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{Decade Challenge} L'histoire des De Oliveri [M.A.J 03/03]
Vixy
Messages: 11 Membre
Bonjour à tous !
Aujourd'hui je commence mon Decade Challenge, que je voulais commencer depuis un bout de temps maintenant !
Rentrons tout de suite dans le vif du sujet : pour les règles, j'utilise celles de @l0v3hina qui sont ici : https://forums.thesims.com/fr_FR/discussion/780407/challenge-decade-new-generation/p1
Mis à part ça je joue en durée de vie normale avec des saisons de 7 jours.
Je pense avoir tout dit, alors passons à la présentation des protagonistes !
Sur ce, commençons !
Aujourd'hui je commence mon Decade Challenge, que je voulais commencer depuis un bout de temps maintenant !
Rentrons tout de suite dans le vif du sujet : pour les règles, j'utilise celles de @l0v3hina qui sont ici : https://forums.thesims.com/fr_FR/discussion/780407/challenge-decade-new-generation/p1
Mis à part ça je joue en durée de vie normale avec des saisons de 7 jours.
Je pense avoir tout dit, alors passons à la présentation des protagonistes !
Voici tout d'abord Monsieur Hubert De Oliveri, un homme bienveillant, rat de bibliothèque et égocentrique qui souhaite avoir une descendance qui réussira autant que lui.
Et voici sa femme, Madame Célestine De Oliveri, née Auverlo, une jeune femme proche de sa famille, soignée et aussi solitaire. Elle rêve de fonder un grand foyer d'amour !
Et voici sa femme, Madame Célestine De Oliveri, née Auverlo, une jeune femme proche de sa famille, soignée et aussi solitaire. Elle rêve de fonder un grand foyer d'amour !
Sur ce, commençons !
~~~~~
Chapitre 1
Ça y est, c'était le grand jour... Ce jour où Célestine emménageait dans la maison dans laquelle elle finirait sans doute sa vie... Et oui, aujourd'hui elle arrivait dans le manoir de son mari, qu'elle avait épousé par intérêt. La bâtisse, son homme en avait hérité au décès de ses parents (ainsi que toute leur fortune). L'endroit était gigantesque, perdu dans la campagne de Windenburg...
Célestine n'en croyait pas ses yeux, tout était grand, beau...
Son mari vînt rapidement la saluer en l'embrassant. Il la remercia d'être venue et lui dit que, même si leur mariage n'avait pas eu lieu par amour, il tenterait de se comporter comme il le faudrait.
Madame se sentait rassurée, presque détendue et réussissais à se convaincre que cette nouvelle vie n'était en fait pas si mal... Après cela, Hubert se retira pour aller travailler dans son bureau,
Et sa femme s'en alla cuisiner un bon repas, comme sa mère lui avait appris à faire quand elle était jeune...
Une fois son dîner terminé, elle entendit du bruit dans le salon...
C'était Hubert, qui se détendait en jouant du piano... Célestine ne savait pas que son mari s'avait jouer alors elle rentra sans un bruit et s'installa sur l'un des grand canapés de la pièce.
Les deux profitèrent pleinement de ce moment, à la fois liés par cette mélodie mais à la fois aussi très distant l'un de l'autre... Vers 17h, quelqu'un toqua à la porte. Il s'agissait en fait des voisins qui, ayant entendu qu'il y avait une nouvelle venue dans le quartier, étaient venus la saluer.
L'un d'eux se trouve le médecin du village, Dominic Fyres. C'est un grand ami d'Hubert, un homme sympathique, intelligent et érudit. (Je l'ai modifié pour qu'il corresponde plus au style de l'époque : c'est l'homme à barbe sur la première photo
)
Tous partirent après une heure de discussions, en temps qu'amis. Après ça, le couple se rendit à table pour dîner.
Le début du repas était assez tendu : les deux étaient gênés et ne savaient pas quoi dire... A un moment, Hubert engagea la conversation :
-Vous savez, j'ai grandi dans une famille où l'échec n'existait pas. Ma mère, une riche baronne, m'a élevé jusqu'à ce que j'ai l'âge de partir en pension. Là bas, j'ai appris à devenir le meilleur. Mon père, lui, était peu présent au foyer durant mon enfance. Il était un grand politicien qui voyageait beaucoup. Alors lorsque j'en ai eu l'âge, j'ai intégré la célèbre université de Britchester. Je souhaitais travailler pour pouvoir, un jour, le rejoindre. Malheureusement, lorsque j'ai obtenu mon doctorat en lettre, j'ai appris le décès de mon père, qui fut rejoint quelques mois plus tard par ma pauvre mère... Après ça, j'ai hérité de cette demeure puis je vous ai rencontrée. Et vous ma douce, où avez-vous grandis ?
