[STORY] INSTINCT [MAJ 02/03] New !

Nexisses

L'être humain a tendance à répéter les mêmes erreurs. Bien sûr, nous savons que tout ce qu'on s'obstine à croire n'est qu'illusion. Une façon bien à nous de nous barricader derrière un masque. Une sorte de bulle bien à nous. Refoulant sentiments afin de ne pas paraître faible. Un moyen de dissimuler qui nous sommes réellement.
La vie. La vie n'est pas un miracle de dieu. Elle est dieu. Elle nous le rappelle à chaque instant. Nous, êtres faibles et fragiles qui, le jours de notre naissance, nous croyons intouchables, invincibles. Maîtres du monde. Et lorsque notre arrogance atteint un seuil de non-retour, la vie se charge de nous rappeler à quel point nos forces sont insignifiantes. A quel point nous sommes tous, sans exception à sa merci.
Non. Notre propre mort n'est pas une punition. La vie ne le voie pas ainsi. La plus grande punition qu'elle puisse nous infliger, est de nous prendre les personnes qui comptent le plus pour nous, et de nous laisser derrière.

Ce n'est qu'à ce moment-là, que nous réalisons que nous ne sommes pas maître de notre destin. Cependant nous pouvons contrecarrer ses plans. Choisir une voie différente et mener la vie dure à ce destin. Et c'est ce que j'ai choisis de faire. J'aurais pu oublier ou tout arrêter. Mais avec les sentiments viennent la colère, la haine, la vengeance. La colère me connait parfaitement. Et c’est pour cette raison que j'en suis là maintenant. Parce que j'ai décidé de dire à la vie que je me foutais de ses plans et que j'allais terminer, ce que mes disparus m'avait laisser. Une manière à moi de me protéger. Ma bulle sans faille. Je le considère comme mon devoir. Où peut-être est-ce réellement....

Mon instinct de survie.

CHAPITRE 1 : Deux ans de colère

- Comment vous sentez-vous depuis la dernière fois ?
- Rien de changé.
- Etes-vous sorti dernièrement ?
- Vous voulez dire en dehors de vos consultations et le fait d'aller faire les courses ?
- Oui.
- Non. C'est inutile.
- Inutile ? Vous pourriez rencontrer du monde.


- Sortir, voir du monde, accorder ma confiance... Pour finalement qu'on brise cette confiance, c'est inutile.
- Pourquoi ne voulez-vous plus accorder votre confiance ?
- J'ai donné ma confiance. Deux personnes sont mortes, et les autres m'ont trahis.
- C'est intéressant. Ce transfert que vous faites.


- Vous dites que vous avez été trahis. Mais il n'en est rien. La personne n'était pas vous, mais votre mentor.
- C'est tout comme.
- Vous vous renfermez sur vous même. Encore. Vous avez besoin de contact, de relation. C'est bon pour le moral. Pour..
- Les personnes qui comptaient pour moi sont toutes disparus. Je préfère rester loin de ce qui s'apparente à un être humain. Je ne serais pas déçu.
- Je sais qu'il comptait pour vous.
- Vous ne savez rien.
- Vous me parliez de confiance. Vous refusez de refaire confiance, vous préférez vous retirer de toute interaction sociale. Pourtant lui, vous lui aviez fait confiance. Et cela malgré les avis de tout le monde.


- Pourquoi ? Pourquoi accorder sa confiance a cet homme là, alors que tout votre entourage le qualifiait de Psychopathe ?
- Ce n'était pas un psychopathe. C'était un génie. Un homme de logique. Il était loin d'être comme le monde le décrivait. Intelligent et astucieux.
- Intéressant. Même maintenant, pour le protégez. Deux ans après sa mort, vous le défendez. Il était pourtant la cause de la disparition de vos parents...
- Il n'a jamais été la cause de la mort de mes parents.
- C'était pourtant lui, qui avait emmené votre père sur cette affaires. Sur le lieu du crime. Et c'est encore en sa présence que votre mère est morte.


