Ahah! @Caro220283 tu me fais rire! Le texte est écrit, les images devraient suivre mais faudra AU MOINS patienter jusqu'à demain... Ca va, je ne vais pas me faire lyncher ?...
La chaleur était insoutenable en ce jour. Le sol aride se craquelait par endroit comme ouvrant une multitude de bouches réclamant la faveur d'une simple goutte d'eau. Les pieds de la jeune femme la brûlaient mais habituée et sa peau recouverte de cornes, elle ne ressentait qu'une légère chaleur qui l'incommodait à peine. De la poussière se soulevait à chacun de ses pas. L'air était quasiment irrespirable rempli de particules et les poumons trop secs pour aspirer une grande quantité d'air chaud qui venait les assécher toujours un peu plus.
Elle s'arrêta et porta la main sur son front couvert d'infimes gouttelettes. "Si seulement je pouvais les boire" pensa-t-elle. Elle leva les yeux vers le ciel clair. Pas un seul nuage à l'horizon. Cela faisait des mois qu'il n'y avait pas eut d'eau. La déesse les privait de ce bien fait plusieurs fois par année afin de leur rappeler sa grande puissance et leur petitesse à eux, stupide peuple qui avait oser se rebeller contre elle des années auparavant.
La jeune femme se passa les mains sur les épaules pour se détendre et repris sa marche qu'elle essaya d'accélérer pour ne pas arriver trop tard. Au bout d'un certain temps des voix commencèrent à se faire entendre. Une nappe de poussière surplombait une grande place entourée de remparts. Les voix s'élevaient par à coups transperçant le brouhaha continu. Elle passa l'arche signifiant l'entrée de la place et se retrouva soudain entourée de personnes qui se pressaient courant d'une maison à l'autre, hurlant sur les enfants bagarreurs ou encore se chamaillant avec les vendeurs par rapport au prix exorbitant des poissons ou des fruits.
Elle ne prêta guère attention à ce remue-ménage familier et se dirigea directement au fond de la grande rue, qui n'était encore que terre et poussière, longeant les quelques maisons de commerçants qui avaient établis demeure ici pour être au plus près de leurs étales. Jouant quelque peu des coudes et de son charme, elle parvint à se frayer un chemin jusqu'au poissonnier. Toute sa marchandise était étalée sur une simple table en bois, soumise à la chaleur et aux mouches qui étaient toujours les premières à goûter la pêche du jour. D'un geste de la main, le poissonnier les chassa avant d'apercevoir la jeune femme qui fut recracher par la foule devant lui.
"Ah ! Anni chiorikem !" / "Ah! Ma femme!"
"Anha vos kemok ma yeroon..."/ "Je ne suis pas mariée avec toi..." répliqua la jeune femme en se penchant sur l'étale
"Asshekh, asshekh..." / "Un jour, un jour..." sourit le marchand d'un air malicieux
La jeune femme n'avait pas levé les yeux des poissons pendant le temps qu'avait durée la conversation. Elle lui en montra deux qui commençaient à dégager une forte odeur. Il les pris et les emballa négligemment dans un linge sale pendant qu'elle lui tendait 3 pièces de cuivre.
"Yer dirgi anni loy ?... Yer ezhiri mra atthirarido, yer naisi..." / "Tu penses à moi parfois ?... Tu danses dans mes rêves, tu sais..."
La jeune femme allait répondre lorsqu'un bruit fracassant retenti semblant provenir de toute la place en même temps. Elle s'imagina un coup de tonnerre mais le ciel restait clair et aucun éclair ne le déchira. Un deuxième coup retenti bien plus fort que le premier. La foule sidérée et soudain muette, reprit vie et des cris commencèrent à s'élever. Un mouvement de masse se dirigea vers l'unique sortie de la place, les gens se bousculaient, certains trébuchants se firent piétiner. Un troisième coup retenti faisant vibrer le sol. La jeune femme s'était réfugiée à plat ventre sous le stand du marchand qui l'avait déjà abandonné, profitant de sa forte corpulence pour se frayer un chemin dans la foule affolée.
Soudain une vive lumière jailli libérant deux masses qui vinrent s'écraser au sol pour ensuite disparaitre aussi vite qu'elle était apparue. Le silence était revenu, pesant, lourd, on entendait les mouches qui volaient autour des poissons. La jeune femme se releva doucement sans lâcher des yeux les deux masses qui s'étaient écraser quelques pas plus loin. Plusieurs personnes les avaient remarqués aussi et un groupe commençait à se former autour d'elles. Des murmures montaient et arrivèrent jusqu'à la jeune femme qui s'avançait toujours vers le groupe. "Mori thir ? / "Ils sont vivants ?", "fini qemmosor ?" / "Qu'est-ce que c'est que ces vêtements ?".
La jeune femme joua des coudes et arriva devant les deux étrangers allongés par terre.
