Perso' je les sens pas les grands parents, au vu de leur fille En plus ils sortent d'une époque moins tolérante que la notre, et la notre est déjà pas parfaite là-dessus, loin de là...
Pouf ! Tout rattrapé et qu'est ce que j'ai pu vibrer, frissonner, désespérer, espéré... Et là je suis au bout de ma vie. Mais pourquoi c'est aussi compliqué la vie ???
J'adore ton histoire Alex, bravo
@Daemonya alors ça, ça ne veut rien dire ! J'ai un collègue qui s'est fait rejeté par sa mère quand il était ado car elle n'acceptait pas qu'il soit gay (elle était maman-célibataire, le père inconnu) les grand parents n'avaient aucun problème avec ça ! ils l'ont hébergé et ils avaient même monté une asso du style "mariage pour tous" ... ce collègue n'est déjà pas de ma génération (il a genre la cinquantaine).... donc ses grand parents sont d'une génération encore plus lointain que les grand parents de Peter
En tout cas bravo @Alexmu85 ! Ton coup de plume était parfait une fois de plus ! Tes protagonistes sont tellement attachants et "réels" que c'est bluffant ! J'étais tellement prise dans le récit de Peter... je crois que j'ai retenu mon souffle tout le long de la lecture (alors que bon... hein... c'est pas comme si on en connaissait pas déjà l'issu )
En tout cas, ça fait bien plaisir de te retrouver par ici (après quelques semaines surement très difficiles pour toi !) j’espère que tu vas avoir le temps de bien décompresser après tout ça et j'ai hâte de découvrir la suite de l'histoire !
ID Origin : cutsiepigtails - n'hésitez pas à m'ajouter
Yes, je suis anglophone, mais je suis ni Américaine, ni Australienne, ni Canadienne ni Néo-Zélandaise , ni Sud-africaine, ni Anglaise, ni Écossaise, ni Irlandaise.... je suis, je suis, je suis ?
Hé bien ! Heureuse de les avoir retrouvés, mais pas heureuse d'avoir revécu ce moment bien difficile pour Peter bon, pour Thomas aussi, mais c'est Peter qui se fait canaper (oui canaper ) par sa kounnasse de madre J'espère de tout coeur que les choses seront différentes chez ses grands-parents... en attendant, merci encore pour cette histoire très forte et très vraie, petit choubidou
@Daemonya j'ai hâte d'avoir ton avis alors lorsqu'ils apparaitront !
@NOOGATINE merci ! Je suis vraiment content que l'histoire plaise encore et que je n'ai pas perdu la main après cette pause !
@cutsiepigtails un point pour toi ! Même s'ils sont nés dans une époque moins tolérante que la notre, ça ne veut pas dire qu'ils sont forcément moins tolérant !
Merci beaucoup, je suis content de te procurer autant d'émotions
C'est sûr que l'alternatif donne moins de surprise que le chapitre normal mais j'essaie de traiter d'autres points par rapport au chapitre d'avant !
Ah et les semaines ont été difficiles mais pas à cause du bac, c'est surtout mes screens qui m'énervent pour écrire :
Dès que je mets mes Sims à l'exterieur, leur visage se met à bronzer ou débronzer
Du coup je suis vraaaaaiment limité dans les screens, même dans ce chapitre j'ai du en prendre moins que ce que j'avais prévu... J'éspère régler ça au plus vite car j'ai aussi un problème avec un add'on, mais je pense que tout sera réparé dans peu de temps
@Cassiopeia C'est drôle car j'ai commenté ton histoire en même que tu commentais la mienne ! Bref, merci à vous de me lire surtout !
"Canaper..." je retiens ce mot
Et pour la suite, je dirais rien !
Bon... Me voilà donc avec la deuxième partie de l'histoire !! Cette idée de partie est apparue parce que beaucoup de choses vont être différentes de la première partie ! Maintenant que Thomas et Peter sont séparés, je vais continuer le point de vue alternatif mais il est clair que les deux personnages vont subir un scénario différent, et je veux traiter des points et des épreuves de la vie différentes pour chacun mais qui ont tout de même une influence dans leur relation. D'ailleurs j'ai un coup de cœur sur le scénario de Peter chuuut, mais je vais essayer de rendre les deux histoires intéressantes avec de nouveaux personnages tout aussi intéressants ! L'histoire prend son premier tournant dans ce deuxième grand Chapitre !
Bonne lecture !
Notre Vie Menée
Chapitre II - 1 : Où que tu sois
Peter était parti.
Je n’ai pratiquement aucun souvenir de ce qu'il se passa les heures suivantes. Il m’a été rapporté plus tard qu’après être retourné chez moi, je m’étais effondré devant mes parents et j’avais été pris de vomissements.
Mes parents avaient pris les mesures capitales face à ce malaise soudain, et je me retrouvai donc aux urgences.
