J'avoue que je ne sais pas trop ce qu'il faut penser de ce mutisme... Gadriel se tait, il médite et réfléchit, aucun doute, mais peut-être que partager ses réflexions serait bénéfique pour tous... Moins inquiétant aussi peut-être.. Enfin, encore plein de questions.
Bien énigmatique ce silence méditatif qui n'est pas sans incidence sur la famille. Il me tarde à moi aussi que Gadriel sorte de son mutisme et qu'il nous raconte quel est son plan
@Isaw C'est surtout qu'il ne faudrait pas qu'il se passe un évènement dramatique entre temps mais ce n'est pas du temps perdu pour autant que comme tu dis. Et tu as raison aussi quand tu dis qu'il ne faudrait pas que ça dure trop longtemps.
@agathe2013 Amandine a ses raisons malheureusement ; tout ce que je peux dire c'est que ce n'était pas réjouissant à l'époque. Quant à la réponse : c'est ça. Vous comprendrez dans la deuxième partie, qui je pense sera en ligne demain ou vendredi au plus tard !
Je constate que notre Gadriel a passé une "bonne" journée. Pendant que la jeune hiérarchie continue probablement à aboyer des ordres à tout va, un certain humain d’un âge avancé a servi de casse-croûte à notre taciturne héros Serait-ce le début du prologue des prémisses du plan ou juste une petite fringale?
Bah alors ça, je ne m'y attendais pas du tout... Jamais je n'aurai imaginé Gadriel se nourrir sur un humain. Finalement on se fait une image parfois fausse des personnages.
Et si la faim était la raison de son mutisme, cela entraîne de nouvelles questions....
@pytisa Je pense que le prochain chapitre dissipera tes angoisses alors faut pas s'en faire pour si peu crois-moi. C'est un petit "cadeau intempestif" du jeu que j'ai choisi d'intégrer à l'histoire parce que ça collait bien ! Quant à savoir pourquoi, il faudra attendre le prochain chapitre, la première partie tout du moins
Je déteste sortir de ma réserve. Je sais que cela arrive de temps en temps mais je ne m’y suis jamais vraiment fait, contrairement à certains de mes congénères qui ne se nourrissent exclusivement de cette façon. Peut-être que c’est parce que je ne veux pas voir en face la bête sanguinaire sortir de sa cage. Pourtant, mainte mises en garde m’avait prévenues que je ne pouvais pas lutter contre ce phénomène et qu’à défaut de vouloir absolument dompter et assagir mon côté bestial, je devais m’y adapter et non lutter contre puisque créature de la nuit j’étais devenu et créature de la nuit je resterai pour l’éternité désormais.
Evidemment, je me suis plié à cette loi pendant des siècles et des siècles – jusqu’à ma rencontre avec les Vatore. Puis à partir de ce moment déterminant pour moi et ma survie en tant qu’individu, j’ai cessé de me nourrir sur tous ces pauvres inconnus, et ce, même partiellement. Puisqu’une alternative existait, je l’ai mise en œuvre. J’ai lutté sans relâche, jusqu’à l’épuisement parfois et tout s’est littéralement effondré il y a deux semaines lorsque j’ai pris pour cible mon pauvre collègue innocent. Tout le monde, absolument tout le monde m’avait prévenu qu’un jour, ma volonté et mes barrières céderaient… personne ne savait quand précisément mais nous savions que ça arriverait – je savais à quels dangers je m’exposais en reléguant ma vraie nature au rang d’animal de compagnie.
J’avais oublié le gout du sang humain. Cela dit, je n’y ai pris aucun plaisir – je ne suis pas dégouté ou écœuré de ma conduite étant donné que c’est ce que je suis au plus profond de moi. Un être perpétuellement assoiffé de sang, humain ou non. J’avais oublié jusqu’à la force qu’il pouvait procurer. Hum… Quelle ironie ! Le sang de substitut continuera à faire l’affaire quoi qu’il advienne mais… je suppose que c’est ce qu’il me fallait, un rappel, un memento. C’est maintenant chose faite. Passons à autre chose, c’est-à-dire Ali pour ce qui nous occupe en ce moment.
En deux semaines toute cette situation m’a donnée matière à réfléchir deux fois plus et cent fois plus vite (les joies du sang humain sur ma personne !) et ce fut utile et bénéfique dans le sens où, je vais imposer d’une manière ou d’une autre mes imperfections et mes faiblesses à Ali. L’idéal serait qu’il accepte d’avoir une discussion posée avec moi – sans quoi retour au statu quo. Le problème, c’est qu’il m’a mis sur un piédestal sans qu’il ne s’en rende compte lui-même. Je le sais parce que j’ai fouillé son inconscient durant ma semaine et demi de mutisme, à la recherche d’une solution pour améliorer notre relation déjà un brin trop conflictuelle.
