Bon nei je voulais tout rattrapper mais je dois avoir une vie sociale on me dit dans le salon et je suis super peinée pour Cassandre. Je m'arrête après son retour en fantôme? Je dévore la suite dès que j'ai mis tout le monde au lit
Je sais pas pourquoi, mais je trouve ça un peu glauque l'idée du clone... mais bon, sans ça, comment tout le monde pourrait être heureux chez les Zorei ?
"J'aurais voulu vivre au pays des Bisounours pour toujours, mais ils m'ont virée quand j'ai fait mon premier commentaire sarcastique."
Je passe par là pour vous dire que je serais pas là d'un petit moment (fête de 10 ans de mariage d'une cousine ) et que, comme je vais pas avoir mon ordi, ben y'aura pas de Sims et pas de MàJ.
MAIS !
J'ai déjà 200 photos d'avance, donc deux MàJ arriveront le plus tôt possible, plus le joli Hors Sujet que vous attendez impatiemment
Je vous fais plein de bisous.
Saku.
Legacy en cours : La famille Zoreï
Origin ID : Sakura5192 Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Mais contrairement à ce qu'on avait voulu de moi, avec mon nom de noblesse, j'avais pu épouser l'homme que j'aimais, Timothé Zoreï, l'un des jumeaux de Camélia et Arthur Perrin, le père de ma demi-soeur. Si seulement cet homme avait fait plus attention à ses maîtresses, jamais l'arbre de la famille n'aurait été si difficile à comprendre.
Moi qui était triste dans mon enfance, à présent j'étais sur un nuage. J'étais moi-même, fille de Kai et Sélina Gothik, sans les conséquences de ce nom porteur de malheur et de prestige.
Jamais je ne regretterais d'avoir refusé l'héritage familial.
J'avais une belle maison, mes parents m'ayant tout de même laissé de belles ressources, et, par chance, elle était voisine de la maison de mon aieule, Sonia Gothik, alors encore Galantome, dont ma demi-soeur Elodie avait hérité.
Je vivais toujours de mes compositions, derrière mon piano.
La musique était toute ma vie.
Ou presque.
J'avais donné naissance à une fille, ma petite Clémentine.
Elle avait aussi hérité du goût pour la musique en m'écoutant jouer, et je me faisais une joie de lui transmettre mon savoir.
J'étais heureuse qu'elle n'aie pas eu à subir l'influence noble de notre famille.
Je l'avais protégée.
___________________
Elodie Gothik-Perrin
Après le refus du "trône" par Sarah, c'est vers moi que s'est tournée maman. J'ai du fuir la Villa Ophélia, pour ne jamais y remettre les pieds. Jamais je ne voudrais être à la tête du royaume des Gothik, malgré l'estime que je porte à mes ancêtres.
Mes épaules n'étaient pas assez larges, même depuis que j'étais mariée à mon tour. Adrien et moi nous étions rencontrés lors d'un concert du groupe de rock/métal dont il était le batteur, son père guitariste et sa tante violoniste. Fêtarde que j'étais alors, nous étions faits pour être ensemble.
Ce soir-là de notre rencontre avait scellé nos vies à jamais. Je tombais enceinte. Et mon Quentin vit le jour.
J'héritais de la maison Galantome, laissée à l'abandon depuis la mort du frère aîné de Sonia Gothik qui n'avait pas eu d'héritier.
Pour mon fils, j'étais heureuse de ne pas avoir accepté de reprendre le flambeau de ma mère.
J'espérais aussi, secrètement, que mon frère Samuel ne prendrait pas sa place. Il était bien plus indigne que ma mère d'y être, et ce n'était pas peu dire. Pour moi, ma mère avait jeté le déshonneur sur la lignée des Gothik.
Mais Samuel avait fait bien pire en épousant une Plénozas.
Jamais le Conseil ne le laissera prendre la suite. Restait à savoir...
Qui ils choisiraient pour succéder à la tête de la famille.
___________________
Maëlys Plénozas
Samuel m'avait donné des jumeaux, Edouard Plénozas Junior, et Artémys Plénozas.
J'étais fière d'eux. Ils avaient tout pris de moi.
Le Conseil avait été réuni pour décider de QUI prendrait la tête de la famille Gothik après le refus de Sarah Gothik. Bien entendu, les regards s'étaient tournés vers la soeur aînée bâ.tarde de celle-ci, Elodie Gothik-Perrin, qui refusa elle aussi. La séance fut levée avant qu'on eut le temps d'énoncer la possibilité de l'héritage par mon époux. A peine étions nous rentrés chez nous que j'entamais déjà les négociations en vue du prochain conseil.
Samuel me laissait gérer. Lui aussi voulait cette place plus que quiconque, et il savait que j'étais la mieux placée pour faire jouer nos relations.
"Je suis profondément navré, Madame Plénozas, mais vos amis et connaissances ne pourront faire plier le Conseil à vos désirs.
- Il doit y avoir une erreur, très cher, je suis l'épouse de Samuel Gothik-Plénozas.
- Dans ce cas il n'y a aucune erreur, Madame, votre époux ne peut être nommé héritier de la famille Gothik. Nous en reparlerons au prochain conseil demain. Mes respects, Madame. *biiiiiiip* biiiiiiiiiiiip*"
"Ne peut être nommé héritier"... Mais que-ce que c'est que cette histoire ?
Ils ont pourtant pensé à Elodie, toute aussi b.âtarde Gothik que Samuel, en quoi lui aurait moins de chances d'être nommé qu'elle ??
A moins que...
A moins que notre mariage ne fasse obstacle à cet héritage...
Ou qu'ils piochent dans une autre branche de la famille Gothik !
Je le savais...Sandra aussi a eu des enfants...
Bon Dieu ! Mais sa descendance a quitté la ville depuis des lustres, on a pas la moindre idée de qui ils sont !!