Il parait aussi que je ne laissais personne m’approcher, et que je m’en prenais physiquement à tous ceux qui tentait de le faire. Les ambulanciers avaient fini par me plaquer au sol et m’avaient attaché à un brancard, et c’est à ce moment-là que j’avais complètement pété les plombs. J’avais vidé tout ce que j’avais dans les tripes et la vessie dans l’ambulance. Ils m’avaient gardé attaché jusqu’à ce que je sois conduit à l'hôpital, où après avoir injurié les ambulanciers je perdis connaissance.
Quand on est un garçon de 16 ans et demi, on est encore fragile. J'avais subi beaucoup trop émotionnellement en une semaine, et ça m'avait mentalement détruit.
Je repris conscience le lendemain du départ de Peter. J’étais toujours à la clinique quand je me réveillai, et ma mère dormait dans une chaise à côté de mon lit. J’avais une perfusion dans un bras, et il faisait nuit. Tout était sombre et silencieux autour de moi.
Je ne voulais pas réveiller ma mère, mais j’avais besoin qu’elle enlève ce tuyau de mon bras. Je ne supportais pas la sensation d’être relié à ce dispositif. Bref, je trouvai le bouton pour appeler l’infirmière et appuyai dessus.
"Oui ?"
La voix de l’infirmière qui sortit de l'interphone était plaisante, bien qu’un peu métallique.
"Est-ce que quelqu’un peut retirer ce truc de mon bras ?
–J’arrive tout de suite."
Je me tournai pour voir si le bruit avait réveillé ma mère. Elle dormait encore, mais pas pour longtemps. L’infirmière entra dans la chambre et alluma la lumière. J’avais raison, elle avait une belle voix, mais son charme s’arrêtait là.
Ma mère leva les yeux vers l’infirmière, prête à protester contre cette intrusion soudaine, mais elle vit que j’étais réveillé. Elle me fit un grand sourire.
L’infirmière s’approcha de mon lit.
"Comment te sens-tu ?" demanda maman.
"Très bien. On peut me retirer ce truc s'il vous plait ?
–Nous allons devoir attendre le médecin... Il arrive à sept heures."
Encore quatre heures à passer avec cette saleté de tuyau dans le bras. L'infirmière effectua son travail en silence, efficace et professionnelle. Quand elle eut pris mon pouls et ma température, elle m’expliqua :
"Je vais m’arranger pour que le médecin te voie en arrivant, d’accord ?
–Vous êtes sûre qu’on ne peut pas l’enlever avant ?
-Si tu essaies, nous serions obligés de t’attacher de nouveau."
De nouveau ? L’infirmière quitta la pièce.
Ma mère se leva et vint à mon chevet. Avant qu’elle ne puisse me parler, je tournai brusquement la tête vers elle, et la regardai droit dans les yeux.
"Peter est parti..."
Elle me regarda, et son visage en disait long sur la peine qu'elle avait pour moi.
"Je sais...
-Qu'est ce que je vais faire maintenant ?"
Ma gorge se serrait et ma voix tremblait. Elle ne répondit pas et se contenta de passer sa main à travers mes cheveux.
J'avais beau essayer de faire en sorte que, ses caresses ne parvenaient pas à m'apporter le réconfort donc j'avais besoin. Je pensais à Peter, où était-il maintenant ?
Cette perfusion m'entravait, j'avais l'impression d'être prisonnier de la clinique tandis que Peter se trouvait quelque part dehors.
J'avais du mal à me rendormir, j'avais juste envie de sauter hors du lit et de courir rejoindre Peter. Je me demandais s'il était déjà en Écosse ou encore aux États-Unis... Mon portable était resté à la maison, je n'avais aucun moyen d'avoir de ses nouvelles.
Lorsque je parvins enfin à trouver le sommeil, la porte de la chambre s'ouvrit et le médecin rentra.
Ma mère s'était ré-assoupit au bord de mon lit. La porte qui s'ouvrit la réveilla.
"Bonjour Peter, je suis le docteur Wrath."
Je ne répondis pas. Le médecin prit mon pouls et retira la perfusion. Enfin !
"Pourquoi m'avoir mis une perfusion, je n'ai fait qu'un simple malaise...
-Tu es resté longtemps inconscient Thomas, nous ne savions pas quand tu allais te réveiller car ton pouls était lent. Nous avons préféré te nourrir par perfusion au cas où tu restais inconscient quelques jours de plus."
J'acquiesçai en signe de compréhension.
"Madame, je vais vous demander de me laisser seul avec votre enfant si ça ne vous dérange pas."
Évidemment cette demande était une obligation, ma mère sortit de la chambre sans émettre de commentaire.
Je me demandai pourquoi désirer un moment seul avec moi, mais je compris rapidement au cours de notre discussion. Le docteur Wrath était engagé par la clinique en tant que psychologue.