Je ne peux même pas dire qu’être perçu en héros idéalisé m’a fait plaisir. C’est même plutôt le contraire d’ailleurs… Cela m’a peiné profondément parce que je n’en suis pas un… ou même si j’en étais un, cela n’aurait pas de différence – la seule et unique personne aux yeux de laquelle je voudrais éventuellement passer pour un héros ne me considère plus comme tel, depuis que le jour où aveuglé par ma peur maladive de parent, j’ai failli le décapité à mains nues. Mais à part ça, Dimitri et moi avons une relation père/fils tout à fait normale !... Pour des vampires.
« L’épisode » va-t-on dire, m’a plongé dans un mutisme bien pire que celui-là et si un jour vous croisez Dimitri et qu’il vous dit à quel point je suis un mauvais père, je vous laisse lui donner raison sans chercher à me défendre parce qu’il faut bien dire ce qui est : ce jour fut et restera le pire jour de toute mon existence et pour l’éternité. Quelque chose s’est irrémédiablement brisé cette nuit-là et à moins d’un miracle pour recoller les morceaux, je ne vois pas ce qui pourrait nous aider à aller l’un vers l’autre. Une nouvelle Eloïs, peut-être. Et encore…
Toujours est-il que cet épisode malheureux m’a fait réfléchir et je pense que les répercussions pourraient être bénéfiques pour nous tous. A condition bien sûr que je parvienne à mes fins, en espérant qu’Ali se montre un brin plus coopératif que la dernière fois… On était proche de l’échec cuisant ; j’espère que tout lui raconter m’aidera et me soulagera en tant que parent et également en tant que chef de clan. Cependant, je ne peux pas trop prévoir la réaction qu’il aura – je crois, enfin j’espère qu’il comprendra. Et la seule façon de le savoir…
- Bonsoir Ali.
- Bonsoir… Comment allez-vous aujourd’hui ?
- Bien mieux, je te remercie. As-tu passé une journée agréable ?
- Si pour vous la définition du mot agréable s’apparente à rester assis dans un bureau à remplir des formulaires pour le compte du DGD au milieu de gens tous plus apathiques et sinistres les uns que les autres, alors oui – j’ai passé une journée agréable. Excellente même !... *soupire* cela dit, je suis content que vous ayez retrouvé l’usage de la parole. Au moins, je n’ai plus l’impression d’être encore au bureau.
- Ahem… A ce propos. J’aimerais beaucoup te parler de quelque chose d’important, est-ce que tu as un moment ?
- Je vais finir par croire que vous n’avez que des choses importantes à dire.
- Ali, je t’en prie. C’est important, vraiment. Après quoi je te laisserai tranquille pour de bon.
- Ah, ça c’est vous qui le dites. J’ai comme l’impression que c’est légèrement faux.
- Bon écoute Ali… Je n’ai vraiment pas envie de me mettre en colère…
- Oui, on a bien vu ce que ça a donné…
- Oh je peux te jurer que non mon garçon, que tu n’as encore rien vu !
- Quoiqu’il en soit j’aimerais beaucoup savoir et comprendre ce que je t’ai fait pour que tu refuses de discuter avec moi à ce point… D’autant que pour le coup, c’est moi qui ai des choses à dire donc tu n’aurais pas grand-chose à faire, à part écouter. Et me poser des questions si tu en as évidemment.
- Laissez-moi réfléchir… qu’est-ce que vous m’avez fait pour que je vous déteste autant ? A part me transformer contre mon gré et m’obliger à poursuivre une carrière que je hais profondément… non vraiment je ne vois pas.
- Ali, Ali… Tu sais pertinemment que tout cela est faux ; en tout cas, concernant ta transformation. Je n’ai pas pu te transformer contre ton gré puisque tu étais inconscient. De plus, il me semble t’avoir déjà expliqué mainte fois que je ne voulais pas te transformer mais ta mère m’a imploré de le faire. Quant au ressenti concernant ta carrière professionnelle, je n’ai jamais interdit à personne d’en changer. Si tu as vraiment du mal, rien ne t’empêche d’explorer d’autres horizons.
- C’est facile hein ? De retourner la situation à votre avantage.
- Je ne retourne rien du tout Ali. Tu te bornes à l’image que tu as de moi, c’est tout. Sache que je suis bien plus ouvert que bon nombre d’humains et de vampires… Je n’interdis pas beaucoup de choses – j’espérais que tu t’en serais rendu compte par toi-même…
- Peu importe. Je n’ai pas envie de discuter d’avantage avec vous.