Mais qui...Qui ?
Je ne dormis pas, ou très peu, et fus réveillée aux aurores par une visite.
Qui osait déranger les honnêtes gens à des heures pareilles de la matinée...?
"Alexandra Zoreï ! Toi ici, quelle surprise ! Je vois que dans ta famille on ne fait pas très attention à la politesse et aux horaires de visite !
- Descends de tes grands chevaux, Maëlys, tout le monde en ville sait que tu as épousé mon demi-frère et cousin pour asseoir ton popotin dans ta robe de soie sur le trône des Gothik un jour !
Et tout le monde sait que JAMAIS tu n'y arriveras !
- Ah oui...et c'est la torcheuse de vaches qui OSE me dire ça ? Tu vas voir, Zoreï !"
"Torcheuse de vaches, peut-être, Maëlys, mais je suis la mieux placée pour prendre ta place sur celui des Plénozas !
- Ne me fais pas rire ! Toi ! Une Plénozas ! Tu n'as ni le rang, ni la cupidité, ni l'astuce pour atteindre notre famille.
- Ah oui, c'est vrai que ton père ne t'as sans doute pas mise au courant de la naissance de nos jumelles, Cindy, et Emma.
- QUOI ?? c'était ça ta combine ?? Te faire engrosser par mon père pour légitimer ton c.ul sur mon siège ??
- Je n'ai que faire du siège où mon "c.ul" se posera, au moins j'assure la place de mes filles !
- Je ferais tomber tes filles, comme je ferais tomber toute personne m'empêchant d'atteindre le trône des Gothik !"
"Mais je compte bien te régler ton compte personnellement, Alexandra !"
"Tu réfléchiras à deux fois avant de faire leur place à tes gamines !
Maintenant disparaît !"
Alexandra quitta ma propriété, je la suivis des yeux, puis je vis Cassie Zoreï, l'héritière de la branche principale.
A mon approche, elle échangea un regard avec Désirée, une autre membre de sa famille de pecnots.
"Toi ! C'est toi et ta famille de dégénérés qui avaient pourri ma vie !
- Maëlys ? Mais...je ne vois pas de quoi tu parles, jamais ma famille ne s'est mêlé de tes affaires...
- Ne te fiche pas de moi !! Alexandra fait bel et bien partie de ta famille !
- Mais...nous l'avons reniée...
Qu-que s'est-il passé avec elle...? murmura-t-elle.
- Il s'est passé qu'elle s'est faite mettre enceinte par mon père pour avoir la place de ma mère dans la famille !!
- M-mais, ne devrais-tu pas en parler à ton père ? Il est tout aussi fautif, non ?"
La Zoreï marquait un point. Elle s'excusa du malheur que sa lointaine cousine me causait, et rentra chez elle.
De mon côté, je commandais la limousine et me rendis au Domaine.
Mon père m'accueuillit.
"Alors, Père, on m'empêche d'atteindre la tête de la famille ?
- Ma chérie, je ne vois pas de quoi tu parles...
- Ne jouez pas à ça avec moi ! VOUS avez mis votre précieuse Alexandra enceinte, et à présent elle va mettre ses filles à ma place !
- Ses ? Des jumelles...
- Père !
- Maëlys ça suffit ! Tout le Domaine devait t'être légué, jamais je n'ai compté changer mon testament !"
Cette remarque me fit perdre mon aplomb un moment, mais je le retrouvais en répliquant.
"Dans ce cas seriez-vous le responsable du fait que jamais mon époux n'héritera des Gothik ?
- En effet, Gothik et Plénozas ne se mélangent pas, je ne sais pas quelle idée t'a prise pour penser qu'un jour unir les deux puissants de la ville serait possible !
- Voilà qui me rassure...
- De quoi parles-tu ?
- A ton âge...les accidents arrivent vite, n'est-ce pas ? Père..."
Il fut parcouru d'un frisson.
J'entrais dans la maison, fière et victorieuse.
Je trouvais ma mère dans la salle à manger. Je la tenais aussi pour responsable de mon actuelle déchéance. Si elle avait su combler mon père jamais Alexandra n'aurait perturbé le cours de ma vie.
"Tu as gâché ma vie, Mère !
"Par ta faute, père est allé voir ailleurs, et sa maîtresse a porté ses enfants !
Bon Dieu ! Mais pourquoi ne dis-tu rien !!!
- Je suis désolée, Maëlys..."
"Oh, tu peux l'être ! Je te déteste !"
"Comment père a-t-il pu vouloir de toi...
- Je taisais ses combines douteuses...
-Te taire, et subir...C'est bien les seules choses dont tu es capable !"
A cet instant, Prys Plénozas souhaita mourir. Une bonne raison, une seule, et elle se ferait une joie de rejoindre ses ancêtres...
Elle ferait ses valises, et irait mourir chez elle, à Atlantys. Maëlys ne vit que la faiblesse de sa mère, jamais elle n'aurait soupçonné le courage qu'il fallait pour tenir encore debout après cette avalanche de haine sur la figure.
Croyant sa victoire acquise par le projet imminent d'assassinat de ses parents, Maëlys savourait cet instant voué à disparaître.
"Ne peut être nommé héritier"... Mais que-ce que c'est que cette histoire ?
Ils ont pourtant pensé à Elodie, toute aussi b.âtarde Gothik que Samuel, en quoi lui aurait moins de chances d'être nommé qu'elle ??
A moins que...
A moins que notre mariage ne fasse obstacle à cet héritage...
Ou qu'ils piochent dans une autre branche de la famille Gothik !
Je le savais...Sandra aussi a eu des enfants...
Bon Dieu ! Mais sa descendance a quitté la ville depuis des lustres, on a pas la moindre idée de qui ils sont !!
Mais qui...Qui ?
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Sélina Gothik
Nous avions perdu la maison. Elle serait aux héritiers, quels qu'ils soient.
