j'aime beaucoup ce début de Legacy
et je me suis beaucoup amusé en lisant l'énumération des différents métiers disponibles et les questionnements/raisons donnés par Blanche pour ne pas y aller ^^
j'aime beaucoup son coté naïf concernant son environnement mais également son coté carré concernant les relations humaines.
vivement la suite ^^
Two things only a man cannot hide : that he is drunk and that he is in love.
P.S. : le CC c'est le mal ^^
Comment appelle-t-on un chien qui n'a pas de pattes ?
@Pythonroux Merci Contente que ça te plaise J'adore jouer cette simette avec sa grande naïveté et son problème avec le relations humaines ! Je vais être triste quand il faudra changer de narratrice @LysaCyja Merci
Ah ma pauvre Blanche t'as pas eu de chance de tomber sur Marcus mais heureusement qu'Akira était là pour te sortir des griffes de ce don Juan à 2 sous
Hâte de voir comment ils vont se rapprocher ces deux là
~*♥♪La vie est belle et cruelle à la fois, elle nous ressemble parfois ♫~*♥
@Ryu707 Non pas de chance en effet mais ça a permis à Akira de se montrer sous son plus beau jour
Pour la suite, c'est tout de suite :
Chapitre 3
Je pus enfin respirer une fois arrivée chez-moi et je me sentis tout à coup triste d'avoir laissé mon sauveur sans plus de remerciements. Mais je voulais m'éloigner au plus vite du risque de me retrouver à nouveau confrontée à ce dénommé Marcus Flex. Je renouvelai donc la promesse de remercier ce jeune homme du mieux que je le pouvais.
Puis je me mis aux fourneaux, la faim me tordant l'estomac. Je pus ainsi réaliser une recette que j'avais découverte dans un livre de cuisine à la bibliothèque. "Macaronis au fromage" s'intitulait la recette. Je n'avais jamais goûté à quoi que ce soit pouvant ressembler de près ou de loin à cette recette...
...qui était d'ailleurs délicieuse !
Je m'endormis peu après d'un sommeil tourmenté de cauchemars dans lesquels Marcus Flex apparaissait tout à coup le visage déformé par la rage et frappait impitoyablement Akira Kibo de ses poings. Je voulais crier mais ma voix s'étouffait dans ma gorge. Puis tout à coup, Marcus se retournait vers moi, laissant derrière lui le corps inanimé peut-être le cadavre d'Akira Kibo et s'approchait d'un air menaçant. Je m'éveillai en sursaut.
Avant de partir au travail, je mangeai des macaronis. Elles était beaucoup moins bonne après une nuit au réfrigérateur(c'est comme cela que s'appelle l'appareil où je rangeai ma nourriture) et de bon matin, cela me fit monter des nausées désagréables.
Comme il me restait encore un peu de temps, je lus un livre acheté la veille. Il parlait de l'amour d'une femme muette pour un homme et qui ne savait pas comment lui dire tout ce qu'elle ressentait. C'était un livre très triste mais très beau qui me requinqua aussitôt de mon cauchemar. Je songeai que mon jour de congé approchait ce qui serait le moment idéal pour remercier Akira Kibo.
Puis je partis au travail
J'en revins un peu nerveuse. Je ne m'attendais pas à ce que le travail que j'exerçais puisse me faire accumuler autant de tension mais il semblait bien que c'était le cas. Après avoir avalé un "yaourt" qui se trouvait dans mon réfrigérateur, je repartis vers la bibliothèque pour travailler.
Le fait de travailler aggrava encore ma tension et ce fut seulement en lisant un livre de fantaisie que je pus me calmer enfin
Je rentrais épuisée et m'endormis aussitôt.
Le lendemain , je fus promue journaliste spécialisée et pour fêter ceci, mes collègues m'avaient habillée d'une manière un peu loufoque. J'étais partie aussi vite que je le pouvais, n'étant pas habituée à ces manifestations et dès que je fus arrivée, j'ôtai ces habits étranges.
Je dévorai les macaronis que j'avais réchauffés un sourire aux lèvres. Non seulement, j'étais heureuse de ma promotion mais en plus, ma journée de congé s'était rapprochée à... demain ! J'étais ravie ! J'allais enfin pouvoir remercier Akira Kibo !