- Comme tu voudras Ali. Mais ce n’est pas en enfonçant ta tête dans un sceau que les choses changeront. En réalité, je crois que tu as peur de te retrouver seul dans une pièce avec moi. Je t’impressionne et je t’intimide plus que je ne te rassure mais tu ne te l’explique pas et tu préfères fuir dans un lieu sauf.
- Vous racontez vraiment n’importe quoi ! Le monde ne tourne pas qu’autour de vous, je suis désolé de vous l’apprendre.
- Oh je le sais bien Ali ! Cependant… n’es-tu pas un peu curieux ?
- Euh. *un blanc* Non ! Surtout si ça vous concerne…
- Si tu le dis mon garçon.
___________________________________________
Un petit coucou en coup de vent !
J'espère que tout le monde va bien. Pour ma part, ça va même si la fatigue se ressent parfois plus que d'autres - mon stage se passe plutôt bien.
Malgré la charge de travail et la fatigue donc, j'ai trouvé quelques minutes pour vous poster la suite des aventures de ma famille surnaturelle préférée. J'espère qu'on ne vous a pas trop manqué et que vous avez suffisamment de quoi tenir jusqu'à la prochaine MàJ niveau question et interrogations.
Sur ce, je prends de nouveau congé de ce sujet pour une durée indéterminée et je m'en retourne à mes lectures complexes et beaucoup, beaucoup moins distrayantes mais le contenu de mon mémoire de stage ne va pas s'écrire tout seul !
Et en attendant, ne vous faites pas trop de noeuds au cerveau mais... un nouveau personnage arrivera dans le prochain chapitre
Hmmmm... Le "faux-pas" de Gadriel ne serait-ce pas du fait qu'il ait communiqué avec son fils et que cela l'aurait légèrement perturbé ?
Et du coup, paf, c'est le collègue détesté qui prend ^^.
Quand à Ali, c'est vraiment une tête de mule, il n'y a pas d'autres mots. Gadriel essaie d'être diplomate et courtois et l'autre le renvoie dans les cordes. De quoi as-t'il peur ? Car je suppose que c'est de la peur pour éviter à ce point de parler avec lui.
Et, oh, chipie ! comment tu nous prolonges le suspens en indiquant qu'il y aura un nouveau personnage
Et, sinon, pour la vie IRL, c'est agréable de savoir que cela se passe bien pour toi. Et bon courage pour le mémoire de stage. Mais faut ce qu'il faut, hein
Réponses
Chris CréationsSims *** YouTube *** Twitter *** Facebook Chris CréationsSims *** L'UniverSims
@agathe2013 Amandine a ses raisons malheureusement ; tout ce que je peux dire c'est que ce n'était pas réjouissant à l'époque. Quant à la réponse : c'est ça. Vous comprendrez dans la deuxième partie, qui je pense sera en ligne demain ou vendredi au plus tard
@sirhc59 Tu n'aurais pas pu mieux résumer
@pytisa A-t-il seulement un plan ?...
Spin-off : Les Boronoff (partie perdue)
Histoires : Le réveil de l'Enchantée
Spin-off : Les Boronoff (partie perdue)
Histoires : Le réveil de l'Enchantée
Spin-off : Les Boronoff (partie perdue)
Histoires : Le réveil de l'Enchantée
Spin-off : Les Boronoff (partie perdue)
Histoires : Le réveil de l'Enchantée
Et don son silence, c'est parce qu'il digérait
Et si la faim était la raison de son mutisme, cela entraîne de nouvelles questions....
Chris CréationsSims *** YouTube *** Twitter *** Facebook Chris CréationsSims *** L'UniverSims
@agathe2013 Ton commentaire est excellent
@sirhc59 Réponse dans le prochain chapitre
Spin-off : Les Boronoff (partie perdue)
Histoires : Le réveil de l'Enchantée
Je déteste sortir de ma réserve. Je sais que cela arrive de temps en temps mais je ne m’y suis jamais vraiment fait, contrairement à certains de mes congénères qui ne se nourrissent exclusivement de cette façon. Peut-être que c’est parce que je ne veux pas voir en face la bête sanguinaire sortir de sa cage. Pourtant, mainte mises en garde m’avait prévenues que je ne pouvais pas lutter contre ce phénomène et qu’à défaut de vouloir absolument dompter et assagir mon côté bestial, je devais m’y adapter et non lutter contre puisque créature de la nuit j’étais devenu et créature de la nuit je resterai pour l’éternité désormais.
