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Les fantaisies d'Esie
Esirolf
Messages: 1,382 Membre
Voilà un petit sujet où je mettrais un peu de tout dedans.
J'ai toujours écrit, surtout des nouvelles et je suis retombée dans mon petit dossier y a pas longtemps. Je me suis dis que ça pourrait être amusant de mettre des images sims sur mes nouvelles.
Donc elles seront légèrement remaniées pour correspondre à la charte du forum (si un modo passe par là et qu'il voit que j'ai oublié un passage, j'en suis désolée, dites le moi
)
Et voici la première, et j'avoue qu'il n'est pas toujours simple de faire faire à nos sims quelque chose de bien précis -_-
********
BLUE EYES
Karl attendait, il avait encore une heure à tirer devant lui.
Il s'engage dans une rue animée de la ville, rentre dans un magasin pour s'acheter un énième jeu vidéo. Il est déjà à court de fric mais il s'en fout. Encore une demi-heure.
Il sort, largement le temps de s'en griller une, voire deux.
Ses potes lui ont dit: " Tu verras, elle est bonne." La seule pensée de Karl en cet instant est - Faut que j'me la tape-
Oui, Karl se considère lui-même comme un beau #$8&*.
Pour lui, les filles, c'est comme les mouchoirs, ça s'utilise et ça se jette.
Il lève les yeux et aperçoit la fameuse nana. Mini-jupe, décolleté à n'en plus finir et maquillée outrageusement. Un peu vulgaire mais elle fera l'affaire, il est vraiment en manque.
***************************************
Camille sort de la fac, le sac en bandoulière, elle regarde sa montre.
Et flûte, elle a loupé le dernier bus, elle n'a plus qu'à rentrer à pied.
Elle sort un bouquin de son sac et commence sa marche en lisant.
Oui, ce n'est pas conseillé de lire en marchant mais Camille s'en moque, ses pieds connaissent le chemin, pas besoin de regarder.
Elle ne lève les yeux de son livre que de très rares fois comme aux passages piétons. Elle aime tellement ce roman. Certes, les belles histoires d'amour comme ça n'existent que dans les livres, mais Camille ne peut s'empêcher de rêver.
Elle continue sa marche tranquillement quand quelqu'un se décale brusquement devant elle et la heurte de plein fouet.
Camille fait un magnifique plat sur les fesses, les lunettes de travers et le livre je ne sais où. Elle le cherche des yeux tandis que la personne qui l'a basculé lâche tout un chapelet d'injures. Elle retrouve enfin son livre, qu'elle ramasse avant de lancer un regard meurtrier à son "agresseur".
Karl continue de mater la nana, enfin plutôt ses jambes en l'occurrence.
Mais pour son plus grand malheur une bande de mômes vient lui cacher la vue. Il se décale donc sur la droite pour continuer de la voir quand une personne lui rentre en plein dedans.
" Biiiip de biiiiip, tu ne peux pas regarder où tu vas?"
Il baisse les yeux et vois une tignasse brune s'agiter comme si elle cherchait quelque chose.
" Ooohh!!! Ca t'arracherais la bouche de t'excuser, *$£#&!!"
Il la voit ramasser un bouquin et lever la tête avant qu'il ne tombe brusquement dans deux magnifiques yeux bleus.
Qui lui lancent des éclairs assassins certes, mais magnifiques quand même.
Il entend vaguement la fille lui dire que c'est à lui de s'excuser car elle au moins, elle ne l'a pas insulté et que pour rien au monde elle ne s'excuserait.
Et soudainement, les deux superbes perles dans lesquelles il s'était perdu, disparurent. Il cligne des yeux et se retourne.
Il voit "Tignasse brune" s'éloigner parmi les passants, les jambes moulées dans un jean sont prometteuses mais le reste est invisible, caché par sa tignasse qui lui descend en bas du dos. Son visage... Il ne sait pas... Il sait juste que ses yeux sont bleus.
Karl part à sa suite, abandonnant là son "rendez-vous".
Camille est en colère, non rectification, elle est carrément furax.
Non seulement le mec qui l'a bousculé, l'a insulté et n'a pas semblé la voir quand elle lui parlait mais en plus son livre adoré est tombé dans une flaque rendant ainsi plusieurs pages illisibles.
