Bonjour tout le monde !
J'ai une idée d’histoire qui me trotte dans la tête depuis déjà un petit moment et du coup la voilà !
Je ne vous en dit pas plus, et j'espère qu'elle vous plaira
Je vous laisse avec une petite photo de notre protagoniste
La protagoniste est superbe, j'adore les tâches/écailles sur son visage.
Comme Daemonya, c'est ce titre accrocheur qui m'a fait cliquer
En attendant la suite, hop dans les petites étoiles, pour ne pas louper ça
Le château d’Utopia, dissimulé derrière les sapins d’une dense forêt, baignait dans la douce lumière du soleil. Le vent faisait délicatement bouger les feuilles des arbres, qui semblaient danser. Tout semblait calme. En apparence.
En effet, à l’intérieur de celui-ci, une grande tension régnait. Le roi s’était confortablement installé dans un fauteuil du premier étage, car personne n’y allait la journée, et il avait besoin de réfléchir. Il arborait un air grave, et semblait attendre quelque chose.
Quant à la reine, elle jouait du piano. Mais la mélodie qu’elle jouait était triste et mélancolique, et ses doigts fins parcouraient les touches à une vitesse inouïe, comme pour extérioriser un profond stress.
Le téléphone du roi sonna, brisant le charme de l’air doux et mélancolique que jouait la reine. Il décrocha et, un court instant, une expression d’espoir apparue sur son visage.
« -Alors Solal, une bonne nouvelle ? » demanda le roi à son interlocuteur.
« -Oh que non, votre Altesse. La situation a empiré. Ils menacent de massacrer la population si vous ne vous rendez pas. » La voix au bout du fil tremblait.
« - Il n’y donc rien que nous puissions faire ? "
- Je crains que non, votre Altesse. Ils ont découvert l’emplacement du palais. Ils arriveront d’ici deux heures. Si vous n’êtes pas là, ils tueront chaque Utopien.
- Nous allons nous rendre. Deux vies sont moins importantes qu’une population entière.
-Mais votre Altesse…
- Il n’y pas de mais, Solal. Adieu, et surtout, quand nous ne serons plus là, continuez de protéger notre peuple. C’est mon dernier ordre en tant que roi.
-Bien votre Altesse. »
Le roi raccrocha. Il se demandait comment il allait annoncer la nouvelle à sa femme.
La reine arriva et s’assit dans le fauteuil à côté de lui. Son mari décida de ne pas la faire patienter plus longtemps :
« - Aelyse, nous sommes fichus. Nous devons nous rendre.
- Quoi ? Il n’y a donc aucune autre solution ? Nous sommes condamnés ? demanda la reine
- Si nous ne nous rendons pas, des milliers de personnes mourront à notre place.
- Et la petite, Zarko, tu as pensé à elle ? »
Il était tellement bouleversé qu’il n’avait pas vraiment pensé à elle.
« - Nous pourrions la laisser à Eloha et…
- Nous ne la verrons même pas grandir ! » La reine éclata en sanglots.
Puis, prenant soudainement conscience qu’elle n’avait pas le choix, elle se ressaisît et leva la tête :
« -Puisque notre destin est scellé… Confions là à Eloha. »
La bonne, qui avait tout entendu derrière la porte de la chambre, sortit, et était visiblement paniquée.
« - Ai-je bien entendu votre Majesté ?
« - Malheureusement oui, Eloha, lui répondit la reine, nous devons nous sacrifier. Pour sauver le peuple. Dans un peu moins de deux heures, ils seront là. Vous devez emmener la princesse et fuir. » Aelyse tentait de garder un air calme, mais le ton dans sa voix indiquait tout le contraire.
Eloha entra dans une immense colère :
« -Je vous protègerai ! Je ne les laisserai pas faire ! Je leur botterai le derrière ! »
« - Eloha, même avec votre bravoure, vous ne pourrez rien faire. Ils ont des armes, ils sont effroyablement forts, et nous qu’avons-nous ? Rien. 500 ans que nous vivons en harmonie. 500 ans brisés par les Autres. Maintenant je vous ordonne de fuir et d’emmener la princesse. Ce sera le dernier ordre que je vous donnerai. »
« - Mais madame, je ne peux pas partir, vous laisser… mourir » A ces mots, Eloha se mit à pleurer.
« - Partez Eloha. Prenez les passages souterrains. Emportez le strict minimum avec vous. Ils ne vous trouveront pas. Ne vous retournez pas et ne revenez pas sur vos pas.
- Bien, madame, répondit la bonne, non sans mal. Puisque je n’ai pas le choix. »
Avant d’appuyer sur la pierre qui ouvrait les tunnels souterrains, Eloha s’arrêta. Elle regarda le petit bébé endormi paisiblement dans ses bras, qui ne se rendait pas compte de ce qui se passait.
