J'ai mis une minute avant de comprendre que j'essayais de lire le mot "Wineuse" comme si c'était du français. Ca m'a perturbée XD
Sinon, la guerre démarre visiblement bien que Nath a enfin profité de son admirateur number Uno (Il était temps !!!). Par contre, elle est pas prête de les voir arriver les badges je pense.
Ah ouais, chapitre 91 carrément, genre Kéno était même pas avec Hélène deuxième du nom et tout ! Re-Bienvenue parmi nous @magicsismic alors ! Tu arrives à temps pour la grande bataille finale (enfin, quand je dis finale, c'est finale de Nathalie hein !) !
"J'aurais voulu vivre au pays des Bisounours pour toujours, mais ils m'ont virée quand j'ai fait mon premier commentaire sarcastique."
La discipline ne régnait pas vraiment dans les rangs de mes dream-teams, et comme le procureur (un petit nouveau qui pigeait pas à qui il parlait) m'avait refusé les fusées de combat et m'avait envoyé balader sévère, c'est en tram et à pattes que nous nous rendîmes sur les lieux ; alias la maison de Marie la verte (on s'en fous, elle est verte dedans). L'impatience du combat alliée à la fatigue du voyage avait mis mes boucliers humains à cran, et chacun commençait à parler du weekend à venir dont l'événement principal semblait être une rencontre entre l'équipe locale des Lamas contre celle de.. ailleurs, les Gnomes.
Le soleil tapait dur sur la tête de tout le monde à Oasis Spring, et le fait que Norbert et Bernard blaguent comme deux gros beaufs bedonnants me mettait les nerfs à vif. Nous étions tous ; surtout moi ; armés jusqu'aux molaires, aux lobes d'oreilles et aux petits orteils (je vous dirais pas quel type d'arme on peut mettre sur un petit orteil.) et la tentation de réduire ces lourdauds en deux petits tas de poussière moléculaire me titillait gravement. C'est Brenda qui se chargea de leur faire remarquer comme les jointures de mes doigts (petit orteil compris) étaient blanches autour de mes armes de guerre piquées à la réserve "en cas de siège" de ma mère. Quand les deux abrutis se turent enfin et que je pu profiter du doux chant des insectes et autres vautours (prometteur !), la demeure de Marie - misérable bicoque à deux balles en surface - apparut dans mon horizon visuel.
- Comment je vais lui défoncer sa face. marmonnai-je dans ma barbe (façon de parler, je n'ai pas de pilosité faciale).
Le silence le plus total jamais entendu par les sims se fit. Insectes, vautours et vent du désert la fermèrent en nous voyant arriver. On devait faire grave peur.
Sur la pointe des pieds ; tout en veillant à ne pas activer l'arme de nos orteils ; nous nous approchâmes. J'imagine qu'on devait avoir l'air moins flippants du coup, et plus de gens super nuls en danse classique.
J'étais une personne de celle qui sont vraiment totalement incapable de se repérer en orientation, même en s'aidant du soleil, et je sortais donc une boussole de poche pour savoir où était chacun des points cardinaux. Le nord ça me suffit pas.
Une fois que je su comment on était placés, et que j'eu dessiné l'espèce de machin des points cardinaux dans le sable, je me mis à faire des grands gestes en pointant les directions.
On avait répété une espèce de code pour ne pas avoir à parler, mais vu la tronche interrogative de cette bande de nazes que je me trimbalais, je supposais fortement que y'en avait pas un qui avait pigé quoi que ce soit.
Brenda s'approcha ; et confirma ce que je disais sur notre démarche ; et me dit "Ils connaissent pas le code.".
- Mais il est pas compliqué le code ! Droite grand E, gauche grand V, triangle avec un rond, et je pointe le soleil en soulevant un pied !
- Ce serait mieux de le faire à l'oral je pense chef.
- Bon sang, quand on rentre, je vire tout le monde, et j'embauche que des Bean. BON ! Vous à gauche, vous à droite, et ceux qui restent vous contournez le.. bâtiment. Tout le monde en mode Ninja de Konoha je vous pas VOIR, ENTENDRE ou même PENSER que vous êtes là. Si j'en chope un pas invisible, il se fait Beanizer mais alors à une vitesse ! Il aura même pas le temps de piger qu'il se fait dézinguer ! Brenda.. nous mais c'est pourri Brenda comme nom. A partir de maintenant tu t'appelles Joan. J'aime les Joan. Joan, tu les surveilles. Toi aussi t'es un ninja, mais je veux du Itachi, je veux du Sasuke, je veux du tellement invisible que je DOUTERAIS de ton existence ! C'est bon ? Des questions ? Non, parfait. On y va;
- Chef, j'ai un prénom sinon, je m'appelle Carole.