Kai me rassura. Au moins, l'honneur de la famille sera sauf, et on oubliera mes erreurs.
Je pourrais peut-être retrouver ma place dans la famille Zoreï, que j'avais longtemps reniée, préférant l'ascendance de ma mère, Samantha.
J'avais du...énormément la décevoir.
J'espérais avoir rétabli mon karma en épousant Kai, devenu médecin renommé par la suite, et moi à la tête de la police. C'était là qu'était ma place, je n'avais pas été faite pour hériter cette place. J'étais seulement l'enfant unique.
Je n'en voulais pas à mes filles, je les comprenais, et je regrettais cette vie tranquille que j'aurais pu avoir si j'avais osé refuser moi-aussi.
Je savais qu'Edouard Plénozas faisait pression pour que Samuel n'hérite pas. Et, une fois n'étant pas coutume, j'étais d'accord avec lui, et je mettrais des bâtons dans les roues pour ne pas mettre Maëlys sur le trône. Cette enfant me faisait froid dans le dos.
Le plus froide et vénale de la famille Plénozas. Edouard lui-même la craint.
C'est dire.
______________________
Un mois plus tard, à la Villa Ophélia...
Sonia Zoreï
C'était étrange de vivre ici. J'avais grandi à Montsimpa, descendance directe et illégitime de la grande Sonia Gothik.
Elle avait trompé son mari avec Alexis Perrin avec lequel elle eu de nombreux enfants à la mort de Vladimir. Sa fille unique, Lucie Gothik-Perrin, était, comme les autres, demi-soeur d'Arthur Perrin, le mari de Camélia Zoreï.
Lucie, ma grand-mère, donc, épousa un homme plus vieux qu'elle, Lucas Zoreï, fils de Louis, lui-même enfant de Camille Zoreï. Ils eurent deux enfants, Maximilien, et Gwendoline, ma mère. Nous vivions dans cette ville, à l'époque, mais trop près de la famille Gothik "officielle" pour les goûts de ma mère. Elle n'avait pas porté Sélina dans son coeur, et souhaitait que nous reprenions la famille. On déménagea durant ma petite enfance à Montsimpa, où nous avions racheté la maison familiale.
C'est là-bas qu'on reçut la lettre nous rappelant ici, car l'héritière de la famille ne voulait pas de sa place, ni son aînée du mariage précédent de Sélina, ni du fils qui s'était marié à une Plénozas, ce qui l'éliminait d'office.
On acheta une nouvelle maison ici, pour éclaircir la situation. Ma mère accepta l'héritage et les responsabilités, que j'endosserais à sa mort.
J'étais marié à Nathan, un homme simple et gentil, comme on pouvait s'y attendre d'un homme de la famille Zoreï, issu d'une autre branche, lointaine, celle de Mélissa, fille de Camille.
J'avais déjà mes deux filles, Scarlet, et Swann, reprenant la tradition familiale de nommer les filles d'un prénom en "S", instaurée depuis Sonia.
Au fond, nous n'avions aucun sang "Gothik" mais celui de la famille Galantome, par Sonia, mais le Conseil avait jugé que depuis l'union Sonia-Vladimir, le sang des Galantome issu de Sonia était tout aussi noble.
Ma fille Swann. Elle ressemblait plus à son père.
Contrairement à moi qui avait beaucoup pris de Sonia.
Je l'aimais néanmoins de tout mon coeur et la considérais tout aussi apte à me succéder que sa jumelle.
Scarlet était mon portrait, avec les yeux bleus de Nathan.
Elle admirait la beauté de notre aïeule depuis sa plus tendre enfance, et elle souhaitait marcher dans ses pas, sauf ceux de l'adultère qui avait formé notre branche.
Depuis que maman m'avait laissé hériter à sa place, je craignais pour notre famille.
Mes princesses ne méritaient pas qu'on s'en prenne à elles.
"Mes chéries, je dois vous parler maintenant qu'on vit ici...
- Tu fais peur, maman...
- Swann, chérie, s'il te plait, c'est très sérieux...
- Maintenant que nous sommes officiellement de la famille Gothik, malgré tout...
- On sait ça, uniquement parce que le dernière héritier potentiel de la famille s'est marié à une Plénozas...
- Swann...souffla Scarlet.
- Oups.
- Justement parce que cette Plénozas voulait la tête des Gothik il n'a pas pu hériter, et le Conseil a préféré la branche bâtarde issue de Sonia à lui. Vous serez en danger, les filles.
"Mais...qui nous veut du mal, maman ?
- Cette Maëlys Plénozas.
- Plénozas ? Mais, ils ont la main-mise sur la mafia, même si aucun juge n'a réussi à les faire tomber, non ? fit Swann.
- C'est horrible...on va mourir...
Maman...tu...tu crois pas qu'on devrait refuser, nous aussi ?
- Ça va pas ? Si cette Plénozas s'avise à ESSAYER de nous faire du mal...grrrr !
- Swann, c'est pas une blague, souffla Scarlet.
- Nan, mais je sais ! C'est bien pour ça ! Elle touchera pas à la maison de Grand-Mamie-Sonia ! Pas plus qu'à maman, papa, ou toi, frangine ! Elle va voir que quand je m'énerve..."
Elle marqua une pause.
"Z'ont pas de chiens de garde au moins, hein ?
- Personne ne peut avoir de chien de garde ici, c'est illégal.
- Ah bah tant mieux ! Parce que j'ai troooop la peur des chiens !
- T'en as jamais vu...
- Nan, mais à la télé...
- C'est les loups-garous ça...
- Z'ont des loups-garous de garde ?
- Swann...tu te perds là...
- Pardon. Je disais quoi ?
- Euh...défoncer la tête ? quelque chose comme ça ?"
"Ah oui ! donc, si elle s'en prend à nous, moi je lui défonce la tête. Voilà."
