concernant Hugo et leur enfant. Ce n'est pas l'amour fou,mais bon,vu que c'est la fin du monde on fait moins la fine bouche,hein
La rencontre entre Sofia et Ophélie...oups. Non,mais c'est forcé que Nathan soit toujours en vie,il ne peut pas s'en tirer aussi facilement!
Tes personnages sont tous très attachants en tout cas,vivement la suite
J'aime beaucoup les personnages qui ne soit pas lisse, ''ni tout blanc ni tout noir''
Il se passe beaucoup de choses mine de rien dans ce chapitre
Au moins ils sont bien avec le tapis de yoga les zombies
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D'habitude ce n'est pas du tout mon truc les histoires de zombies, mais j'aime beaucoup la profondeur de ton histoire. Surtout la prof qui voulait larguer son mec et a reporté pour cause d'apocalypse
Et est-ce qu'Ophélie va apprendre que son mec, devenu zombie, la trompait avec cette chère Sofia ?
Decade Challenge : Les Meunier à travers les âges (Terminé)
NSBC : La dynastie des Berrington (en cours)
Challenge Apocalypse : L'apocalypse des Bonnechance (MAJ selon mes humeurs)
Je souligne la jolie mise en scène et je compatis au temps que ça prend de faire ça
Je suis comme @lilyluciole les histoires de zombis c'est pas du tout mon truc normalement mais j'aime bien la profondeur de ton histoire
Et oui, j'avais bien précisé comme @lilyluciole c'pas ma faute si je voulais dire la même chose
Après, j'aime aussi les personnages ni tout blanc ni tout noir, moi j'aime le gris il a plus de nuances (mais ça, je crois que tu le sais déjà ou que tu l'as deviné du moins ^^)
Je crois aussi qu'Hugo ne va pas forcément en réchapper mais que du coup son enfant apprendra que son papa était un héros dans l'apocalypsims
Oui, je viens de reprendre ce que disais @Chaos56 c'pas ma faute, tout ça aussi j'voulais le direuh !
Bon pis j'ai commencé par Sofia, alors je termine par elle
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