Elle rentre dans un immeuble et monte au 3ème où son trouve son appartement. Il n'est pas très grand mais largement suffisant pour elle.
Elle pose le livre sur la table et va poser son sac et son manteau en en profitant pour allumer sa mini-chaîne au passage.
" Bon allez, aux grand maux, les grands remèdes comme disait grand-mère."
Elle partit dans la salle de bains chercher le sèche-cheveux pour sécher les pages de son livre.
Mais à peine eut-elle branché la prise que la sonnette retentit.
Elle prit une grande inspiration pour se calmer et alla ouvrir la porte.
Et là, elle n'en cru pas ses yeux, le même mec qui l'avait bousculé et insulté se trouvait sur le pas de sa porte affichant un sourire soi-disant charmeur mais qui le faisait plutôt paraitre horriblement suffisant.
Elle voulu lui fermer la porte au nez mais cet imbécile avait mis son pied.
" Est ce que je peux entrer?" lui demanda-t-il
" Si je te répond non, tu enlèveras ton pied?"
Seul un sourire narquois lui répondit.
Camille ouvrit la porte laissant entrer Karl avec une furieuse envie de l'assommer.
Karl savait la jolie demoiselle en colère, car oui après avoir vu l'ensemble de son visage, elle était plutôt mignonne.
Il remarqua le livre aux pages trempées et le sèche-cheveux, il les lui désigna d'un mouvement de tête.
" Tu allais sécher ton livre??"
Il la vit lever les yeux au ciel et prendre une moue ironique,
" Non, non, je m'apprêtais à me faire cuire un steak là tu vois."
Karl sourit à cette remarque, non seulement la demoiselle était jolie mais en plus elle avait du caractère. Ca change de toutes ses conquêtes à la personnalité insipide.
Camille ramassa son livre, le mettant de côté, son "invité" était vraiment un imbécile fini.
" Bon qu'est ce que tu me veux? Pourquoi tu m'as suivi?"
Karl, occupé à regarder, à détailler Camille, s'entendit répondre
"Pour voir ton visage."
Camille fus surprise de cette phrase mais se repris vite.
"Bon ben maintenant que tu l'as vu, tu dégages!!"
Karl n'en cru pas ses oreilles, il en était comme assommé. Jamais une fille ne lui avait parlé de la sorte.
Au contraire, toutes voulaient qu'il reste près d'elles.
Et là qu'il en trouve une qui l'hypnotise complètement, elle veut... qu'il parte!!! Karl en est abasourdi, lui qui se croyait irrésistible... Il vient de tomber de haut.
Il lui demanda d'une voix un peu trop suppliante à son goût
"Dis moi au moins ton nom"
Elle le poussait vers la sortie, une fois Karl sur le paillasson, elle dit "Camille" puis claqua la porte et la verrouilla.
Elle entendit cependant le jeune homme dire de l'autre coté: " Moi c'est Karl". Elle sourit.
Karl sortit de l'immeuble complètement déprimé, les yeux bleus le hantaient.
Et voilà, lui Karl, coureur de jupons invétéré, est tout chamboulé par un petit bout de femme aux yeux bleus, qui ne veut pas de lui.
Comme on dit, tel est pris qui croyait prendre.
Mais Karl savait une chose, il ne voulait plus qu'elle.
Même croiser de superbes nanas là dans la rue qui lui lancent des regards aguicheurs ne lui fait plus aucun effet. Il ne voit que deux perles bleues lui lançant des éclairs.
Karl soupire et met les mains dans ses poches. Il y sent un bout de papier qu'il ne se rappelle pas avoir mis là, il le sort et le déplie. Il y voit inscrit le nom de Camille avec un numéro de téléphone.
Karl rit, quand est ce qu'elle l'avait mis là, il ne le savais pas et s'en foutait.
Karl remis ses mains dans ses poches et continua sa route en sifflotant, il l'appellerait.
L'avenir s'annonçait prometteur.
Finalement, il n'a suffit que de deux yeux bleus...
