Pas bête le Dawkins, quel dommage qu'il ait passé l'arme à gauche ^^'
J'l'aime bien ce Rowland, mais il reste quand même un journaliste faut se méfier Même s'il doit avoir besoin d'alliés, bien placés et calés sur les OVNI c'est toujours intéressant ._.
J'adore ! L'article, c'est super bien tourné, on s'y croirait ! Toujours aussi intrigante cette histoire, j'en redemande. J'avais cru lire que tu voulais la mettre en pause, allez dis-moi que c'est pas vrai hein ? ^^
Depuis que les "hommes" en noir ont trouvé l'hôtel où logeaient nos deux amis et rendu fou ce pauvre Mawson, je suis totalement en stress pour Holloway.. Je ne vois pas comment et pourquoi il parviendrait à leur échapper.
Et j'en suis ravie, j'aime être surprise.
Comment??? Que lis-je **mettre en pause cette histoire** bah non nous on veut connaître la suite 2 chapitres à lire c'était chouette (il faut te dire que j'ai une très mauvaise connection donc je ne peux pas toujours lire les histoires que je suis comme je voudrais) Donc je te dis à demain j'espère pour la suite
Ce chapitre se passe dans les bureaux de la Flying Saucers Magazine donc il y aura pas beaucoup d'images.
*************************************
CHAPITRE 7
« Si vous m'accordez votre confiance, jouons cartes sur table. Notre organisme détient quantité d'informations rigoureusement confidentielles émanant de personnes diverses et de V.I.P., même. Informations concernant les O.V.N.I. et leurs activités dans notre pays et ailleurs. Ces renseignements, nous ne les avons jamais rendus publics. Sans l'autorisation formelle de ceux auxquels nous les devons ils resteront top secret.
« Si, donc, vous pensez que je puisse vous être utile dans votre problème, n'hésitez pas à vous confier à moi.
Cette déclaration eut un effet apaisant sur Holloway. Ce fut avec soulagement qu'il prit la décision de parler franchement à son tour :
— Votre perspicacité ne vous a pas trompé, Rowland. Je suis effectivement en mesure de vous faire une révélation sensationnelle conditionnée par votre silence.
Le directeur du W.S.B. fit un signe d'acquiescement et attendit. Holloway se jeta courageusement à l'eau :
— Trois mystérieux individus vêtus de sombre traquent celui ou ceux qui détiennent la preuve matérielle de l'existence et l'origine extra-terrestre des soucoupes volantes !
Il s'arrêta pour juger de l'effet produit par cette affirmation et demeura coi devant l'impassibilité de son interlocuteur. La chose semblait n'offrir pour lui aucun intérêt.
— Je vous écoute, fit-il simplement en l'invitant à poursuivre.
— Mais... Je... Je suis surpris que cette révélation sensationnelle vous laisse aussi froid que si je vous avais dit : belle journée !
— Révélation ? Ce terme ne peut s'appliquer à un fait parfaitement connu depuis 1953, Holloway.
— Quoi ? Vous rigolez ?
— Nullement, mais j'avais oublié que vous ne vous étiez jamais intéressé aux O.V.N.I., auparavant. Sans cela, vous sauriez que depuis l'affaire Bender, en 53, tous les groupes d'études aussi bien que les lecteurs d'ouvrages et de revues ufologiques sont au courant des méfaits des sinistres M.I.B. Ces individus ont terrorisé plus d'un humain que le hasard avait amené à découvrir certains éléments probants quant à l'existence de ces engins venus d'ailleurs
Ces précisions achevèrent d'abasourdir Holloway. Ainsi, ce qu'il considérait comme un redoutable secret n'était en fait qu'un secret de polichinelle ?
— Mais enfin, c'est insensé ! finit-il par s'écrier. Si de simples lecteurs d'ouvrages ou de revues connaissent l'existence de ces hommes et des méfaits qui leur sont imputés, les autorités ne l'ignorent pas davantage ! Qu'attendent-elles, alors, pour agir et traquer à leur tour ces... Chasseurs d'Hommes ?
