Tant mieux si tu préfère Eliott Sinon ça aurait été ballot pour toi Ca me fait pensé à Neville Londubat personnellement Prends ton temps pour la suite : il faut aimer la guimauve @Nani
@BilbonSk. @Daemonya Désolé La maj arrive demain, promis! J'essaye d'espacer parce que j'ai une petite période à vide Sims 4 (ce qui m'arrive de temps en temps) et donc je veux pas vous mettre des maj tous les jours puis plus rien. Mais demain promis
Pour fêter la naissance de Clarisse, j'ai invité toute la famille autour d'un repas digne de ce nom. Maman a décidé de se placer devant la télé. * J'avais le droit à des "Félicitations" à tout va et Eliott et moi étions les parents les plus conquis de la planète.
Avant le repas tout le monde était allé la voir et ils s'accordaient tous pour dire qu'elle était magnifique.
* Stupides chaises musicale…
J'ai rejoint ma mère devant la TV, elle avait déjà fini son repas.
- Je t'avais bien dit que ce serait une petite fille!
- Tu avais raison maman… Et les prochains ce serait des filles ou des garçons à ton avis ?
- Ça je n'en sais rien, c'était une intuition qui s'est avéré exacte mais, je ne suis pas voyante… Même si je pencherais plus sur des fils.
Je m'occupais de mini-moi comme jamais. Elle ne faisait pas encore ses nuits et j'avoue que je commençais à être passablement épuisée. Un coup elle avait faim, après elle voulait des câlins sans compter sur l'éternelle couche pleine qui sévissait particulièrement.
Mais il suffisait que je plonge mon regard dans le sien pour être totalement conquise par ce mini-moi. Clarisse était resplendissante et complètement adorable - si on oublie les tétées et les couches pleines - j'étais complètement éprise par ce petit bout de moi et d'Eliott. J'avais particulièrement hâte qu'elle grandisse même si ça n'allait pas me rajeunir. J'avais hâte qu'elle rencontre ses cousins et cousines. Qu'elle vive ses premiers émois d'enfant. Qu'elle aille à l'école. Mais avant quelques années devaient s'écouler… Et surtout je ne pouvais m'empêcher d'angoisser. Et si elle se sentait mal ? Et si elle n'aimait pas l'enfance ? Et si nous étions de mauvais parents ?
Eliott n'était pas en reste, il adorait mini-moi, pardon Clarisse. Il s'en occupait comme si c'était sa princesse, mais après tout c'était sa princesse non ? Il était complètement gaga de cette petite puce, je craignais qu'il devienne trop protecteur et qu'une fois adolescente elle ne puisse être maître de sa vie. Après tout mon père n'avait pas été là pour mes premières histoires d'amours et je crois qu'heureusement d'ailleurs. Papa, j'aurais tellement aimé que tu rencontres Clarisse…
Je profitai de mon congé maternité, qui s'éternisait, pour peindre. Bientôt je peindrais des toiles pour ma petite Clarisse. Des toiles de Clarisse. Je pensais qu'il était impossible d'aimer quelqu'un plus que j'aime Eliott mais, la maternité m'avait prouvé que si.
Je passais mon temps derrière le chevalet ou la guitare. Et dès que j'entendais les petits cris de Clarisse dans le baby phone, j'arrêtais tout et j'accourais. Je ne voulais surtout pas qu'elle se sente délaissée. Elle avait besoin de sa maman et de son papa, plus que tout.
J'adorais entendre son petit rire, ses petits "aga", j'adorais sentir cette chose si frêle entre mes bras. Elle était si petite… Si fragile. Si seulement je pouvais être certaine que tout va bien pour elle.