J'allais tout de même travailler ce soir-là pour pouvoir consacrer ma journée de congé à ma visite chez Akira Kibo et ainsi ne pas avoir à le quitter précipitamment comme l'autre jour. Tout en travaillant, je surveillai d'un œil la porte qui ne s'ouvrit pas. Je le constatai avec une déception qui m'étonna moi-même. Que Diable viendrai faire ici Akira Kibo ?
Alors que je m'apprêtai à rentrer chez moi, mon téléphone se mit à sonner et je constatai que j'avais un message d'Akira Kibo ! Il m'invitai à passer une soirée dansant en sa compagnie !
Je courus aussitôt au lieu de rendez-vous. Ma précipitation m'étonna d'autant plus que je n'avais jamais participé à une soirée dansante telle que la concevait les personnes de cette époque !
Fort heureusement pour moi, Akira Kibo ne souhaitai pas danser. Dès qu'il m'aperçut, il sourit et me demanda si cela ne me dérangeait pas de ne pas danser mais de plutôt observer le ciel si magnifique ce soir-là. Il me montra les constellations. Pour une fois, c'était quelque chose que je connaissais. Les étoiles, elles, n'avaient pas changé depuis mon époque et elles m'apaisaient toujours autant.
Finalement, Akira s'endormit sur un banc. Je le contemplai avec douceur tandis que son visage retrouvait la candeur enfantine d'un sommeil dénué de rêves.
Avant qu'il ne s'éveilla et ne m'aperçut ainsi, je partis, un sourire au lèvres en songeant que cette soirée avait été bien belle...
@flavien77777 Chut !!! Faut pas le dire, elle le sait pas encore elle-même
Par contre, il faut se calmer, ça fait pas dix minutes que j'ai posté, la suite est pas tout à fait prête, hein !
@LysaCyja T'es vraiment folle !!! T'oublie qu'elle vient du passé, là ! Déjà que pour elle, ça va vite d'être déjà amoureuse alors les bébés, va falloir attendre
elle sait pas encore ce qu'il se trame dans sa petite tête, notre petite Blanche ^^
et qui sait, Akira est peut-être un descendant d'Angel. Elle me fait toujours autant sourire
Two things only a man cannot hide : that he is drunk and that he is in love.
P.S. : le CC c'est le mal ^^
Comment appelle-t-on un chien qui n'a pas de pattes ?
@sirhc59 Presque... Mais pas tout à fait encore @Pythonroux Merci
Mais euh ! Tu lis dans mes pensées ! Dans l'histoire que j'avais inventée à partir de laquelle j'ai finalement fait mon prologue, Blanche tombait amoureuse du descendant d'Angel... Mais bon, ça se finissait pas bien pour eux... Alors je sais pas, surtout qu'on peut pas dire que Akira et Angel se ressemblent beaucoup @olath98 c'est moi qui ai eu l'idée en première d'abord
Chapitre 4
Je m'endormis dès mon arrivée alors que le soleil commençait déjà à se lever. Mon sommeil fut de nouveau agité de cauchemars mais cette fois-ci, j'étais de retour à mon époque et les mêmes cauchemars qui peuplaient alors mes nuits revenaient avec encore plus de vigueur : je voyais partout plus de personnes s'approcher de moi en ricanant comme de vulgaires bandits. Et tout à coup, Angel surgissait de la pénombre. Je voulais lui crier de s'enfuir mais mes agresseurs nous avaient déjà encerclés. Je vis Angel perforé de multiples coups d'épées puis je m'éveillai en sursaut.
Je ne compris pas tout de suite où je me trouvais et j'appelai un instant ma servante dans la rue déserte avant de me souvenir à nouveau.
Je cachai mes larmes sous le jet d'eau de la douche mais je ne pouvais empêcher mon cœur de saigner à nouveau comme au premier jour.
Le sourire me revient tout à coup, un peu forcé certes, mais il atténua quelque peu les douleurs qui me transperçaient la poitrine. Aujourd'hui, je m'étais promis d'aller rendre visite à Akira Kibo. J'y serai déjà à l'heure qu'il était s'il ne m'avait pas devancée hier.
J'appelai aussitôt Mila pour lui demander si elle savait quelque chose d'Akira Kibo et si elle pouvait m'amener à l'endroit où il résidait. Elle me répondit qu'il n'y avait pas de problème de son côté mais qu'il lui semblait qu'Akira travaillait jusque 18 heures ce qu'elle me confirma aussitôt après. Je dus donc prendre mon mal en patience.