Scarlet me regarda d'un air amusé. Swann avait une imagination débordante.
"T'inquiète, Swann...je ferais pareil si elle ose s'en prendre à toi." dit Scarlet.
Je regardais mes filles, mes princesses, et finalement, je décidai de leur faire confiance. Elles sauraient quoi faire, si Maëlys frappait.
Encore fallait-il qu'elle parvienne à garder l'héritage des Plénozas, dont on murmurait partout qu'il allait, bientôt...lui échapper.
___________________________
Alexandra Zoreï
La famille Gothik avait retrouvé un visage en la personne de Sonia Zoreï. Maëlys n'allait pas tarder à repasser à l'attaque sur le front Plénozas.
Je l'attendrais de pied ferme, me battant avec ses armes, le seul moyen de faire tomber les Plénozas.
Mes filles, Emma, la brune, et Cindy, la blonde, attendaient impatiemment de rencontrer leur père pour la première fois.
"Maman, il arrive bientôt papa ?
- Dans quelques minutes, il a prit un jour de congé pour venir vous voir, mes chéries.
Cindy ? où vas-tu ?
- Je vais jouer, tu m'appelles quand il arrive, m'man !"
Malheureusement, Cindy avait hérité de la même forte-tête que sa demi-soeur Maëlys...
Edouard arriva, et comme d'habitude il ne passa pas par la porte principale.
"Papa est là ?
- Oui, ma puce, je vais le chercher."
J'appréhendais un peu la suite des événements...moi seule savais ce qui se jouait aujourd'hui.
"Bonjour mon amour.
- Bonjour Alexandra.
- Tu n'as pas l'air en forme...
- Comment pourrais-je l'être...c'est la cinquième tentative d'assassinat que mes hommes de main déjouent seulement ce mois...
- Maëlys...
- Tout juste. C'est que qui m'a amené à accepter de rencontrer nos filles.
- Tu vas voir, elles sont toutes les deux impatientes de te rencontrer...Et...
- Si ça se passe bien...peut-être qu'on pourra essayer de leur donner un petit frère...
- Alexandra, tu sais toujours comment m'atteindre...
- Peut-être étions-nous tout simplement destinés, Edouard...
- Je l'espère..."
"Alors, c'est leur chambre ?
- Oui...Edouard...pourrais-je...te demander de quitter Prys...que nous puissions être une famille...
- Non...non, Alexandra, je ne peux pas me le permettre, j'ai encore une image à conserver."
Il sortit en claquant la porte.
Ma subtilité légendaire ne m'avait pas aidée, cette fois...Pitié, Alex, ne fait pas tout foirer avec ta bêtise...
Une fois calmée, je ressortis de la chambre des filles.
Et c'est ainsi que je les trouvais, Cindy lovée dans les bras de son père.
Ne me les prends pas, Edouard...
Ne me les prends pas, ou je saurais être pire que Maëlys...
Il leur proposa de passer une nuit et une journée au Domaine, et que si elles s'y plaisaient, elles pourraient rester.
Je les suivis, craignant qu'il ne me les enlève.
Edouard Plénozas
Si je n'avais pas voulu qu'Alexandra vienne vivre au Domaine, c'est parce que je savais de quoi était capable Maëlys. Prys avait été tuée lors de la première tentative me visant, et si sa mort m'avait indifférée, je ne tolérerais pas qu'il arrive la même chose à Alexandra. Pourtant, je faisais venir nos filles ici. Ça n'avait aucun sens.
Allez, tu ne vas pas te laisser démonter, Maëlys reste ton enfant après tout ! C'est toujours toi qui décide !
Sur ces pensées, je montais à l'étage, corrigeai mon testament pour ne rien laisser à cette enfant qui voulait la mort de son père, puis je retrouvais les filles en bas.
Malgré l'heure tardive, les jumelles se baignaient dans la piscine, et je retrouvais Alexandra.
"Tu nous as suivis, pas vrai ?
- J'avais peur que tu les prennes...
- Jamais, jamais sans toi, mais je voulais être sûr qu'elles se plairaient ici, sans ton influence.
- Et ?
- Et peu importe les dangers qui nous guettent, tu as ta place ici avec elles.
Et d'ailleurs..."
Alexandra Zoreï
Il fourra sa main dans sa poche.
"Veux-tu m'épouser ?
- Oh...Edouard...
- Nos filles seront les héritières de la famille, j'ai modifié mon testament, Maëlys n'aura rien. Veux-tu ?
- Oui."
On se maria sur-le-champ.
"Est-ce que ce fils tient toujours ?
- Evidemment, mon amour."
J'avais une boule au ventre, comme si...tout allait basculer...
J'étais mariée à Edouard, enfin, mes filles auraient leur place dans la société, comme je l'avais voulu...
Mais à présent...
Je m'en voulais d'avoir abusé de la confiance d'un homme, tout aussi malhonnête et cupide puisse-t-il être. Je l'aimais. Lui, entier, avec sa cupidité...
Et alors que je prenais conscience de mes sentiments réels pour cet homme détestable, que ma convoitise du nom n'avait été que l'amour pour l'homme...
Il succomba à notre ultime séance d'amour, à la première en temps qu'époux.
Moi qui croyais tenir d'un grand-père Lothario...
Me voilà à pleurer mon mari...comme la Zoreï que j'ai rejeté de moi.
Malgré tout, je me devrais d'être forte, forte et froide comme une Plénozas, pour mes filles, pour leur protection, pour contrer Maëlys.
Continuer à cacher la Zoreï que je suis.
_______________________
Fin du Hors-Série, j'espère que ça vous a plu (et que je vous ai pas trooop perdus avec la généalogie de Sonia Zoreï et ses filles Scarlet et Swann... au besoin je ferais un petit arbre )
Pour la reprise du cours "normal" du Legacy, soit ce soir, soit demain
Gwendoline, la maman de Sonia Zoreï (avec son frère à côté) photo prise pour l'arbre, plus tard
(elle a prit le menton qu'avait légué Laurent à son père )
Réponses
Tout le monde est heureux !