- La disparition de mes parents n'est absolument pas de sont fait. Vous ne savez rien. Ne faites pas de conclusion.
- Expliquez-moi alors. Avec vos mots, ce qu'il en est.
- Ma mère est morte pour protéger les personnes qu'elle aimait. Il en faisait parti puisqu'elle s'est jetée devant lui afin de lui sauver la vie. Parce qu'il faisait parti des personnes qu'elle aimait énormément. Son passé l'a juste rattraper. On ne peut pas être une espionne du gouvernement et vivre une vie normale.
- Et votre père ?
- Mon père était un grand militaire. Quand il l'a rencontrer, ce n'est pas un fou qu'il a vu. C'est un homme torturer par sa grande intelligence. Incapable de comprendre les sentiments, bien qu'il en éprouvaient. Puisqu'il a fait de mon père son meilleur ami. Le fait que mon père soit parti à la chasse aux criminels avec lui était de son fait. Il aimait résoudre des enquêtes. il aimait cette adrénaline en pourchassant un méchant. De le voir a l'oeuvre lorsqu'il mettait son cerveau a contribution. Cela lui rappelait le champs de bataille. Il se trouvait utile a ses cotés.
- Et vous ?


- J'ai grandis avec lui. Ma mère est morte quand je n'avais que quelques mois. Mon père quand j'avais sept ans. Cet homme m'a élevé. Il m'a apprit la littérature, la logique... Il m'a apprit à être courageuse, à faire attention à tout ce qui m'entoure. C'était mon mentor. Il était aussi déroutant que fascinant. La seule personne qui comptait réellement pour moi.
- Votre mentor ?
- Oui, mon mentor. Depuis ma plus tendre enfance, il m'a tout apprit de son métier.
- C'est pour cela que vous vous êtes engagés dans les forces spéciales des services secrets de l'armée pour ensuite être détective a ses cotés ?
- En partie. Je voulais le rendre fier. Et pour le coté militaire, c'était pour suivre les traces de mon père et de ma mère.
- Mais surtout pour qu'il vous reconnaisse ? Votre mentor. Pour qu'il voit la jeune femme belle et forte que vous étiez devenu ? Une manière d'attirer l'attention de cet homme au cœur de glace ?


- Qu'insinuez-vous docteur ?
- Il est clair qu'il ne s'agit pas là d'une relation mentor, disciple comme vous voulez le faire croire. D'ailleurs, je doute que vous y croyez vous même. Vous avez gardé vos sentiment pour vous durant tout ce temps, parce que vous saviez qu'il n'était pas homme à aimer et à être aimé. Pourtant, c'est pour lui que votre coeur souffre.
- Il était mon mentor. Je lui suis reconnaissante d'avoir veiller sur moi, d'avoir fait de moi la femme que je suis aujourd'hui, il n'est pas question d'amour.
- Vous êtes en colère. C'est bien la colère, cela veut dire que nous touchons finalement au problème. Est-ce réellement au monde entier que vous en voulez ? Ou bien à lui ?
- Pourquoi devrais-je en vouloir à un mort ? C'est n'importe quoi.
- Parce qu'il vous à laissé derrière. Seule. Parce que vous vous êtes rendu compte qu'il était parti sans que vous ayez pu avouer ce que vous ressentiez réellement. Et vous vous en voulez de l'avoir laisser partir sans lui avoir fait comprendre ce qu'était réellement l'amour. A cet homme qui ne connaissait que logique et les criminels.


- Il est clair que la personne à qui vous en voulez réellement, c'est vous. Pour ne pas avoir été assez courageuse et fait face a vos sentiment.
- Vous dépassez la limite, docteur Frost.
- Et qu'elles sont exactement vos limites ? Si cela vous touche, c'est qu'il y a du vrai. Vous êtes dans le dénie et c'est pour cela que vous ne pouvez faire confiance. Parce que votre amour pour lui à longtemps était caché. Un amour si puissant, qu'il est douloureux de continuer sans lui et de faire confiance a quelqu'un d'autre. Vous avez cette petite phrase qui reviens chaque soir, vous empêchant de fermer l’œil. " Et si, je lui avait dis ce que je ressentais ? "
- Taisez-vous...Si je ne dors pas vous savez très bien pourquoi. Les cauchemars de ma missions a Selvadorada me hante. Et si je n'accorde pas ma confiance, c'est parce qu'au moment ou il avait le plus besoin de la confiance des autres, ils ont douté. D'où sa disparition. S'il avait cru en lui comme moi je croyait en lui, il n'aurait pas pourchassé ce criminel seul, et ne serait pas mort.
- Mais tout ceci est un lien. Votre compagnons à l'armée, n'avait-il pas votre confiance aussi ? Et durant cette terrible mission que le gouvernement vous à donné, vous l'avez perdu aussi.