Un sourire désabusé erra sur les lèvres de Stanley Rowland :
— Les autorités ! Nous ne savons pas exactement quel jeu elles jouent ; mais nous les croyons certainement incapables de la moindre action répressive et efficace contre ces bonshommes-là. Car enfin, nul n'a pu — ou voulu — fournir une indication précise, un indice valable, permettant de retrouver la trace de ces individus. Chaque fois, le sinistre trio disparaît après avoir plongé dans la terreur les pauvres types qui ont découvert le secret des O.V.N.I. ou obtenu une preuve tangible de leur origine extra-terrestre.
— Mais, alors... Si vous, Rowland, ou l'un de vos enquêteurs, étiez amené à percer ce secret ou à obtenir cette preuve, croyez-vous que vous recevriez la visite de ces hommes ?
— Sans en avoir la certitude, nous pensons que dans cette éventualité nous recevions effectivement leur visite.
La gorge sèche, Ronald Holloway articula :
— Vous pensez qu'il n'y aurait rien à faire pour leur échapper ?
Rowland marqua une imperceptible hésitation que son visiteur s'efforça d'interpréter en faveur d'une possibilité d'échapper à ces mystérieux individus. Mais la réponse de Rowland lui ôta cet espoir.
— Pensez-vous qu'un type déguisé en Arlequin passerait inaperçu dans un convoi funèbre ? Non, n'est-ce pas ? Eh bien, pour ces sinistres bonshommes, celui qui détient la fameuse preuve semble être aussi facilement repérable qu'un Arlequin dans un enterrement ! Nous ne savons pas comment ils opèrent mais, parmi les centaines de milliers ou les millions d'habitants d'une ville, ils savent immanquablement — parfois en un jour ou deux, parfois même en quelques heures — que telle ou telle personne vient d'obtenir ladite preuve ou la clé du problème O.V.N.I. Cela paraît diabolique et, pourtant, c'est ainsi. Il existe plus d'un précédent, vous savez, qui nous permet de l'affirmer.
« Seul Bender, en 1953, avait commis l'imprudence d'annoncer à l'avance son intention de révéler le secret qu'il avait découvert. Mais n'eût-il rien dit de son intention de « parler » qu'il n'en aurait pas moins reçu la visite des Hommes en Noir. Certains événements ultérieurs nous le prouvent qui concernent des gens ayant eu leur visite sans qu'au préalable ils n'aient confié à personne le secret de leur découverte.
— Bender ? Vous avez déjà cité ce nom, je crois. De qui s'agit-il ?
— Albert K. Bender, en 1952, fonda l'International Flying Saucers Bureau, organisme d'enquêtes privé analogue au nôtre et publiant une revue trimestrielle : Space Review. Dans son numéro de juillet 1953, Bender annonçait à ses lecteurs un prochain article sensationnel concernant la solution du problème des soucoupes volantes. Cet article ne fut jamais publié. Néanmoins, dans Space Review d'octobre 1953 parut un communiqué passablement surprenant. Selon ce communiqué, l'International Flying Saucers Bureau allait être complètement « réorganisé » et n'aurait désormais plus rien à voir avec les soucoupes volantes !
« Un autre communiqué annonçait en outre que le mystère des soucoupes volantes ne sera plus longtemps encore un mystère. Leur origine est d'ores et déjà connue, cependant, toute information relative à cette question doit être dissimulée par « ordre supérieur ». Nous aimerions publier intégralement dans Space Review les détails de cette information, mais nous avons été avisés de n'en rien faire. Nous conseillons notamment à ceux qui se sont engagés dans l'étude des soucoupes volantes d'être très prudents.
« L'international Flying Saucers Bureau fut tellement bien « réorganisé par ordre supérieur » qu'il cessa toute activité et fut dissous ! En effet, Albert K. Bender reçut un jour la visite de ces trois hommes mystérieux qui, vraisemblablement, lui apportèrent des preuves complémentaires venant confirmer ses propres découvertes, cela pour le convaincre d'emblée qu'il ne s'agissait pas d'une mystification de leur part. Ces trois hommes — vêtus de noir, se borna à préciser Bender — lui ordonnèrent alors d'abandonner définitivement le problème des « Objets Volants — dits
— Non Identifiés ». A la suite de leur visite, il fut durant trois jours victime d'une sorte de choc nerveux ou psychologique et ne put absorber aucun aliment. Depuis lors, il renonça à s'occuper de tout ce qui a trait aux disques volants !