Mon Legacy en cours, à suivre sur le forum : Meiko Roux, pour un héritage... roux ?
Egalement à suivre sur mon blog : Mareen. Plays #Sims4
Mon let’s play Revoir Sixam et les règles imaginées par mes soins
Origin ID : Sakura5192
Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Illidan & Tyrande
Je passe par là pour vous dire que je serais pas là d'un petit moment (fête de 10 ans de mariage d'une cousine
MAIS !
J'ai déjà 200 photos d'avance, donc deux MàJ arriveront le plus tôt possible, plus le joli Hors Sujet que vous attendez impatiemment
Je vous fais plein de bisous.
Saku.
Origin ID : Sakura5192
Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Illidan & Tyrande
(YEAAAH on va enfin voir la tarée la psychopathe Alexandra ^.^)
~ Histoires ~
Legacy (G1, màj 26/06) : Descendance d'un Taulard (blog/forum)
Défi Apocalypse : Bref, j'ai tenté l'Apo'. (forum/blog)
image teaser :
Origin ID : Sakura5192
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Illidan & Tyrande
~ Histoires ~
Legacy (G1, màj 26/06) : Descendance d'un Taulard (blog/forum)
Défi Apocalypse : Bref, j'ai tenté l'Apo'. (forum/blog)
Sarah Gothik
Me voilà mariée.
Mais contrairement à ce qu'on avait voulu de moi, avec mon nom de noblesse, j'avais pu épouser l'homme que j'aimais, Timothé Zoreï, l'un des jumeaux de Camélia et Arthur Perrin, le père de ma demi-soeur. Si seulement cet homme avait fait plus attention à ses maîtresses, jamais l'arbre de la famille n'aurait été si difficile à comprendre.
Moi qui était triste dans mon enfance, à présent j'étais sur un nuage. J'étais moi-même, fille de Kai et Sélina Gothik, sans les conséquences de ce nom porteur de malheur et de prestige.
Jamais je ne regretterais d'avoir refusé l'héritage familial.
J'avais une belle maison, mes parents m'ayant tout de même laissé de belles ressources, et, par chance, elle était voisine de la maison de mon aieule, Sonia Gothik, alors encore Galantome, dont ma demi-soeur Elodie avait hérité.
Je vivais toujours de mes compositions, derrière mon piano.
La musique était toute ma vie.
Ou presque.
J'avais donné naissance à une fille, ma petite Clémentine.
Elle avait aussi hérité du goût pour la musique en m'écoutant jouer, et je me faisais une joie de lui transmettre mon savoir.
J'étais heureuse qu'elle n'aie pas eu à subir l'influence noble de notre famille.
Je l'avais protégée.
Elodie Gothik-Perrin
Après le refus du "trône" par Sarah, c'est vers moi que s'est tournée maman. J'ai du fuir la Villa Ophélia, pour ne jamais y remettre les pieds. Jamais je ne voudrais être à la tête du royaume des Gothik, malgré l'estime que je porte à mes ancêtres.
Mes épaules n'étaient pas assez larges, même depuis que j'étais mariée à mon tour. Adrien et moi nous étions rencontrés lors d'un concert du groupe de rock/métal dont il était le batteur, son père guitariste et sa tante violoniste. Fêtarde que j'étais alors, nous étions faits pour être ensemble.
Ce soir-là de notre rencontre avait scellé nos vies à jamais. Je tombais enceinte. Et mon Quentin vit le jour.
J'héritais de la maison Galantome, laissée à l'abandon depuis la mort du frère aîné de Sonia Gothik qui n'avait pas eu d'héritier.
Pour mon fils, j'étais heureuse de ne pas avoir accepté de reprendre le flambeau de ma mère.
J'espérais aussi, secrètement, que mon frère Samuel ne prendrait pas sa place. Il était bien plus indigne que ma mère d'y être, et ce n'était pas peu dire. Pour moi, ma mère avait jeté le déshonneur sur la lignée des Gothik.
Mais Samuel avait fait bien pire en épousant une Plénozas.
Jamais le Conseil ne le laissera prendre la suite. Restait à savoir...
Qui ils choisiraient pour succéder à la tête de la famille.
Maëlys Plénozas
Samuel m'avait donné des jumeaux, Edouard Plénozas Junior, et Artémys Plénozas.
J'étais fière d'eux. Ils avaient tout pris de moi.
Le Conseil avait été réuni pour décider de QUI prendrait la tête de la famille Gothik après le refus de Sarah Gothik. Bien entendu, les regards s'étaient tournés vers la soeur aînée bâ.tarde de celle-ci, Elodie Gothik-Perrin, qui refusa elle aussi. La séance fut levée avant qu'on eut le temps d'énoncer la possibilité de l'héritage par mon époux. A peine étions nous rentrés chez nous que j'entamais déjà les négociations en vue du prochain conseil.
Samuel me laissait gérer. Lui aussi voulait cette place plus que quiconque, et il savait que j'étais la mieux placée pour faire jouer nos relations.
"Je suis profondément navré, Madame Plénozas, mais vos amis et connaissances ne pourront faire plier le Conseil à vos désirs.
- Il doit y avoir une erreur, très cher, je suis l'épouse de Samuel Gothik-Plénozas.
- Dans ce cas il n'y a aucune erreur, Madame, votre époux ne peut être nommé héritier de la famille Gothik. Nous en reparlerons au prochain conseil demain. Mes respects, Madame. *biiiiiiip* biiiiiiiiiiiip*"
"Ne peut être nommé héritier"... Mais que-ce que c'est que cette histoire ?
Ils ont pourtant pensé à Elodie, toute aussi b.âtarde Gothik que Samuel, en quoi lui aurait moins de chances d'être nommé qu'elle ??