Je me mis donc à ce livre de poésie que j'avais acheté la veille. C'était d'un certain Arthur Rimbaud. Un grand poète apparemment. Tout en continuant ma lecture, je songeai qu'il était bien étrange qu'Akira Kibo m'ait invitée la veille s'il travaillait aujourd'hui. J'oubliais aussitôt cette pensée lorsque le téléphone sonna à 18h précises.
"Bonjour, Mila ?
-C'est moi ! Alors ? Je vous amène ?
- Bien sûr, j'arrive tout de suite !"
Mila me mena jusque le hall d'entrée. Le long du chemin, elle m'expliqua qu'Akira vivait dans un immeuble qui était une sorte de tour dans laquelle il existait plusieurs petites maisons appelées appartement. Cette tour ou immeuble appartenait à un propriétaire auquel Akira et ses colocataires : deux jeunes femmes qui vivaient avec lui et qui se partageaient le loyer sans qu'ils fussent liés par aucun autre lien que l'amitié, louaient un appartement. Elle m'expliqua aussi que pour monter tous ces étages, il était bien plus commode de prendre un ascenseur : une petite boîte en métal qui nous faisait monter les étages sans que nous ayons besoin de nous fatiguer.
J'arrivais enfin devant la petite porte en bois derrière laquelle, m'avait expliqué Mila, vivaient Akira et deux de ses amies.
Une jeune femme aux cheveux roses me fit entrer et me conduisit jusqu'à Akira non sans un regard mauvais à mon visage et ma tenue. Akira était en train de se préparer un repas lorsque j'entrai.
"Excusez-moi de vous déranger, mais je voulais vous remercier pour hier et l'autre fois !
- Mademoiselle Blanche, que faites-vous donc ici ?, il fit un léger signe à son amie aux cheveux roses qui déguerpit après m'avoir lancé un nouveau regard mauvais. Excusez Miko, elle n'aime pas grand monde à part Darling et moi.
- J'aimerai vous remercier en vous offrant quelque chose, si cela ne vous déranges pas trop...
- Eh bien... Je ne sais pas... Même si j'irai bien manger dans un restaurant !
- Un restaurant ?
- Euh... Vous n'aviez pas de restaurant là où vous habitiez ? C'est un endroit où on peut manger sans avoir à cuisiner nous mêmes vous savez...
- Oh, bien sûr, mais je n'étais jamais allé dans un d'entre eux... Cela m'a l'air intéressant...
- Et bien, dans ce cas... Mais avez-vous de l'argent parce que je crains de ne pouvoir vous l'offrir... Voyez-vous, ces derniers temps, MIko, Darling et moi on a du mal à payer le loyer, alors..., Akira parut gêné
- Dites-moi seulement combien cela coûtera environ et je vous l'offres ! C'est mon cadeau pour vous remercier !
- Oh... Je ne sais pas... J'en connaîtrais un pas très cher, mais je ne sais pas si c'est un endroit convenable...
- Peu importe, si vous pouvez juste m'y emmener, ce serait très bien, tant que cela vous fait plaisir !"
Nous partîmes donc pour ce restaurant. J'entrai un peu gênée et demandait à la première dame que je vis si nous pouvions manger ici, moi et mon ami. Elle eut un regard inquisiteur vers ma tenue et tandis qu'elle nous emmenait vers notre table, je pus remarquer qu'elle n'était pas la seule à trouver étrange ma présence ici.
Une fois assise, je contemplai ce lei avec un émerveillement qu'Akira ne manqua pas de remarquer...
"Vous n'êtes vraiment jamais allée au restaurant ni dans un fast-food ?", me demanda-t-il.
Je sus alors qu'il était maintenant trop tard pour que je lui cache encore toutes ces choses à mon propos. Je lui racontai tout d'une traite, craintive jusqu'au dernier moment qu'il n'éclate tout à coup de rire et ne me laisse ici toute seule.
Mais il n'en fut rien. Il me regarda avec gentillesse et s'exclama tout à coup : "Je comprends tout à présent !!!" et il me sourit avant de saisir le menu. "Et si nous commandions ?" Et ce fut tout. Le soulagement m'inonda alors et je lui proposai de choisir lui-même, que je prendrai la même chose que lui puisque je ne connaissais aucun plat.
