J'ai bien l'impression qu'en ce moment, le Not So Berry Challenge fait sensation... après moult réflexions, j'ai décidé de me lancer !
C'est un bon moyen pour moi de boucler des carrières et aspirations auxquelles je ne touche jamais... et je crois que je commence à bien m'attacher à mon fondateur.
Contrairement à mon legacy et mon repeuplement [avec lesquels je ne joue plus pour l'instant afin de ne pas prendre trop d'avance en jeu, et dans l'attente de Chien et Chats 8D], je pense que je ne scénariserai pas. Pas trop. Juste un peu. Hem...
Pas de mise en scène ou de screen pris en fonction de la lumière, en tout cas ! Comme pas mal de mondes ici - il me semble - je vais me contenter de faire un petit récit de ce qui se passe dans mon jeu, sans trop de préméditation - un peu quand même. Le ton sera donc beaucoup plus léger !
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0. La triste enfance d'Agastache Fleuri
Agastache Fleuri était un homme triste. Abattu, même.
Depuis son enfance, il lui semblait qu'il n'arriverait jamais à rien. Qu'il passerait toute sa vie dans l'ombre. Qu'il mourrait seul et malheureux.
Partout où il allait, Agastache échouait. Les gens changeaient de trottoir en le voyant et son collège lui avait conseillé le redoublement à trois reprises.
Rien n'y faisait ; Agastache faisait parti de ceux qui n'y arrivaient pas. Jamais. Des mauvais.
En plus d'être un incapable, Agastache se trouvait plutôt laid ; et le regard abruti qu'il portait sur le monde ne l'aidait pas à se faire des amis.
En ville ou à la campagne, on le dévisageait avec insistance. Agastache avait beau réfléchir, il ne comprenait pas pourquoi. Il était laid, d'accord ; mais tout de même pas à ce point. Si ? Ou peut-être était-ce son style vestimentaire douteux. Ou bien sa drôle de teinture capillaire.
Agastache était triste.
Il avait encore quelques boutons de l'adolescence et ses sourcils refusaient obstinément de se séparer.
Pourtant, sa vie avait bien commencé. Monsieur et Madame Fleuri étaient des gens très bien sous toutes les coutures, gentils et aimants. Agastache était la prunelle de leur yeux et ils l'aimaient de tout l'amour possible.
Quoi qu'il fasse et bien que ça ne soit jamais exceptionnel, ils regardaient leur fils avec admiration.
Agastache avait des parents présents malgré leurs faibles revenus et ils formaient une famille soudée. Que demander de plus ? L'enfance d'Agastache Fleuri devait être parfaite !
Le problème du petit Agastache, c'était les autres enfants. Son prénom donnait lieu à de mauvaises blagues et son visage en faisait rire plus d'un.
Hors de la maison, il n'avait pas d'amis. On l’embêtât tout au long de ses années collège - jusqu'au lycée, où on l'ignora simplement. Il fallait avouer qu'Agastache n'était pas un garçon très intéressant...
Petit à petit, Agastache devint envieux des autres ; des garçons populaires de l'école, ceux qui amusaient la galerie. Il était profondément jaloux.
Avec le temps, Agastache voulu se prendre en main et montrer qu'il pouvait aussi être drôle ; hélas, il avait de bien mauvais goûts et ses taquineries ne faisaient rire personne. Le pauvre Agastache confondaient comédie et malice et ses pitreries n'amusaient que lui. Au plus il essayait de se faire aimer, au plus on le méprisait.
Agastache n'avait pas non plus beaucoup de succès avec les femmes, qui le rejetaient toutes avec précipitation. Il fallait dire que ses techniques d'approches de la donzelle n'étaient pas vraiment au point...
D'ailleurs, qui disait encore sérieusement donzelle ?
Le pire, pour Agastache, fut sans doutes le jour où ses parents lui annoncèrent qu'ils vendaient la maison pour couler des jours heureux et paisibles à Forgotten Hollow - eux non plus n'étaient pas futés. Ils étaient certains que leur fils chéri s'en sortirait très bien tout seul, après trente ans à vivre chez ses parents.
Agastache Fleuri fut ainsi lâché dans la nature, seul, livré à lui-même, avec son humour et ses goûts douteux, sa rancœur et ses ambitions plus ou moins accessibles.
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La formidable vie d'Agastache (Bleu-Vert) :
Finir la carrière scientifique : -
Maximum de la compétence logique et malice: -
Compléter la collections des éléments : -
Completer l'aspiration "Roi/Reine des bêtises" : -
Réponses
Bon courage à lui !