A moins que...
A moins que notre mariage ne fasse obstacle à cet héritage...
Ou qu'ils piochent dans une autre branche de la famille Gothik !
Je le savais...Sandra aussi a eu des enfants...
Bon Dieu ! Mais sa descendance a quitté la ville depuis des lustres, on a pas la moindre idée de qui ils sont !!
Mais qui...Qui ?
Je ne dormis pas, ou très peu, et fus réveillée aux aurores par une visite.
Qui osait déranger les honnêtes gens à des heures pareilles de la matinée...?
"Alexandra Zoreï ! Toi ici, quelle surprise ! Je vois que dans ta famille on ne fait pas très attention à la politesse et aux horaires de visite !
- Descends de tes grands chevaux, Maëlys, tout le monde en ville sait que tu as épousé mon demi-frère et cousin pour asseoir ton popotin dans ta robe de soie sur le trône des Gothik un jour !
Et tout le monde sait que JAMAIS tu n'y arriveras !
- Ah oui...et c'est la torcheuse de vaches qui OSE me dire ça ? Tu vas voir, Zoreï !"
"Torcheuse de vaches, peut-être, Maëlys, mais je suis la mieux placée pour prendre ta place sur celui des Plénozas !
- Ne me fais pas rire ! Toi ! Une Plénozas ! Tu n'as ni le rang, ni la cupidité, ni l'astuce pour atteindre notre famille.
- Ah oui, c'est vrai que ton père ne t'as sans doute pas mise au courant de la naissance de nos jumelles, Cindy, et Emma.
- QUOI ?? c'était ça ta combine ?? Te faire engrosser par mon père pour légitimer ton c.ul sur mon siège ??
- Je n'ai que faire du siège où mon "c.ul" se posera, au moins j'assure la place de mes filles !
- Je ferais tomber tes filles, comme je ferais tomber toute personne m'empêchant d'atteindre le trône des Gothik !"
"Mais je compte bien te régler ton compte personnellement, Alexandra !"
"Tu réfléchiras à deux fois avant de faire leur place à tes gamines !
Maintenant disparaît !"
Alexandra quitta ma propriété, je la suivis des yeux, puis je vis Cassie Zoreï, l'héritière de la branche principale.
A mon approche, elle échangea un regard avec Désirée, une autre membre de sa famille de pecnots.
"Toi ! C'est toi et ta famille de dégénérés qui avaient pourri ma vie !
- Maëlys ? Mais...je ne vois pas de quoi tu parles, jamais ma famille ne s'est mêlé de tes affaires...
- Ne te fiche pas de moi !! Alexandra fait bel et bien partie de ta famille !
- Mais...nous l'avons reniée...
Qu-que s'est-il passé avec elle...? murmura-t-elle.
- Il s'est passé qu'elle s'est faite mettre enceinte par mon père pour avoir la place de ma mère dans la famille !!
- M-mais, ne devrais-tu pas en parler à ton père ? Il est tout aussi fautif, non ?"
La Zoreï marquait un point. Elle s'excusa du malheur que sa lointaine cousine me causait, et rentra chez elle.
De mon côté, je commandais la limousine et me rendis au Domaine.
Mon père m'accueuillit.
"Alors, Père, on m'empêche d'atteindre la tête de la famille ?
- Ma chérie, je ne vois pas de quoi tu parles...
- Ne jouez pas à ça avec moi ! VOUS avez mis votre précieuse Alexandra enceinte, et à présent elle va mettre ses filles à ma place !
- Ses ? Des jumelles...
- Père !
- Maëlys ça suffit ! Tout le Domaine devait t'être légué, jamais je n'ai compté changer mon testament !"
Cette remarque me fit perdre mon aplomb un moment, mais je le retrouvais en répliquant.
"Dans ce cas seriez-vous le responsable du fait que jamais mon époux n'héritera des Gothik ?
- En effet, Gothik et Plénozas ne se mélangent pas, je ne sais pas quelle idée t'a prise pour penser qu'un jour unir les deux puissants de la ville serait possible !
- Voilà qui me rassure...
- De quoi parles-tu ?
- A ton âge...les accidents arrivent vite, n'est-ce pas ? Père..."
Il fut parcouru d'un frisson.
J'entrais dans la maison, fière et victorieuse.
Je trouvais ma mère dans la salle à manger. Je la tenais aussi pour responsable de mon actuelle déchéance. Si elle avait su combler mon père jamais Alexandra n'aurait perturbé le cours de ma vie.
"Tu as gâché ma vie, Mère !
"Par ta faute, père est allé voir ailleurs, et sa maîtresse a porté ses enfants !
Bon Dieu ! Mais pourquoi ne dis-tu rien !!!
- Je suis désolée, Maëlys..."
"Oh, tu peux l'être ! Je te déteste !"
"Comment père a-t-il pu vouloir de toi...
- Je taisais ses combines douteuses...
-Te taire, et subir...C'est bien les seules choses dont tu es capable !"
A cet instant, Prys Plénozas souhaita mourir. Une bonne raison, une seule, et elle se ferait une joie de rejoindre ses ancêtres...
Elle ferait ses valises, et irait mourir chez elle, à Atlantys.
Maëlys ne vit que la faiblesse de sa mère, jamais elle n'aurait soupçonné le courage qu'il fallait pour tenir encore debout après cette avalanche de haine sur la figure.
Croyant sa victoire acquise par le projet imminent d'assassinat de ses parents, Maëlys savourait cet instant voué à disparaître.
(deuxième post à venir)
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Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Illidan & Tyrande
Mon Legacy en cours, à suivre sur le forum : Meiko Roux, pour un héritage... roux ?
Egalement à suivre sur mon blog : Mareen. Plays #Sims4
Sélina Gothik
Nous avions perdu la maison. Elle serait aux héritiers, quels qu'ils soient.