-Je... Je ne sais pas si... Si c'est le bon moment pour parler de ça avec vous Monsieur...
-Ma chère Célestine... Ne vous sentez pas obligée de me parler tout de suite... Libre à vous de choisir le moment où vous m'en apprendrez plus sur vous, mais, sachez que le jour où vous le ferez, je serais présent pour vous écouter. Je me répète mais je m'excuse que notre mariage n'est pas été un mariage d'amour... Sachez que si, un jour, nous venions à tomber réellement amoureux l'un de l'autre, je ferais mon possible pour être un bon mari. Je ne vous veux que du bien Célestine...
La femme était bouche bée... Elle ne savait pas quoi répondre au paroles de son mari qu'elle pensait hautain et auto-centré, et qui pourtant semblait gentil et attentionné...
Après le dîner, tout deux retournèrent vaquer à leurs occupations : Célestine fit ce que toute bonne épouse se devait de faire : la vaisselle,
Et Hubert se rendit de nouveau dans son bureau pour lire.
Quelques minutes plus tard, il fut rejoins par sa femme qui rentra sans dire un mot.
A ce moment là, tout se mit à s’accélérer : toujours sans un mot, les deux amoureux se regardèrent, puis montèrent dans la chambre. Ils se mirent au niveau du lit et là, tout était comme évident pour eux... Cette nuit là fut mouvementée mais donna à Célestine l'espoir de pouvoir, d'ici peu, avoir une descendance.
Célestine n'en croyait pas ses yeux, tout était grand, beau...
Son mari vînt rapidement la saluer en l'embrassant. Il la remercia d'être venue et lui dit que, même si leur mariage n'avait pas eu lieu par amour, il tenterait de se comporter comme il le faudrait.
Madame se sentait rassurée, presque détendue et réussissais à se convaincre que cette nouvelle vie n'était en fait pas si mal... Après cela, Hubert se retira pour aller travailler dans son bureau,
Et sa femme s'en alla cuisiner un bon repas, comme sa mère lui avait appris à faire quand elle était jeune...
Une fois son dîner terminé, elle entendit du bruit dans le salon...
C'était Hubert, qui se détendait en jouant du piano... Célestine ne savait pas que son mari s'avait jouer alors elle rentra sans un bruit et s'installa sur l'un des grand canapés de la pièce.
Les deux profitèrent pleinement de ce moment, à la fois liés par cette mélodie mais à la fois aussi très distant l'un de l'autre... Vers 17h, quelqu'un toqua à la porte. Il s'agissait en fait des voisins qui, ayant entendu qu'il y avait une nouvelle venue dans le quartier, étaient venus la saluer.
L'un d'eux se trouve le médecin du village, Dominic Fyres. C'est un grand ami d'Hubert, un homme sympathique, intelligent et érudit. (Je l'ai modifié pour qu'il corresponde plus au style de l'époque : c'est l'homme à barbe sur la première photo
)Tous partirent après une heure de discussions, en temps qu'amis. Après ça, le couple se rendit à table pour dîner.
Le début du repas était assez tendu : les deux étaient gênés et ne savaient pas quoi dire... A un moment, Hubert engagea la conversation :
-Vous savez, j'ai grandi dans une famille où l'échec n'existait pas. Ma mère, une riche baronne, m'a élevé jusqu'à ce que j'ai l'âge de partir en pension. Là bas, j'ai appris à devenir le meilleur. Mon père, lui, était peu présent au foyer durant mon enfance. Il était un grand politicien qui voyageait beaucoup. Alors lorsque j'en ai eu l'âge, j'ai intégré la célèbre université de Britchester. Je souhaitais travailler pour pouvoir, un jour, le rejoindre. Malheureusement, lorsque j'ai obtenu mon doctorat en lettre, j'ai appris le décès de mon père, qui fut rejoint quelques mois plus tard par ma pauvre mère... Après ça, j'ai hérité de cette demeure puis je vous ai rencontrée. Et vous ma douce, où avez-vous grandis ?
-Je... Je ne sais pas si... Si c'est le bon moment pour parler de ça avec vous Monsieur...
-Ma chère Célestine... Ne vous sentez pas obligée de me parler tout de suite... Libre à vous de choisir le moment où vous m'en apprendrez plus sur vous, mais, sachez que le jour où vous le ferez, je serais présent pour vous écouter. Je me répète mais je m'excuse que notre mariage n'est pas été un mariage d'amour... Sachez que si, un jour, nous venions à tomber réellement amoureux l'un de l'autre, je ferais mon possible pour être un bon mari. Je ne vous veux que du bien Célestine...