Evidemment, je me suis plié à cette loi pendant des siècles et des siècles – jusqu’à ma rencontre avec les Vatore. Puis à partir de ce moment déterminant pour moi et ma survie en tant qu’individu, j’ai cessé de me nourrir sur tous ces pauvres inconnus, et ce, même partiellement. Puisqu’une alternative existait, je l’ai mise en œuvre. J’ai lutté sans relâche, jusqu’à l’épuisement parfois et tout s’est littéralement effondré il y a deux semaines lorsque j’ai pris pour cible mon pauvre collègue innocent. Tout le monde, absolument tout le monde m’avait prévenu qu’un jour, ma volonté et mes barrières céderaient… personne ne savait quand précisément mais nous savions que ça arriverait – je savais à quels dangers je m’exposais en reléguant ma vraie nature au rang d’animal de compagnie.
J’avais oublié le gout du sang humain. Cela dit, je n’y ai pris aucun plaisir – je ne suis pas dégouté ou écœuré de ma conduite étant donné que c’est ce que je suis au plus profond de moi. Un être perpétuellement assoiffé de sang, humain ou non. J’avais oublié jusqu’à la force qu’il pouvait procurer. Hum… Quelle ironie ! Le sang de substitut continuera à faire l’affaire quoi qu’il advienne mais… je suppose que c’est ce qu’il me fallait, un rappel, un memento. C’est maintenant chose faite. Passons à autre chose, c’est-à-dire Ali pour ce qui nous occupe en ce moment.
En deux semaines toute cette situation m’a donnée matière à réfléchir deux fois plus et cent fois plus vite (les joies du sang humain sur ma personne !) et ce fut utile et bénéfique dans le sens où, je vais imposer d’une manière ou d’une autre mes imperfections et mes faiblesses à Ali. L’idéal serait qu’il accepte d’avoir une discussion posée avec moi – sans quoi retour au statu quo. Le problème, c’est qu’il m’a mis sur un piédestal sans qu’il ne s’en rende compte lui-même. Je le sais parce que j’ai fouillé son inconscient durant ma semaine et demi de mutisme, à la recherche d’une solution pour améliorer notre relation déjà un brin trop conflictuelle.
Je ne peux même pas dire qu’être perçu en héros idéalisé m’a fait plaisir. C’est même plutôt le contraire d’ailleurs… Cela m’a peiné profondément parce que je n’en suis pas un… ou même si j’en étais un, cela n’aurait pas de différence – la seule et unique personne aux yeux de laquelle je voudrais éventuellement passer pour un héros ne me considère plus comme tel, depuis que le jour où aveuglé par ma peur maladive de parent, j’ai failli le décapité à mains nues. Mais à part ça, Dimitri et moi avons une relation père/fils tout à fait normale !... Pour des vampires.
« L’épisode » va-t-on dire, m’a plongé dans un mutisme bien pire que celui-là et si un jour vous croisez Dimitri et qu’il vous dit à quel point je suis un mauvais père, je vous laisse lui donner raison sans chercher à me défendre parce qu’il faut bien dire ce qui est : ce jour fut et restera le pire jour de toute mon existence et pour l’éternité. Quelque chose s’est irrémédiablement brisé cette nuit-là et à moins d’un miracle pour recoller les morceaux, je ne vois pas ce qui pourrait nous aider à aller l’un vers l’autre. Une nouvelle Eloïs, peut-être. Et encore…
Toujours est-il que cet épisode malheureux m’a fait réfléchir et je pense que les répercussions pourraient être bénéfiques pour nous tous. A condition bien sûr que je parvienne à mes fins, en espérant qu’Ali se montre un brin plus coopératif que la dernière fois… On était proche de l’échec cuisant ; j’espère que tout lui raconter m’aidera et me soulagera en tant que parent et également en tant que chef de clan. Cependant, je ne peux pas trop prévoir la réaction qu’il aura – je crois, enfin j’espère qu’il comprendra. Et la seule façon de le savoir…
- Bonsoir Ali.
- Bonsoir… Comment allez-vous aujourd’hui ?
- Bien mieux, je te remercie. As-tu passé une journée agréable ?
- Si pour vous la définition du mot agréable s’apparente à rester assis dans un bureau à remplir des formulaires pour le compte du DGD au milieu de gens tous plus apathiques et sinistres les uns que les autres, alors oui – j’ai passé une journée agréable. Excellente même !... *soupire* cela dit, je suis content que vous ayez retrouvé l’usage de la parole. Au moins, je n’ai plus l’impression d’être encore au bureau.