- Fermez-là !
- Mademoiselle Watson. Il est important que vous prenez conscience des sentiments qui sont bloqué en vous.
- Je suis venu vers vous parce que les rêves qui me hante depuis cette mission m'empêchent de dormir. Je ne suis pas là pour que vous m'inventiez un amour..
- Il n'est pas inventé. Cet homme, qualifié de psychopathe, de fou par son entourage, vous continuez à le défendre. Vous en voulez à la police pour ne pas avoir cru en lui, vous vous en voulez pour ne pas avoir sauvé le sergent Neils durant la mission à Selvadorada. Vous vous en voulez d'avoir ressentie un profond amour pour votre mentor. Un amour qui vous ronge, une tristesse d'avoir perdu l'être aimé sans pouvoir lui dire. C'est un boulet à votre cheville.
- ...
- Avez-vous pleuré ? Depuis sa disparition ?
- Pleuré ? Cela changera-t-il quelque chose ?


- Vous pourriez être surprise de l'effet d'une bonne crise de l'arme après une disparition. Ressentir de l'amour est normal. De la colère, de la haine et de la tristesse. Si vous bloquez toute ses émotions, il est évident que le corps trouve une autre manière de les faire sortir. Et la manière dont votre corps vous appelle à l'aide, c'est avec ses cauchemars.
- Il.n'y.a.aucun.amour ! Il était mon maître, mon mentor un point c'est tout.
- Mademoiselle Watson... Je ne peux pas vous aidez si vous refusez...
- ça suffit !


- Bien... Nous y reviendrons plus tard.
- Jamais, si cela ne vous dérange pas !
- Ce n'est pas possible. Vous comprenez que mon métier, c'est de vous aider à aller mieux ? Je doit comprendre ce qui vous terrifie, ce qui occupe votre esprit pour pouvoir soigner le problème. Mais pour cela, j'ai besoin de votre coopération.
- Mais je coopère. Du moment que vous ne parlez pas d'une ridicule histoire d'amour entre lui et moi.
- Alors parlez moi de cette fameuse mission qui a chamboulé votre vie.
- C'est classé secret défense.


- Ne jouez pas avec les lois militaires Mademoiselle Watson. Je suis psychologue militaire depuis des années et tout ce qui se dit ici, reste dans ce bureau.
- Il n'est pas question de lois militaires. Cette mission à été commandité par le gouvernement. Si vous voulez des détails, demandez donc une habilitation au service secret Britannique.


- Tout ceci ne mène nul part. La séance est terminé.
- Mademoiselle Watson, il nous reste une vingtaine de minutes...
- C'est inutiles on tourne en rond. Ne m’attendez pas la semaine prochaine.


- Mais nous..
- Au revoir Docteur Frost.



- C'est n'importe quoi... Ces psychologues...


Base militaire secrète de l'état. - Laboratoire bactériologique-virologie



- Bien.. Voyons la correspondance.




- J'ai trouvé ! J'ai enfin trouvé !!


- Parfait. C'est une grande découverte ! Faisons immédiatement un rapport.



- Oui chérie. Je sais qu'il est tard, je suis désolé, je devais terminer ma recherche. Je viens de finir mon rapport sur un virus que les services secrets ont dérobé sur la base militaire de Moscow. Je le met au frigo et je rentre.




- Que faites-vous ici ?
- C'est la relève.
- La relève ? Je ne vous ai jamais vu. Vous devez avoir une habilitation pour rentrer dans ce labo...


-Que faites-vous ? Non attendez...!!!

CandideJadis

C'est pas vrai ! Je m'étais promis d'arrêter de lire de nouvelles histoires sur ce forum mais j'ai fait le curieux et...j'ai trop accroché !! Une héroïne à l'histoire tumultueuse, du suspense et des complots scientifico-militaires, je sens que je vais être servi ici.

Nexisses

@CandideJadis Mais c'est une bonne chose d'être curieux. Je suis contente que tu te sois laissé à ta curiosité Et encore plus ravis que tu es accroché. En espérant que cette petites histoires policières te plaise assez longtemps pour faire de toi un lecteur confirmé jusqu'à la fin de celle-ci




- Et bien Anna, on apporte plus le café ?
- C'est pas à ton supérieur de t'apporter le café. D'ailleurs vas m'en chercher un.


- Qui veut un café ? TJ s'est gentiment proposé.
- Moi.
- Et toi Nola ?
- Evidemment. Dès que ça fait bouger se flemmard je suis partante.
- J'apporte le café qu'aux vrais supérieurs.
- Parce que Gedeon et moi sommes pas de vrai supérieurs ?