« Nul, à part Bender, ne sait exactement qui sont ces hommes pas plus que l'on ne sait ce que furent les preuves complémentaires présentées par eux. Mais à en juger par les effets qu'elles produisirent sur Bender, nous pouvons imaginer qu'elles furent effarantes, hallucinantes même !
Toutes ces précisions jetèrent Holloway dans la consternation et firent croître son inquiétude. Des images confuses naissaient fugitivement dans son esprit tourmenté : des yeux l'épiaient ; des silhouettes sombres l'espionnaient ; des êtres réels mais insaisissables s'apprêtaient à exercer sur lui leur impitoyable tyrannie pour le contraindre au silence.
Emu de constater l'état de trouble dans lequel son récit l'avait plongé, Stanley Rowland sortit d'un double tiroir de son bureau aménagé en bar une bouteille de William Lawson's et fit le service
Holloway but une gorgée de whisky et reposa lentement son verre sur le petit plateau chromé.
— Vous dites que l'affaire Bender n'est pas unique ? Il y a eu d'autres cas de ce genre ?
— Oui, en France, en Australie, en Nouvelle-Zélande et dans un pays proche du nôtre... Mais, se peut-il que mes paroles vous aient touché à ce point, Holloway ?
— Ce ne sont pas vos paroles en elles-mêmes, Rowland, qui me plongent dans cette anxiété. C'est le fait d'apprendre... ou d'obtenir confirmation que rien, absolument rien ne peut être tenté efficacement pour échapper aux... Chasseurs d'Hommes.
— Je sais, cela est terriblement inquiétant, mais...
Il n'acheva pas et, mal à l'aise soudain devant une idée qui venait de germer dans son esprit, il questionna vivement :
— Dites, Holloway, seriez-vous par hasard... ?
— Oui, je suis traqué par les Chasseurs d'Hommes !
— Bonté divine ! s'exclama l'autre en pâlissant.
Si j'ai bien compris, personne n'a jamais pu échapper à la traque des chasseurs d'hommes et Holloway les a à ses trousses
Croisons les doigts pour qu'il ne finisse pas comme Mawson et qu'il trouve une protection efficace contre ces MIB , peut-être avec l'aide de... Bender ?
Je crois que dire qu'il est mal barré seraient un euphémisme
En plus c'est pas un fait isolé, enfin peut-être que y'a au moins une personne qui s'est remise au moins partiellement du choc et qu'il pourrait allé voir pour obtenir des informations ? ^^'
Ah il ne s'attendait pas à ça le pauvre ... Tout ce qu'il vient de vivre ces dernières heures c'est du pipi de chat à côté de ce qui l'attend maintenant, fini de dormir sur ses deux oreilles enfin je dis mais je ne dis rien hein après tout c'est pas moi qui écrit lol Très bon chapitre
Réponses
J'l'aime bien ce Rowland, mais il reste quand même un journaliste faut se méfier Même s'il doit avoir besoin d'alliés, bien placés et calés sur les OVNI c'est toujours intéressant ._.
~ Histoires ~
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Mais ne serait-il aussi surveillé ? J'ai peur pour Holloway
Un Random Legacy : L'esprit Libre
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« Si vous m'accordez votre confiance, jouons cartes sur table. Notre organisme détient quantité d'informations rigoureusement confidentielles émanant de personnes diverses et de V.I.P., même. Informations concernant les O.V.N.I. et leurs activités dans notre pays et ailleurs. Ces renseignements, nous ne les avons jamais rendus publics. Sans l'autorisation formelle de ceux auxquels nous les devons ils resteront top secret.
« Si, donc, vous pensez que je puisse vous être utile dans votre problème, n'hésitez pas à vous confier à moi.
Cette déclaration eut un effet apaisant sur Holloway. Ce fut avec soulagement qu'il prit la décision de parler franchement à son tour :
— Votre perspicacité ne vous a pas trompé, Rowland. Je suis effectivement en mesure de vous faire une révélation sensationnelle conditionnée par votre silence.
Le directeur du W.S.B. fit un signe d'acquiescement et attendit. Holloway se jeta courageusement à l'eau :
— Trois mystérieux individus vêtus de sombre traquent celui ou ceux qui détiennent la preuve matérielle de l'existence et l'origine extra-terrestre des soucoupes volantes !