- Ahem… A ce propos. J’aimerais beaucoup te parler de quelque chose d’important, est-ce que tu as un moment ?
- Je vais finir par croire que vous n’avez que des choses importantes à dire.
- Ali, je t’en prie. C’est important, vraiment. Après quoi je te laisserai tranquille pour de bon.
- Ah, ça c’est vous qui le dites. J’ai comme l’impression que c’est légèrement faux.
- Bon écoute Ali… Je n’ai vraiment pas envie de me mettre en colère…
- Oui, on a bien vu ce que ça a donné…
- Oh je peux te jurer que non mon garçon, que tu n’as encore rien vu !
- Quoiqu’il en soit j’aimerais beaucoup savoir et comprendre ce que je t’ai fait pour que tu refuses de discuter avec moi à ce point… D’autant que pour le coup, c’est moi qui ai des choses à dire donc tu n’aurais pas grand-chose à faire, à part écouter. Et me poser des questions si tu en as évidemment.
- Laissez-moi réfléchir… qu’est-ce que vous m’avez fait pour que je vous déteste autant ? A part me transformer contre mon gré et m’obliger à poursuivre une carrière que je hais profondément… non vraiment je ne vois pas.
- Ali, Ali… Tu sais pertinemment que tout cela est faux ; en tout cas, concernant ta transformation. Je n’ai pas pu te transformer contre ton gré puisque tu étais inconscient. De plus, il me semble t’avoir déjà expliqué mainte fois que je ne voulais pas te transformer mais ta mère m’a imploré de le faire. Quant au ressenti concernant ta carrière professionnelle, je n’ai jamais interdit à personne d’en changer. Si tu as vraiment du mal, rien ne t’empêche d’explorer d’autres horizons.
- C’est facile hein ? De retourner la situation à votre avantage.
- Je ne retourne rien du tout Ali. Tu te bornes à l’image que tu as de moi, c’est tout. Sache que je suis bien plus ouvert que bon nombre d’humains et de vampires… Je n’interdis pas beaucoup de choses – j’espérais que tu t’en serais rendu compte par toi-même…
- Peu importe. Je n’ai pas envie de discuter d’avantage avec vous.
- Comme tu voudras Ali. Mais ce n’est pas en enfonçant ta tête dans un sceau que les choses changeront. En réalité, je crois que tu as peur de te retrouver seul dans une pièce avec moi. Je t’impressionne et je t’intimide plus que je ne te rassure mais tu ne te l’explique pas et tu préfères fuir dans un lieu sauf.
- Vous racontez vraiment n’importe quoi ! Le monde ne tourne pas qu’autour de vous, je suis désolé de vous l’apprendre.
- Oh je le sais bien Ali ! Cependant… n’es-tu pas un peu curieux ?
- Euh. *un blanc* Non ! Surtout si ça vous concerne…
- Si tu le dis mon garçon.
___________________________________________
Un petit coucou en coup de vent !
J'espère que tout le monde va bien. Pour ma part, ça va même si la fatigue se ressent parfois plus que d'autres - mon stage se passe plutôt bien.
Malgré la charge de travail et la fatigue donc, j'ai trouvé quelques minutes pour vous poster la suite des aventures de ma famille surnaturelle préférée. J'espère qu'on ne vous a pas trop manqué et que vous avez suffisamment de quoi tenir jusqu'à la prochaine MàJ niveau question et interrogations.
Sur ce, je prends de nouveau congé de ce sujet pour une durée indéterminée et je m'en retourne à mes lectures complexes et beaucoup, beaucoup moins distrayantes mais le contenu de mon mémoire de stage ne va pas s'écrire tout seul
Et en attendant, ne vous faites pas trop de noeuds au cerveau mais... un nouveau personnage arrivera dans le prochain chapitre
A7x.
Spin-off : Les Boronoff (partie perdue)
Histoires : Le réveil de l'Enchantée
Et du coup, paf, c'est le collègue détesté qui prend ^^.
Quand à Ali, c'est vraiment une tête de mule, il n'y a pas d'autres mots. Gadriel essaie d'être diplomate et courtois et l'autre le renvoie dans les cordes. De quoi as-t'il peur ? Car je suppose que c'est de la peur pour éviter à ce point de parler avec lui.
Et, oh, chipie ! comment tu nous prolonges le suspens en indiquant qu'il y aura un nouveau personnage
Et, sinon, pour la vie IRL, c'est agréable de savoir que cela se passe bien pour toi. Et bon courage pour le mémoire de stage. Mais faut ce qu'il faut, hein
A bientôt donc