- Ah j'ai compris. Tu es encore vexé pour l'uniforme ?
- L'uniforme ? Qu'est-ce qu'il a son uniforme ?
- Demande lui. Monsieur TJ jalouse notre tenue.


- Je jalouse pas. Disons que vous serez de vrais supérieurs quand vous arrêterez de vous habiller en civil et mettrez vos uniformes réglementaires, Inspecteurs !
- Il recommence. TJ, si tu veux retirer ton uniforme, prends ta retraite.
- Certainement pas. Et je ferais quoi après ? M'occuper des enfants à la maison ? Non merci.
- Ne me dis pas que tu fais parti de ses hommes qui pensent que la garde d'enfant est pour les bonne femmes ?
- Hein ? Ma femme est avocate et travaille dur, je vois pas d'où te viens cette idée. Non, les enfants ont une nounous pour ça. Tout ce que je dit, c'est que nous sommes obligés de porter ses uniformes alors que les inspecteurs eux, sont tranquilles. Regarde moi ça, ils se pavanent tout les deux en tenue civile.


- Hé bien dans ce cas là, deviens inspecteur toi aussi.
- Pour courir à droite et à gauche derrière ces timbrés de psychopathes ? Je préfère te faire un café !
- Je me disait aussi.


- Chef, on vient de recevoir un appel. Un scientifique à été refroidi à la base militaire de l'état. Section virologie.


- Punaise... ça n'arrête pas en ce moment... Les criminels se sont passé le mot ?
- Depuis qu'il est mort, tout les rats sortent de leurs trous... Vous ne le regrettez pas ? Finalement, avec lui, tout les coupables étaient bouclés en une semaine et les psychopathes se terraient bien dans leurs trous.


- TJ...
- Ouais, pardon...
- On avait dit qu'on ne mentionnerait plus son équipier...
- C'est bon Anna.Mais c'était pas équipier... C'était mon ami...
- Je sais... Je suis désolé Gedeon.
- Allez Anna, allon-y.


- Gedeon... Ne lui en veux pas. Il est gaffeur, tu le connais...
- Je ne lui en veux pas. C'est à moi que j'en veux...
- Tu a fais tout ce que tu a pu... Aller à l'encontre des ordres ne l'aurais pas sauvé non plus...
- Il ne serait pas mort au moins. La police n'aurait plus fait appel à lui en tant que consultant, mais au moins il serait en vie.
- Il est mort Gedeon... A cause de son entêtement. Et puis tu sais ce que je pensais de lui...


- Je sais Anna. Un psychopathe qui allait de toute manière exploser un jour ou l'autre.
- Et pour te le dire franchement, tu le connaissais mieux que n'importe qui. S'il n'était plus le consultant de la police, à rester seul chez lui à ruminer, il se serait aussi mit en danger en tant que détective.
- Je l'aurais empêché.
- Empêcher un flic, un détective de traquer des méchant, c'est comme couper une jambes à un sprinteur. Il respirerait, mais serait pareil à un mort.


- Tu as sans doute raison...
- Pourquoi cela te tracasse-t-il aujourd'hui ? C'est la petite qui t'a contacté ?
- La petite ?
- Oui, s'te gosse qu'il appelait sa disciple.
- Ah. Elle a vingt-sept ans Anna, c'est pas une gosse. Et non... Depuis la dernière fois qu'elle m'a jetée par la fenêtre du bureau du secrétaire d'état il y a deux ans, j'ai évité d'aller la voir...
- Elle t'a jetée par la fenêtre ? Sérieux ? Un grand gaillard comme toi ?
- Ne te fit pas aux apparences... Elle a fait partie des forces spéciales des services secrets de l'état.
- Même si tu me le dis, je ne peut pas me faire une idée. Les forces spéciales ne sont qu'un nom pour moi.
- Comme je viens de te le dire c'est les services secrets. Ils prennent la crème des agents et les formes pour devenirs tout et n'importe quoi. Mais tu ne sais jamais qui en fait parti et ce qu'ils font réellement. Si moi je suis au courant, c'est parce qu'il était tellement fier d'elle qu'il m'en avait parlé.
- C'est à dire ? Il forment des espions ?
- Des espions, des soldats, des robots, des machines à tuer... Tout ce qu'ils font reste secret. Tout est commandité par l'état.
- Et cette gamine à fait parti de ces services là ? On croirait pas...
- Méfie toi d'elle. Tu te souviens de ce général à Sulani, qui prévoyait un règne de dictature ?
- Celui qui est mort en pleine conférence de presse devant les camera du monde entier ? Et qu'on a jamais retrouver le coupable ?
- Celui-la même. Bha voila.
- Attend, tu veux dire que c'était elle ? Mais, comment elle à fait ? Il n'y avait rien. Aucun indice et aucune trace.
- C'est ça, leurs trucs. Leurs magies. Capables de faire une choses sans être à cet endroit précis..