La femme était bouche bée... Elle ne savait pas quoi répondre au paroles de son mari qu'elle pensait hautain et auto-centré, et qui pourtant semblait gentil et attentionné...
Après le dîner, tout deux retournèrent vaquer à leurs occupations : Célestine fit ce que toute bonne épouse se devait de faire : la vaisselle,
Et Hubert se rendit de nouveau dans son bureau pour lire.
Quelques minutes plus tard, il fut rejoins par sa femme qui rentra sans dire un mot.
A ce moment là, tout se mit à s’accélérer : toujours sans un mot, les deux amoureux se regardèrent, puis montèrent dans la chambre. Ils se mirent au niveau du lit et là, tout était comme évident pour eux... Cette nuit là fut mouvementée mais donna à Célestine l'espoir de pouvoir, d'ici peu, avoir une descendance.
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Chouette mise en bouche
Espérons que Celestine aura des enfants du premier coup!
@Jadis Pour l'histoire de Célestine, peut-être que vous le saurez un jour ! Merciii !
@Haviko Merciii ! Et oui ils sont rapides les cocos !
@helliosk Merciii ! J'avoue que j'ai vraiment galéré avec cette maison donc je suis contente qu'elle plaise !
Le matin, elle se levait tôt pour préparer à manger à son mari,
Ranger la maison,
Rallumer les différentes cheminées...
Malgré tout, elle continuait de sourire face à son homme. Elle ne s'avait pas comment lui annoncer qu'elle avait peur de ne pas être enceinte... Lui ne voyait rien : il passait ses journées à travailler et n'avait pas beaucoup de temps pour sa femme. Les moment qu'ils passaient ensembles dans la journée se comptaient facilement sur les doigts de la main... Le matin, avant de partir, il déjeunait puis allait rapidement embrasser sa femme,
Et les deux amoureux ne se retrouvaient que tard le soir, lorsque Célestine lui servait le repas.
La journée, lorsque la femme de la maison était seule, elle tentait de s'occuper : dans son temps libre, elle appréciait cuisiner, peindre ou encore lire (car elle faisait partie de ces jeunes filles qui avaient eues la possibilité d'apprendre la lecture, alors elle profitait de sa chance).
Mais ce matin là, tout était différent... Aujourd'hui, Célestine se sentait mal, TRÈS mal.
Dès son réveil, Hubert s'inquiéta pour sa femme et partit en courant, à peine réveillé, chercher le docteur Fyres.
En attendant le retour de son mari, madame commençait à s'inquiéter... Elle avait de plus en plus mal au ventre et ses nausées s'accentuaient...
A l'arrivée du médecin, il l’auscultas et examina son ventre.
Après ça, Dominic annonça son diagnostique à Célestine :
-Mme De Oliveri, vos symptômes sont clairs : vous attendez un enfant.
-C... Comment ?
-Oui madame, il n'y a pas de doutes, et vous devriez d'ailleurs le dire à votre mari au plus vite. Je le connais bien, il sera heureux.
-Merci beaucoup Docteur !
Ensuite, elle alla annoncer la grande nouvelle à son homme. Et comme l'avait prédit monsieur Fyres, il était très content de la nouvelle !
Il commençait déjà à parler à SON garçon : "Tu seras fort et grand comme papa mon fils" ou encore "Plus tard, tu suivras les pas de ton père et deviendras un grand homme d'affaire". Célestine n'osait imaginer la déception d'Hubert si elle attendait une petite fille. Il avait l'air si heureux...
Et voilà, c'est tout pour aujourd'hui ! J'écrirais un peu plus demain donc attendez vous à voir un chapitre sortir d'ici quelques jours !
Malgré tout, madame était de plus en plus fatigué : en plus du travail qu'elle devait faire à la maison, elle avait beaucoup de nausées matinales et était moins productive...
Parfois le soir, quand Hubert rentrait, il trouvait sa femme endormie sur le canapé du salon.
Lorsqu'il la voyait ainsi, il ne la réveillait pas. Il s'avait que Célestine était épuisée et qu'elle avait besoin de repos alors, il essayait de l'aider. Par exemple, il réparait l'évier défaillant ou rangeait les livres du salon.
Aujourd’hui était un jour différent : c'était Pâques ! Hubert avait prévu un dîner avec quelques voisins pour fêter l'occasion. En cette événement, Célestine décida d'aller au marché.
Pour ça, elle mit son plus bel habit du dimanche :
Cette tenue lui avait été offerte par son mari il y a quelques mois de cela et elle aimait beaucoup la porter. Quand elle descendit, Hubert la trouva sublime. Il la complimenta. Elle étant vite gênée, elle ne savait pas quoi dire. Après ça, elle s'en alla.