Ce n'est pas parce que nous étions parents que nous n'avions plus de temps pour nous. Au contraire. On était toujours aussi amoureux, de vrais aimants : toujours l'un avec l'autre. On profitait de notre nouvelle vie et on avait particulièrement hâte de voir la bouille d'enfant de notre petite princesse. Mais lorsqu'elle dormait nous trouvions un moment pour nous retrouver, vivre notre idylle. Et on ne manquait pas de s'amuser comme de vrais adultes… Tout y passait le sauna, le jaccusy, le lit… Nous ne voulions pas trop nous écarter de la maison de peur de laisser mini-moi avec des inconnus. Je préférais qu'elle soit apte à parler avant de la confier à des tiers. On ne sait jamais…
Après un petit tour dans la chambre de mini-moi, après avoir vérifié qu'elle ne manquait de rien. Je m'occupais d'enseigner la guitare à mon mari, mon amoureux. Il était déjà très doué, mais finalement il s'était tellement concentré sur le piano qu'il avait oublié certaines choses de la guitare. Heureusement je maîtrisais cet instrument et que je lui étais très utile. Peut-être qu'un jour il m'apprendrait le piano ?
Parfois la mistinguette pleurait pour des raisons obscurs. Elle ne pleurait jamais bien longtemps, il y avait toujours un de nous deux pour accourir. Que ce soit la nuit ou en pleine journée. On se relayait et je dois bien admettre que je ne sais pas comment je ferais si Monsieur ne vivait pas avec moi et n'était pas aussi attentionné envers sa petite princesse. On essayait tant bien que mal de comprendre ses besoins mais c'était loin d'être évident, heureusement lorsqu'elle nous voyait arriver jusqu'à elle, elle ne mettait pas très longtemps à se calmer.
Et puis un jour nous avons organisé un événement très particulier. C'était l'anniversaire de mon amoureux, mais aussi de mon frère, Anil et de sa belle Elsa. Heureusement que j'étais encore en congé maternité, sinon je ne sais comment j'aurais pu organiser une telle fête. Deux gâteaux les attendaient sagement. Fait avec amour, bien entendu.
C'est Elsa qui a ouvert la marche, elle allait avoir la quarantaine. Pour moi l'époque où elle venait chez moi pour fricoter avec mon frère me paraissait être hier. Comme le temps passait vite!
C'est Anil, mon grand-frère adoré qui a continué sur la lancé d'Elsa. La quarantaine… je n'en revenais pas. Si cette histoire ne me rajeunissait pas, il faut bien admettre que je pensais à ma chère mère qui a cet instant devait se sentir carrément prête à passer à l'arme à gauche.
Toutes la troupe était là, mes deux nièces Justine et Chloé ainsi que mon neveu Jonathan. Accompagné bien entendu de leurs parents.
Puis c'est la larme à l'œil que j'ai vu mon mari souffler ses bougies. J'en oubliais souvent qu'il était plus âgé que moi, qu'il avait l'âge de mon frère ainé, qu'il a pas mal d'année de plus que moi. Mais je suis si bien avec lui que j'en oublie notre différence d'âge, pourtant à l'époque où j'étais adolescente, à l'époque où j'enquêtais sur la mort de mon père, il était déjà adulte. Et un adulte qui avait travaillé dans les forces de l'ordre puis se lançait à son compte. Tellement de choses qui c'étaient passés entre temps… A l'époque où je l'ai rencontré j'étais avec Neil. Puis il y a eu Émile et enfin l'amour de ma vie, lui.
Après on s'est tous servi de mon délicieux, sans vouloir me vanter, gâteau. Mon mari faisait un peu la tête, il appréciait moyennement de passer la quarantaine. Anil et Elsa le vivait bien mieux. Ce qui me rassurait c'était de savoir que le prochain anniversaire serait de ma petite puce… Mais quand allait-elle décidé de sortir de ce berceau ? Seule elle, le savait.
Maman était là elle aussi, je l'entendais dire à mon frère :
- Comme je me fais vieille… Mon fils ainé vient de passer la quarantaine… Joyeux anniversaire mon chéri.