- Bien le bonjour tout le monde!


- Bonjour papa. Bonjour maman.




- Salut Neils... Il fait beau là-haut ? Tu veux bien prendre soins des gens que j'aime s'il te plaît ?




- Un petit café pour commencer la journée.



- Tu me manque tellement...Mais ton café est toujours aussi infecte...


- Tu ne sais pas la nouvelle ? Cette psy... Elle m'a sortie que j'étais amoureuse de toi.. Comme si quelqu'un pouvait tomber amoureux d'un homme aussi fou.. Pourquoi a-t-il fallut que tu y aille seul ? Hein ? Si intelligent et stupide à la fois.. Tout cela pour prouver à des personnes qui n'en valait pas la peine que tu avais raison...


- Ô, salut Hamlet ! Toujours rien à signaler ? Tu as l'air heureux aujourd'hui. Tu m’accueilles toujours avec ce même sourire.


- Garde ta bonne humeur mon ami.


- Alors, voyons voir si nous avons une nouvelle enquête.


- Pas de nouvelle enquête mais beaucoup de mail de condoléance et de remerciement de la part des client. Qu'en penses-tu Hamlet ? Je devrais leurs rendre visites à nos anciens clients ? Mouais tu as raison... Allons plutôt prendre un petit déj' dehors et arpenter les rues. Après tout, c'est un jours de repos aujourd'hui.



- Bien je sort. Surtout garde bien la maison hein ! Mais avec le sourire !





[ Vu l'heure à laquelle j'ai posté hier soir, je préférais posté la seconde partie aujourd'hui. La suite -> Jeudi ]

Luluswan

Ouh ça commence bien, je sens que ça va me plaire ! Dès le départ on est scotchés, on a envie de savoir la suite, d'en apprendre plus sur ce mentor, sur cette femme qui semble avoir des secrets...
Sans parler de cet "incident" avec les scientifiques...
Et si... et si les proches de Mademoiselle Watson n'étaient pas réellement morts ? Bon, on n'est qu'au début, ne nous emballons pas


C'est plein de mystères et je vais suivre cette histoire avec assiduité Mention spéciale à Hamlet

Nexisses

-J'ai appelé la scientifique, ils ne devraient plus tarder.
-Je dirais que ça à été fait hier soir entre dix heures et une heures du matin.



- Comment tu sais ça ?
- Je fais ce métier depuis assez longtemps pour reconnaître à peu près ce genre de chose.
- T'as fais un stage à la scientifique ?
- Non, quand j'étais gosse, je voulais être légiste.
- Et pourquoi tu ne l'es pas devenu ?
- Mon père voulait que je devienne lieutenant comme lui et comme son père avant lui.



- Il n'a plus sa carte d'accès au laboratoire. On pourra pas rentrer. Tu as fait une demande pour le labo ?
- J'ai envoyée ça mais comme c'est une base secrète, j'ai peur qu'on nous refuse l'accès. Et tout les militaires que j'ai croisés jusqu'ici mon tous répondu la même chose. A savoir, demander une habilitation sans quoi, ses portes resterons fermés et les preuves coincés dedans.
- Si on attend trop longtemps, j'ai peur que les trucs secrets disparaissent et donc, les preuves aussi.
- Qu'est-ce que tu veux faire ?
- Il faut trouver quelqu'un qui pourrait nous aider. Avec un bon grade militaire...



- Et ça alors ? Qu'est-ce que tu en pense ?
- La peinture est sèches et le pinceau au sol aussi. Le message a dut être écrit juste après avoir endormis notre laborantin..
- Qui laisserais ce genre de message ?




- Bonjour mademoiselle Watson.. Prêtes à jouer....
- Qui est cette mademoiselle Watson ?
- La personne qui intéresse ce psychopathe. Une énigme qui lui est dédier.
- Et comment on la trouve ? Soixante pour cent des habitant britannique s'appelle Watson...
- Non, ce n'est pas n'importe qu'elle Watson... C'est elle..
- Qui elle ?
- Celle que tu appelles, la gosse, depuis ce matin.
- Tu crois vraiment que ce message est pour cette gamine ?
- C'est une évidence. Puisque le mentor n'est plus là, le tueur veux nous forcer à emmener Watson sur le lieu du crime. Il veut qu'elle joue avec lui... Bien. Allons la chercher.
- Quoi t'es sérieux ? Depuis quand on suit à la lettre les mots d'un fou furieux ?



