J'adore
Emmanuel est un personnage puissant, attachant, tout en relief. Il me plait et je lui fais confiance. Un homme adorable, Apolline a de la chance de l'avoir rencontré.
Enh îl a l'air tellement adorable son voisin, je l'aime beaucoup . Elle, par contre elle me fait trop mal au COEUR, la pauvre . J'espère qu'il va y avoir une solution à ça... Elle m'a l'air désespéré !
Je l'aime bien Emmanuel : il veille sur Apolline sans pour autant la surveiller et c'est vraiment une bonne personne sur qui elle peut compter. C'est rassurant .
Apolline a un copain ? Je suis impatiente de le découvrir... s'il existe vraiment ou seulement dans l'imagination d'Apolline
Bon une histoire de plus à suivre ! Je suis déjà très fan d’Apolline et j'ai vraiment hâte que tu nous racontes la suite de ses déboires. Elle a de la chance d'avoir un voisin et ami comme lui en tout. Bon vivement la suite pour voir où tu nous emmènes !
@MissCo, je viens de relire la phrase où Apolline par de son copain : "On verra bien. En attendant j'ai mon copain; dit-elle en attrapant son carnet et en le secouant devant elle." et je réalise à l'instant qu'elle parle de son calepin !
Cela dit, avoir un petit ami ne lui ferait pas de mal...
Elle ne se réveilla que plusieurs heures plus tard. Le soleil s'était déjà couché et la nuit avait pris place. Le vent soufflait à l'extérieur faisant craquer les branches et agiter l'eau de la piscine. Apolline se souleva doucement, essuyant un filet de bave de son menton. Sa mâchoire était toute endolorie et sa joue gauche sur laquelle elle s'était endormie, marquée par les plis du draps. Elle s'assit sur le rebord du matelas et se frotta le visage pour se réveiller et reprendre conscience de son environnement.
Elle venait de faire un rêve bizarre où tout était différent. Elle ne vivait pas dans cet appartement mais dans un immense endroit en pierre. Elle semblait importante aux regards des personnes qui l'entouraient, elle se sentait puissante.
Une grande fête avait lieu. Des lumières brillaient de toute part, illuminant la pièce de multiples couleurs. Les gens dansaient et riaient devant elle. Certains venaient la saluer, tous lui souriaient et semblaient heureux de la voir. Et elle partageait leur bonheur. La joie emplissait la pièce, les couleurs des tenues se mélangeaient à vous étourdir.
Apolline se leva de son siège prête à parler à son assemblée quand soudain un horrible craquement résonna. Le sol se mit à trembler, les gens commencèrent à crier et courir. Apolline était figée, incapable du moindre mouvement alors que le sol s'ouvrait en deux sous ses pieds. Un rire strident parvient à ses oreilles lorsque tout d'un coup elle chuta et tomba, disparaissant dans les entrailles de la Terre.
Son dos était trempé de sueur et ses cheveux en batailles. Elle fut prise de frison lorsque ses pieds nus touchèrent le parquet. Le vent soufflait violemment faisant vibrer les vitres. Elle s'avança vers la porte donnant sur sa petite terrasse. Le vieux chevalet qu'Emmanuel lui avait donné le jour où elle avait voulu se lancer désespérément dans la peinture, bougeait dangereusement. Elle sortie afin de le rentrer de peur qu'il ne se casse. Le souffle glacial la faucha et elle du se débattre et puiser dans son peu d'énergie pour parvenir à faire les deux pas qui la séparaient du chevalet. Elle réussi enfin à s'approcher et à poser une main dessus pour prendre appui quand brusquement le vent s'arrêta. Elle lâcha le chevalet et se redressa, regardant autour d'elle ce qui avait bien pu stopper la bourrasque qui était prête à la faire décoller un instant plus tôt.
Le calme était revenu et la résidence était complètement silencieuse. Pas un seul son n'émettait que ce soit le clapotis régulier de l'eau de la piscine ou le léger bruissement d'un animal dans les buissons. Le monde semblait comme éteint. Apolline se pinça les lobes d'oreilles et les secoua pour faire partir un éventuel bouchon, mais rien. Rien ne lui parvenait. Elle se rapprocha de la rambarde en poussant la chaise en fer qui grinça sur le sol. Elle n'était pas sourde. Elle s'appuya sur le rebord, penchant la tête pour regarder en bas.
Tout d'un coup un cri aussi strident qu'une craie crissant sur un tableau noir retenti dans le silence profond. Apolline surprise recula brusquement se cognant la hanche contre la table. Elle recula encore alors que le cri semblait foncer tout droit sur elle, fondant l'air.
Elle parvient jusqu'au bout de sa petite terrasse s'appuyant une fois de plus sur le chevalet. A peine venait-elle de l'effleurer qu'une vive douleur traversa son esprit.
Elle revoyait les gens qui hurlaient dans son rêve. La Terre qui s'ouvrait sous leurs pieds. Le feu qui brûlait. Et une forme noire qui s'avançait lentement vers elle.
Apolline tomba sur le carrelage froid de la terrasse. La douleur disparut comme elle était venue. Elle rouvrit les yeux doucement. Quelqu'un la prenait par le bras et la soulevait. Elle était épuisée et tout semblait flou et incertain autour d'elle. Elle sentit la chaleur d'un corps et tout devint noir.