Kai me rassura. Au moins, l'honneur de la famille sera sauf, et on oubliera mes erreurs.
Je pourrais peut-être retrouver ma place dans la famille Zoreï, que j'avais longtemps reniée, préférant l'ascendance de ma mère, Samantha.
J'avais du...énormément la décevoir.
J'espérais avoir rétabli mon karma en épousant Kai, devenu médecin renommé par la suite, et moi à la tête de la police. C'était là qu'était ma place, je n'avais pas été faite pour hériter cette place. J'étais seulement l'enfant unique.
Je n'en voulais pas à mes filles, je les comprenais, et je regrettais cette vie tranquille que j'aurais pu avoir si j'avais osé refuser moi-aussi.
Je savais qu'Edouard Plénozas faisait pression pour que Samuel n'hérite pas. Et, une fois n'étant pas coutume, j'étais d'accord avec lui, et je mettrais des bâtons dans les roues pour ne pas mettre Maëlys sur le trône. Cette enfant me faisait froid dans le dos.
Le plus froide et vénale de la famille Plénozas. Edouard lui-même la craint.
C'est dire.
Un mois plus tard, à la Villa Ophélia...
Sonia Zoreï
C'était étrange de vivre ici. J'avais grandi à Montsimpa, descendance directe et illégitime de la grande Sonia Gothik.
Elle avait trompé son mari avec Alexis Perrin avec lequel elle eu de nombreux enfants à la mort de Vladimir. Sa fille unique, Lucie Gothik-Perrin, était, comme les autres, demi-soeur d'Arthur Perrin, le mari de Camélia Zoreï.
Lucie, ma grand-mère, donc, épousa un homme plus vieux qu'elle, Lucas Zoreï, fils de Louis, lui-même enfant de Camille Zoreï. Ils eurent deux enfants, Maximilien, et Gwendoline, ma mère. Nous vivions dans cette ville, à l'époque, mais trop près de la famille Gothik "officielle" pour les goûts de ma mère. Elle n'avait pas porté Sélina dans son coeur, et souhaitait que nous reprenions la famille. On déménagea durant ma petite enfance à Montsimpa, où nous avions racheté la maison familiale.
C'est là-bas qu'on reçut la lettre nous rappelant ici, car l'héritière de la famille ne voulait pas de sa place, ni son aînée du mariage précédent de Sélina, ni du fils qui s'était marié à une Plénozas, ce qui l'éliminait d'office.
On acheta une nouvelle maison ici, pour éclaircir la situation. Ma mère accepta l'héritage et les responsabilités, que j'endosserais à sa mort.
J'étais marié à Nathan, un homme simple et gentil, comme on pouvait s'y attendre d'un homme de la famille Zoreï, issu d'une autre branche, lointaine, celle de Mélissa, fille de Camille.
J'avais déjà mes deux filles, Scarlet, et Swann, reprenant la tradition familiale de nommer les filles d'un prénom en "S", instaurée depuis Sonia.
Au fond, nous n'avions aucun sang "Gothik" mais celui de la famille Galantome, par Sonia, mais le Conseil avait jugé que depuis l'union Sonia-Vladimir, le sang des Galantome issu de Sonia était tout aussi noble.
Ma fille Swann. Elle ressemblait plus à son père.
Contrairement à moi qui avait beaucoup pris de Sonia.
Je l'aimais néanmoins de tout mon coeur et la considérais tout aussi apte à me succéder que sa jumelle.
Scarlet était mon portrait, avec les yeux bleus de Nathan.
Elle admirait la beauté de notre aïeule depuis sa plus tendre enfance, et elle souhaitait marcher dans ses pas, sauf ceux de l'adultère qui avait formé notre branche.
Depuis que maman m'avait laissé hériter à sa place, je craignais pour notre famille.
Mes princesses ne méritaient pas qu'on s'en prenne à elles.
"Mes chéries, je dois vous parler maintenant qu'on vit ici...
- Tu fais peur, maman...
- Swann, chérie, s'il te plait, c'est très sérieux...
- Maintenant que nous sommes officiellement de la famille Gothik, malgré tout...
- On sait ça, uniquement parce que le dernière héritier potentiel de la famille s'est marié à une Plénozas...
- Swann...souffla Scarlet.
- Oups.
- Justement parce que cette Plénozas voulait la tête des Gothik il n'a pas pu hériter, et le Conseil a préféré la branche bâtarde issue de Sonia à lui. Vous serez en danger, les filles.
"Mais...qui nous veut du mal, maman ?
- Cette Maëlys Plénozas.
- Plénozas ? Mais, ils ont la main-mise sur la mafia, même si aucun juge n'a réussi à les faire tomber, non ? fit Swann.
- C'est horrible...on va mourir...
Maman...tu...tu crois pas qu'on devrait refuser, nous aussi ?
- Ça va pas ? Si cette Plénozas s'avise à ESSAYER de nous faire du mal...grrrr !
- Swann, c'est pas une blague, souffla Scarlet.
- Nan, mais je sais ! C'est bien pour ça ! Elle touchera pas à la maison de Grand-Mamie-Sonia ! Pas plus qu'à maman, papa, ou toi, frangine ! Elle va voir que quand je m'énerve..."
Elle marqua une pause.
"Z'ont pas de chiens de garde au moins, hein ?
- Personne ne peut avoir de chien de garde ici, c'est illégal.
- Ah bah tant mieux ! Parce que j'ai troooop la peur des chiens !
- T'en as jamais vu...
- Nan, mais à la télé...
- C'est les loups-garous ça...
- Z'ont des loups-garous de garde ?
- Swann...tu te perds là...
- Pardon. Je disais quoi ?
- Euh...défoncer la tête ? quelque chose comme ça ?"
"Ah oui ! donc, si elle s'en prend à nous, moi je lui défonce la tête. Voilà."