- Je pense que c'est une mauvaise idée !
- Tu veux qu'on rentre dans ce labo ?
- Bien sur mais c'est quoi le rapport avec Watson ?
- Elle pourra nous faire rentrer mais cela, à condition qu'elle vienne ici.
- Et comment tu comptes de un, la persuader de te suivre sachant qu'elle t'a déjà jetée d'une fenêtre, et de deux, comment pourrait-elle ouvrir ce labo alors qu'il faut un haut grade ?
- ça Anna, tu le saura quand tu la verra.
- Je sens qu'on va s'amuser....






- Bonjour, bienvenue aux quatre saveurs du Lotus.



- Bonjour, deux Tchai latté et deux Mochis s'il vous plaît.
- Oh, c'est déjà jeudi ?
- Et oui.
- Vous allez lui apporter le déjeuné ?
- Comme toutes les semaines. Il adorait vos Mochis.
- Oui, je m'en souviens très bien. Une fois il m'a même demander dans faire un plat tout entier pour les prendres chez lui.
- Il était capricieux.
- Mais très gentil.
- C'est pas ce que tout le monde pense...





- Salut... Tu passe une bonne journée ? Il fait plutôt doux aujourd'hui... Tiens, je t'ai apporté ton petit déjeuné du jeudi. Comme d'habitude. Je vois que les familles que tu as aidé pendant nos enquêtes sont passé te laisser leurs lettres...



- Le temps file à une allure... Finalement, je n'ai pas pris ma retraite militaire... Puisque tu n'es plus là, je m'ennuie un peu. Les affaires sont plutôt calmes en ce moment... Depuis que tu es mort, la détective que je suis est un peu... feignante. Ce n'est plus aussi marrant qu'avant... Ah, et je n'ai encore rien de nouveau sur M.J mais ne t'en fait pas, je vais finir par le retrouver. Je ne lâcherais rien. Et quand le moment sera venu, je lui ferais regretter ta disparition. Je te le promets... Patiente encore un peu...



- Tu es sur que c'est le chemin qu'elle emprunte ?
- Je la connais depuis des années, son père et le miens s'entendait bien. Sans oublier que tu sais qui, était consultant pour mon père..
- Comment il était ?
- Un Sociopathe intelligent.
- Je le sais ça... Mais..
- C'est tout ce que tu as besoin de savoir. Arrête de parler et concentre toi.
- Tu pourrais être plus sympa. ça fait cinq heure qu'on poirote ici et il y a toujours rien.
- Je te dis d'attendre. Je me demande comment tu faisais quand tu étais en planque. Je plains ton anciens coéquipier.


- Aucun problème pour lui. De nous deux, c'était lui le plus insupportable.
- Cherche. Elle porte généralement une veste en cuir et un jean. Cheveux courts.
- Je vois. Plus cliché dans le genre femme détective tu meurs.
- Elle est soldat avant tout. Détective c'est juste un passe temps. Enfin, quand il était là.
- C'est quoi son grade ?
- C'est une... Là, c'est elle.


- Rosie ! Rosie !
- Je crois pas qu'elle t'ai reconnue.
- Si, elle m'a très bien reconnue. C'est pour ça qu'elle s'arrête pas.
- Hé bien, génial les retrouvailles...


- Rosie, attend moi ! Il faut qu'on parle.
- Je connais pas de Rosie. Laissez moi tranquille.
- Watson, fait pas l'enfant. Je ne suis pas la pour t'embêter mais..
- Trop tard, rien que de voir ton visage m’énerve.
- Rosie, c'est urgent. Ne m'oblige pas à utiliser des moyens militaires pour que tu m'écoutes. Je sais très bien que si je te fais un rapport, tu devras l'écouter.


- Barre-toi Gedeon. Je n'ai pas envie de voir ta tronche.
- Inspecteur Lestrade au rapport !
- Je m'en fou de ton rapport ! Je veux pas voir ta tronche un point c'est tout. Ne m'oblige pas à te cassé un bras Gedeon...