Le marché n'était qu'à deux pas de la maison, alors elle ne pris pas beaucoup de temps pour s'y rendre.
Là bas, elle croisa son amie et voisine Catherine, la fille du Docteur Fyres.
Les deux femmes décidèrent de faire leurs courses ensemble.
Après ça, Célestine rentra au manoir, ce changea et prépara le repas. Elle choisit alors de faire une dinde avec quelques légumes :
Elle était fier de son repas et elle espérait que ses convives l’apprécierait ! Pendant ce temps, au salon, Hubert s'entraîner pour pouvoir jouer son morceau devant les invités.
Ensuite, mari et femme allèrent se préparer pour la soirée. Célestine portait une magnifique robe jaune que son mari avait choisi pour elle. Elle qui n'avait déjà pas l'habitude des dîners de fête, ce genre de robe lui faisait une sensation étrange...
Hubert ,quand à lui, portait un costume chic et un chapeau haut de forme.
Quand les invités arrivèrent, tous se mirent à table.
Les hommes parlaient politique, les femmes parlaient cuisine et couture : un repas ma foi bien banal.
Avant de partir, madame De Oliveri demanda au Docteur Fyres de regarder si le bébé allait bien. Et selon ses estimations, tout allait pour le mieux. Célestine était au bord du terme et sa fatigue était "normale" pour une bonne petite femme comme elle.
Elle n'aimait pas se terme "bonne petite femme" mais elle savait que c'était comme ça. Après tout, elle était une femme et elle n'avait pas à s'opposer aux propos du Docteur.
Après le départ des invités, Célestine reprit justement son rôle de petite femme : elle débarrassa la table et fit la vaisselle.
Pendant que sa femme s'occupait de la maison, Hubert partit se coucher (en effet il était très fatigué après ce grand dîner).
Quelques jours plus tard :
Ce matin, Célestine avait tout de suite sût ce qu'il se passait : elle avait perdu les eaux tôt le matin. Hubert, paniqué partit en courant chercher le de l'aide.
Mais celle-ci ne fût pas utile : Madame se débrouilla seule et, après plusieurs dizaines de minutes elle vit enfin le visage de son enfant. Une petite fille. Plusieurs minutes plus tard, son mari et le médecin arrivèrent. Ce dernier examina l'enfant : la petite se portait à merveille et Célestine était comblée !
-Pour le prénom, je souhaite que notre enfant se nomme Lucienne, en hommage à ma défunte mère.
-Si tel est le prénom que vous souhaitez Monsieur.
La discussion était rapidement close. Célestine n'avait pas vraiment le choix : la tradition voulait que le mari choisisse le prénom de l’enfant et c'était le cas de la petite Lucienne.
Hubert enlaça rapidement sa fille puis sortit de la chambre.
La jeune mère voyait bien que son mari était déçu : elle savait qu'il voulais vraiment un fils... Mais elle était contente de voir sa petite en forme et la trouvait vraiment belle !
Elle voyait en son enfant un avenir pour sa grande famille qu'elle voulait tant...
Malgré tout, les journées du couple n'avait pas trop changées après l'arrivée de Lucienne : Hubert, quand il n'était pas au travail, s'installait sur son piano et jouait pendant quelques heures.
Célestine, quant-à elle, continuait à s'occuper de l’organisation de sa belle petite maison.
Elle essayait d'ailleurs de passer plus de temps près de son homme.
Le soir, mari et femme essayait au maximum de passer du temps ensemble, et cela commençait à payer ! Célestine acceptait de plus en plus la vie avec son mari, ce qui ne pouvait que réjouir l'homme de la maison.
Les mois passait à toute vitesse et madame était d'ailleurs de nouveaux enceinte !
Qui dit mois qui passent, dit aussi changement d'âge pour Lucienne ! Maman était là au moment où elle a sauté du berceau et lui apprit rapidement à marcher.
Célestine était une mère poule. Elle passait son temps à s'occuper de sa petite fille et les deux construisaient une relation forte.
La jeune Lucienne était dynamique...
...Et très curieuse ! Elle aimait observer l'homme qui était dans le salon. Il jouait sur le grand instrument. Elle savait que c'était son père, maman lui avait dit, mais elle ne lui parlait jamais. IL ne lui parlait jamais.
D'ailleurs, lorsqu'il n'y avait ne serait ce qu'un contact entre les deux, c'était toujours Hubert qui la sermonnait pour n'importe quoi...
La pauvre petite ne comprenait pas, pourquoi il ne l'aimait pas alors qu'il parlait toujours au bébé dans le ventre de sa maman...
Voilà la petite Lucienne bambin !