Gabriel, notre premier fils, évoluait à une vitesse. C'était un bambin très éveillé. Et bientôt, il devint un bel enfant, avec les traits de son père.
Notre petit corps de ferme changea également avec quelque travaux supplémentaire, il devint une véritable maison familiale.
Nous avons agrandi la cuisine, installé une cheminée dans un véritable salon, construit un étage pour y mettre les chambres de Désirée et Gabriel. Nous avons déménagé Jules dans l'ancienne de notre aînée. Fait de la sienne une salle à manger et nous avons agrandit la notre.
Au sujet de Jules, il devint un adorable bambin. Blond comme son père.
Les deux plus grand s'adoraient et faisait tout ensemble.
Nous étions vraiment des parents comblés.
Si bien qu'un quatrième enfant vit le jour. Notre petite Louise.
J'adore cette photo. En la regardant, je suis éprise de nostalgie. Dessus, Désirée est une jeune fille magnifique, Gabriel a toujours les traits et son père et Jules, quant à lui ses cheveux.
Louise quant à elle, à cette époque, n'est plus un nourrisson.
Et les voilà, tous les quatre. Mon dieu, que j'aime cette photo aussi.
Désirée n'a pas abandonné le violon.
Et son frère Jules l'a très vite imité.
Ils ont toujours été proche ses deux là.
Mon aînée, toujours aussi aimante avec ses cadets, n'avait rien perdu de son instinct maternelle. Bientôt elle aura un mari et sera une bonne mère...
En attendant, nous profitions de nos dimanches en famille au parc.
Je suis tellement nostalgique de cette époque et si fière de mes enfants.
Gabriel fêta son anniversaire
Et devint un bel adolescent
Mes si beaux enfants. J'avais tellement peur de ne pas donner la vie, et me voilà, mère à quatre reprise. Mes anciennes peurs et doutes ce sont à présent envolés. J'avais un mari aimant et respectueux envers moi, et tendre avec sa progéniture. Il avait une tendresse particulière pour Jules, le seul blondinet de la fratrie.
Louise grandit à son tour. Elle me ressemblait déjà beaucoup.
Nous fîmes d'autres travaux. Et rajoutons deux autres chambres. De cette façon, Gabriel et Jules, n'avait plus à partager la leur.
Comme à l'accoutumé, nous allions au parc en fin de semaine. Et un dimanche, Désirée fit une rencontre qui aller changer sa vie.
A l'aube de ses 18 ans, elle rencontra Matthew, un jeune artiste peintre d'origine britannique. Né en France de parents Londoniens.
Et on dirait bien que le courant passait entre ces deux là...
Merci beaucoup. Je l'adore ! C'est un sims d'une autre partie mais je l'aimais tellement que je l'ai greffé à mon decade. C'est le fils de ma simself avec un sims que j'avais créé.
Je me rappelle encore du jour de la naissance de Désirée comme si c'était hier. Aucun mot n'est assez fort pour décrire ce que j'ai ressenti en tenant ce petit être contre moi. Elle a chassé tous mes nuages comme si elle était le soleil de ma vie.
18 ans se sont écoulés si vite, sans que je ne puisse retenir le temps. Il a glissé entre mes doigts comme de la soie. Il est arrivé un jour où elle est devenu une femme.
Une magnifique femme aux yeux azur.
Et ce qui était sans doute écrit quelque part arriva. Matthew ne résista pas à ses charmes. Ils tombèrent éperdument amoureux l'un de l'autre.
Comme tout jeune homme bien élevé, il est venu demander sa main à Émile.
Qui accepta volontiers. Il appréciait beaucoup le jeune anglais. Il avait reçu une éducation très stricte et se montrait particulièrement poli et respectueux. Je l'ai tout de suite aimé et accepté au sein de notre famille. Nous partagions la même passion pour la peinture et il était avare de mes conseils
Ils étaient très beaux tous les deux.