- Ce sont des excuses que tu veux ? Très bien, je t'en ferais.
- C'est pas vrai... Gedeon...Tu commence à me gonfler...
- Ecoute Watson... Je sais que j'ai foiré il y a deux ans. Mais j'avais la hiérarchie à prendre en compte. Si j'avais pu l'aider, je t'assure que je l'aurais fait... Rosie... Tu ne peux pas me demander de désobéir. En tant que militaire, tu sais très bien que les ordres passes avant tout...


- Je te l'avais dis non ? Que je voulais plus jamais revoir ta tête de flic ? Je ne veux rien savoir, je ne veux pas te voir, ni toi, ni tes petits copains de Scotland Yard. Tu n'arrives même pas à la cheville de ton père alors quand tu apprendra à être un homme tu pourras peut-être te présenter devant moi. La hiérarchie ? Tu te fou de moi ? C'est ça ton excuse ?
- Rosie... Je sais que tu m'en veux... Mais penses un peu aux conséquences pour moi... Si je pouvais revenir en arrière, je le ferais je t'assure. Je tiendrais tête aux supérieurs...
- Pourquoi le ferais-tu maintenant ? Tu n'avais qu'une seule chose à faire. Une seule petite chose Gedeon, s'était de lui faire confiance. La confiance ! Vous l'avez tous prit pour un criminel, pour un psychopathe qui inventait un coupable, tout ça pour devenir un célèbre détective. Mais il n'a jamais voulu devenir célèbre. On a grandis ensemble, tu savais mieux que personne comment il était. Mais tu n'a pas hésiter à fermer les yeux, à baisser la tête devant les débilités dites. Pendant que moi, j'étais à Saluni pour une mission, je t'avais demandé de veiller sur lui et de l'aider. Et que s'est-il passé ? Tu me la rendu mort ! Mort Gedeon ! Si tu lui avait fait un peu plus confiance, tu aurais attraper le vrai criminel et lui, boirait toujours son café infecte dans le salon. Je pourrais encore entendre le son de son violon m'empêcher de dormir ! Alors ne présente plus jamais ta sale tronche devant moi, ou cette fois, je ne te louperais pas. Paroles de militaires !



- Je sais que je suis fautif et que rien ne peux excuser ce que j'ai fais mais Rosie... C'est urgent. C'est pour une affaire, on a besoin de toi, il n'y a que toi qui..
- Je t'ai dis de me foutre la paix !
- Hé ho, on se calme là ! Mademoiselle Watson, je vous prie de vous calmez et de rester respectueuse. Vous parlez à un inspecteur tout de même, alors calmez vous ou je vous arrête pour outrage à agent...
- Anna... Arrête c'est...
- Non Gedeon laisse moi finir. Je ne faisait peut-être pas partie de l'enquête il y a deux ans mais j'ai lu les rapports.
- Anna... Silence !
- Je comprends que vous soyez peiné Watson mais tout indiquait clairement qu'il était le coupable et qu'il avait manigancé tout ça dans le seul but de devenir le célèbre détective qu'il était. Alors vous pourrez passé votre colère sur les inspecteurs chargés de l'enquête mais les lois sont claire. On suit les preuves. Et toute les preuves le désignait clairement. Alors calmez-vous ou je vous embarque ! Service secret ou pas ! Voyons qui pourras trouver a redire si je vous arrête pour obstruction a la justice.



- C'est qui celle là ? Déclinez votre identité.
- Pardon ?
- Anna arrête !
- Bien, je vais décliner mon identité comme demander. Lieutenant Annabelle Lewis, anciennement de Scoltand Yard.
- Comment osez-vous ! Savez-vous ce qu'il en coûte à un petit inspecteur de votre sorte de manquer de respecter à un plus haut gradé ?
- Et voilà...
- Un... Haut gradé ?
- Oui lieutenant, un haut gradé. Sachez que votre misérable plaque de flic, je peux vous la retirer quand je le souhaite.
- Gedeon, c'est vrai ça ? Une haut gradé ?
- J'ai essayé de te le dire...


- Alors son grade c'est...
- Elle est La commandant des forces spéciale des services secret...
- Co... Com.. COMMANDANT ?
- Exact, Lieutenant Anneblle Lewis. Commandant Rosamund Watson. Alors écoute moi bien, si l'envie de vous retirer cette insigne de police qui fait que votre existence toute entière en vaille la peine est un jeu d'enfant pour moi. Je n'ai que quelques personnes a appeler ! Au lieu de lire les rapports sur des enquêtes qui ne vous concerne pas, vous feriez mieux de régler les problèmes avec votre mari.
- Comment... savez-vous...
- La prochaine fois que vous faites preuves d'insubordination devant votre supérieur hiérarchique pensez à la façon dont je pourrais briser votre carrière ! Entendu ?
- Oui... Je suis désolé...
- J'ai rien entendu !
- Oui Commandant !


