Avec les partiels c'est pas simple d'écrire, mais je vous poste un bout de suite
J’ai attendu de voir la faucheuse débarquer, mais les mollets de Marie ont arrêté de s’approcher. J’ai vu dans mon paysage de nombreuses jambes partir en courant dans tous les sens, et des cris ont de nouveau percé mes oreilles. Marie elle même cria.
Une étrange paire de jambes apparut dans mon champ de vision. Bottées, suivies de près par une grande cape noire, un de ses pieds tapait avec irritation sur le sol sablonneux.
- Bon, elle démarre la musique ou pas ? dit la voix au dessus des jambes
- On a un .. petit problème technique mon Seigneur.
La personne à l’origine de cette voix m’était invisible, mais je l’entendis s’étrangler soudainement, et des gens autour se mirent à respirer nerveusement.
- Georges, t’es mon nouvel ingénieur du son. Envoies la musique.
- Mais.., dit une nouvelle voix avant de se couper brutalement ; d’accord mon Seigneur, mais on va la faire un peu en freestyle si ça vous dérange pas, parce que les enceintes sont HS.
- Enfin quelqu’un capable d’improviser. Allez-y les gars. Je remets mon machin.
Quelques paires de mollets s’alignèrent à part, et un chant lugubre s’éleva. Uniquement composé de « Papapa pa papa pa papa », il donnait une atmosphère tendue à cette scène surréaliste. Marie, qui semblait jusque là avoir avalé sa langue, prit enfin la parole :
- Mais vous êtes qui ! Non, mieux : Vous foutez quoi ! Attendez attendez, y’a aussi : Ca va, on vous dérange pas, parce qu’on était au milieu d’un truc là.
- Tu vas regrettez ton impertinence jeune.. impertinente. *cooo.kiiie*
- Ah ouais ? J’ai un bidule hyper dangereux dans la main mec, je sais pas si t’as vu. Donc bon, tu vas remonter dans ton espèce de vaisseau à deux balles avec ta bande de groupies, et tu dégages sinon je te découpe en tranche comme une part de quiche.
- Je sens la colère en toi ! Laisse toi envahir par le côté obscur ! *coooo.kiiiie* Bon sinon, je suis venu récupérer le machin laser là.. Je l’avais paumé pendant les vacances sur Sixam ; je faisais une petite croisière parce que j’avais besoin de respirer après que.. ; bref. Rendez-moi ce sabre laser, avant que je n’utilise la Force !
- Mon petit pote, t’es pas si musclé que ça, et vu ton armure ça m’étonnerait que tu puisses bouger assez vite pour me taper.
- J’ai des sbires ! Mouahahaha ! *cooooo.kiiiiie*
Les orteils de Marie se contractèrent tellement dans ses chaussures que je pu voir de petites bosses en déformer le cuir.
- PAS QUESTION.
Un claquement de doigts se fit entendre dans un silence de mort et des tas de jambes trottinèrent en direction de ma soeur. Soudain, elle décolla du sol et ; dans un gémissement terrifiant ; flotta hors de mon champ de vision. Les jambes entrèrent dans la maison, et ressortirent suivies par des caisses dont le contenu faisait un bruit métallique.
- On peut y aller, dit alors le chef en se dirigeant dans ce que je pensais être la direction de son vaisseau, *coooo.kiiiie*.
Puis, dans un bruit fracassant et un immense nuage de fumée, le vaisseau décolla.
Enfin, j’osais ouvrir les yeux.
Plus personne n’était en vue. Bientôt, plusieurs têtes sortirent des buissons environnants, mais il était évident que Marie, elle, ne reviendrait pas.
Dans une volonté théâtrale, je me tournais vers l’horizon, et fixant le paysage d’un regard artistiquement vague je dis :
- Adieu Marie Bean, ma soeur, ma rivale !
Ca manquait d’un jingle dramatique, ou d’un petit générique de fin, mais ça donnait l’impression que je la regretterais un peu, et comme ça, sans doute que mon père me péterais pas une durite en l’apprenant.
Tout à coup, alors que j’allais me détourner vers le reste de mon équipe qui toussotait d’un air gêné, le sol se mit à trembler sous mes pieds.