"Ton dossier indique que tu as eu une crise de nerfs, et que tu es arrivé ici dans le coma. Te souviens-tu de ce qu’il s’est passé juste avant ?
–J’ai... Été séparé de mon petit ami.
–Ton petit ami ? Tu penses que tu es gay ?
–Je suis gay.
–Je vois. Tu es trop jeune pour être sûr de cela. Pourquoi pensais-tu que ce garçon était ton petit ami ?"
En quelques phrases échangées, je compris que j'allais détester ce psychologue. Son air faussement rassurant m'énervait.
"Peter EST mon petit ami. Nous avons découvert nos sentiments l’un pour l’autre il y a environ une semaine, et on est devenus vraiment proches ces derniers jours.
–Combien de temps êtes-vous restés en couple ?
–Une semaine et deux jours. On est toujours en couple ! Sa mère l’a emmené hier après-midi. Je me suis effondré dans l’allée, d’après ce qu’on m’a dit. Après, je me souviens de rien jusqu’à mon réveil ce matin.
–Mmmh. Tu crois que tu l’aimais.
–Je l’aime vraiment. Je ne crois pas l’aimer, je l’aime !
–Je pense que tu n’es pas assez mûr pour connaître l’amour adulte. Ce n'était juste qu'un flirt que tu crois être de l’amour. Certains garçons ont des expériences homosexuelles et deviennent tout à fait normaux en grandissant."
Mon sang ne fit qu'un tour.
"Quel genre de psy êtes-vous ?! Je vous parle sérieusement de mes sentiments et vous dénigrez ce que je suis !"
Il se mit alors en tête de me sermonner sur ma façon de m’adresser aux docteurs. Je lui fis comprendre que ses remarques n’étaient pas les bienvenues. Il se leva et parti alors, me laissant de nouveau seul.
Ma mère rentra dans la chambre presque immédiatement, je lui fis signe que je ne voulais pas parler.
A la fin de la journée, une infirmière vint dans la chambre et nous donna la permission de sortir, je me levais donc et je me rendis compte que je dégageais une véritable odeur de vomi... Je n'avais pas été douché depuis les événements de la veille. Je pris donc une douche sous la surveillance de l'infirmière - la situation était quelque peu embarrassante mais avec tout ce que j'avais vécu, ça me passait au dessus - pendant que ma mère préparait mes affaires.
Lors de mon retour à la maison, j'avais du mal à regarder l'allée sans voir la voiture de Jane s'en aller avec Peter à l'intérieur, mais si je voulais m'éviter une seconde crise de nerfs je devais ne plus y penser.
Je poussai la porte lorsque je vis mon père qui m'attendait, il semblait hésiter à s'approcher de moi, mais il me fit un sourire timide.
"Bienvenue chez toi, fiston."
Puis ceci dit il se jeta sur moi en me serrant contre lui si fort que je crus que j'allais m'étouffer. C'était la première fois qu'il réagissait comme ça.
Lucy était assise dans le salon, et observait la scène avec curiosité.
"Tu vas bien ?"
Elle semblait inquiète, comme fragilisée. Je résistai à l’idée de la repousser. On pouvait enterrer la hache de guerre juste pour cette fois...
"Oui, je vais bien..."
Elle sourit en guise de réponse. Mais quand elle se rendit compte qu'elle me dévoilait cet air soulagé, elle me tira la langue avant de remonter dans sa chambre.
Un silence glacial s'installa dans la pièce.
Je repensais encore et encore à Peter. Je me dis qu'il devrait forcément revenir en Amérique pour sa scolarité, où même s'il advenait qu'il parte vivre définitivement en Écosse, il devait forcément revenir ici pour régler les papiers. Enfin bon, je me faisais probablement des films pour rien.
"Tu vas pouvoir aller au bac demain matin ?"
C'était ma mère qui me posait la question. Le bac ! Je l'avais complètement oublié ! Si Peter avait déjà fini les épreuves anticipées grâce à sa filière scientifique, moi il me restait une épreuve !
"Je crois oui...
-Si tu n'en as pas l'envie je comprendrai Thomas.
-C'est pas une question d'envie, mais de devoir. J'irais au bac demain, ne t'en fait pas."
Je passai donc l'après-midi à réviser mes leçons. C'était soudain comme remise dans le bain, mais nécessaire.
Je n'avais aucun message de Peter, je me doutais bien que sa mère lui aurait empêcher de me parler, et elle avait certainement du confisquer son téléphone. En revanche j'avais de nombreux messages de mes autres amis qui ne savaient pas que j'étais allé aux urgences, en particulier Gaby qui avait aussi essayé de m’appeler à deux reprises, en vain.
Même si j'avais de nombreux autres amis, c'était de Gaby donc je me sentais le plus proche. Elle avait le droit d'être au courant de cette histoire, et je lui donnai donc rendez-vous demain midi après l'épreuve.