- Je t'ai demandé ton prénom ? NON. Tu t'appelles Joan, si tu voulais t'appeler Carole, fallait porter un badge.
Et je partis vers le devant de la maisonnette en sautillant tel un ninja, une seule question en tête.. "Mais pourquoi personne ne m'écoute jamais ?".
Sur la pointe des pieds en mode Ninja invisible, je me suis donc lentement approchée de la maison. Un plan avait été établi à l'avance quant à l’enchaînement des opérations, mais je savais déjà que rien ne se passerait comme prévu vu la bande d'incapables que je trimbalais. J'avais donc en tout cinq plans différents en fonction des ❤️❤️❤️❤️ qu'ils feraient, plus un supplémentaire en cas de foirage total.
Enfin, j'étais au bout de l'allée de la maison, la porte d'entrée était là, à une vingtaine de mètres, et semblait me dire «défonce moi avec ton pied si t'es une Bean !». Mais ce n'était pas le plan n°1.
J'ai attendu un peu, planquée derrière un cactus, parce que j'étais censée recevoir un message de Patrick me disant que tout s'était bien passé à l'arrière. Cependant, à la place du message je vis Patrick se barrer en hurlant dans le désert, fumant et noirci, suivi par deux autres clampins. Il en manquait un. Je passais donc au plan n°2, et contactais Jean-Bernard de la gauche.
- Chef à JB, chef à JB, est-ce que vous me recevez ?
- *frrrrkkkr.. frrrfkjjjdddrr*
- Chef à JB ?
- *Bip bip bip.... *
Le plan n°2 avait visiblement échoué, sinon JB aurait du répondre «JB à Chef, Chef oui chef, le colis vous sera livré.». Le plan n°3 était plus risqué, mais tant pis.
Après avoir envoyé un sms à Joan pour le lancement de celui-ci, je sortis donc de ma superbe cachette épineuse, et criais :
- WESH SISTER ! Sors de ta cabane de minable si t'es une alien ! On va régler ça entre grandes, Beanizator contre Beanizator, à l'ancienne.
Un mouvement de rideau attira mon regard une fraction de seconde.
- Tu me prends pour une pigeonne Nathalie ? J'ai un de tes hommes au sous-sol maintenant, et les autres je t'en parle même pas ! Pourquoi je sortirais alors que j'ai gagné ?
- T'es une mauviette ?
- Qu'est-ce que tu viens de dire !
- Mauviiiiette !
- PERSONNE ! PERSONNE NE ME TRAITE DE MAUVIETTE !
- Bah prouves-le !
Quelque part, je connaissais Marie comme si c'était ma sœur et j'avais toujours su la peur qu'elle avait d'être perçue comme moins courageuse que les Sims normaux. C'était d'une facilité déconcertante de la faire sortir de ses gonds, et ainsi apparut-elle sur le perron de sa maison.
- Pourquoi t'es là petite sœur ? Tu viens te frotter à la Faufau ?
- Tu sais très bien ce que je fais là ! Rends moi papa, et je te laisse la vie, je détruis pas ta maison, et peut-être même que je zigouille pas ton homme à tout faire.
C'était difficile de rester calme, mais Marie semblait avoir encore plus de difficultés que moi et commençait à faire les 10 pas (y'a pas la place pour plus) devant sa bicoque. Elle respirait fort, sans doute pour se calmer.
- Je peux pas faire ça. C'est mon père à moi aussi, et vous me l'avez volé toute mon enfance ! Nous étions comme des soeurs ! Je t'aimais Nathalie !
Marie sortie alors son arme, et une fois chargée, crispa son doigt sur la détente.
Je savais que je n'aurais jamais le temps de retirer ma chaussure pour récupérer mon arme d'orteil, et c'est donc avec un petit regret (parce que c'est vraiment une arme super cool) que je détachai mon Beanizator de ma ceinture.