- UN T-REX ! se mit à hurler Jean-Bob, qui avait trop regardé Jurassic Park
- Le barrage ! cria Anne-Justine, affichant son penchant pour les films catastrophes
- La planète va exploser ! gémit Louis-Kevin (oui, celui de la pub pour les Apéricubes) qui croyait dur comme fer à l’existence de l’Etoile Noire.
Mais ni dinosaure, ni vague géante, ni fissure dans le sol n’apparu. Le sol continuait de trembler, jusqu’à ce que le bruit le plus fort que j’eus jamais entendu explosa. Tout l’air vibrait de l’onde sonore, et comme tous mes bouseux de camarades, j’eus vite fait de couvrir mes oreilles de mes mains.
Derrière la falaise, dans le lointain, s’éleva un nuage de fumée immense, d’une forme particulière et d’un noir terrifiant, et le souffle d’une explosion dont nous subissions l’onde de choc nous frappa tous, nous étalant au sol de nouveau comme des moustiques sur le plafond en été.
On remercie chaleureusement mon assistante bisounoursique qui a travaillé super vite et très bien : Saaaaaaakuuuuuuuu ! *clapclapclap*
Dark Vador !!!! Il est vraiment partout celui là en ce moment !
Waouh superbe image, y'a pas à dire... mais vu la taille du champignon, il va pas rester grand monde dans le coin. Bon, je ne vais pas réclamer vite la suite... car je sais que tu as d'autres choses à faire en ce moment.... n'est-ce pas ? Allez hop hop hop .....
Ah oui ! Ca fait pas du bien de lire quand on a une distraction à côté ^^"
Marie a eue ce qu'elle méritait ! Mais... il devient quoi du coup son esclave/acolyte/c'est-quoi-son-nom-déjà-à-lui (ah si, Camille)/sous-fifre/souffre-douleur ? Il va finir en prison ?
Bonne question, dans ma tête il a été enlevé avec sa maitresse, mais c'est vrai que je ne l'ai pas écrit. Alors.. fera-t'il une réapparition plus tard ?
"J'aurais voulu vivre au pays des Bisounours pour toujours, mais ils m'ont virée quand j'ai fait mon premier commentaire sarcastique."
Réponses
J’ai attendu de voir la faucheuse débarquer, mais les mollets de Marie ont arrêté de s’approcher. J’ai vu dans mon paysage de nombreuses jambes partir en courant dans tous les sens, et des cris ont de nouveau percé mes oreilles. Marie elle même cria.
Une étrange paire de jambes apparut dans mon champ de vision. Bottées, suivies de près par une grande cape noire, un de ses pieds tapait avec irritation sur le sol sablonneux.
- Bon, elle démarre la musique ou pas ? dit la voix au dessus des jambes
- On a un .. petit problème technique mon Seigneur.
La personne à l’origine de cette voix m’était invisible, mais je l’entendis s’étrangler soudainement, et des gens autour se mirent à respirer nerveusement.
- Georges, t’es mon nouvel ingénieur du son. Envoies la musique.
- Mais.., dit une nouvelle voix avant de se couper brutalement ; d’accord mon Seigneur, mais on va la faire un peu en freestyle si ça vous dérange pas, parce que les enceintes sont HS.
- Enfin quelqu’un capable d’improviser. Allez-y les gars. Je remets mon machin.
Quelques paires de mollets s’alignèrent à part, et un chant lugubre s’éleva. Uniquement composé de « Papapa pa papa pa papa », il donnait une atmosphère tendue à cette scène surréaliste. Marie, qui semblait jusque là avoir avalé sa langue, prit enfin la parole :
- Mais vous êtes qui ! Non, mieux : Vous foutez quoi ! Attendez attendez, y’a aussi : Ca va, on vous dérange pas, parce qu’on était au milieu d’un truc là.
- Tu vas regrettez ton impertinence jeune.. impertinente. *cooo.kiiie*
- Ah ouais ? J’ai un bidule hyper dangereux dans la main mec, je sais pas si t’as vu. Donc bon, tu vas remonter dans ton espèce de vaisseau à deux balles avec ta bande de groupies, et tu dégages sinon je te découpe en tranche comme une part de quiche.
- Je sens la colère en toi ! Laisse toi envahir par le côté obscur ! *coooo.kiiiie* Bon sinon, je suis venu récupérer le machin laser là.. Je l’avais paumé pendant les vacances sur Sixam ; je faisais une petite croisière parce que j’avais besoin de respirer après que.. ; bref. Rendez-moi ce sabre laser, avant que je n’utilise la Force !