L'épreuve du lendemain matin se passe sans grandes difficultés malgré mes révisions de dernières minutes. Et comme prévu, je vis Gaby à la sortie des cours.
Je lui fis part de toute l'histoire en prenant soin d'oublier aucun détail. Elle fut évidemment choquée d'apprendre tout ça.
"Dire que Peter m'avait appris il y a quelques jours que vous étiez en couple, et maintenant vous êtes... Woah... C'est vraiment dingue désolée, ce qui vous arrive c'est juste... fou...
-Je crois que moi-même je ne réalise pas..."
Gaby était désormais la seule personne en dehors de ma famille à qui je pouvais m'accrocher. Je crois que cette année fut celle où je pris le plus conscience de l'importance du terme "amitié".
"Tu as perdu ton amour, j'ai perdu un ami... Je suis sur le c*l, je t'avoue..."
Elle prit une inspiration.
"Mais il va revenir ! C'est pas parce qu'il est loin actuellement qu'on va se laisser abattre non ? Si sa mère t'as bloqué via le téléphone de Peter, il reste le mien ! Ou au pire y Facebook pour lui parler !!
-Rien ne t'abat...
-J'ai passé l'âge de me morfondre dans mon coin sans rien faire, c'est dégueu ce qui est arrivé mais on panique peut-être pour rien ! Si ça se trouve Peter va revenir très bientôt !
-T'es utopiste
-Juste optimiste ! On va d'abord essayer de lui parler ok ?"
Mon regard en dit long sur ce que j'en pensais.
"T'es pas obligée de me regarder comme si je parlais chinois !
-C'est juste que je pense à Peter, tout le temps, même maintenant ! Comment je pourrais faire mine que tout va bien ?!
-Je te demande pas de faire mine que tout va bien, mais de pas te déprimer en pensant que Peter ne va jamais revenir !"
Elle avait raison. Gaby était comme ça, chaque fois que l'on débattait elle arrivait à avoir raison. Il y avait aussi un coté en elle qui faisait que je n'arrivais pas à la contredire. Son coté plus âgé sans doute -elle avait redoublé sa quatrième et sa troisième- me faisait éprouver du respect envers elle comme envers un adulte, bien qu'elle soit mon amie.
"Alors je fais quoi en attendant..?
-Je peux pas te le dire... Change-toi juste les idées.
-C'est dur d'oublier quand on veut aimer...
-N'oublie pas non plus alors. Bordel t'es grand Thomas !"
Je crus qu'elle s'énervait mais son visage était simplement sarcastique. Elle essayait de me ressaisir.
"Au fait Gaby, quand j'étais à la clinique... Le médecin a dit que ma relation avec Peter n'était juste qu'un flirt d'ado.
-Tu crois que Peter vas t'oublier, que c'était pas sérieux entre vous ?
-Non non ! Pas du tout... Enfin rien, oublie. Peter me manque."
Elle me regarda attentivement.
"Où qu'il soit, il doit certainement penser à toi aussi. Et je suis convaincue qu'il souhaiterait que tu sois heureux. Il t'aime et tu le sais, vous allez vous retrouvez donc au lieu de penser à ce que t'as perdu, pense à ce qu'il te reste Thomas ! Je te propose mon aide. Je suis là, d'accord ? On l'emm*rde ce médecin, et ce que les autres pensent aussi ! Tu aimes Peter, c'est tout.
-Où qu'il soit... Il est dans mon cœur !"
Elle se mit à rire.
"C'était la phrase cucul du jour made in Thomas !
-T'es chiante Gaby tu sais ?"
Je me mis à rire aussi.
Au moins avec elle je savais que je n'étais pas seul.
Euh... ça existe encore des psychologues de cet acabit ? Heureusement pour Thomas ses parents sont très présents, jusqu'à la petite peste qui s'inquiète tout de même, pas si mauvaise que ça finalement, même si elle s'efforce de démontrer le contraire. Quant à Gaby, une amie très précieuse.
Si seulement Peter pouvait bénéficier d'autant de soutien.
Oh Thomas... Je ne portais pas particulièrement Gaby dans mon cœur jusque là mais elle est remontée dans mon estime. Il a de la chance d'avoir un allié et une famille compréhensive.
Ce c.on de médecin... C'est bien le genre de comportement qui me rend dingue, comme s'il y avait un âge pour aimer ? Comme si à 12, 16 ou 20 ans on était trop bête pour savoir ce qu'on veut. Les adultes oublient trop vite qu'ils ont eu cet âge-là. Enfin, à n'importe quel âge on risque de rencontrer des gens qui pensent savoir mieux que nous ce qu'on ressent... c'est navrant.
Encore bravo pour ce chapitre, Thomas m'a mis le cœur en miette et j'étais en colère avec lui ! J'ai hâte d'avoir des nouvelles de Peter maintenant.