Je ne pouvais m'empêcher d'être triste, bientôt elle nous quitterait. Ma mère adorée… Bientôt je lui demanderais d'emménager avec nous pour pouvoir profiter d'elle pendant ses vieux jours.
Les petits s'ennuyaient pendant les conversations de grands, Justine et Chloé étaient partis se baigner. Tandis que Jonathan avait découvert un attrait pour les barres horizontales.
Puis Nathanaëlle est venu me voir. J'avais vu cette ombre sur son visage depuis le début de l'après-midi. Je ne comprenais pas bien ce qui se passait pour la belle mais, elle a fini par me mettre dans la confidence :
- Je ne peux plus avoir d'enfants… Jonathan sera fils unique…
- Oh ma belle… Je suis tellement désolé pour toi…
- Le pire c'est que Jonathan me demande sans cesse un petit frère ou une petite sœur. Et je ne peux lui expliquer… Il est trop jeune. On avait déjà mis un temps fou pour le concevoir mais, maintenant c'est impossible.
J'étais franchement désolé pour elle, je savais qu'elle rêvait de fonder une famille nombreuse depuis toute petite. Lorsqu'on jouait aux poupées elle était toujours la maman. Je ne sais pas comment je vivrais la nouvelle, si je ne pouvais avoir que Clarisse.
Peu à peu, la nuit commençait à tomber. J'avais passé un bon moment avec tout le monde. J'avais hâte que Clarisse grandisse pour qu'elle fasse la connaissance de cette fabuleuse famille. J'étais persuadée qu'elle s'entendrait très bien avec ses cousins et cousines. Malgré les disparitées qu'on avait pût avoir par le passé, on était désormais plus soudé que jamais…
Mon congé maternité avait pris fin. C'est avec regret que je retournais donc au travail. J'adorais mon boulot, mais par-dessus tout ma famille. J'avais donc passé ma journée dans la chaleur étouffante d'Oasis Springs a tenter de résoudre une drôle d'affaire. Je rentrais donc d'une journée harassante .
Mais une petite surprise m'attendait. Une petite fille aux cheveux châtains, comme mon amoureux.
- Maman!
- Oh Clarisse!
Je la serrai fort dans mes bras, ma journée difficile était désormais oubliée. J'avais sous mes yeux la plus jolie des petites filles. Ma Clarisse, mon bébé…
*******
Et vu qu'on voit pas vraiment sa tête pour le moment et que vous allez râler, voici la bouille de la petite Clarisse :
Bon sang Eliott est vraiment beau sans rire et la petite Clarisse aussi !
Dis donc c'est vraiment animée chez tes sims ! J'aurais bien voulu une part du gâteau moi aussi Dommage pour Nathanaëlle elle peut toujours adopter si elle veut... croisons les doigts !
Elliott est toujours aussi beau Je peux avoir le même en vrai ? J'aimerais bien ^^
C'est dommage pour Nathanaëlle, mais heureusement y'a l'adoption si elle tient absolument à avoir d'autres enfants !
Bienvenue petite Clarisse !
Éternelle joueuse des Sims
A tendance à créer des Sims d'après mes goûts musicaux
Mais qu'elle est belle, cette enfant puis elle a des parents qui l'aiment tellement. C'était émouvant de les découvrir l'un et l'autre dans ce nouveau rôle. J'ai vraiment beaucoup aimé
Quant à Nathanaëlle que la tristesse de ne pouvoir porter d'autre enfant ne l'empêche pas de profiter d'être maman, la maman du petit Jonathan; au final, cela reste le plus important, je pense
@BilbonSk. Ah Eliott... Canon n'est-ce pas ? La prochaine fois je te donne une petite part En fait Nathanaëlle j'ai la flemme de lui faire faire d'autres enfants... Et quand j'ai vu cette discussion je me suis dit que ce serait top. Je lui ferais peut-être adopté un petit @Nani J'aimerais moi aussi avoir le même Faut que j'y réfléchisse pour l'adoption @sirhc59 Beaucoup d'évènements en effet @pytisa Elle est trop jolie c'est vrai Merci beaucoup ! Pourtant c'est loin d'être évident pour moi étant donné que je n'ai jamais eu d'enfants... Oui elle a déjà un petit, au lieu d'être aveuglé par l'envie d'avoir d'autres enfants elle pourrait se concentrer uniquement sur son petit bout de chou
Hypra canon même. Oh bah je veux bien
Mdrrr je comprends ta flemme et je compatis ! Ne t'oblige pas à adopter si tu n'en as pas envie c'est comme tu veux !