La veille de leur mariage, je fêtais mes quarante ans. Vingt années s'étaient écoulées depuis notre arrivée dans la ville. Émile occupait un poste haut placé au sein de la marie. Quand je repense à tout ce chemin parcouru, j'aurai aimé dire à celle que j'étais que tout irait bien. Qu'elle aurait les enfants qu'elle désirait tant et que son mari la vénérerait comme au premier jour. Qu'elle n'a pas fait tous ses sacrifices pour rien. J'aurai souhaité la réconforter dans les moments de peur et de doutes. Aujourd'hui, je suis fière de celle que je suis devenue.
Ma désirée était rayonnante le jour de ses épousailles. Il faut dire qu'un rien ne mettait en valeur ses grands yeux bleus.
Et sa robe était une des plus belles que je n'ai jamais vu.
La cérémonie avait eu lieu dans l'église même où j'avais prié Dieu de m'offrir des enfants. L'endroit était magnifique. La lumière passait à travers les vitraux comme une lueur céleste. Inondant la salle de reflets doux et colorés.
J'espère que leur nuit de noce était à la hauteur de leur attente...
Et nous l'annonça. Ce fut à la fois un choc et une immense joie pour moi. Mon enfant allait avoir son propre enfant. J'avais du mal à réaliser. Pourtant, j'étais si fière d'elle...
Au fond, si je devais être totalement sincère, je vous avouerais qu'une pointe de jalousie naissait en moi. J'avais mis tellement de temps à avoir un bébé après mon mariage et ma fille a pu concevoir le sien le jour même de la nuit de noce. De plus j'étais toujours - plus au moins - en âge d'avoir des enfants et depuis la naissance de Louise, malgré nos essais, je n'en avais pas eu d'autres. Émile, vieillissait, certes, et nous avions déjà 4 enfants, mais je ne pouvais m'empêcher de l'envier...
D'autant plus que Jules fêta son anniversaire
Et devint un bel adolescent.
Les semaines passèrent, la grossesse de Désirée devenait compliquée. Elle fut souvent malade. Mais son époux prenait soin d'elle et elle grossissait à vu d’œil.
Les dernières semaines furent plus facile pour elle.
Je profitais de ses moments pour lui donner quelque conseils d'éducations. Et bien sûr, je me montrais très attentive aux mouvements du bébé. Mon futur petit enfant. Tout en continuant à la jalouser, désirant plus que tout voir mon ventre s'arrondir encore une dernière fois.
Un soir, il vint me trouver pour m'informer que le travail commençait. Elle était paniquée et souffrance. Elle implorait mon aide pour l'accouchement
Nous montions dans sa chambre. Matthew était tout aussi affolé.
Je l'aida jusqu'à la délivrance. Son époux auprès d'elle, lui tenant la main et la rassurant.
A l'aube, l'enfant naquit.
Ainsi Rose vu le jour. Une adorable petite fille.
Elle faisait déjà le bonheur de ses parents.
Et la fierté de son grand père.
Son père la vénérait, la couvrant de baiser.
A vrai dire, chacun de nous aimait sa petite bouille de nouveau né.
C'était une grande et belle famille que nous avions là. Les jours s'écoulèrent. Les hommes de la famille passait leur journée de repos ensemble, souvent à la pèche.
Et le cycle de la vie qui tournait sans cesse fit de Rose un bambin choyé. Cette petit avait le regard azur de sa mère, et par conséquent de son grand père.
Gabriel devint un homme.
Il fut contacter par le patron d’Émile. Il avait besoin de quelqu'un pour travailler dans la mairie d'une ville voisine.
Quelle ne fut pas ma tristesse quand il m'informa qu'il quittait le domicile familiale. Je fus d'autant plus éplorée qu'il m'indiqua son nouveau chef avait également besoin de Jules.
Jules qui était encore à l'école et qui n'avait pas encore 18 ans.
« Comprend moi maman, c'est une offre intéressante. Certes Jules n'est pas encore majeur mais c'est une carrière qu'il nous offre à tout deux. »
« Et Jules, dans tout ça, as tu pensé à lui ? » M'écriais-je, au bord de les larmes.