Challenge Génération : la génération 2 brille de milles feux
Très bon début mélancolique. C'est rare de voir un homme en fondateur. Bonne chance à lui! Et j'ai hate de suivre ses aventures
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@Mllekakao C'est vrai que c'est un peu tristounet comme début... pauvre petit Agastache ! Merci, 'espère que la suite te plaira
@sirhc59 C'est vrai, surtout que si je ne m'abuse les règles ont été rédigées pour fondatrice et héritières... ça induit à utiliser un femme, ahah Merci !
@katnat2 Agastache, un drôle de nom ? Non non non... bon, peut-être un peu. C'est le nom d'une plante qui appartient à la même famille etc que la menthe... merci wikipedia ! 8D J'espère aussi qu'il arrivera à s'en sortir, merci !
@Lamé C'est vrai que tu aimes les fondateurs Espérons qu'il aura plus de chances, oui. [A noter que les prénoms alambiqués sont souvent très jolis ! Souvent. Parfois. Hem... xD]
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Challenges :
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Mais oui, j'aime bien les fondateurs et avoir des garçons ... sûrement parce que moi-même, j'aurais voulu un petit gars (alors que j'ai eu deux filles, comme quoi).
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Je comprend oui, un peu de frustration !
1. La nouvelle vie d'Agastache Fleuri
Avant de couler de jours heureux à Forgotten Hollow, les parents d'Agastache Fleuri lui avaient laissé l'argent qu'ils économisaient en vue du moment tardif où il prendrait son envol, ainsi que la sympathique maison grand-parentale d'Oasis Springs. Un petit coin d'oasis parfait pour débuter une vie riche en expérience.
La première de ces expériences s'était appelée cuisine.
Agastache n'avait jamais fait ni la vaisselle ni à manger ; il était vierge de toute notion ménagère. La simple idée de devoir se débrouiller seul l'ayant toujours terrifié, notre brave héros n'avait jamais eu la moindre tentative d'autonomie. Les conséquences se faisaient sentir maintenant qu'il était seul, abandonné de ses parents qui en avaient sans doutes eu assez de l'entretenir, et il devait se battre avec lui-même pour survivre...
... ou du moins pour faire griller un peu de pain.
Agastache avait petit à petit réussi à s'adapter à son environnement et, petit à petit, il envisageait d'y couler des jours heureux.
Comme dans son enfance, il imaginait encore passer sa vie à se teindre les cheveux et à lire des romans à l'eau de rose qui, il en était sûr, ne se réaliseraient jamais dans sa propre vie. Seulement voilà ; un matin, Agastache Fleuri avait reçu des factures.
Surprise et incompréhension passées, le jeune damoiseau s'était mis en quête d'un travail. "Technicien de laboratoire" ; ça ne voulait pas dire grand chose mais surtout, ça ne demandait aucune qualification.
Petit, Agastache Fleuri avait rêvé d'être un scientifique fou créateur de robot - comme dans les films. Son manque d'ambition l'en avait toujours empêché. Peut-être était-ce le moment ?
En prévision de ce jour et en attendant une réponse de son employeur, Agastache s'était attelé à des tâches dont il ne soupçonnait pas l'existence - le jardinage, entre autres - et qui allait lui permettre d'un jour briller.
Quelle ne fut pas sa surprise en découvrant qu'il n'était pas si mauvais aux échecs ! Qu'il était facile de comprendre comment déplacer les chevaux (il allait falloir un peu plus de temps pour retenir le nom des pièces).
Car Agastache n'était pas bête ; avec un peu plus de confiance en lui, peut-être pourrait-il même faire de grandes choses...
Après quelques jours à passer dans le jardin et devant les émissions de romance, entre deux plats pré-préparés, Agastache reçut une réponse positive de son employeur. Il allait aider à la conception de Matériel Robotique Sans Usage Défini ; il ne savait pas trop ce que c'était, mais aucun doutes, ce travail allait être génial !
Excité, terriblement nerveux, il fallut quelques instants à Agastache pour partir à son premier jour de travail - sans qu'il ne se mette en retard, précisons le.
C'était le grand moment : le nouveau départ pour une nouvelle vie, loin des moqueries et du rejet... on le reconnaîtrait à sa juste valeur !
Agastache fut assez bien accueilli au laboratoire et il eut l'occasion de discuter avec quelques uns de ses collègues sans qu'on ne rit trop de lui. Il peinait un peu à comprendre les termes trop techniques qu'on lui rabâchait - mais aucun toute, ça viendrait avec le temps.
Les premiers jours furent un peu rudes, notamment à cause d'une certaine divergence d'opinion... comment ça, une poignée de main électrique n'était pas amusante ? Vraiment, il était interdit de faire semblant de renvoyer ses collègues ? Aucun sens de l'humour...