Il commanda alors puis nous parlâmes de choses et d'autres tout en mangeant. Je me sentis de nouveau heureuse comme la veille.
Ce repas fut un véritable délice dont je savourai chaque instant.
Puis vit le moment de partir.
"Et bien au revoir, mademoiselle Blanche et merci pour ce repas...
-Au revoir Monsieur Kibo..."
Et nous nous séparâmes
De retour chez-moi, je dormis d'un sommeil sans rêves ni tourments, tout simplement apaisée pour un court instant...
Réponses
et je me suis beaucoup amusé en lisant l'énumération des différents métiers disponibles et les questionnements/raisons donnés par Blanche pour ne pas y aller ^^
j'aime beaucoup son coté naïf concernant son environnement mais également son coté carré concernant les relations humaines.
vivement la suite ^^
@LysaCyja Merci
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[Not So Berry Challenge] - Les aventures de la Rainbow Family.
[Histoire] - Le jour d'après
[Challenge 100 Bébés] TERMINE- Les KIDS
Pour la suite, c'est tout de suite :
Chapitre 3
Je pus enfin respirer une fois arrivée chez-moi et je me sentis tout à coup triste d'avoir laissé mon sauveur sans plus de remerciements. Mais je voulais m'éloigner au plus vite du risque de me retrouver à nouveau confrontée à ce dénommé Marcus Flex. Je renouvelai donc la promesse de remercier ce jeune homme du mieux que je le pouvais.
Puis je me mis aux fourneaux, la faim me tordant l'estomac. Je pus ainsi réaliser une recette que j'avais découverte dans un livre de cuisine à la bibliothèque. "Macaronis au fromage" s'intitulait la recette. Je n'avais jamais goûté à quoi que ce soit pouvant ressembler de près ou de loin à cette recette...
...qui était d'ailleurs délicieuse !
Je m'endormis peu après d'un sommeil tourmenté de cauchemars dans lesquels Marcus Flex apparaissait tout à coup le visage déformé par la rage et frappait impitoyablement Akira Kibo de ses poings. Je voulais crier mais ma voix s'étouffait dans ma gorge. Puis tout à coup, Marcus se retournait vers moi, laissant derrière lui le corps inanimé peut-être le cadavre d'Akira Kibo et s'approchait d'un air menaçant. Je m'éveillai en sursaut.
Avant de partir au travail, je mangeai des macaronis. Elles était beaucoup moins bonne après une nuit au réfrigérateur(c'est comme cela que s'appelle l'appareil où je rangeai ma nourriture) et de bon matin, cela me fit monter des nausées désagréables.
Comme il me restait encore un peu de temps, je lus un livre acheté la veille. Il parlait de l'amour d'une femme muette pour un homme et qui ne savait pas comment lui dire tout ce qu'elle ressentait. C'était un livre très triste mais très beau qui me requinqua aussitôt de mon cauchemar. Je songeai que mon jour de congé approchait ce qui serait le moment idéal pour remercier Akira Kibo.
Puis je partis au travail
J'en revins un peu nerveuse. Je ne m'attendais pas à ce que le travail que j'exerçais puisse me faire accumuler autant de tension mais il semblait bien que c'était le cas. Après avoir avalé un "yaourt" qui se trouvait dans mon réfrigérateur, je repartis vers la bibliothèque pour travailler.
Le fait de travailler aggrava encore ma tension et ce fut seulement en lisant un livre de fantaisie que je pus me calmer enfin
Je rentrais épuisée et m'endormis aussitôt.
Le lendemain , je fus promue journaliste spécialisée et pour fêter ceci, mes collègues m'avaient habillée d'une manière un peu loufoque. J'étais partie aussi vite que je le pouvais, n'étant pas habituée à ces manifestations et dès que je fus arrivée, j'ôtai ces habits étranges.
Je dévorai les macaronis que j'avais réchauffés un sourire aux lèvres. Non seulement, j'étais heureuse de ma promotion mais en plus, ma journée de congé s'était rapprochée à... demain ! J'étais ravie ! J'allais enfin pouvoir remercier Akira Kibo !