« Je suis d'accord, maman. Je vivrais avec Gabriel et je travaillerai très dur. » Me répondit-il, calmement.
« Et tes études ? Ne peux tu pas attendre d'obtenir ton diplôme ? »
« Il nous veux tous les deux, maintenant. Sinon il proposera les deux emplois à d'autres hommes. Comme il connaît notre père, il a d'abord pensé à nous. Jules a 16 ans. Il peut légalement quitté l'école. »
J'étais sidérée.
« Je n'ai pas besoin de finir mes études, maman. C'est une opportunité que je veux saisir. Gabriel sera avec moi. Nous pouvons nous occuper de nous. »
Je luttais pour de pas m'emporter contre mes deux seuls fils. Jamais je ne leur avait crié dessus. Et je ne voulais pas commencer maintenant, craignant de les faire partir du foyer plus tôt.
« Votre père, est-il au courant ? »
« Oui, maman. »
J'étais outrée d'apprendre que mon époux savait et qu'il ne m'avait rien dit. Submergée par mes émotions, je gardais le silence.
« Il nous a dit que c'était à nous de te l'annoncer. Papa pense que c'est une sage décision d'accepter. » Ajouta Jules.
« Très bien » Murmurais-je, sanglotant.
Je me sentais trahie. A la fois par mes fils, mais aussi, et surtout par mon Mari. Gabriel et Jules acceptèrent l'offre et déménagèrent du foyer. Me laissant emplie de tristesse.
La maison me paraissait si calme sans mes deux grands fils. Ils me manquèrent tant. L’échiquier, qu'ils utilisaient si souvent tous les deux, étant maintenant occupé par Émile et Louise.
Même nos repas de famille semblaient tellement fades et sans saveur sans mon Gabriel et mon Jules.
Fort heureusement, le rire de ma petite fille, Rose résonnait souvent dans cette si grande maison. Me donnant un peu de baume au cœur.
Puis, contre toute attente, je tomba enceinte.
Le plus surprenant, c'est que Désirait aussi, et ce en même temps que moi.
Savoir que deux nourrissons allaient bientôt nous rejoindre m'emplit de bonheur. Bien sûr, ils ne pourront replacer les deux fils qui avaient quitté le domicile familial. Mais que de joie de sentir ce petit être qui grandit dans mon ventre. C'est également réjouissant de savoir qu'en plus d'être à nouveau mère, je serai également grand mère encore une fois. Et ce, dans la même période.
Gabriel nous rendit visite peu de temps après avoir appris nos grossesses respectives. Il fut, lui aussi, étonné de cette annonce.
Bien que Jules ne soit pas venu, ce jour là sera inoubliable, sa visite nous fîmes de bien à tous. Et les démonstrations d'affection ne manquèrent pas.
Les jours passèrent, Désirée m'aidait à présent à la culture de notre potager.
Et la petite Rose évoluait bien.
Et se montrait toujours aussi affectueuse.
Il régnait en ces temps là, une atmosphère chaleureuse.
Et nos grossesses se déroulaient bien. Bien qu'étant au même stade que ma fille, j'avais l'impression de prendre plus de poids. Peut être que mon enfant sera plus fort que le sien.
Nos hommes nous choyaient.
Et nous prenions soin l'une de l'autre.
Mon Émile vieillissait...
Ses cheveux blonds comme les blés tournèrent au blanc. Je savais qu'il ne serait pas éternel. Et que l'enfant que je portais serait sûrement le dernier que je lui donnerai. J'appréhendais ce jour. Le jour où il partira laissant un vide immense dans mon cœur.
En attendant, je me concentrais sur ce dernier bébé à venir. J'étais maintenant dans les derniers tournant de ma grossesse. Ainsi que Désirée, qui me rattrapa niveau kilo.
Au dernier mois, elle tomba brièvement malade. Ce qui m'inquiétait. Mais au fond de moi, quelque part, bien enfoui dans le tréfonds de mon inconscient, cela me faisait plaisir. Comme si nous étions en compétition. Voir mon « adversaire » faiblir me donnait une joie malsaine et jouissive. Cette vieille jalousie faisait surface. Je savais que c'était idiot, d'autant plus que j'aimais ma fille et j'adorai déjà mon futur petit enfant. Mais elle se rétablit vite.