@BilbonSk. C'est juste que j'aime pas trop gérer les autres foyers... J'ai toujours peur de louper des trucs dans la famille principale. J'ai plusieurs familles à gérer dont les Thomsom et les Macbury. (Dont je n'ai pourtant pas reparler) plus évidemment tous les Hail. D'ailleurs à force de faire ma casanière j'ai eu une très mauvaises surprises J'en parle dans une future maj mais ça m'a pas plu du tout, j'aurais du faire plus attention
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Tu me donne envie de jouer, c'est pas raisonnable, j'ai un chapitre à poster moi aussi x)
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Je t'avais dit qu'il y avait de la guimauve à fond...
Moi aussi quand je lis des histoires après j'ai envie de jouer
Pour fêter la naissance de Clarisse, j'ai invité toute la famille autour d'un repas digne de ce nom. Maman a décidé de se placer devant la télé. * J'avais le droit à des "Félicitations" à tout va et Eliott et moi étions les parents les plus conquis de la planète.
Avant le repas tout le monde était allé la voir et ils s'accordaient tous pour dire qu'elle était magnifique.
* Stupides chaises musicale…
J'ai rejoint ma mère devant la TV, elle avait déjà fini son repas.
- Je t'avais bien dit que ce serait une petite fille!
- Tu avais raison maman… Et les prochains ce serait des filles ou des garçons à ton avis ?
- Ça je n'en sais rien, c'était une intuition qui s'est avéré exacte mais, je ne suis pas voyante… Même si je pencherais plus sur des fils.
Je m'occupais de mini-moi comme jamais. Elle ne faisait pas encore ses nuits et j'avoue que je commençais à être passablement épuisée. Un coup elle avait faim, après elle voulait des câlins sans compter sur l'éternelle couche pleine qui sévissait particulièrement.
Mais il suffisait que je plonge mon regard dans le sien pour être totalement conquise par ce mini-moi. Clarisse était resplendissante et complètement adorable - si on oublie les tétées et les couches pleines - j'étais complètement éprise par ce petit bout de moi et d'Eliott. J'avais particulièrement hâte qu'elle grandisse même si ça n'allait pas me rajeunir. J'avais hâte qu'elle rencontre ses cousins et cousines. Qu'elle vive ses premiers émois d'enfant. Qu'elle aille à l'école. Mais avant quelques années devaient s'écouler… Et surtout je ne pouvais m'empêcher d'angoisser. Et si elle se sentait mal ? Et si elle n'aimait pas l'enfance ? Et si nous étions de mauvais parents ?
Eliott n'était pas en reste, il adorait mini-moi, pardon Clarisse. Il s'en occupait comme si c'était sa princesse, mais après tout c'était sa princesse non ? Il était complètement gaga de cette petite puce, je craignais qu'il devienne trop protecteur et qu'une fois adolescente elle ne puisse être maître de sa vie. Après tout mon père n'avait pas été là pour mes premières histoires d'amours et je crois qu'heureusement d'ailleurs. Papa, j'aurais tellement aimé que tu rencontres Clarisse…
Je profitai de mon congé maternité, qui s'éternisait, pour peindre. Bientôt je peindrais des toiles pour ma petite Clarisse. Des toiles de Clarisse. Je pensais qu'il était impossible d'aimer quelqu'un plus que j'aime Eliott mais, la maternité m'avait prouvé que si.