J'allais tout de même travailler ce soir-là pour pouvoir consacrer ma journée de congé à ma visite chez Akira Kibo et ainsi ne pas avoir à le quitter précipitamment comme l'autre jour. Tout en travaillant, je surveillai d'un œil la porte qui ne s'ouvrit pas. Je le constatai avec une déception qui m'étonna moi-même. Que Diable viendrai faire ici Akira Kibo ?
Alors que je m'apprêtai à rentrer chez moi, mon téléphone se mit à sonner et je constatai que j'avais un message d'Akira Kibo ! Il m'invitai à passer une soirée dansant en sa compagnie !
Je courus aussitôt au lieu de rendez-vous. Ma précipitation m'étonna d'autant plus que je n'avais jamais participé à une soirée dansante telle que la concevait les personnes de cette époque !
Fort heureusement pour moi, Akira Kibo ne souhaitai pas danser. Dès qu'il m'aperçut, il sourit et me demanda si cela ne me dérangeait pas de ne pas danser mais de plutôt observer le ciel si magnifique ce soir-là. Il me montra les constellations. Pour une fois, c'était quelque chose que je connaissais. Les étoiles, elles, n'avaient pas changé depuis mon époque et elles m'apaisaient toujours autant.
Finalement, Akira s'endormit sur un banc. Je le contemplai avec douceur tandis que son visage retrouvait la candeur enfantine d'un sommeil dénué de rêves.
Avant qu'il ne s'éveilla et ne m'aperçut ainsi, je partis, un sourire au lèvres en songeant que cette soirée avait été bien belle...
La suiiiiiiiite
Legacy : Zélie Blackflower et sa descendance.
Histoire : La princesse déchue d'Utopia
Par contre, il faut se calmer, ça fait pas dix minutes que j'ai posté, la suite est pas tout à fait prête, hein !
Je vais vite en besogne la...
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et qui sait, Akira est peut-être un descendant d'Angel. Elle me fait toujours autant sourire
@Pythonroux Merci
Mais euh ! Tu lis dans mes pensées ! Dans l'histoire que j'avais inventée à partir de laquelle j'ai finalement fait mon prologue, Blanche tombait amoureuse du descendant d'Angel... Mais bon, ça se finissait pas bien pour eux... Alors je sais pas, surtout qu'on peut pas dire que Akira et Angel se ressemblent beaucoup
@olath98 c'est moi qui ai eu l'idée en première d'abord
Je m'endormis dès mon arrivée alors que le soleil commençait déjà à se lever. Mon sommeil fut de nouveau agité de cauchemars mais cette fois-ci, j'étais de retour à mon époque et les mêmes cauchemars qui peuplaient alors mes nuits revenaient avec encore plus de vigueur : je voyais partout plus de personnes s'approcher de moi en ricanant comme de vulgaires bandits. Et tout à coup, Angel surgissait de la pénombre. Je voulais lui crier de s'enfuir mais mes agresseurs nous avaient déjà encerclés. Je vis Angel perforé de multiples coups d'épées puis je m'éveillai en sursaut.
Je ne compris pas tout de suite où je me trouvais et j'appelai un instant ma servante dans la rue déserte avant de me souvenir à nouveau.
Je cachai mes larmes sous le jet d'eau de la douche mais je ne pouvais empêcher mon cœur de saigner à nouveau comme au premier jour.
Le sourire me revient tout à coup, un peu forcé certes, mais il atténua quelque peu les douleurs qui me transperçaient la poitrine. Aujourd'hui, je m'étais promis d'aller rendre visite à Akira Kibo. J'y serai déjà à l'heure qu'il était s'il ne m'avait pas devancée hier.
J'appelai aussitôt Mila pour lui demander si elle savait quelque chose d'Akira Kibo et si elle pouvait m'amener à l'endroit où il résidait. Elle me répondit qu'il n'y avait pas de problème de son côté mais qu'il lui semblait qu'Akira travaillait jusque 18 heures ce qu'elle me confirma aussitôt après. Je dus donc prendre mon mal en patience.
Je me mis donc à ce livre de poésie que j'avais acheté la veille. C'était d'un certain Arthur Rimbaud. Un grand poète apparemment. Tout en continuant ma lecture, je songeai qu'il était bien étrange qu'Akira Kibo m'ait invitée la veille s'il travaillait aujourd'hui. J'oubliais aussitôt cette pensée lorsque le téléphone sonna à 18h précises.
"Bonjour, Mila ?