Il s'arrêta pour juger de l'effet produit par cette affirmation et demeura coi devant l'impassibilité de son interlocuteur. La chose semblait n'offrir pour lui aucun intérêt.
— Je vous écoute, fit-il simplement en l'invitant à poursuivre.
— Mais... Je... Je suis surpris que cette révélation sensationnelle vous laisse aussi froid que si je vous avais dit : belle journée !
— Révélation ? Ce terme ne peut s'appliquer à un fait parfaitement connu depuis 1953, Holloway.
— Quoi ? Vous rigolez ?
— Nullement, mais j'avais oublié que vous ne vous étiez jamais intéressé aux O.V.N.I., auparavant. Sans cela, vous sauriez que depuis l'affaire Bender, en 53, tous les groupes d'études aussi bien que les lecteurs d'ouvrages et de revues ufologiques sont au courant des méfaits des sinistres M.I.B. Ces individus ont terrorisé plus d'un humain que le hasard avait amené à découvrir certains éléments probants quant à l'existence de ces engins venus d'ailleurs
Ces précisions achevèrent d'abasourdir Holloway. Ainsi, ce qu'il considérait comme un redoutable secret n'était en fait qu'un secret de polichinelle ?
— Mais enfin, c'est insensé ! finit-il par s'écrier. Si de simples lecteurs d'ouvrages ou de revues connaissent l'existence de ces hommes et des méfaits qui leur sont imputés, les autorités ne l'ignorent pas davantage ! Qu'attendent-elles, alors, pour agir et traquer à leur tour ces... Chasseurs d'Hommes ?
Un sourire désabusé erra sur les lèvres de Stanley Rowland :
— Les autorités ! Nous ne savons pas exactement quel jeu elles jouent ; mais nous les croyons certainement incapables de la moindre action répressive et efficace contre ces bonshommes-là. Car enfin, nul n'a pu — ou voulu — fournir une indication précise, un indice valable, permettant de retrouver la trace de ces individus. Chaque fois, le sinistre trio disparaît après avoir plongé dans la terreur les pauvres types qui ont découvert le secret des O.V.N.I. ou obtenu une preuve tangible de leur origine extra-terrestre.
— Mais, alors... Si vous, Rowland, ou l'un de vos enquêteurs, étiez amené à percer ce secret ou à obtenir cette preuve, croyez-vous que vous recevriez la visite de ces hommes ?
— Sans en avoir la certitude, nous pensons que dans cette éventualité nous recevions effectivement leur visite.
La gorge sèche, Ronald Holloway articula :
— Vous pensez qu'il n'y aurait rien à faire pour leur échapper ?
Rowland marqua une imperceptible hésitation que son visiteur s'efforça d'interpréter en faveur d'une possibilité d'échapper à ces mystérieux individus. Mais la réponse de Rowland lui ôta cet espoir.
— Pensez-vous qu'un type déguisé en Arlequin passerait inaperçu dans un convoi funèbre ? Non, n'est-ce pas ? Eh bien, pour ces sinistres bonshommes, celui qui détient la fameuse preuve semble être aussi facilement repérable qu'un Arlequin dans un enterrement ! Nous ne savons pas comment ils opèrent mais, parmi les centaines de milliers ou les millions d'habitants d'une ville, ils savent immanquablement — parfois en un jour ou deux, parfois même en quelques heures — que telle ou telle personne vient d'obtenir ladite preuve ou la clé du problème O.V.N.I. Cela paraît diabolique et, pourtant, c'est ainsi. Il existe plus d'un précédent, vous savez, qui nous permet de l'affirmer.
« Seul Bender, en 1953, avait commis l'imprudence d'annoncer à l'avance son intention de révéler le secret qu'il avait découvert. Mais n'eût-il rien dit de son intention de « parler » qu'il n'en aurait pas moins reçu la visite des Hommes en Noir. Certains événements ultérieurs nous le prouvent qui concernent des gens ayant eu leur visite sans qu'au préalable ils n'aient confié à personne le secret de leur découverte.
— Bender ? Vous avez déjà cité ce nom, je crois. De qui s'agit-il ?