- Ce n'est pas forcé de finir comme ça Marie, tu peux encore revenir du bon côté, je vois encore de la lumière en toi !
- La tienne faibli néanmoins ! Je vais te battre et tu le sais !
Derrière elle, Camille le blond apparut, arme en main. Son arme m'était cependant inconnue ; un tube de métal était dans sa main, et de ce tube sortait en jaillissant une lumière vive, qui me semblait solide. C'était éblouissant, agressif pour les yeux et - vu la manière très précotionneuse dont Camille la tenait - visiblement très dangereux.
J'avais quitté Marie des yeux seulement une seconde pour regarder l'arme étrange de son acolyte / clone, et ce temps la servit bien puisqu'elle en profita pour tirer. J'évitais ce premier tir d'un bond genre «Wayaaa !» et tirais à mon tour une fois au sol.
Nos deux tirs, simultanés, se rencontrèrent, et une gerbe de lumière terrible explosa de leur contact. Comme un dôme, la lueur nous enveloppa elle et moi pendant que semblait couler sur le sol l'énergie de nos armes.
Les yeux presque clos devant tant de lumière, je vis cependant la mâchoire crispée de Marie et la force que lui demandait cette attaque. Il en était de même pour moi. Nos deux jets comme repoussés l'un par l'autre forçaient sur notre volonté, et je sentais le sable du désert grincer sous mes pieds tandis que je reculais, centimètre par centimètre, poussée par l'énergie.
Un cri de rage sorti des lèvres de ma sœur et au fil des secondes il se transforma en hurlement presque douloureux. Un vent violent se leva sous le dôme et le sable me fouetta le visage.
La douleur et l'effort me donnait encore plus envie de vaincre, et j'appuyais ma volonté d'autant plus fort sur celle de Marie.
Soudain, je vis Joan passer en courant dans mon champ de vision périphérique. Michel derrière elle portait mon père inconscient dans ses bras. Ils ne furent que deux à passer, et Joan tira derrière elle sur leurs poursuivants avant de voler la fusée de Marie et de me tendre le pouce pour me signaler le succès de la mission.
J'avais été déconcentrée, mais mon bonheur de savoir mon père sain et sauf explosa dans mon cœur et dans le même temps, fis exploser le dôme. Je fus projetée plusieurs mètres en arrière, et le choc avec le sol fut brutal. La tête me tournait, et je sentais un liquide poisseux et chaud couler de mon oreille sous moi. Le son ne me parvenait plus, seul un grésillement terriblement désagréable comme celui de la télé quand on avait pas Canal + avant. L'image elle était nette, mais couchée sur le côté, et malgré ma volonté je ne parvins pas à me relever. Marie était elle aussi allongée les yeux ouverts, et serrait les dents. Petit à petit, elle se releva cependant, et s'approcha de moi après avoir pris l'arme de Camille. La terreur me prit l'estomac tandis que je voyais ses mollets et la lame de son épée approcher pas à pas.
Non Marie fais pas ça et revient du bon côté de la force ! ben quoi c'est beau de rêver
Keno is alive ^.^
Il était génial ce chapitre, plein d'action et d'humour, et j'ai hâte de lire le prochain
ah mais c'est trop cool cette suite ^^ j'ai adoré ce chapitre
alors tu vas avoir droit à quel Bisounours au prochain chapitre ???? celui pleins de sang ou un autre tout gentil ? ^^
Two things only a man cannot hide : that he is drunk and that he is in love.
P.S. : le CC c'est le mal ^^
Comment appelle-t-on un chien qui n'a pas de pattes ?
Je vais mériter mon bisounours de la mort. C'est moi qui vous l'dis !
Mais je vois que Marie a une fan ?
Bon en attendant moi j'ai un truc à dire (je le dis TOUS les jours en ce moment) : J'adore papy Kéno ! Il est TROP chou !
Regardez sa bouille de papy ♥
Je confirme, très sympa ce papy Keno, bonne bouille et belle ligne, dommage qu'il soit un peu ravagé du casque.... Il fait pas des spectacles de Chippendales à ses heures perdues ?
Bon sinon, la suite de cet insoutenable suspens.... c'est QUAND ???