-C'est moi ! Alors ? Je vous amène ?
- Bien sûr, j'arrive tout de suite !"
Mila me mena jusque le hall d'entrée. Le long du chemin, elle m'expliqua qu'Akira vivait dans un immeuble qui était une sorte de tour dans laquelle il existait plusieurs petites maisons appelées appartement. Cette tour ou immeuble appartenait à un propriétaire auquel Akira et ses colocataires : deux jeunes femmes qui vivaient avec lui et qui se partageaient le loyer sans qu'ils fussent liés par aucun autre lien que l'amitié, louaient un appartement. Elle m'expliqua aussi que pour monter tous ces étages, il était bien plus commode de prendre un ascenseur : une petite boîte en métal qui nous faisait monter les étages sans que nous ayons besoin de nous fatiguer.
J'arrivais enfin devant la petite porte en bois derrière laquelle, m'avait expliqué Mila, vivaient Akira et deux de ses amies.
Une jeune femme aux cheveux roses me fit entrer et me conduisit jusqu'à Akira non sans un regard mauvais à mon visage et ma tenue. Akira était en train de se préparer un repas lorsque j'entrai.
"Excusez-moi de vous déranger, mais je voulais vous remercier pour hier et l'autre fois !
- Mademoiselle Blanche, que faites-vous donc ici ?, il fit un léger signe à son amie aux cheveux roses qui déguerpit après m'avoir lancé un nouveau regard mauvais. Excusez Miko, elle n'aime pas grand monde à part Darling et moi.
- J'aimerai vous remercier en vous offrant quelque chose, si cela ne vous déranges pas trop...
- Eh bien... Je ne sais pas... Même si j'irai bien manger dans un restaurant !
- Un restaurant ?
- Euh... Vous n'aviez pas de restaurant là où vous habitiez ? C'est un endroit où on peut manger sans avoir à cuisiner nous mêmes vous savez...
- Oh, bien sûr, mais je n'étais jamais allé dans un d'entre eux... Cela m'a l'air intéressant...
- Et bien, dans ce cas... Mais avez-vous de l'argent parce que je crains de ne pouvoir vous l'offrir... Voyez-vous, ces derniers temps, MIko, Darling et moi on a du mal à payer le loyer, alors..., Akira parut gêné
- Dites-moi seulement combien cela coûtera environ et je vous l'offres ! C'est mon cadeau pour vous remercier !
- Oh... Je ne sais pas... J'en connaîtrais un pas très cher, mais je ne sais pas si c'est un endroit convenable...
- Peu importe, si vous pouvez juste m'y emmener, ce serait très bien, tant que cela vous fait plaisir !"
Nous partîmes donc pour ce restaurant. J'entrai un peu gênée et demandait à la première dame que je vis si nous pouvions manger ici, moi et mon ami. Elle eut un regard inquisiteur vers ma tenue et tandis qu'elle nous emmenait vers notre table, je pus remarquer qu'elle n'était pas la seule à trouver étrange ma présence ici.
Une fois assise, je contemplai ce lei avec un émerveillement qu'Akira ne manqua pas de remarquer...
"Vous n'êtes vraiment jamais allée au restaurant ni dans un fast-food ?", me demanda-t-il.
Je sus alors qu'il était maintenant trop tard pour que je lui cache encore toutes ces choses à mon propos. Je lui racontai tout d'une traite, craintive jusqu'au dernier moment qu'il n'éclate tout à coup de rire et ne me laisse ici toute seule.
Mais il n'en fut rien. Il me regarda avec gentillesse et s'exclama tout à coup : "Je comprends tout à présent !!!" et il me sourit avant de saisir le menu. "Et si nous commandions ?" Et ce fut tout. Le soulagement m'inonda alors et je lui proposai de choisir lui-même, que je prendrai la même chose que lui puisque je ne connaissais aucun plat.
Il commanda alors puis nous parlâmes de choses et d'autres tout en mangeant. Je me sentis de nouveau heureuse comme la veille.
Ce repas fut un véritable délice dont je savourai chaque instant.
Puis vit le moment de partir.
"Et bien au revoir, mademoiselle Blanche et merci pour ce repas...
-Au revoir Monsieur Kibo..."
Et nous nous séparâmes
De retour chez-moi, je dormis d'un sommeil sans rêves ni tourments, tout simplement apaisée pour un court instant...
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