« - Je vous protégerai quoi qu’il arrive, Princesse. »
Réponses
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Le château d’Utopia, dissimulé derrière les sapins d’une dense forêt, baignait dans la douce lumière du soleil. Le vent faisait délicatement bouger les feuilles des arbres, qui semblaient danser. Tout semblait calme. En apparence.
En effet, à l’intérieur de celui-ci, une grande tension régnait. Le roi s’était confortablement installé dans un fauteuil du premier étage, car personne n’y allait la journée, et il avait besoin de réfléchir. Il arborait un air grave, et semblait attendre quelque chose.
Quant à la reine, elle jouait du piano. Mais la mélodie qu’elle jouait était triste et mélancolique, et ses doigts fins parcouraient les touches à une vitesse inouïe, comme pour extérioriser un profond stress.
Le téléphone du roi sonna, brisant le charme de l’air doux et mélancolique que jouait la reine. Il décrocha et, un court instant, une expression d’espoir apparue sur son visage.
« -Alors Solal, une bonne nouvelle ? » demanda le roi à son interlocuteur.
« -Oh que non, votre Altesse. La situation a empiré. Ils menacent de massacrer la population si vous ne vous rendez pas. » La voix au bout du fil tremblait.
« - Il n’y donc rien que nous puissions faire ? "
- Je crains que non, votre Altesse. Ils ont découvert l’emplacement du palais. Ils arriveront d’ici deux heures. Si vous n’êtes pas là, ils tueront chaque Utopien.
- Nous allons nous rendre. Deux vies sont moins importantes qu’une population entière.
-Mais votre Altesse…
- Il n’y pas de mais, Solal. Adieu, et surtout, quand nous ne serons plus là, continuez de protéger notre peuple. C’est mon dernier ordre en tant que roi.
-Bien votre Altesse. »
Le roi raccrocha. Il se demandait comment il allait annoncer la nouvelle à sa femme.
La reine arriva et s’assit dans le fauteuil à côté de lui. Son mari décida de ne pas la faire patienter plus longtemps :
« - Aelyse, nous sommes fichus. Nous devons nous rendre.
- Quoi ? Il n’y a donc aucune autre solution ? Nous sommes condamnés ? demanda la reine
- Si nous ne nous rendons pas, des milliers de personnes mourront à notre place.
- Et la petite, Zarko, tu as pensé à elle ? »
Il était tellement bouleversé qu’il n’avait pas vraiment pensé à elle.
« - Nous pourrions la laisser à Eloha et…
- Nous ne la verrons même pas grandir ! » La reine éclata en sanglots.
Puis, prenant soudainement conscience qu’elle n’avait pas le choix, elle se ressaisît et leva la tête :
« -Puisque notre destin est scellé… Confions là à Eloha. »
La bonne, qui avait tout entendu derrière la porte de la chambre, sortit, et était visiblement paniquée.
« - Ai-je bien entendu votre Majesté ?
« - Malheureusement oui, Eloha, lui répondit la reine, nous devons nous sacrifier. Pour sauver le peuple. Dans un peu moins de deux heures, ils seront là. Vous devez emmener la princesse et fuir. » Aelyse tentait de garder un air calme, mais le ton dans sa voix indiquait tout le contraire.
Eloha entra dans une immense colère :
« -Je vous protègerai ! Je ne les laisserai pas faire ! Je leur botterai le derrière ! »
« - Eloha, même avec votre bravoure, vous ne pourrez rien faire. Ils ont des armes, ils sont effroyablement forts, et nous qu’avons-nous ? Rien. 500 ans que nous vivons en harmonie. 500 ans brisés par les Autres. Maintenant je vous ordonne de fuir et d’emmener la princesse. Ce sera le dernier ordre que je vous donnerai. »
« - Mais madame, je ne peux pas partir, vous laisser… mourir » A ces mots, Eloha se mit à pleurer.
« - Partez Eloha. Prenez les passages souterrains. Emportez le strict minimum avec vous. Ils ne vous trouveront pas. Ne vous retournez pas et ne revenez pas sur vos pas.
- Bien, madame, répondit la bonne, non sans mal. Puisque je n’ai pas le choix. »
Avant d’appuyer sur la pierre qui ouvrait les tunnels souterrains, Eloha s’arrêta. Elle regarda le petit bébé endormi paisiblement dans ses bras, qui ne se rendait pas compte de ce qui se passait.
« - Je vous protégerai quoi qu’il arrive, Princesse. »
Le château vient de la galerie, juste ici s
Legacy : Zélie Blackflower et sa descendance.
Histoire : La princesse déchue d'Utopia
Et merci pour le lien de la galerie, j'allais justement te demander si tu es le créateur(rice) de ce très beau château !
Chris CréationsSims *** YouTube *** Twitter *** Facebook Chris CréationsSims *** L'UniverSims
@MelaniieOrton La suite peut être demain, on verra hihi
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En tout cas, elle semble avoir une chouette gardienne, qui fera tout pour elle.
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