Vint ensuite le jour des 13 ans de Louise. Elle devint une si jolie jeune fille. Qui était mon portrait craché.
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Merci pour vos commentaires !
Et voici la suite de leur aventure :
Gabriel, notre premier fils, évoluait à une vitesse. C'était un bambin très éveillé. Et bientôt, il devint un bel enfant, avec les traits de son père.
Notre petit corps de ferme changea également avec quelque travaux supplémentaire, il devint une véritable maison familiale.
Nous avons agrandi la cuisine, installé une cheminée dans un véritable salon, construit un étage pour y mettre les chambres de Désirée et Gabriel. Nous avons déménagé Jules dans l'ancienne de notre aînée. Fait de la sienne une salle à manger et nous avons agrandit la notre.
Au sujet de Jules, il devint un adorable bambin. Blond comme son père.
Les deux plus grand s'adoraient et faisait tout ensemble.
Nous étions vraiment des parents comblés.
Si bien qu'un quatrième enfant vit le jour. Notre petite Louise.
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J'adore cette photo. En la regardant, je suis éprise de nostalgie. Dessus, Désirée est une jeune fille magnifique, Gabriel a toujours les traits et son père et Jules, quant à lui ses cheveux.
Louise quant à elle, à cette époque, n'est plus un nourrisson.
Et les voilà, tous les quatre. Mon dieu, que j'aime cette photo aussi.
Désirée n'a pas abandonné le violon.
Et son frère Jules l'a très vite imité.
Ils ont toujours été proche ses deux là.
Mon aînée, toujours aussi aimante avec ses cadets, n'avait rien perdu de son instinct maternelle. Bientôt elle aura un mari et sera une bonne mère...
En attendant, nous profitions de nos dimanches en famille au parc.
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Gabriel fêta son anniversaire
Et devint un bel adolescent
Mes si beaux enfants. J'avais tellement peur de ne pas donner la vie, et me voilà, mère à quatre reprise. Mes anciennes peurs et doutes ce sont à présent envolés. J'avais un mari aimant et respectueux envers moi, et tendre avec sa progéniture. Il avait une tendresse particulière pour Jules, le seul blondinet de la fratrie.
Louise grandit à son tour. Elle me ressemblait déjà beaucoup.
Nous fîmes d'autres travaux. Et rajoutons deux autres chambres. De cette façon, Gabriel et Jules, n'avait plus à partager la leur.
Comme à l'accoutumé, nous allions au parc en fin de semaine. Et un dimanche, Désirée fit une rencontre qui aller changer sa vie.
A l'aube de ses 18 ans, elle rencontra Matthew, un jeune artiste peintre d'origine britannique. Né en France de parents Londoniens.
Et on dirait bien que le courant passait entre ces deux là...
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18 ans se sont écoulés si vite, sans que je ne puisse retenir le temps. Il a glissé entre mes doigts comme de la soie. Il est arrivé un jour où elle est devenu une femme.
Une magnifique femme aux yeux azur.
Et ce qui était sans doute écrit quelque part arriva. Matthew ne résista pas à ses charmes. Ils tombèrent éperdument amoureux l'un de l'autre.
Comme tout jeune homme bien élevé, il est venu demander sa main à Émile.
Qui accepta volontiers. Il appréciait beaucoup le jeune anglais. Il avait reçu une éducation très stricte et se montrait particulièrement poli et respectueux. Je l'ai tout de suite aimé et accepté au sein de notre famille. Nous partagions la même passion pour la peinture et il était avare de mes conseils
Ils étaient très beaux tous les deux.