Scarlet me regarda d'un air amusé. Swann avait une imagination débordante.
"T'inquiète, Swann...je ferais pareil si elle ose s'en prendre à toi." dit Scarlet.
Je regardais mes filles, mes princesses, et finalement, je décidai de leur faire confiance. Elles sauraient quoi faire, si Maëlys frappait.
Encore fallait-il qu'elle parvienne à garder l'héritage des Plénozas, dont on murmurait partout qu'il allait, bientôt...lui échapper.
Alexandra Zoreï
La famille Gothik avait retrouvé un visage en la personne de Sonia Zoreï. Maëlys n'allait pas tarder à repasser à l'attaque sur le front Plénozas.
Je l'attendrais de pied ferme, me battant avec ses armes, le seul moyen de faire tomber les Plénozas.
Mes filles, Emma, la brune, et Cindy, la blonde, attendaient impatiemment de rencontrer leur père pour la première fois.
"Maman, il arrive bientôt papa ?
- Dans quelques minutes, il a prit un jour de congé pour venir vous voir, mes chéries.
Cindy ? où vas-tu ?
- Je vais jouer, tu m'appelles quand il arrive, m'man !"
Malheureusement, Cindy avait hérité de la même forte-tête que sa demi-soeur Maëlys...
Edouard arriva, et comme d'habitude il ne passa pas par la porte principale.
"Papa est là ?
- Oui, ma puce, je vais le chercher."
J'appréhendais un peu la suite des événements...moi seule savais ce qui se jouait aujourd'hui.
"Bonjour mon amour.
- Bonjour Alexandra.
- Tu n'as pas l'air en forme...
- Comment pourrais-je l'être...c'est la cinquième tentative d'assassinat que mes hommes de main déjouent seulement ce mois...
- Maëlys...
- Tout juste. C'est que qui m'a amené à accepter de rencontrer nos filles.
- Tu vas voir, elles sont toutes les deux impatientes de te rencontrer...Et...
- Si ça se passe bien...peut-être qu'on pourra essayer de leur donner un petit frère...
- Alexandra, tu sais toujours comment m'atteindre...
- Peut-être étions-nous tout simplement destinés, Edouard...
- Je l'espère..."
"Alors, c'est leur chambre ?
- Oui...Edouard...pourrais-je...te demander de quitter Prys...que nous puissions être une famille...
- Non...non, Alexandra, je ne peux pas me le permettre, j'ai encore une image à conserver."
Il sortit en claquant la porte.
Ma subtilité légendaire ne m'avait pas aidée, cette fois...Pitié, Alex, ne fait pas tout foirer avec ta bêtise...
Une fois calmée, je ressortis de la chambre des filles.
Et c'est ainsi que je les trouvais, Cindy lovée dans les bras de son père.
Ne me les prends pas, Edouard...
Ne me les prends pas, ou je saurais être pire que Maëlys...
Il leur proposa de passer une nuit et une journée au Domaine, et que si elles s'y plaisaient, elles pourraient rester.
Je les suivis, craignant qu'il ne me les enlève.
Edouard Plénozas
Si je n'avais pas voulu qu'Alexandra vienne vivre au Domaine, c'est parce que je savais de quoi était capable Maëlys. Prys avait été tuée lors de la première tentative me visant, et si sa mort m'avait indifférée, je ne tolérerais pas qu'il arrive la même chose à Alexandra. Pourtant, je faisais venir nos filles ici. Ça n'avait aucun sens.
Allez, tu ne vas pas te laisser démonter, Maëlys reste ton enfant après tout ! C'est toujours toi qui décide !
Sur ces pensées, je montais à l'étage, corrigeai mon testament pour ne rien laisser à cette enfant qui voulait la mort de son père, puis je retrouvais les filles en bas.
Malgré l'heure tardive, les jumelles se baignaient dans la piscine, et je retrouvais Alexandra.
"Tu nous as suivis, pas vrai ?
- J'avais peur que tu les prennes...
- Jamais, jamais sans toi, mais je voulais être sûr qu'elles se plairaient ici, sans ton influence.
- Et ?
- Et peu importe les dangers qui nous guettent, tu as ta place ici avec elles.
Et d'ailleurs..."
Alexandra Zoreï
Il fourra sa main dans sa poche.
"Veux-tu m'épouser ?
- Oh...Edouard...
- Nos filles seront les héritières de la famille, j'ai modifié mon testament, Maëlys n'aura rien. Veux-tu ?
- Oui."
On se maria sur-le-champ.
"Est-ce que ce fils tient toujours ?
- Evidemment, mon amour."
J'avais une boule au ventre, comme si...tout allait basculer...
J'étais mariée à Edouard, enfin, mes filles auraient leur place dans la société, comme je l'avais voulu...
Mais à présent...
Je m'en voulais d'avoir abusé de la confiance d'un homme, tout aussi malhonnête et cupide puisse-t-il être. Je l'aimais. Lui, entier, avec sa cupidité...
Et alors que je prenais conscience de mes sentiments réels pour cet homme détestable, que ma convoitise du nom n'avait été que l'amour pour l'homme...
Il succomba à notre ultime séance d'amour, à la première en temps qu'époux.
Moi qui croyais tenir d'un grand-père Lothario...
Me voilà à pleurer mon mari...comme la Zoreï que j'ai rejeté de moi.
Malgré tout, je me devrais d'être forte, forte et froide comme une Plénozas, pour mes filles, pour leur protection, pour contrer Maëlys.
Continuer à cacher la Zoreï que je suis.
Fin du Hors-Série, j'espère que ça vous a plu
Pour la reprise du cours "normal" du Legacy, soit ce soir, soit demain
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Bonus :
Gwendoline, la maman de Sonia Zoreï (avec son frère à côté) photo prise pour l'arbre, plus tard
(elle a prit le menton qu'avait légué Laurent à son père
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