Je passais mon temps derrière le chevalet ou la guitare. Et dès que j'entendais les petits cris de Clarisse dans le baby phone, j'arrêtais tout et j'accourais. Je ne voulais surtout pas qu'elle se sente délaissée. Elle avait besoin de sa maman et de son papa, plus que tout.
J'adorais entendre son petit rire, ses petits "aga", j'adorais sentir cette chose si frêle entre mes bras. Elle était si petite… Si fragile. Si seulement je pouvais être certaine que tout va bien pour elle.
Ce n'est pas parce que nous étions parents que nous n'avions plus de temps pour nous. Au contraire. On était toujours aussi amoureux, de vrais aimants : toujours l'un avec l'autre. On profitait de notre nouvelle vie et on avait particulièrement hâte de voir la bouille d'enfant de notre petite princesse. Mais lorsqu'elle dormait nous trouvions un moment pour nous retrouver, vivre notre idylle. Et on ne manquait pas de s'amuser comme de vrais adultes… Tout y passait le sauna, le jaccusy, le lit… Nous ne voulions pas trop nous écarter de la maison de peur de laisser mini-moi avec des inconnus. Je préférais qu'elle soit apte à parler avant de la confier à des tiers. On ne sait jamais…
Après un petit tour dans la chambre de mini-moi, après avoir vérifié qu'elle ne manquait de rien. Je m'occupais d'enseigner la guitare à mon mari, mon amoureux. Il était déjà très doué, mais finalement il s'était tellement concentré sur le piano qu'il avait oublié certaines choses de la guitare. Heureusement je maîtrisais cet instrument et que je lui étais très utile. Peut-être qu'un jour il m'apprendrait le piano ?
Parfois la mistinguette pleurait pour des raisons obscurs. Elle ne pleurait jamais bien longtemps, il y avait toujours un de nous deux pour accourir. Que ce soit la nuit ou en pleine journée. On se relayait et je dois bien admettre que je ne sais pas comment je ferais si Monsieur ne vivait pas avec moi et n'était pas aussi attentionné envers sa petite princesse. On essayait tant bien que mal de comprendre ses besoins mais c'était loin d'être évident, heureusement lorsqu'elle nous voyait arriver jusqu'à elle, elle ne mettait pas très longtemps à se calmer.
Et puis un jour nous avons organisé un événement très particulier. C'était l'anniversaire de mon amoureux, mais aussi de mon frère, Anil et de sa belle Elsa. Heureusement que j'étais encore en congé maternité, sinon je ne sais comment j'aurais pu organiser une telle fête. Deux gâteaux les attendaient sagement. Fait avec amour, bien entendu.
C'est Elsa qui a ouvert la marche, elle allait avoir la quarantaine. Pour moi l'époque où elle venait chez moi pour fricoter avec mon frère me paraissait être hier. Comme le temps passait vite!
C'est Anil, mon grand-frère adoré qui a continué sur la lancé d'Elsa. La quarantaine… je n'en revenais pas. Si cette histoire ne me rajeunissait pas, il faut bien admettre que je pensais à ma chère mère qui a cet instant devait se sentir carrément prête à passer à l'arme à gauche.
Toutes la troupe était là, mes deux nièces Justine et Chloé ainsi que mon neveu Jonathan. Accompagné bien entendu de leurs parents.
Puis c'est la larme à l'œil que j'ai vu mon mari souffler ses bougies. J'en oubliais souvent qu'il était plus âgé que moi, qu'il avait l'âge de mon frère ainé, qu'il a pas mal d'année de plus que moi. Mais je suis si bien avec lui que j'en oublie notre différence d'âge, pourtant à l'époque où j'étais adolescente, à l'époque où j'enquêtais sur la mort de mon père, il était déjà adulte. Et un adulte qui avait travaillé dans les forces de l'ordre puis se lançait à son compte. Tellement de choses qui c'étaient passés entre temps… A l'époque où je l'ai rencontré j'étais avec Neil. Puis il y a eu Émile et enfin l'amour de ma vie, lui.