Réponses
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Défi Apocalypse - La quête d'Ezekiel - Ombre et Lumière - Mini-histoires - Challenge 100 Bébés
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j'ai bien aimé ce nouveau chapitre
J'adore, et je sens que Jonathan est pas rendu avec une petite amie comme elle x)
~ Histoires ~
Legacy (G1, màj 26/06) : Descendance d'un Taulard (blog/forum)
Défi Apocalypse : Bref, j'ai tenté l'Apo'. (forum/blog)
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Histoire de fée et de coeur: Clochette et l'agence beau gosse en détresse.
Challenges repeuplement :Quand Cruella rencontre Arthur / Challenge des 100 bébés : les filles çà nait dans les roses.
Mes délires : parodies et carabistouilles
Ma chaine youtube : chaine sismic
La discipline ne régnait pas vraiment dans les rangs de mes dream-teams, et comme le procureur (un petit nouveau qui pigeait pas à qui il parlait) m'avait refusé les fusées de combat et m'avait envoyé balader sévère, c'est en tram et à pattes que nous nous rendîmes sur les lieux ; alias la maison de Marie la verte (on s'en fous, elle est verte dedans). L'impatience du combat alliée à la fatigue du voyage avait mis mes boucliers humains à cran, et chacun commençait à parler du weekend à venir dont l'événement principal semblait être une rencontre entre l'équipe locale des Lamas contre celle de.. ailleurs, les Gnomes.
Le soleil tapait dur sur la tête de tout le monde à Oasis Spring, et le fait que Norbert et Bernard blaguent comme deux gros beaufs bedonnants me mettait les nerfs à vif. Nous étions tous ; surtout moi ; armés jusqu'aux molaires, aux lobes d'oreilles et aux petits orteils (je vous dirais pas quel type d'arme on peut mettre sur un petit orteil.) et la tentation de réduire ces lourdauds en deux petits tas de poussière moléculaire me titillait gravement. C'est Brenda qui se chargea de leur faire remarquer comme les jointures de mes doigts (petit orteil compris) étaient blanches autour de mes armes de guerre piquées à la réserve "en cas de siège" de ma mère. Quand les deux abrutis se turent enfin et que je pu profiter du doux chant des insectes et autres vautours (prometteur !), la demeure de Marie - misérable bicoque à deux balles en surface - apparut dans mon horizon visuel.
- Comment je vais lui défoncer sa face. marmonnai-je dans ma barbe (façon de parler, je n'ai pas de pilosité faciale).
Le silence le plus total jamais entendu par les sims se fit. Insectes, vautours et vent du désert la fermèrent en nous voyant arriver. On devait faire grave peur.
Sur la pointe des pieds ; tout en veillant à ne pas activer l'arme de nos orteils ; nous nous approchâmes. J'imagine qu'on devait avoir l'air moins flippants du coup, et plus de gens super nuls en danse classique.
J'étais une personne de celle qui sont vraiment totalement incapable de se repérer en orientation, même en s'aidant du soleil, et je sortais donc une boussole de poche pour savoir où était chacun des points cardinaux. Le nord ça me suffit pas.
Une fois que je su comment on était placés, et que j'eu dessiné l'espèce de machin des points cardinaux dans le sable, je me mis à faire des grands gestes en pointant les directions.
On avait répété une espèce de code pour ne pas avoir à parler, mais vu la tronche interrogative de cette bande de nazes que je me trimbalais, je supposais fortement que y'en avait pas un qui avait pigé quoi que ce soit.
Brenda s'approcha ; et confirma ce que je disais sur notre démarche ; et me dit "Ils connaissent pas le code.".
- Mais il est pas compliqué le code ! Droite grand E, gauche grand V, triangle avec un rond, et je pointe le soleil en soulevant un pied !
- Ce serait mieux de le faire à l'oral je pense chef.
- Bon sang, quand on rentre, je vire tout le monde, et j'embauche que des Bean. BON ! Vous à gauche, vous à droite, et ceux qui restent vous contournez le.. bâtiment. Tout le monde en mode Ninja de Konoha je vous pas VOIR, ENTENDRE ou même PENSER que vous êtes là. Si j'en chope un pas invisible, il se fait Beanizer mais alors à une vitesse ! Il aura même pas le temps de piger qu'il se fait dézinguer ! Brenda.. nous mais c'est pourri Brenda comme nom. A partir de maintenant tu t'appelles Joan. J'aime les Joan. Joan, tu les surveilles. Toi aussi t'es un ninja, mais je veux du Itachi, je veux du Sasuke, je veux du tellement invisible que je DOUTERAIS de ton existence ! C'est bon ? Des questions ? Non, parfait. On y va;
- Chef, j'ai un prénom sinon, je m'appelle Carole.