Un enfant plus intrépide que les autres s'approcha de l'un des deux et lui mis un coup de pied dans la jambe. Un gémissement se fit entendre, le poussant à se reculer vivement pour rejoindre les bras de sa mère qui ne manqua pas de le sermonner. L'étranger qui venait de gémir se mis à bouger lentement ses doigts puis les mains pour finalement par ouvrir les yeux et se redresser doucement.
Quelque peu sonné, il mit un moment avant de distinguer l'attroupement autour de lui. Il ouvrit alors des yeux immenses et voyant son acolyte encore allongé à côté de lui, il se mit à le secouer violemment. Lorsque l'autre corps se retourna, il révéla celui d'une femme avec les cheveux ébouriffés qui lui mangeaient la moitié du visage. Elle grogna et commença à balancer ses bras autour d'elle donnant des coups à son coéquipier. La foule se mit à rire doucement devant le spectacle. Le jeune homme qui avait réveillé sa compagne, recula en se protégeant et commença à parler dans un dialecte inconnu. La scène virait au comique et certains enfants commençaient à applaudir en sautant autour d'eux.
"Mais arrêtes de me frapper! Et ouvre les yeux! Y a plein de gens autour de nous..."
"Quoi ?!!" Apolline cessa enfin son attaque et se souleva en essayant d'ouvrir les yeux mais la lumière était tellement puissante qu'elle dut s'y reprendre à plusieurs reprises. "Qui sont tous ces gens ?"
Ils regardaient à présent tous les regards rivés sur eux. Il y avait des hommes, des femmes et même des enfants qui continuaient à tourner en rond autour d'eux. Ils avaient la peau mate et tous les mêmes tenues.
"Tu crois qu'ils nous comprennent ? demanda Apolline ne sachant si elle devait se lever ou rester par terre sans bouger.
"Je n'en sais rien..."
Un mouvement se fit dans la foule qui se divisa en deux laissant passer des hommes immenses et musclés qui marchaient militairement en direction des deux étrangers.
"Oulà... Ca sent pas bon, répliqua Rémi en voyant les molosses aux regards noirs s'approcher dangereusement d'eux.
Il avait vu juste. Ils les entourèrent, les séparant de la foule dont ils ne pouvaient percevoir que les enfants qui essayaient de se faufiler entre leurs jambes. Deux des gardes se détachèrent du groupe pour les relever et tels des sacs à patates, ils les mirent sur leurs épaules.
"Mais lâchez-nous espèce de brutes! Reposez-nous par terre immédiatement !". Rémi s'égosillait, se débâtant ridiculement en secouant les bras et les jambes. Rien ne semblait atteindre ces montagnes de muscles.
En voyant Rémi se démener ainsi, Apolline comprit bien vite qu'ils n'étaient pas les bienvenus et que leur aventure allait leur réserver bien des désagréments...
J'avoue @KlOohma que j'ai fait plus long comme chapitre mais autant j'ai adoré l'écrire autant la mise en scène a été une vrai crise de nerfs!! Les molosses sont surtout du genre à suivre les ordres pas à réfléchir, princesse ou pas, on embarque!
Non mais déjà quand j'ai vu les screens , je me suis dis la pauvre comment elle à du s'arracher les cheveux à cause de ce beau monde ^^
Et pour les couleurs des vêtements, c'est blanc=gentil / noir=méchant ou pas forcément ?
Comme dans ton histoire il y a une reine noire et reine blanche
● viens visiter mon blog ici Random legacy en cours (G5) ● Les potins ● Histoire surnaturelle et pleins d'autres choses !
Oh j'ai adoré J'étais impatiente, j'en attendais beaucoup et le moins que je puisse en dire c'est que je ne suis pas déçue et même complètement fascinée autant par ton récit que tes illustrations.
Ce monde s'il permet à Apoline et Rémi d'échapper à un danger me semble bien hostile tout à coup. Même peut-être n'est-ce que mirage? Ouch, c'est quand même pas de chance que d'avoir atterri au milieu du marché
Vivement la suite , ce nouveau personnage "la jeune femme" m'intrigue beaucoup
Ah! Non non @KlOohma pour les couleurs ça sera tout expliqué (si je me débrouille bien) après Mais c'est bien vu!
Merci @pytisa ! Pourtant je ne suis pas hyper fan de mes illustrations... En même temps quand j'écris je tourne un film alors essayer de diriger une horde de Sims qui n'en font qu'à leur rete après, c'est dur...