Étrange @sirhc59 ? Carrément ouais ! Purée, alors là chapeau parce que tu m'as scotchée j'ai trop hâte de lire la suite ! Qu'est-ce que c'est que ce rêve ? La tempête, le cri... Quel suspens !
Réponses
~ Histoires ~
Legacy (G1, màj 26/06) : Descendance d'un Taulard (blog/forum)
Défi Apocalypse : Bref, j'ai tenté l'Apo'. (forum/blog)
Emmanuel est un personnage puissant, attachant, tout en relief. Il me plait et je lui fais confiance. Un homme adorable, Apolline a de la chance de l'avoir rencontré.
Apolline a un copain ?
Pas à ma place (Terminée)
Charmant ? Vous avez dit charmant ? (Terminée)
Hors-série issus de Charmant ? : Les charmantes petites histoires
@Pytisa : Merciii! Oui c'est un très bon voisin... Il représente mon voisin fantasmatique
@Floreliia : Je ne sais pas s'il y a une solution... Une explication peut-être plus ?...
@Larbreenboule : C'est le fait qu'elle ait passé une nuit agitée qui te fait dire qu'elle a un copain ?
@Lilisims : Merci !
@Caro220283 : Ooh! Merci de ta visite! Et une fan d'Apolline, une!
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C'est bien possible!
@sirhc59 : Pour ma plus grande joie
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1.3
Elle ne se réveilla que plusieurs heures plus tard. Le soleil s'était déjà couché et la nuit avait pris place. Le vent soufflait à l'extérieur faisant craquer les branches et agiter l'eau de la piscine. Apolline se souleva doucement, essuyant un filet de bave de son menton. Sa mâchoire était toute endolorie et sa joue gauche sur laquelle elle s'était endormie, marquée par les plis du draps. Elle s'assit sur le rebord du matelas et se frotta le visage pour se réveiller et reprendre conscience de son environnement.
Elle venait de faire un rêve bizarre où tout était différent. Elle ne vivait pas dans cet appartement mais dans un immense endroit en pierre. Elle semblait importante aux regards des personnes qui l'entouraient, elle se sentait puissante.
Une grande fête avait lieu. Des lumières brillaient de toute part, illuminant la pièce de multiples couleurs. Les gens dansaient et riaient devant elle. Certains venaient la saluer, tous lui souriaient et semblaient heureux de la voir. Et elle partageait leur bonheur. La joie emplissait la pièce, les couleurs des tenues se mélangeaient à vous étourdir.
Apolline se leva de son siège prête à parler à son assemblée quand soudain un horrible craquement résonna. Le sol se mit à trembler, les gens commencèrent à crier et courir. Apolline était figée, incapable du moindre mouvement alors que le sol s'ouvrait en deux sous ses pieds. Un rire strident parvient à ses oreilles lorsque tout d'un coup elle chuta et tomba, disparaissant dans les entrailles de la Terre.
Son dos était trempé de sueur et ses cheveux en batailles. Elle fut prise de frison lorsque ses pieds nus touchèrent le parquet. Le vent soufflait violemment faisant vibrer les vitres. Elle s'avança vers la porte donnant sur sa petite terrasse. Le vieux chevalet qu'Emmanuel lui avait donné le jour où elle avait voulu se lancer désespérément dans la peinture, bougeait dangereusement. Elle sortie afin de le rentrer de peur qu'il ne se casse. Le souffle glacial la faucha et elle du se débattre et puiser dans son peu d'énergie pour parvenir à faire les deux pas qui la séparaient du chevalet. Elle réussi enfin à s'approcher et à poser une main dessus pour prendre appui quand brusquement le vent s'arrêta. Elle lâcha le chevalet et se redressa, regardant autour d'elle ce qui avait bien pu stopper la bourrasque qui était prête à la faire décoller un instant plus tôt.
Le calme était revenu et la résidence était complètement silencieuse. Pas un seul son n'émettait que ce soit le clapotis régulier de l'eau de la piscine ou le léger bruissement d'un animal dans les buissons. Le monde semblait comme éteint. Apolline se pinça les lobes d'oreilles et les secoua pour faire partir un éventuel bouchon, mais rien. Rien ne lui parvenait. Elle se rapprocha de la rambarde en poussant la chaise en fer qui grinça sur le sol. Elle n'était pas sourde. Elle s'appuya sur le rebord, penchant la tête pour regarder en bas.
Tout d'un coup un cri aussi strident qu'une craie crissant sur un tableau noir retenti dans le silence profond. Apolline surprise recula brusquement se cognant la hanche contre la table. Elle recula encore alors que le cri semblait foncer tout droit sur elle, fondant l'air.
Elle parvient jusqu'au bout de sa petite terrasse s'appuyant une fois de plus sur le chevalet. A peine venait-elle de l'effleurer qu'une vive douleur traversa son esprit.
Elle revoyait les gens qui hurlaient dans son rêve. La Terre qui s'ouvrait sous leurs pieds. Le feu qui brûlait. Et une forme noire qui s'avançait lentement vers elle.
Apolline tomba sur le carrelage froid de la terrasse. La douleur disparut comme elle était venue. Elle rouvrit les yeux doucement. Quelqu'un la prenait par le bras et la soulevait. Elle était épuisée et tout semblait flou et incertain autour d'elle. Elle sentit la chaleur d'un corps et tout devint noir.
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Pas à ma place (Terminée)
Charmant ? Vous avez dit charmant ? (Terminée)
Hors-série issus de Charmant ? : Les charmantes petites histoires