Heureusement pour lui, à la fin de sa première semaine, Agastache rencontra un ami de son envergure - quelqu'un qui, enfin, le comprenait. Une personne amusante, intelligente, qui ne se prenait pas la tête ! Ce robot serait son meilleur ami... et son premier ami !
Le robot et lui œuvrèrent toute une semaine à la construction de son premier Matériel Robotique Sans Usage Défini, et quelle ne fut pas la fierté d'Agastache en voyant qu'il réussissait à faire ce qu'on attendait de lui...
Bon ; il ne voyait pas vraiment à quoi pouvait servir cette chose tournante qui semblait représenter un système de plusieurs planètes... on allait quand même lui faire croire à l'existence d'extra-terrestres - pas à lui, Agastache Fleuri.
Bien que ne comprenant pas l'utilité de son travail, Agastache était comblé. C'était un petit pas pour l'homme... et un très grand pour lui !
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En tout cas, restons positifs ; il n'y a pas de raison qu'il n'arrive pas à s'épanouir
2. L'idée d'Agastache Fleuri
Cela faisait quelques mois déjà qu'Agastache Fleuri travaillait comme concepteur de Matériel Robotique Sans Usage Défini ; et, pour la toute première fois de sa vie, il se sentait relativement bien dans ce qu'il entreprenait.
Relativement.
Car s'il avait été vraiment excité aux premiers jours de son travail, celui-ci c'était vite révélé ennuyant. Trouver des métaux, faire des analyses, rassembler ses idées, fabriquer un conservateur d'impulsion... c'était répétitif. Il avait comme l'impression qu'on n'utilisait pas son potentiel à sa juste valeur.
Mais après tout, avait-il vraiment du potentiel ?
Ses collègues semblaient penser que non. Où qu'il aille et quoi qu'il dise, les gens s'offusquaient. Parce qu'il avait un humour vexant, ou parce qu'on le trouvait indigne de travailler ici ? Un soir, Agastache avait entendu deux hommes s'étonner sur le fait qu'on ne l'ait pas encore viré : "Très franchement, qu'est-ce que ce type fait encore ici ?"
La seule personne qui ne le méprisait pas - ouvertement -, c'était Nathalie.
Désireux de se faire un allié et persuadé qu'une personne qui ne le détestait pas l'aimait forcément, trouvant Nathalie tout à fait jolie, Agastache s'était lancé - tout confiant.
Seulement voilà, Nathalie n'était pas du tout intéressée ; et elle le lui avait bien fait comprendre.
" Attend, Agastache ; tu croyais vraiment que tu m'intéressais ? Toi ? Est-ce que tu t'es regardé dans un miroir au moins ? Retourner donc au matériel sans usage défini : ça te correspond très bien ! "
Le coeur en miettes et surtout profondément blessé dans le peu d'ego qu'il lui restait, Agastache rentra chez lui plus tôt que prévu. Est-ce qu'elle n'avait pas raison ? Était-il vraiment utile à l'entreprise ? Aurait-il un jour une chance avec les femmes ? Servirait-il à quelque chose dans sa vie ?
Agastache passa cette soirée en tête à tête avec son premier conservateur d'impulsion, triste, seul..
... puis à lire des romans à l'eau de rose qui représentaient tout ce qu'il n'aurait jamais.
Pourtant, bien qu'Agastache l'ignorait encore, cette triste mésaventure allait lui inspirer une brillante invention qui allait radicalement booster sa carrière et lui donner, enfin, un peu de la reconnaissance qu'il méritait.
Les jours suivant le rejet de Nathalie, Agastache les passa à ruminer et à imaginer ce qu'il aurait pu dire. Le problème, c'est qu'Agastache ne savait jamais quoi dire. Ni pour faire rire les gens, ni pour répondre aux insultes. Les mots, ce n'était pas son fort ; et il s'était toujours imaginé comme un super héros qui répondrait à grand coup de super pouvoir.
A ce moment là, Agastache vit l'eau qui coulait de son arrosoir... l'eau, mais bien sûr !
Pour la première fois de sa vie, Agastache Fleuri avait une idée ; non, une bonne idée.
Il passa plusieurs jours à faire des recherches, notamment dans la base de données du laboratoire. C'était certain, personne n'avait jamais eu l'idée de ce qu'il s’apprêtait à faire...
Il lui fallut encore une semaine pour effectuer tous les tests, parce qu'il n'avait pas accès à du matériel très sophistiqué... et au fut et à mesure que le temps passait, Agastache s'interrogeait : et s'il ne réussissait pas ? Si on le trouvait encore plus ridicule qu'avant ?