Je n'ai pas mise la photo mais on distingue les jarres du tableau dessus (je vous la montrerais quand j'aurais l'ordi )
Mais ils parlent le Dothraki ?! Quel chapitre ! C'est toujours aussi superbe franchement, par contre, je proteste, ou alors je suis pas assez réveillée (il est presque 11h il serait temps...) mais on la voit pas la belle jeune femme en fait ? J'imagine très bien la petite scène entre Apolline et Rémi
T'en fais pas @Caro220283 je ne suis pas plus réveillée Ouiiiiii t'as trouvé! Je me suis prise la tête à tout traduire et à conjuguer (oui y a meme de la grammaire Dothrakienne ) Sur une image que j'avais on la voyait mais je ne l'ai finalement pas utilisé donc non, vous ne la verrez pas
Merci!!
Réponses
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Pas à ma place (Terminée)
Charmant ? Vous avez dit charmant ? (Terminée)
Hors-série issus de Charmant ? : Les charmantes petites histoires
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2.1
La chaleur était insoutenable en ce jour. Le sol aride se craquelait par endroit comme ouvrant une multitude de bouches réclamant la faveur d'une simple goutte d'eau. Les pieds de la jeune femme la brûlaient mais habituée et sa peau recouverte de cornes, elle ne ressentait qu'une légère chaleur qui l'incommodait à peine. De la poussière se soulevait à chacun de ses pas. L'air était quasiment irrespirable rempli de particules et les poumons trop secs pour aspirer une grande quantité d'air chaud qui venait les assécher toujours un peu plus.
Elle s'arrêta et porta la main sur son front couvert d'infimes gouttelettes. "Si seulement je pouvais les boire" pensa-t-elle. Elle leva les yeux vers le ciel clair. Pas un seul nuage à l'horizon. Cela faisait des mois qu'il n'y avait pas eut d'eau. La déesse les privait de ce bien fait plusieurs fois par année afin de leur rappeler sa grande puissance et leur petitesse à eux, stupide peuple qui avait oser se rebeller contre elle des années auparavant.
La jeune femme se passa les mains sur les épaules pour se détendre et repris sa marche qu'elle essaya d'accélérer pour ne pas arriver trop tard. Au bout d'un certain temps des voix commencèrent à se faire entendre. Une nappe de poussière surplombait une grande place entourée de remparts. Les voix s'élevaient par à coups transperçant le brouhaha continu. Elle passa l'arche signifiant l'entrée de la place et se retrouva soudain entourée de personnes qui se pressaient courant d'une maison à l'autre, hurlant sur les enfants bagarreurs ou encore se chamaillant avec les vendeurs par rapport au prix exorbitant des poissons ou des fruits.
Elle ne prêta guère attention à ce remue-ménage familier et se dirigea directement au fond de la grande rue, qui n'était encore que terre et poussière, longeant les quelques maisons de commerçants qui avaient établis demeure ici pour être au plus près de leurs étales. Jouant quelque peu des coudes et de son charme, elle parvint à se frayer un chemin jusqu'au poissonnier. Toute sa marchandise était étalée sur une simple table en bois, soumise à la chaleur et aux mouches qui étaient toujours les premières à goûter la pêche du jour. D'un geste de la main, le poissonnier les chassa avant d'apercevoir la jeune femme qui fut recracher par la foule devant lui.
"Ah ! Anni chiorikem !" / "Ah! Ma femme!"
"Anha vos kemok ma yeroon..."/ "Je ne suis pas mariée avec toi..." répliqua la jeune femme en se penchant sur l'étale
"Asshekh, asshekh..." / "Un jour, un jour..." sourit le marchand d'un air malicieux
La jeune femme n'avait pas levé les yeux des poissons pendant le temps qu'avait durée la conversation. Elle lui en montra deux qui commençaient à dégager une forte odeur. Il les pris et les emballa négligemment dans un linge sale pendant qu'elle lui tendait 3 pièces de cuivre.
"Yer dirgi anni loy ?... Yer ezhiri mra atthirarido, yer naisi..." / "Tu penses à moi parfois ?... Tu danses dans mes rêves, tu sais..."
La jeune femme allait répondre lorsqu'un bruit fracassant retenti semblant provenir de toute la place en même temps. Elle s'imagina un coup de tonnerre mais le ciel restait clair et aucun éclair ne le déchira. Un deuxième coup retenti bien plus fort que le premier. La foule sidérée et soudain muette, reprit vie et des cris commencèrent à s'élever. Un mouvement de masse se dirigea vers l'unique sortie de la place, les gens se bousculaient, certains trébuchants se firent piétiner. Un troisième coup retenti faisant vibrer le sol. La jeune femme s'était réfugiée à plat ventre sous le stand du marchand qui l'avait déjà abandonné, profitant de sa forte corpulence pour se frayer un chemin dans la foule affolée.