La veille de leur mariage, je fêtais mes quarante ans. Vingt années s'étaient écoulées depuis notre arrivée dans la ville. Émile occupait un poste haut placé au sein de la marie. Quand je repense à tout ce chemin parcouru, j'aurai aimé dire à celle que j'étais que tout irait bien. Qu'elle aurait les enfants qu'elle désirait tant et que son mari la vénérerait comme au premier jour. Qu'elle n'a pas fait tous ses sacrifices pour rien. J'aurai souhaité la réconforter dans les moments de peur et de doutes. Aujourd'hui, je suis fière de celle que je suis devenue.
Ma désirée était rayonnante le jour de ses épousailles. Il faut dire qu'un rien ne mettait en valeur ses grands yeux bleus.
Et sa robe était une des plus belles que je n'ai jamais vu.
La cérémonie avait eu lieu dans l'église même où j'avais prié Dieu de m'offrir des enfants. L'endroit était magnifique. La lumière passait à travers les vitraux comme une lueur céleste. Inondant la salle de reflets doux et colorés.
J'espère que leur nuit de noce était à la hauteur de leur attente...
Et nous l'annonça. Ce fut à la fois un choc et une immense joie pour moi. Mon enfant allait avoir son propre enfant. J'avais du mal à réaliser. Pourtant, j'étais si fière d'elle...
Au fond, si je devais être totalement sincère, je vous avouerais qu'une pointe de jalousie naissait en moi. J'avais mis tellement de temps à avoir un bébé après mon mariage et ma fille a pu concevoir le sien le jour même de la nuit de noce. De plus j'étais toujours - plus au moins - en âge d'avoir des enfants et depuis la naissance de Louise, malgré nos essais, je n'en avais pas eu d'autres. Émile, vieillissait, certes, et nous avions déjà 4 enfants, mais je ne pouvais m'empêcher de l'envier...
D'autant plus que Jules fêta son anniversaire
Et devint un bel adolescent.
Les semaines passèrent, la grossesse de Désirée devenait compliquée. Elle fut souvent malade. Mais son époux prenait soin d'elle et elle grossissait à vu d’œil.
Les dernières semaines furent plus facile pour elle.
Je profitais de ses moments pour lui donner quelque conseils d'éducations. Et bien sûr, je me montrais très attentive aux mouvements du bébé. Mon futur petit enfant. Tout en continuant à la jalouser, désirant plus que tout voir mon ventre s'arrondir encore une dernière fois.
Un soir, il vint me trouver pour m'informer que le travail commençait. Elle était paniquée et souffrance. Elle implorait mon aide pour l'accouchement
Nous montions dans sa chambre. Matthew était tout aussi affolé.
Je l'aida jusqu'à la délivrance. Son époux auprès d'elle, lui tenant la main et la rassurant.
A l'aube, l'enfant naquit.
Ainsi Rose vu le jour. Une adorable petite fille.
Elle faisait déjà le bonheur de ses parents.
Et la fierté de son grand père.
Son père la vénérait, la couvrant de baiser.
A vrai dire, chacun de nous aimait sa petite bouille de nouveau né.
Et le cycle de la vie qui tournait sans cesse fit de Rose un bambin choyé. Cette petit avait le regard azur de sa mère, et par conséquent de son grand père.
Gabriel devint un homme.
Il fut contacter par le patron d’Émile. Il avait besoin de quelqu'un pour travailler dans la mairie d'une ville voisine.
Quelle ne fut pas ma tristesse quand il m'informa qu'il quittait le domicile familiale. Je fus d'autant plus éplorée qu'il m'indiqua son nouveau chef avait également besoin de Jules.
Jules qui était encore à l'école et qui n'avait pas encore 18 ans.
« Comprend moi maman, c'est une offre intéressante. Certes Jules n'est pas encore majeur mais c'est une carrière qu'il nous offre à tout deux. »
« Et Jules, dans tout ça, as tu pensé à lui ? » M'écriais-je, au bord de les larmes.
« Je suis d'accord, maman. Je vivrais avec Gabriel et je travaillerai très dur. » Me répondit-il, calmement.