- Mon petit pote, t’es pas si musclé que ça, et vu ton armure ça m’étonnerait que tu puisses bouger assez vite pour me taper.
- J’ai des sbires ! Mouahahaha ! *cooooo.kiiiiie*
Les orteils de Marie se contractèrent tellement dans ses chaussures que je pu voir de petites bosses en déformer le cuir.
- PAS QUESTION.
Un claquement de doigts se fit entendre dans un silence de mort et des tas de jambes trottinèrent en direction de ma soeur. Soudain, elle décolla du sol et ; dans un gémissement terrifiant ; flotta hors de mon champ de vision. Les jambes entrèrent dans la maison, et ressortirent suivies par des caisses dont le contenu faisait un bruit métallique.
- On peut y aller, dit alors le chef en se dirigeant dans ce que je pensais être la direction de son vaisseau, *coooo.kiiiie*.
Puis, dans un bruit fracassant et un immense nuage de fumée, le vaisseau décolla.
Enfin, j’osais ouvrir les yeux.
Plus personne n’était en vue. Bientôt, plusieurs têtes sortirent des buissons environnants, mais il était évident que Marie, elle, ne reviendrait pas.
Dans une volonté théâtrale, je me tournais vers l’horizon, et fixant le paysage d’un regard artistiquement vague je dis :
- Adieu Marie Bean, ma soeur, ma rivale !
Ca manquait d’un jingle dramatique, ou d’un petit générique de fin, mais ça donnait l’impression que je la regretterais un peu, et comme ça, sans doute que mon père me péterais pas une durite en l’apprenant.
Tout à coup, alors que j’allais me détourner vers le reste de mon équipe qui toussotait d’un air gêné, le sol se mit à trembler sous mes pieds.
- UN T-REX ! se mit à hurler Jean-Bob, qui avait trop regardé Jurassic Park
- Le barrage ! cria Anne-Justine, affichant son penchant pour les films catastrophes
- La planète va exploser ! gémit Louis-Kevin (oui, celui de la pub pour les Apéricubes) qui croyait dur comme fer à l’existence de l’Etoile Noire.
Mais ni dinosaure, ni vague géante, ni fissure dans le sol n’apparu. Le sol continuait de trembler, jusqu’à ce que le bruit le plus fort que j’eus jamais entendu explosa. Tout l’air vibrait de l’onde sonore, et comme tous mes bouseux de camarades, j’eus vite fait de couvrir mes oreilles de mes mains.
Derrière la falaise, dans le lointain, s’éleva un nuage de fumée immense, d’une forme particulière et d’un noir terrifiant, et le souffle d’une explosion dont nous subissions l’onde de choc nous frappa tous, nous étalant au sol de nouveau comme des moustiques sur le plafond en été.
On remercie chaleureusement mon assistante bisounoursique qui a travaillé super vite et très bien : Saaaaaaakuuuuuuuu ! *clapclapclap*
je veux des imagettes moi
C'était bien sympa ce chapitrounet
@Pythonroux tu m'as grillée dans les coms...zut alors, mon générique de fin va faire tâche
Origin ID : Sakura5192
Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Illidan & Tyrande
Je veux la suiiiite *^*
Et bon courage pour tes partiels ^.^
~ Histoires ~
Legacy (G1, màj 26/06) : Descendance d'un Taulard (blog/forum)
Défi Apocalypse : Bref, j'ai tenté l'Apo'. (forum/blog)
Par contre je me suis déchaînée sur l'explosion, Lulu y tenait
Origin ID : Sakura5192
Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Illidan & Tyrande
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Waouh superbe image, y'a pas à dire... mais vu la taille du champignon, il va pas rester grand monde dans le coin. Bon, je ne vais pas réclamer vite la suite... car je sais que tu as d'autres choses à faire en ce moment.... n'est-ce pas ? Allez hop hop hop .....
Après, qu'est-ce qui a bien pu exploser tout là-bas ? La question se pose...
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Marie a eue ce qu'elle méritait ! Mais... il devient quoi du coup son esclave/acolyte/c'est-quoi-son-nom-déjà-à-lui (ah si, Camille)/sous-fifre/souffre-douleur ? Il va finir en prison ?
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