Le réconfort et l'encouragement dont il avait besoin pour terminer son oeuvre, Agastache le trouva dans son meilleur ami : le robot constructeur. Pour la première fois, il découvrit que quelqu'un pouvait croire en lui.
Alors, Agastache finalisa son travail. Il se sentait prêt : à prendre sa revanche sur Nathalie, sur le monde entier même... sur tous ceux qui l'avaient toujours méprisé. Il découvrit que lorsqu'il inventait, il avait confiance en lui. Qu'il se sentait fort. Qu'il pouvait le faire.
Ils allaient bien voir s'il était aussi mauvais qu'ils le pensaient.
"Je suis moche ? Et alors ! "
Oui ; il l'avait fait.
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Reste à espérer qu'en effet, après la vengeance, Agastache trouve l'amour. C'est vrai qu'il le mérite ! Mais j'ai bien peur que ça ne soit pas pour tout de suite... sans que ce soit prévu, Eliza Pancakes s'est montrée particulièrement froide. Qu'ils sont difficiles, ces sims !
3. Le coeur (brisé) d'Agastache Fleuri
Agastache Fleuri imaginait la vie d'un scientifique comme trépidante, pleine de découvertes révolutionnaires et d'idées brillantes. La seule chose pleine, pourtant, c'était sa petite éprouvette.
L'invention d'Agastache - le rayon glacial - avait beaucoup impressionné ses supérieurs ; à tel point qu'ils s'étaient dépêchés de déposer le brevet à leur nom. Agastache avait eu, pour récompense, une petite promotion au post d'apprenti inventeur.
Pas assez pour s'assurer un peu de reconnaissance de la part de ses collègues, cependant, qui ne le voyaient toujours que comme le petit nouveau mesquin et douteux. Toutes ses tentatives de socialisation avaient échouées et on l'accusait d'être malicieux lorsqu'il voulait être drôle.
A la maison aussi, la vie d'Agastache était plutôt triste ; parce qu'il était incapable de couper un fruit sans se couper...
... ou plus généralement de cuisiner. Son quotidien lui semblait être un perpétuel échec et les petites déceptions du quotidien lui avait fait oublier sa dernière réussite.
Ce qui manquait le plus à Agastache, c'était une femme. Une petite amie, une relation. Quelqu'un - tout simplement. Après trente ans de solitude - et de célibat, il souhaitait plus que tout chérir et être chéri. En attendant de trouver la bonne personne, il passait ses soirées sur des sites de rencontres au moins aussi douteux que sa couleur de cheveux. Même sur internet, Agastache était incapable de harponner la bonne truite.
Ou peut-être était-ce l'expression "je souhaite harponner la bonne truite" qui faisaient fuir les donzelles ?
En bref ; les jours s'enchaînaient et les collègues méprisaient. Malgré sa brillante invention, on continuait de lui assigner les tâches ingrates. La jalousie lui venait ; ils verraient, un jour...
De temps à autre, et pour apaiser le sentiment d'injustice qui le taraudait, il se permettait de discrètement geler un collègue ou deux.
Il lui restait son ami et complice, le robot constructeur ; et ce fut pendant une de ses passionnantes conversation avec le dit robot qu'Agastache rencontra la première femme à faire battre son coeur. A le détruire, aussi - mais c'est une autre partie de l'histoire.
Agastache ne savait pas grand chose d'elle, sinon qu'elle s'appelait Eliza, qu'elle était sa supérieure et qu'elle était mariée - une information bien vite oubliée par son esprit amoureux. On disait de toute façon qu'elle n'était pas heureuse dans son mariage...
Agastache et son coeur épris mirent longtemps avant d'oser aborder Eliza. Pendant plusieurs semaines, ils préférèrent la regarder de loin et, lorsqu'elle s'approchait, sentir sa douce odeur...
Il profita d'un jour où elle le remarqua pour oser une timide approche romantique, comme il en avait tant vu dans les films :
"Eh mam'zelle, t'es belle comme une sauterelle."
... sans effet, pourtant.
Malgré l'échec de son approche, pourtant si réfléchie, il ne put se résigner à l'oublier...
Une voix, pourtant, lui soufflait de se résigner : elle était trop belle pour lui, trop intelligente, trop... !
Légèrement snob, aussi - mais il la trouvait trop parfaite pour le remarquer.
Agastache pensait Eliza, parlait Eliza, respirait Eliza, vivait Eliza ; au point de s'égarer dans son travail.
Pourtant, malgré que toutes ses pensées convergent vers elle, la demoiselle l'ignorait, comme incapable de le voir...
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