Un jour, maman m'a expliqué que tout avait commencé avec un artiste incompris. Un ancêtre au courage sans faille, à la bravoure sans limite qui s'était opposé au dictât de la société pour vivre sa vie de peintre avec l'amour de sa vie. Maman aime peindre elle aussi, comme Grandpapy Kéno, et de nombreux autres de la famille.
Moi ce n'est pas vraiment mon truc, je n'ai pas l’œil de l'artiste, mais Mackensie est faite pour ça. En ville, ce n'est pas si simple de se faire connaitre en tant qu'artiste. Alors j'essaye d'aider Mac entre deux manifs. J'ai les idées pour les œuvres, les messages politiques tout ça, c'est mon domaine, mais elle a les mains, et quand elle peint, tout ce que j'ai dans la tête devient une oeuvre d'art sur le pavé des rues.
C'est qu'il m'a l'air canon ce jeune homme j'ai peut-être loupé un truc mais je ne sais pas comment il s'appelle
J'aime beaucoup cette façon dont tu nous fait découvrir le personnage. On a envie d'en savoir plus
Quand j'étais gamin, on a très vite fêté l'anniversaire des jumeaux.
Ana était en pleine crise d'adolescence, et la panique d'avoir trois ados à la maison en même temps avait gagné mes mamans, si bien qu'elles nous accordaient un peu moins de temps, et avaient fait appel aux grands-parents de Maman-Lou pour mater Ana. J'étais déjà un peu grassouillet, et à l'école j'en prenais pour mon grade.
Pendant un moment, c'était Tina qui m'avait défendue, mais elle était trop grande maintenant, elle avait "d'autres chats à fouetter" comme elle dit. Alors je me suis retrouvé tout seul face aux brutes.
Enfin non, tout seul, avec Mac. Et Adnan aussi, mais vu quand on s'en prend plein la tête parce qu'on est gros, je vous raconte pas quand on est rose.
Mackensie avait beaucoup d'amis, elle était vive et drôle. Elle jouait à tout pendant que je lisais de gros manuels sur les bancs de la cour.
Maman m'avait expliqué qu'on était arrivés en même temps, Mac et moi, et que pendant longtemps, nous avions partagé le même berceau. Au final, j'ai toujours considéré Mac comme une jumelle même si je constatais que la relation de Tina et Nino était différente.
Alors quand il s'est posé la question de savoir où on allait vivre, j'ai immédiatement proposé qu'on emménage ensemble dans la capitale.
J'avais pensé vivre avec Mackensie, mais j'avais négligé un détail dans mon calcul : Ma famille n'est pas franchement du genre "vivre et laisser vivre", et maman-Lou a donc vite eu fait de se faire un double des clés.
ah ben oui, même si tu connais pas bien ton nouveau nom de BEAN ^^
Maman Lou, elle est pas facile à perdre et essayer de s'en débarrasser... c'est une autre paire de manches
Two things only a man cannot hide : that he is drunk and that he is in love.
P.S. : le CC c'est le mal ^^
Comment appelle-t-on un chien qui n'a pas de pattes ?
Réponses
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Défi Apocalypse : Bref, j'ai tenté l'Apo'. (forum/blog)
vivement la suite ^^ qu'il soit grand et qu'il puisse mieux tout appréhender ^^
Moi ce n'est pas vraiment mon truc, je n'ai pas l’œil de l'artiste, mais Mackensie est faite pour ça. En ville, ce n'est pas si simple de se faire connaitre en tant qu'artiste. Alors j'essaye d'aider Mac entre deux manifs. J'ai les idées pour les œuvres, les messages politiques tout ça, c'est mon domaine, mais elle a les mains, et quand elle peint, tout ce que j'ai dans la tête devient une oeuvre d'art sur le pavé des rues.
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Ana était en pleine crise d'adolescence, et la panique d'avoir trois ados à la maison en même temps avait gagné mes mamans, si bien qu'elles nous accordaient un peu moins de temps, et avaient fait appel aux grands-parents de Maman-Lou pour mater Ana. J'étais déjà un peu grassouillet, et à l'école j'en prenais pour mon grade.
Pendant un moment, c'était Tina qui m'avait défendue, mais elle était trop grande maintenant, elle avait "d'autres chats à fouetter" comme elle dit. Alors je me suis retrouvé tout seul face aux brutes.
Enfin non, tout seul, avec Mac. Et Adnan aussi, mais vu quand on s'en prend plein la tête parce qu'on est gros, je vous raconte pas quand on est rose.
Mackensie avait beaucoup d'amis, elle était vive et drôle. Elle jouait à tout pendant que je lisais de gros manuels sur les bancs de la cour.
Maman m'avait expliqué qu'on était arrivés en même temps, Mac et moi, et que pendant longtemps, nous avions partagé le même berceau. Au final, j'ai toujours considéré Mac comme une jumelle même si je constatais que la relation de Tina et Nino était différente.
Alors quand il s'est posé la question de savoir où on allait vivre, j'ai immédiatement proposé qu'on emménage ensemble dans la capitale.
J'avais pensé vivre avec Mackensie, mais j'avais négligé un détail dans mon calcul : Ma famille n'est pas franchement du genre "vivre et laisser vivre", et maman-Lou a donc vite eu fait de se faire un double des clés.
Maman Lou, elle est pas facile à perdre
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