- Je t'ai demandé ton prénom ? NON. Tu t'appelles Joan, si tu voulais t'appeler Carole, fallait porter un badge.
Et je partis vers le devant de la maisonnette en sautillant tel un ninja, une seule question en tête.. "Mais pourquoi personne ne m'écoute jamais ?".
Sur la pointe des pieds en mode Ninja invisible, je me suis donc lentement approchée de la maison. Un plan avait été établi à l'avance quant à l’enchaînement des opérations, mais je savais déjà que rien ne se passerait comme prévu vu la bande d'incapables que je trimbalais. J'avais donc en tout cinq plans différents en fonction des ❤️❤️❤️❤️ qu'ils feraient, plus un supplémentaire en cas de foirage total.
Enfin, j'étais au bout de l'allée de la maison, la porte d'entrée était là, à une vingtaine de mètres, et semblait me dire «défonce moi avec ton pied si t'es une Bean !». Mais ce n'était pas le plan n°1.
J'ai attendu un peu, planquée derrière un cactus, parce que j'étais censée recevoir un message de Patrick me disant que tout s'était bien passé à l'arrière. Cependant, à la place du message je vis Patrick se barrer en hurlant dans le désert, fumant et noirci, suivi par deux autres clampins. Il en manquait un. Je passais donc au plan n°2, et contactais Jean-Bernard de la gauche.
- Chef à JB, chef à JB, est-ce que vous me recevez ?
- *frrrrkkkr.. frrrfkjjjdddrr*
- Chef à JB ?
- *Bip bip bip.... *
Le plan n°2 avait visiblement échoué, sinon JB aurait du répondre «JB à Chef, Chef oui chef, le colis vous sera livré.». Le plan n°3 était plus risqué, mais tant pis.
Après avoir envoyé un sms à Joan pour le lancement de celui-ci, je sortis donc de ma superbe cachette épineuse, et criais :
- WESH SISTER ! Sors de ta cabane de minable si t'es une alien ! On va régler ça entre grandes, Beanizator contre Beanizator, à l'ancienne.
Un mouvement de rideau attira mon regard une fraction de seconde.
- Tu me prends pour une pigeonne Nathalie ? J'ai un de tes hommes au sous-sol maintenant, et les autres je t'en parle même pas ! Pourquoi je sortirais alors que j'ai gagné ?
- T'es une mauviette ?
- Qu'est-ce que tu viens de dire !
- Mauviiiiette !
- PERSONNE ! PERSONNE NE ME TRAITE DE MAUVIETTE !
- Bah prouves-le !
Quelque part, je connaissais Marie comme si c'était ma sœur et j'avais toujours su la peur qu'elle avait d'être perçue comme moins courageuse que les Sims normaux. C'était d'une facilité déconcertante de la faire sortir de ses gonds, et ainsi apparut-elle sur le perron de sa maison.
- Pourquoi t'es là petite sœur ? Tu viens te frotter à la Faufau ?
- Tu sais très bien ce que je fais là ! Rends moi papa, et je te laisse la vie, je détruis pas ta maison, et peut-être même que je zigouille pas ton homme à tout faire.
C'était difficile de rester calme, mais Marie semblait avoir encore plus de difficultés que moi et commençait à faire les 10 pas (y'a pas la place pour plus) devant sa bicoque. Elle respirait fort, sans doute pour se calmer.
- Je peux pas faire ça. C'est mon père à moi aussi, et vous me l'avez volé toute mon enfance ! Nous étions comme des soeurs ! Je t'aimais Nathalie !
Marie sortie alors son arme, et une fois chargée, crispa son doigt sur la détente.
Je savais que je n'aurais jamais le temps de retirer ma chaussure pour récupérer mon arme d'orteil, et c'est donc avec un petit regret (parce que c'est vraiment une arme super cool) que je détachai mon Beanizator de ma ceinture.
- Ce n'est pas forcé de finir comme ça Marie, tu peux encore revenir du bon côté, je vois encore de la lumière en toi !