Soudain une vive lumière jailli libérant deux masses qui vinrent s'écraser au sol pour ensuite disparaitre aussi vite qu'elle était apparue. Le silence était revenu, pesant, lourd, on entendait les mouches qui volaient autour des poissons. La jeune femme se releva doucement sans lâcher des yeux les deux masses qui s'étaient écraser quelques pas plus loin. Plusieurs personnes les avaient remarqués aussi et un groupe commençait à se former autour d'elles. Des murmures montaient et arrivèrent jusqu'à la jeune femme qui s'avançait toujours vers le groupe. "Mori thir ? / "Ils sont vivants ?", "fini qemmosor ?" / "Qu'est-ce que c'est que ces vêtements ?".
La jeune femme joua des coudes et arriva devant les deux étrangers allongés par terre.
Un enfant plus intrépide que les autres s'approcha de l'un des deux et lui mis un coup de pied dans la jambe. Un gémissement se fit entendre, le poussant à se reculer vivement pour rejoindre les bras de sa mère qui ne manqua pas de le sermonner. L'étranger qui venait de gémir se mis à bouger lentement ses doigts puis les mains pour finalement par ouvrir les yeux et se redresser doucement.
Quelque peu sonné, il mit un moment avant de distinguer l'attroupement autour de lui. Il ouvrit alors des yeux immenses et voyant son acolyte encore allongé à côté de lui, il se mit à le secouer violemment. Lorsque l'autre corps se retourna, il révéla celui d'une femme avec les cheveux ébouriffés qui lui mangeaient la moitié du visage. Elle grogna et commença à balancer ses bras autour d'elle donnant des coups à son coéquipier. La foule se mit à rire doucement devant le spectacle. Le jeune homme qui avait réveillé sa compagne, recula en se protégeant et commença à parler dans un dialecte inconnu. La scène virait au comique et certains enfants commençaient à applaudir en sautant autour d'eux.
"Mais arrêtes de me frapper! Et ouvre les yeux! Y a plein de gens autour de nous..."
"Quoi ?!!" Apolline cessa enfin son attaque et se souleva en essayant d'ouvrir les yeux mais la lumière était tellement puissante qu'elle dut s'y reprendre à plusieurs reprises. "Qui sont tous ces gens ?"
Ils regardaient à présent tous les regards rivés sur eux. Il y avait des hommes, des femmes et même des enfants qui continuaient à tourner en rond autour d'eux. Ils avaient la peau mate et tous les mêmes tenues.
"Tu crois qu'ils nous comprennent ? demanda Apolline ne sachant si elle devait se lever ou rester par terre sans bouger.
"Je n'en sais rien..."
Un mouvement se fit dans la foule qui se divisa en deux laissant passer des hommes immenses et musclés qui marchaient militairement en direction des deux étrangers.
"Oulà... Ca sent pas bon, répliqua Rémi en voyant les molosses aux regards noirs s'approcher dangereusement d'eux.
Il avait vu juste. Ils les entourèrent, les séparant de la foule dont ils ne pouvaient percevoir que les enfants qui essayaient de se faufiler entre leurs jambes. Deux des gardes se détachèrent du groupe pour les relever et tels des sacs à patates, ils les mirent sur leurs épaules.
"Mais lâchez-nous espèce de brutes! Reposez-nous par terre immédiatement !". Rémi s'égosillait, se débâtant ridiculement en secouant les bras et les jambes. Rien ne semblait atteindre ces montagnes de muscles.
En voyant Rémi se démener ainsi, Apolline comprit bien vite qu'ils n'étaient pas les bienvenus et que leur aventure allait leur réserver bien des désagréments...
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Enfin ils sont dans l'autre monde, rien de cassé apparemment, mais l'accueil à revoir quand même, il s'agit tout de même de votre princesse ^^
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Et pour les couleurs des vêtements, c'est blanc=gentil / noir=méchant ou pas forcément ?
Comme dans ton histoire il y a une reine noire et reine blanche
Ce monde s'il permet à Apoline et Rémi d'échapper à un danger me semble bien hostile tout à coup. Même peut-être n'est-ce que mirage? Ouch, c'est quand même pas de chance que d'avoir atterri au milieu du marché
Vivement la suite
Merci @pytisa ! Pourtant je ne suis pas hyper fan de mes illustrations... En même temps quand j'écris je tourne un film alors essayer de diriger une horde de Sims qui n'en font qu'à leur rete après, c'est dur...
Je n'ai pas mise la photo mais on distingue les jarres du tableau dessus (je vous la montrerais quand j'aurais l'ordi
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Pas à ma place (Terminée)
Charmant ? Vous avez dit charmant ? (Terminée)
Hors-série issus de Charmant ? : Les charmantes petites histoires
Merci!!
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Jamais ?
Chapeau pour le Dothraki
Pas à ma place (Terminée)
Charmant ? Vous avez dit charmant ? (Terminée)
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Pas besoin de te dire que j'attends la suite avec impatience
Pas à ma place (Terminée)
Charmant ? Vous avez dit charmant ? (Terminée)
Hors-série issus de Charmant ? : Les charmantes petites histoires