J'ai toujours écrit, surtout des nouvelles et je suis retombée dans mon petit dossier y a pas longtemps. Je me suis dis que ça pourrait être amusant de mettre des images sims sur mes nouvelles.
Donc elles seront légèrement remaniées pour correspondre à la charte du forum (si un modo passe par là et qu'il voit que j'ai oublié un passage, j'en suis désolée, dites le moi
)Et voici la première, et j'avoue qu'il n'est pas toujours simple de faire faire à nos sims quelque chose de bien précis -_-
********
BLUE EYES
Karl attendait, il avait encore une heure à tirer devant lui.
Il s'engage dans une rue animée de la ville, rentre dans un magasin pour s'acheter un énième jeu vidéo. Il est déjà à court de fric mais il s'en fout. Encore une demi-heure.
Il sort, largement le temps de s'en griller une, voire deux.
Ses potes lui ont dit: " Tu verras, elle est bonne." La seule pensée de Karl en cet instant est - Faut que j'me la tape-
Oui, Karl se considère lui-même comme un beau #$8&*.
Pour lui, les filles, c'est comme les mouchoirs, ça s'utilise et ça se jette.
Il lève les yeux et aperçoit la fameuse nana. Mini-jupe, décolleté à n'en plus finir et maquillée outrageusement. Un peu vulgaire mais elle fera l'affaire, il est vraiment en manque.
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Camille sort de la fac, le sac en bandoulière, elle regarde sa montre.
Et flûte, elle a loupé le dernier bus, elle n'a plus qu'à rentrer à pied.
Elle sort un bouquin de son sac et commence sa marche en lisant.
Oui, ce n'est pas conseillé de lire en marchant mais Camille s'en moque, ses pieds connaissent le chemin, pas besoin de regarder.
Elle ne lève les yeux de son livre que de très rares fois comme aux passages piétons. Elle aime tellement ce roman. Certes, les belles histoires d'amour comme ça n'existent que dans les livres, mais Camille ne peut s'empêcher de rêver.
Elle continue sa marche tranquillement quand quelqu'un se décale brusquement devant elle et la heurte de plein fouet.
Camille fait un magnifique plat sur les fesses, les lunettes de travers et le livre je ne sais où. Elle le cherche des yeux tandis que la personne qui l'a basculé lâche tout un chapelet d'injures. Elle retrouve enfin son livre, qu'elle ramasse avant de lancer un regard meurtrier à son "agresseur".
Karl continue de mater la nana, enfin plutôt ses jambes en l'occurrence.
Mais pour son plus grand malheur une bande de mômes vient lui cacher la vue. Il se décale donc sur la droite pour continuer de la voir quand une personne lui rentre en plein dedans.
" Biiiip de biiiiip, tu ne peux pas regarder où tu vas?"
Il baisse les yeux et vois une tignasse brune s'agiter comme si elle cherchait quelque chose.
" Ooohh!!! Ca t'arracherais la bouche de t'excuser, *$£#&!!"
Il la voit ramasser un bouquin et lever la tête avant qu'il ne tombe brusquement dans deux magnifiques yeux bleus.
Qui lui lancent des éclairs assassins certes, mais magnifiques quand même.
Il entend vaguement la fille lui dire que c'est à lui de s'excuser car elle au moins, elle ne l'a pas insulté et que pour rien au monde elle ne s'excuserait.
Et soudainement, les deux superbes perles dans lesquelles il s'était perdu, disparurent. Il cligne des yeux et se retourne.
Il voit "Tignasse brune" s'éloigner parmi les passants, les jambes moulées dans un jean sont prometteuses mais le reste est invisible, caché par sa tignasse qui lui descend en bas du dos. Son visage... Il ne sait pas... Il sait juste que ses yeux sont bleus.
Karl part à sa suite, abandonnant là son "rendez-vous".
Camille est en colère, non rectification, elle est carrément furax.
Non seulement le mec qui l'a bousculé, l'a insulté et n'a pas semblé la voir quand elle lui parlait mais en plus son livre adoré est tombé dans une flaque rendant ainsi plusieurs pages illisibles.
Elle rentre dans un immeuble et monte au 3ème où son trouve son appartement. Il n'est pas très grand mais largement suffisant pour elle.