@sirhc59 oh que oui malheureusement, je me suis inspiré de quelques faits divers avec des psychologues voulant "raisonner" leur patient sur leur sexualité, très présent en Russie notamment puisqu'il existe même des spécialiste du droit chemin pour les jeunes "corrompus", du coup j'avais envie de vaguement évoquer dans ce chapitre que même les psychologues ne sont pas forcément à l'écoute des homosexuels (évidemment c'est un cas rare).
@Caro220283 haha tant mieux alors, j'aime bien Gaby moi, surtout lors de la prise des screens ! C'est la simette la plus facile à photographier que j'ai eu, enfin je m’égare
Comme dit pour chris, je me suis inspiré de quelques faits divers pour présenter le psychologue. Mais le plus important est que Thomas n'est pas seul !
Mais qu'elle est belle cette Gaby
C'est chaud dis donc... c'est encore possible d'avoir des docs avec une telle mentalité ? Il m'a fait bondir sur ma chaise Je suis contente de savoir que Thomas est soutenu par sa famille et Gaby en tous cas, il en a bien besoin.
@Caro220283 haha tant mieux alors, j'aime bien Gaby moi, surtout lors de la prise des screens ! C'est la simette la plus facile à photographier que j'ai eu, enfin je m’égare
Ah mais elle est super jolie et puis son prénom voilà mais j'avais pas aimé sa réaction quand Peter lui avait annoncé qu'il était avec Thomas... Je la sentais pas, mais elle se rattrape ! ^^'
Gaby est une chouette amie ^.^
Et j'aime bien la petite attention de sa sœur
Et ce psy craint sérieux, il a dû rater la case empathie de sa formation u.u
Réponses
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J'adore ton histoire Alex, bravo
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En tout cas bravo @Alexmu85 ! Ton coup de plume était parfait une fois de plus ! Tes protagonistes sont tellement attachants et "réels" que c'est bluffant ! J'étais tellement prise dans le récit de Peter... je crois que j'ai retenu mon souffle tout le long de la lecture (alors que bon... hein... c'est pas comme si on en connaissait pas déjà l'issu
En tout cas, ça fait bien plaisir de te retrouver par ici (après quelques semaines surement très difficiles pour toi !) j’espère que tu vas avoir le temps de bien décompresser après tout ça et j'ai hâte de découvrir la suite de l'histoire !
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@NOOGATINE merci !
@cutsiepigtails un point pour toi ! Même s'ils sont nés dans une époque moins tolérante que la notre, ça ne veut pas dire qu'ils sont forcément moins tolérant !
Merci beaucoup, je suis content de te procurer autant d'émotions
C'est sûr que l'alternatif donne moins de surprise que le chapitre normal mais j'essaie de traiter d'autres points par rapport au chapitre d'avant !
Ah et les semaines ont été difficiles mais pas à cause du bac, c'est surtout mes screens qui m'énervent pour écrire :
Dès que je mets mes Sims à l'exterieur, leur visage se met à bronzer ou débronzer
Du coup je suis vraaaaaiment limité dans les screens, même dans ce chapitre j'ai du en prendre moins que ce que j'avais prévu... J'éspère régler ça au plus vite car j'ai aussi un problème avec un add'on, mais je pense que tout sera réparé dans peu de temps
@Cassiopeia C'est drôle car j'ai commenté ton histoire en même que tu commentais la mienne !
"Canaper..." je retiens ce mot
Et pour la suite, je dirais rien !
Mon studio : Les créations d'Alexis Mullinghautruc.
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@Daemonya oui évidemment !
Bon... Me voilà donc avec la deuxième partie de l'histoire !! Cette idée de partie est apparue parce que beaucoup de choses vont être différentes de la première partie ! Maintenant que Thomas et Peter sont séparés, je vais continuer le point de vue alternatif mais il est clair que les deux personnages vont subir un scénario différent, et je veux traiter des points et des épreuves de la vie différentes pour chacun mais qui ont tout de même une influence dans leur relation. D'ailleurs j'ai un coup de cœur sur le scénario de Peter chuuut, mais je vais essayer de rendre les deux histoires intéressantes avec de nouveaux personnages tout aussi intéressants ! L'histoire prend son premier tournant dans ce deuxième grand Chapitre !
Bonne lecture !
Chapitre II - 1 : Où que tu sois
Peter était parti.
Je n’ai pratiquement aucun souvenir de ce qu'il se passa les heures suivantes. Il m’a été rapporté plus tard qu’après être retourné chez moi, je m’étais effondré devant mes parents et j’avais été pris de vomissements.
Mes parents avaient pris les mesures capitales face à ce malaise soudain, et je me retrouvai donc aux urgences.