Après on s'est tous servi de mon délicieux, sans vouloir me vanter, gâteau. Mon mari faisait un peu la tête, il appréciait moyennement de passer la quarantaine. Anil et Elsa le vivait bien mieux. Ce qui me rassurait c'était de savoir que le prochain anniversaire serait de ma petite puce… Mais quand allait-elle décidé de sortir de ce berceau ? Seule elle, le savait.
Maman était là elle aussi, je l'entendais dire à mon frère :
- Comme je me fais vieille… Mon fils ainé vient de passer la quarantaine… Joyeux anniversaire mon chéri.
Je ne pouvais m'empêcher d'être triste, bientôt elle nous quitterait. Ma mère adorée… Bientôt je lui demanderais d'emménager avec nous pour pouvoir profiter d'elle pendant ses vieux jours.
Les petits s'ennuyaient pendant les conversations de grands, Justine et Chloé étaient partis se baigner. Tandis que Jonathan avait découvert un attrait pour les barres horizontales.
Puis Nathanaëlle est venu me voir. J'avais vu cette ombre sur son visage depuis le début de l'après-midi. Je ne comprenais pas bien ce qui se passait pour la belle mais, elle a fini par me mettre dans la confidence :
- Je ne peux plus avoir d'enfants… Jonathan sera fils unique…
- Oh ma belle… Je suis tellement désolé pour toi…
- Le pire c'est que Jonathan me demande sans cesse un petit frère ou une petite sœur. Et je ne peux lui expliquer… Il est trop jeune. On avait déjà mis un temps fou pour le concevoir mais, maintenant c'est impossible.
J'étais franchement désolé pour elle, je savais qu'elle rêvait de fonder une famille nombreuse depuis toute petite. Lorsqu'on jouait aux poupées elle était toujours la maman. Je ne sais pas comment je vivrais la nouvelle, si je ne pouvais avoir que Clarisse.
Peu à peu, la nuit commençait à tomber. J'avais passé un bon moment avec tout le monde. J'avais hâte que Clarisse grandisse pour qu'elle fasse la connaissance de cette fabuleuse famille. J'étais persuadée qu'elle s'entendrait très bien avec ses cousins et cousines. Malgré les disparitées qu'on avait pût avoir par le passé, on était désormais plus soudé que jamais…
Mon congé maternité avait pris fin. C'est avec regret que je retournais donc au travail. J'adorais mon boulot, mais par-dessus tout ma famille. J'avais donc passé ma journée dans la chaleur étouffante d'Oasis Springs a tenter de résoudre une drôle d'affaire. Je rentrais donc d'une journée harassante .
Mais une petite surprise m'attendait. Une petite fille aux cheveux châtains, comme mon amoureux.
- Maman!
- Oh Clarisse!
Je la serrai fort dans mes bras, ma journée difficile était désormais oubliée. J'avais sous mes yeux la plus jolie des petites filles. Ma Clarisse, mon bébé…
Et vu qu'on voit pas vraiment sa tête pour le moment et que vous allez râler, voici la bouille de la petite Clarisse :
Dis donc c'est vraiment animée chez tes sims ! J'aurais bien voulu une part du gâteau moi aussi
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C'est dommage pour Nathanaëlle, mais heureusement y'a l'adoption si elle tient absolument à avoir d'autres enfants !
Bienvenue petite Clarisse !
A tendance à créer des Sims d'après mes goûts musicaux
Quant à Nathanaëlle
@Nani J'aimerais moi aussi avoir le même
@sirhc59 Beaucoup d'évènements en effet
@pytisa Elle est trop jolie c'est vrai
Mdrrr je comprends ta flemme
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