Elle pose le livre sur la table et va poser son sac et son manteau en en profitant pour allumer sa mini-chaîne au passage.
" Bon allez, aux grand maux, les grands remèdes comme disait grand-mère."
Elle partit dans la salle de bains chercher le sèche-cheveux pour sécher les pages de son livre.
Mais à peine eut-elle branché la prise que la sonnette retentit.
Elle prit une grande inspiration pour se calmer et alla ouvrir la porte.
Et là, elle n'en cru pas ses yeux, le même mec qui l'avait bousculé et insulté se trouvait sur le pas de sa porte affichant un sourire soi-disant charmeur mais qui le faisait plutôt paraitre horriblement suffisant.
Elle voulu lui fermer la porte au nez mais cet imbécile avait mis son pied.
" Est ce que je peux entrer?" lui demanda-t-il
" Si je te répond non, tu enlèveras ton pied?"
Seul un sourire narquois lui répondit.
Camille ouvrit la porte laissant entrer Karl avec une furieuse envie de l'assommer.
Karl savait la jolie demoiselle en colère, car oui après avoir vu l'ensemble de son visage, elle était plutôt mignonne.
Il remarqua le livre aux pages trempées et le sèche-cheveux, il les lui désigna d'un mouvement de tête.
" Tu allais sécher ton livre??"
Il la vit lever les yeux au ciel et prendre une moue ironique,
" Non, non, je m'apprêtais à me faire cuire un steak là tu vois."
Karl sourit à cette remarque, non seulement la demoiselle était jolie mais en plus elle avait du caractère. Ca change de toutes ses conquêtes à la personnalité insipide.
Camille ramassa son livre, le mettant de côté, son "invité" était vraiment un imbécile fini.
" Bon qu'est ce que tu me veux? Pourquoi tu m'as suivi?"
Karl, occupé à regarder, à détailler Camille, s'entendit répondre
"Pour voir ton visage."
Camille fus surprise de cette phrase mais se repris vite.
"Bon ben maintenant que tu l'as vu, tu dégages!!"
Karl n'en cru pas ses oreilles, il en était comme assommé. Jamais une fille ne lui avait parlé de la sorte.
Au contraire, toutes voulaient qu'il reste près d'elles.
Et là qu'il en trouve une qui l'hypnotise complètement, elle veut... qu'il parte!!! Karl en est abasourdi, lui qui se croyait irrésistible... Il vient de tomber de haut.
Il lui demanda d'une voix un peu trop suppliante à son goût
"Dis moi au moins ton nom"
Elle le poussait vers la sortie, une fois Karl sur le paillasson, elle dit "Camille" puis claqua la porte et la verrouilla.
Elle entendit cependant le jeune homme dire de l'autre coté: " Moi c'est Karl". Elle sourit.
Karl sortit de l'immeuble complètement déprimé, les yeux bleus le hantaient.
Et voilà, lui Karl, coureur de jupons invétéré, est tout chamboulé par un petit bout de femme aux yeux bleus, qui ne veut pas de lui.
Comme on dit, tel est pris qui croyait prendre.
Mais Karl savait une chose, il ne voulait plus qu'elle.
Même croiser de superbes nanas là dans la rue qui lui lancent des regards aguicheurs ne lui fait plus aucun effet. Il ne voit que deux perles bleues lui lançant des éclairs.
Karl soupire et met les mains dans ses poches. Il y sent un bout de papier qu'il ne se rappelle pas avoir mis là, il le sort et le déplie. Il y voit inscrit le nom de Camille avec un numéro de téléphone.
Karl rit, quand est ce qu'elle l'avait mis là, il ne le savais pas et s'en foutait.
Karl remis ses mains dans ses poches et continua sa route en sifflotant, il l'appellerait.
L'avenir s'annonçait prometteur.
Finalement, il n'a suffit que de deux yeux bleus...
Legacy (partie disparue): Bienvenue chez les Immortels
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Réponses
En même temps, j'avoue, il est tellement exécrable ce Karl que j'ai espéré jusqu'au bout que Camille ne craque pas
Et merci
Apocalypse: (partie disparue) Chez les Calypse, (partie disparue) Allez on s'y remet
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