Il parait aussi que je ne laissais personne m’approcher, et que je m’en prenais physiquement à tous ceux qui tentait de le faire. Les ambulanciers avaient fini par me plaquer au sol et m’avaient attaché à un brancard, et c’est à ce moment-là que j’avais complètement pété les plombs. J’avais vidé tout ce que j’avais dans les tripes et la vessie dans l’ambulance. Ils m’avaient gardé attaché jusqu’à ce que je sois conduit à l'hôpital, où après avoir injurié les ambulanciers je perdis connaissance.
Quand on est un garçon de 16 ans et demi, on est encore fragile. J'avais subi beaucoup trop émotionnellement en une semaine, et ça m'avait mentalement détruit.
Je repris conscience le lendemain du départ de Peter. J’étais toujours à la clinique quand je me réveillai, et ma mère dormait dans une chaise à côté de mon lit. J’avais une perfusion dans un bras, et il faisait nuit. Tout était sombre et silencieux autour de moi.
Je ne voulais pas réveiller ma mère, mais j’avais besoin qu’elle enlève ce tuyau de mon bras. Je ne supportais pas la sensation d’être relié à ce dispositif. Bref, je trouvai le bouton pour appeler l’infirmière et appuyai dessus.
"Oui ?"
La voix de l’infirmière qui sortit de l'interphone était plaisante, bien qu’un peu métallique.
"Est-ce que quelqu’un peut retirer ce truc de mon bras ?
–J’arrive tout de suite."
Je me tournai pour voir si le bruit avait réveillé ma mère. Elle dormait encore, mais pas pour longtemps. L’infirmière entra dans la chambre et alluma la lumière. J’avais raison, elle avait une belle voix, mais son charme s’arrêtait là.
Ma mère leva les yeux vers l’infirmière, prête à protester contre cette intrusion soudaine, mais elle vit que j’étais réveillé. Elle me fit un grand sourire.
L’infirmière s’approcha de mon lit.
"Comment te sens-tu ?" demanda maman.
"Très bien. On peut me retirer ce truc s'il vous plait ?
–Nous allons devoir attendre le médecin... Il arrive à sept heures."
Encore quatre heures à passer avec cette saleté de tuyau dans le bras. L'infirmière effectua son travail en silence, efficace et professionnelle. Quand elle eut pris mon pouls et ma température, elle m’expliqua :
"Je vais m’arranger pour que le médecin te voie en arrivant, d’accord ?
–Vous êtes sûre qu’on ne peut pas l’enlever avant ?
-Si tu essaies, nous serions obligés de t’attacher de nouveau."
De nouveau ? L’infirmière quitta la pièce.
Ma mère se leva et vint à mon chevet. Avant qu’elle ne puisse me parler, je tournai brusquement la tête vers elle, et la regardai droit dans les yeux.
"Peter est parti..."
Elle me regarda, et son visage en disait long sur la peine qu'elle avait pour moi.
"Je sais...
-Qu'est ce que je vais faire maintenant ?"
Ma gorge se serrait et ma voix tremblait. Elle ne répondit pas et se contenta de passer sa main à travers mes cheveux.
J'avais beau essayer de faire en sorte que, ses caresses ne parvenaient pas à m'apporter le réconfort donc j'avais besoin. Je pensais à Peter, où était-il maintenant ?
Cette perfusion m'entravait, j'avais l'impression d'être prisonnier de la clinique tandis que Peter se trouvait quelque part dehors.
J'avais du mal à me rendormir, j'avais juste envie de sauter hors du lit et de courir rejoindre Peter. Je me demandais s'il était déjà en Écosse ou encore aux États-Unis... Mon portable était resté à la maison, je n'avais aucun moyen d'avoir de ses nouvelles.
Lorsque je parvins enfin à trouver le sommeil, la porte de la chambre s'ouvrit et le médecin rentra.
Ma mère s'était ré-assoupit au bord de mon lit. La porte qui s'ouvrit la réveilla.
"Bonjour Peter, je suis le docteur Wrath."
Je ne répondis pas. Le médecin prit mon pouls et retira la perfusion. Enfin !
"Pourquoi m'avoir mis une perfusion, je n'ai fait qu'un simple malaise...
-Tu es resté longtemps inconscient Thomas, nous ne savions pas quand tu allais te réveiller car ton pouls était lent. Nous avons préféré te nourrir par perfusion au cas où tu restais inconscient quelques jours de plus."
J'acquiesçai en signe de compréhension.
"Madame, je vais vous demander de me laisser seul avec votre enfant si ça ne vous dérange pas."
Évidemment cette demande était une obligation, ma mère sortit de la chambre sans émettre de commentaire.
Je me demandai pourquoi désirer un moment seul avec moi, mais je compris rapidement au cours de notre discussion. Le docteur Wrath était engagé par la clinique en tant que psychologue.