« Et tes études ? Ne peux tu pas attendre d'obtenir ton diplôme ? »
« Il nous veux tous les deux, maintenant. Sinon il proposera les deux emplois à d'autres hommes. Comme il connaît notre père, il a d'abord pensé à nous. Jules a 16 ans. Il peut légalement quitté l'école. »
J'étais sidérée.
« Je n'ai pas besoin de finir mes études, maman. C'est une opportunité que je veux saisir. Gabriel sera avec moi. Nous pouvons nous occuper de nous. »
Je luttais pour de pas m'emporter contre mes deux seuls fils. Jamais je ne leur avait crié dessus. Et je ne voulais pas commencer maintenant, craignant de les faire partir du foyer plus tôt.
« Votre père, est-il au courant ? »
« Oui, maman. »
J'étais outrée d'apprendre que mon époux savait et qu'il ne m'avait rien dit. Submergée par mes émotions, je gardais le silence.
« Il nous a dit que c'était à nous de te l'annoncer. Papa pense que c'est une sage décision d'accepter. » Ajouta Jules.
« Très bien » Murmurais-je, sanglotant.
Je me sentais trahie. A la fois par mes fils, mais aussi, et surtout par mon Mari. Gabriel et Jules acceptèrent l'offre et déménagèrent du foyer. Me laissant emplie de tristesse.
Même nos repas de famille semblaient tellement fades et sans saveur sans mon Gabriel et mon Jules.
Fort heureusement, le rire de ma petite fille, Rose résonnait souvent dans cette si grande maison. Me donnant un peu de baume au cœur.
Puis, contre toute attente, je tomba enceinte.
Le plus surprenant, c'est que Désirait aussi, et ce en même temps que moi.
Savoir que deux nourrissons allaient bientôt nous rejoindre m'emplit de bonheur. Bien sûr, ils ne pourront replacer les deux fils qui avaient quitté le domicile familial. Mais que de joie de sentir ce petit être qui grandit dans mon ventre. C'est également réjouissant de savoir qu'en plus d'être à nouveau mère, je serai également grand mère encore une fois. Et ce, dans la même période.
Gabriel nous rendit visite peu de temps après avoir appris nos grossesses respectives. Il fut, lui aussi, étonné de cette annonce.
Bien que Jules ne soit pas venu, ce jour là sera inoubliable, sa visite nous fîmes de bien à tous. Et les démonstrations d'affection ne manquèrent pas.
Les jours passèrent, Désirée m'aidait à présent à la culture de notre potager.
Et la petite Rose évoluait bien.
Et se montrait toujours aussi affectueuse.
Il régnait en ces temps là, une atmosphère chaleureuse.
Et nos grossesses se déroulaient bien. Bien qu'étant au même stade que ma fille, j'avais l'impression de prendre plus de poids. Peut être que mon enfant sera plus fort que le sien.
Nos hommes nous choyaient.
Et nous prenions soin l'une de l'autre.
Mon Émile vieillissait...
Ses cheveux blonds comme les blés tournèrent au blanc. Je savais qu'il ne serait pas éternel. Et que l'enfant que je portais serait sûrement le dernier que je lui donnerai. J'appréhendais ce jour. Le jour où il partira laissant un vide immense dans mon cœur.
En attendant, je me concentrais sur ce dernier bébé à venir. J'étais maintenant dans les derniers tournant de ma grossesse. Ainsi que Désirée, qui me rattrapa niveau kilo.
Au dernier mois, elle tomba brièvement malade. Ce qui m'inquiétait. Mais au fond de moi, quelque part, bien enfoui dans le tréfonds de mon inconscient, cela me faisait plaisir. Comme si nous étions en compétition. Voir mon « adversaire » faiblir me donnait une joie malsaine et jouissive. Cette vieille jalousie faisait surface. Je savais que c'était idiot, d'autant plus que j'aimais ma fille et j'adorai déjà mon futur petit enfant. Mais elle se rétablit vite.
Vint ensuite le jour des 13 ans de Louise. Elle devint une si jolie jeune fille. Qui était mon portrait craché.
Chris CréationsSims *** YouTube *** Twitter *** Facebook Chris CréationsSims *** L'UniverSims
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