— Albert K. Bender, en 1952, fonda l'International Flying Saucers Bureau, organisme d'enquêtes privé analogue au nôtre et publiant une revue trimestrielle : Space Review. Dans son numéro de juillet 1953, Bender annonçait à ses lecteurs un prochain article sensationnel concernant la solution du problème des soucoupes volantes. Cet article ne fut jamais publié. Néanmoins, dans Space Review d'octobre 1953 parut un communiqué passablement surprenant. Selon ce communiqué, l'International Flying Saucers Bureau allait être complètement « réorganisé » et n'aurait désormais plus rien à voir avec les soucoupes volantes !
« Un autre communiqué annonçait en outre que le mystère des soucoupes volantes ne sera plus longtemps encore un mystère. Leur origine est d'ores et déjà connue, cependant, toute information relative à cette question doit être dissimulée par « ordre supérieur ». Nous aimerions publier intégralement dans Space Review les détails de cette information, mais nous avons été avisés de n'en rien faire. Nous conseillons notamment à ceux qui se sont engagés dans l'étude des soucoupes volantes d'être très prudents.
« L'international Flying Saucers Bureau fut tellement bien « réorganisé par ordre supérieur » qu'il cessa toute activité et fut dissous ! En effet, Albert K. Bender reçut un jour la visite de ces trois hommes mystérieux qui, vraisemblablement, lui apportèrent des preuves complémentaires venant confirmer ses propres découvertes, cela pour le convaincre d'emblée qu'il ne s'agissait pas d'une mystification de leur part. Ces trois hommes — vêtus de noir, se borna à préciser Bender — lui ordonnèrent alors d'abandonner définitivement le problème des « Objets Volants — dits
— Non Identifiés ». A la suite de leur visite, il fut durant trois jours victime d'une sorte de choc nerveux ou psychologique et ne put absorber aucun aliment. Depuis lors, il renonça à s'occuper de tout ce qui a trait aux disques volants !
« Nul, à part Bender, ne sait exactement qui sont ces hommes pas plus que l'on ne sait ce que furent les preuves complémentaires présentées par eux. Mais à en juger par les effets qu'elles produisirent sur Bender, nous pouvons imaginer qu'elles furent effarantes, hallucinantes même !
Toutes ces précisions jetèrent Holloway dans la consternation et firent croître son inquiétude. Des images confuses naissaient fugitivement dans son esprit tourmenté : des yeux l'épiaient ; des silhouettes sombres l'espionnaient ; des êtres réels mais insaisissables s'apprêtaient à exercer sur lui leur impitoyable tyrannie pour le contraindre au silence.
Emu de constater l'état de trouble dans lequel son récit l'avait plongé, Stanley Rowland sortit d'un double tiroir de son bureau aménagé en bar une bouteille de William Lawson's et fit le service
Holloway but une gorgée de whisky et reposa lentement son verre sur le petit plateau chromé.
— Vous dites que l'affaire Bender n'est pas unique ? Il y a eu d'autres cas de ce genre ?
— Oui, en France, en Australie, en Nouvelle-Zélande et dans un pays proche du nôtre... Mais, se peut-il que mes paroles vous aient touché à ce point, Holloway ?
— Ce ne sont pas vos paroles en elles-mêmes, Rowland, qui me plongent dans cette anxiété. C'est le fait d'apprendre... ou d'obtenir confirmation que rien, absolument rien ne peut être tenté efficacement pour échapper aux... Chasseurs d'Hommes.
— Je sais, cela est terriblement inquiétant, mais...
Il n'acheva pas et, mal à l'aise soudain devant une idée qui venait de germer dans son esprit, il questionna vivement :
— Dites, Holloway, seriez-vous par hasard... ?
— Oui, je suis traqué par les Chasseurs d'Hommes !
— Bonté divine ! s'exclama l'autre en pâlissant.
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Croisons les doigts pour qu'il ne finisse pas comme Mawson et qu'il trouve une protection efficace contre ces MIB , peut-être avec l'aide de... Bender ?
En plus c'est pas un fait isolé, enfin peut-être que y'a au moins une personne qui s'est remise au moins partiellement du choc et qu'il pourrait allé voir pour obtenir des informations ? ^^'
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