- La tienne faibli néanmoins ! Je vais te battre et tu le sais !
Derrière elle, Camille le blond apparut, arme en main. Son arme m'était cependant inconnue ; un tube de métal était dans sa main, et de ce tube sortait en jaillissant une lumière vive, qui me semblait solide. C'était éblouissant, agressif pour les yeux et - vu la manière très précotionneuse dont Camille la tenait - visiblement très dangereux.
J'avais quitté Marie des yeux seulement une seconde pour regarder l'arme étrange de son acolyte / clone, et ce temps la servit bien puisqu'elle en profita pour tirer. J'évitais ce premier tir d'un bond genre «Wayaaa !» et tirais à mon tour une fois au sol.
Nos deux tirs, simultanés, se rencontrèrent, et une gerbe de lumière terrible explosa de leur contact. Comme un dôme, la lueur nous enveloppa elle et moi pendant que semblait couler sur le sol l'énergie de nos armes.
Les yeux presque clos devant tant de lumière, je vis cependant la mâchoire crispée de Marie et la force que lui demandait cette attaque. Il en était de même pour moi. Nos deux jets comme repoussés l'un par l'autre forçaient sur notre volonté, et je sentais le sable du désert grincer sous mes pieds tandis que je reculais, centimètre par centimètre, poussée par l'énergie.
Un cri de rage sorti des lèvres de ma sœur et au fil des secondes il se transforma en hurlement presque douloureux. Un vent violent se leva sous le dôme et le sable me fouetta le visage.
La douleur et l'effort me donnait encore plus envie de vaincre, et j'appuyais ma volonté d'autant plus fort sur celle de Marie.
Soudain, je vis Joan passer en courant dans mon champ de vision périphérique. Michel derrière elle portait mon père inconscient dans ses bras. Ils ne furent que deux à passer, et Joan tira derrière elle sur leurs poursuivants avant de voler la fusée de Marie et de me tendre le pouce pour me signaler le succès de la mission.
J'avais été déconcentrée, mais mon bonheur de savoir mon père sain et sauf explosa dans mon cœur et dans le même temps, fis exploser le dôme. Je fus projetée plusieurs mètres en arrière, et le choc avec le sol fut brutal. La tête me tournait, et je sentais un liquide poisseux et chaud couler de mon oreille sous moi. Le son ne me parvenait plus, seul un grésillement terriblement désagréable comme celui de la télé quand on avait pas Canal + avant. L'image elle était nette, mais couchée sur le côté, et malgré ma volonté je ne parvins pas à me relever. Marie était elle aussi allongée les yeux ouverts, et serrait les dents. Petit à petit, elle se releva cependant, et s'approcha de moi après avoir pris l'arme de Camille. La terreur me prit l'estomac tandis que je voyais ses mollets et la lame de son épée approcher pas à pas.
En tout cas c'était bien stylé
Origin ID : Sakura5192
Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Illidan & Tyrande
Keno is alive ^.^
Il était génial ce chapitre, plein d'action et d'humour, et j'ai hâte de lire le prochain
~ Histoires ~
Legacy (G1, màj 26/06) : Descendance d'un Taulard (blog/forum)
Défi Apocalypse : Bref, j'ai tenté l'Apo'. (forum/blog)
alors tu vas avoir droit à quel Bisounours au prochain chapitre ???? celui pleins de sang ou un autre tout gentil ? ^^
Et contente qu'ils aient sauvé Keno.
Défi Apocalypse - La quête d'Ezekiel - Ombre et Lumière - Mini-histoires - Challenge 100 Bébés
ID Origin : Uxirdenq - Blog / Studio / Twitter / Youtube
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Histoire de fée et de coeur: Clochette et l'agence beau gosse en détresse.
Challenges repeuplement :Quand Cruella rencontre Arthur / Challenge des 100 bébés : les filles çà nait dans les roses.
Mes délires : parodies et carabistouilles
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Mais je vois que Marie a une fan ?
Bon en attendant moi j'ai un truc à dire (je le dis TOUS les jours en ce moment) : J'adore papy Kéno ! Il est TROP chou !
Regardez sa bouille de papy ♥
Origin ID : Sakura5192
Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Illidan & Tyrande
Bon sinon, la suite de cet insoutenable suspens.... c'est QUAND ???