"Ton dossier indique que tu as eu une crise de nerfs, et que tu es arrivé ici dans le coma. Te souviens-tu de ce qu’il s’est passé juste avant ?
–J’ai... Été séparé de mon petit ami.
–Ton petit ami ? Tu penses que tu es gay ?
–Je suis gay.
–Je vois. Tu es trop jeune pour être sûr de cela. Pourquoi pensais-tu que ce garçon était ton petit ami ?"
En quelques phrases échangées, je compris que j'allais détester ce psychologue. Son air faussement rassurant m'énervait.
"Peter EST mon petit ami. Nous avons découvert nos sentiments l’un pour l’autre il y a environ une semaine, et on est devenus vraiment proches ces derniers jours.
–Combien de temps êtes-vous restés en couple ?
–Une semaine et deux jours. On est toujours en couple ! Sa mère l’a emmené hier après-midi. Je me suis effondré dans l’allée, d’après ce qu’on m’a dit. Après, je me souviens de rien jusqu’à mon réveil ce matin.
–Mmmh. Tu crois que tu l’aimais.
–Je l’aime vraiment. Je ne crois pas l’aimer, je l’aime !
–Je pense que tu n’es pas assez mûr pour connaître l’amour adulte. Ce n'était juste qu'un flirt que tu crois être de l’amour. Certains garçons ont des expériences homosexuelles et deviennent tout à fait normaux en grandissant."
Mon sang ne fit qu'un tour.
"Quel genre de psy êtes-vous ?! Je vous parle sérieusement de mes sentiments et vous dénigrez ce que je suis !"
Il se mit alors en tête de me sermonner sur ma façon de m’adresser aux docteurs. Je lui fis comprendre que ses remarques n’étaient pas les bienvenues. Il se leva et parti alors, me laissant de nouveau seul.
Ma mère rentra dans la chambre presque immédiatement, je lui fis signe que je ne voulais pas parler.
A la fin de la journée, une infirmière vint dans la chambre et nous donna la permission de sortir, je me levais donc et je me rendis compte que je dégageais une véritable odeur de vomi... Je n'avais pas été douché depuis les événements de la veille. Je pris donc une douche sous la surveillance de l'infirmière - la situation était quelque peu embarrassante mais avec tout ce que j'avais vécu, ça me passait au dessus - pendant que ma mère préparait mes affaires.
Lors de mon retour à la maison, j'avais du mal à regarder l'allée sans voir la voiture de Jane s'en aller avec Peter à l'intérieur, mais si je voulais m'éviter une seconde crise de nerfs je devais ne plus y penser.
Je poussai la porte lorsque je vis mon père qui m'attendait, il semblait hésiter à s'approcher de moi, mais il me fit un sourire timide.
"Bienvenue chez toi, fiston."
Puis ceci dit il se jeta sur moi en me serrant contre lui si fort que je crus que j'allais m'étouffer. C'était la première fois qu'il réagissait comme ça.
Lucy était assise dans le salon, et observait la scène avec curiosité.
"Tu vas bien ?"
Elle semblait inquiète, comme fragilisée. Je résistai à l’idée de la repousser. On pouvait enterrer la hache de guerre juste pour cette fois...
"Oui, je vais bien..."
Elle sourit en guise de réponse. Mais quand elle se rendit compte qu'elle me dévoilait cet air soulagé, elle me tira la langue avant de remonter dans sa chambre.
Un silence glacial s'installa dans la pièce.
Je repensais encore et encore à Peter. Je me dis qu'il devrait forcément revenir en Amérique pour sa scolarité, où même s'il advenait qu'il parte vivre définitivement en Écosse, il devait forcément revenir ici pour régler les papiers. Enfin bon, je me faisais probablement des films pour rien.
"Tu vas pouvoir aller au bac demain matin ?"
C'était ma mère qui me posait la question. Le bac ! Je l'avais complètement oublié ! Si Peter avait déjà fini les épreuves anticipées grâce à sa filière scientifique, moi il me restait une épreuve !
"Je crois oui...
-Si tu n'en as pas l'envie je comprendrai Thomas.
-C'est pas une question d'envie, mais de devoir. J'irais au bac demain, ne t'en fait pas."
Je passai donc l'après-midi à réviser mes leçons. C'était soudain comme remise dans le bain, mais nécessaire.
Je n'avais aucun message de Peter, je me doutais bien que sa mère lui aurait empêcher de me parler, et elle avait certainement du confisquer son téléphone. En revanche j'avais de nombreux messages de mes autres amis qui ne savaient pas que j'étais allé aux urgences, en particulier Gaby qui avait aussi essayé de m’appeler à deux reprises, en vain.
Même si j'avais de nombreux autres amis, c'était de Gaby donc je me sentais le plus proche. Elle avait le droit d'être au courant de cette histoire, et je lui donnai donc rendez-vous demain midi après l'épreuve.
L'épreuve du lendemain matin se passe sans grandes difficultés malgré mes révisions de dernières minutes. Et comme prévu, je vis Gaby à la sortie des cours.
Je lui fis part de toute l'histoire en prenant soin d'oublier aucun détail. Elle fut évidemment choquée d'apprendre tout ça.
"Dire que Peter m'avait appris il y a quelques jours que vous étiez en couple, et maintenant vous êtes... Woah... C'est vraiment dingue désolée, ce qui vous arrive c'est juste... fou...
-Je crois que moi-même je ne réalise pas..."
Gaby était désormais la seule personne en dehors de ma famille à qui je pouvais m'accrocher. Je crois que cette année fut celle où je pris le plus conscience de l'importance du terme "amitié".
"Tu as perdu ton amour, j'ai perdu un ami... Je suis sur le c*l, je t'avoue..."
Elle prit une inspiration.
"Mais il va revenir ! C'est pas parce qu'il est loin actuellement qu'on va se laisser abattre non ? Si sa mère t'as bloqué via le téléphone de Peter, il reste le mien ! Ou au pire y Facebook pour lui parler !!
-Rien ne t'abat...
-J'ai passé l'âge de me morfondre dans mon coin sans rien faire, c'est dégueu ce qui est arrivé mais on panique peut-être pour rien ! Si ça se trouve Peter va revenir très bientôt !
-T'es utopiste
-Juste optimiste ! On va d'abord essayer de lui parler ok ?"
Mon regard en dit long sur ce que j'en pensais.
"T'es pas obligée de me regarder comme si je parlais chinois !
-C'est juste que je pense à Peter, tout le temps, même maintenant ! Comment je pourrais faire mine que tout va bien ?!
-Je te demande pas de faire mine que tout va bien, mais de pas te déprimer en pensant que Peter ne va jamais revenir !"
Elle avait raison. Gaby était comme ça, chaque fois que l'on débattait elle arrivait à avoir raison. Il y avait aussi un coté en elle qui faisait que je n'arrivais pas à la contredire. Son coté plus âgé sans doute -elle avait redoublé sa quatrième et sa troisième- me faisait éprouver du respect envers elle comme envers un adulte, bien qu'elle soit mon amie.
"Alors je fais quoi en attendant..?
-Je peux pas te le dire... Change-toi juste les idées.
-C'est dur d'oublier quand on veut aimer...
-N'oublie pas non plus alors. Bordel t'es grand Thomas !"
Je crus qu'elle s'énervait mais son visage était simplement sarcastique. Elle essayait de me ressaisir.
"Au fait Gaby, quand j'étais à la clinique... Le médecin a dit que ma relation avec Peter n'était juste qu'un flirt d'ado.
-Tu crois que Peter vas t'oublier, que c'était pas sérieux entre vous ?
-Non non ! Pas du tout... Enfin rien, oublie. Peter me manque."
Elle me regarda attentivement.
"Où qu'il soit, il doit certainement penser à toi aussi. Et je suis convaincue qu'il souhaiterait que tu sois heureux. Il t'aime et tu le sais, vous allez vous retrouvez donc au lieu de penser à ce que t'as perdu, pense à ce qu'il te reste Thomas ! Je te propose mon aide. Je suis là, d'accord ? On l'emm*rde ce médecin, et ce que les autres pensent aussi ! Tu aimes Peter, c'est tout.
-Où qu'il soit... Il est dans mon cœur !"
Elle se mit à rire.
"C'était la phrase cucul du jour made in Thomas !
-T'es chiante Gaby tu sais ?"
Je me mis à rire aussi.
Au moins avec elle je savais que je n'étais pas seul.
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Si seulement Peter pouvait bénéficier d'autant de soutien.
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Ce c.on de médecin...
Encore bravo pour ce chapitre, Thomas m'a mis le cœur en miette et j'étais en colère avec lui ! J'ai hâte d'avoir des nouvelles de Peter maintenant.
Pas à ma place (Terminée)
Charmant ? Vous avez dit charmant ? (Terminée)
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@Caro220283 haha tant mieux alors, j'aime bien Gaby moi, surtout lors de la prise des screens ! C'est la simette la plus facile à photographier que j'ai eu, enfin je m’égare
Comme dit pour chris, je me suis inspiré de quelques faits divers pour présenter le psychologue. Mais le plus important est que Thomas n'est pas seul !
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Pauvre Thomas, c'est pour quand le happy end, sérieux ?
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C'est chaud dis donc... c'est encore possible d'avoir des docs avec une telle mentalité ? Il m'a fait bondir sur ma chaise
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Ah mais elle est super jolie et puis son prénom
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Charmant ? Vous avez dit charmant ? (Terminée)
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Et j'aime bien la petite attention de sa sœur
Et ce psy craint sérieux, il a dû rater la case empathie de sa formation u.u
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