- A bon entendeur ! Maintenant foutez-moi la paix avant que l'envie de vous retirez ce qui fait de vous une femme respectable me prenne.
- Rosie... Rosie ne pars pas, écoute moi... IL EST MORT ROSIE ! Tu m'entends ? Il est mort et rien ne changera ça ! Tu auras beau faire tout ce que tu veux, en vouloir au monde entier si cela te chante, il ne reviendra pas. En revanche nous, là, nous venons te demander de l'aide. Nous avons un laborantin mort, ton nom écrit avec de la peinture verte sur la scène de crime. On te demande de nous aider à protéger les vivants ! C'est ce que John Watson et Mary Watson auraient fait.
- Ne mêle pas mes parents à ça..




- Rosamund Mary Watson ! Commandant Rosamund Mary Watson ! Fait toi une raison...
- Silence... Je ne veux rien entendre !
- Sherlock Holmes est mort Rosie... Il ne reviendra pas...

Luluswan

Ouh, intéressant tout ça ! On a ici des noms familiers

Rosie est donc Commandant, rien que ça... C'est pas gagné pour la faire participer à l'enquête en tout cas... Mais j'imagine qu'elle finira par plier, reste à savoir comment !

Nexisses

CHAPITRE 2 : Le chantage.

- Bien. Nous revenons à la case départ et sans Watson.. Que comptes-tu faire maintenant ?
- Si tu n'étais pas intervenu elle..
- Elle ne serais quand même pas venu. Regarde la réalité en face, cette fille à un grains. Comme si la disparition de Sherlock avait quelques choses a voir avec toi..
- Elle avait tout a voir avec moi. J'ai pas fait ce que je devais faire et c'est normal qu'elle m'en veuille.
- C'est pas une raison pour mettre son devoir de coté. Elle est commandant après tout. D'ailleurs tu aurais pu me le dire avant...



- Inspecteur, les militaires nous demandes de partir. Apparemment ils doivent nettoyer tout cela et reprendre leurs activités.
- Génial, maintenant l'armée nous fou dehors !
- Qu'est-ce qu'on fait ?
- La scientifique est arrivée ?
- Pendant que vous cherchiez cette Watson, ils ont pris tout ce qu'ils pouvaient mais un autre groupe doit venir prendre des photos.



- Dites leurs de prendre leurs temps. Plus de temps ils mettent à prendre en photo la scène de crimes, mieux c'est.
- Quoi ? Qu'est-ce que tu fou encore ? On peut pas garder le labo sous surveillance indéfiniment.
- Que comptez-vous faire inspecteur Lestrade ?
- Je vais chercher Watson.
- Encore avec ça ? Elle n'a pas été assez claire sans doute..



- Si, mais ce n'est pas important. Sans elle, nous n'arriverons à rien. Le message est pour elle, alors elle doit venir enquêter sur cette affaire. De plus, j'ai un contact qui pourrait nous aider.
- Un contact ? Assez haut placé pour la faire venir ici malgré elle ?
- Rosamund n'a jamais vraiment prit les règles aux sérieux, et la hiérarchie... Elle n'y fait pas vraiment attention. Mais je pense pouvoir trouver un moyen de la faire venir, même si elle ne le souhaite pas.



- Oui, c'est Gedeon Lestrade... J'ai un service à vous demander...







- Qui est-là ?



- Rien à changé ici... Tout est exactement à la même place..



- Mycroft...
- Ravis de vous revoir Miss Watson..
- Que faites-vous ici ? Les services secrets ont peurs que je mijote un complot ?


- N'ai-je pas le droit de venir rendre visite à une amie ?
- Vous n'êtes pas mon ami Monsieur Holmes.
- Ô. Si vous le voyez ainsi. En tous cas je suis dans mes droits en visitant la maison appartenant à mon frère. Où plutôt à mon père. Qu'il a eut la gentillesse de vous laisser après la mort de Sherlock.
- Si c'est la maison que vous voulez, je vous la rend. De toute façon votre frère n'est plus ici. Tout ceci prends la poussière.


- Je vois que Sherlock vous à transmit son affreuses manie de me voir comme un loup.
- Vous êtes un loup déguisé en agent des services secrets.
- Ma chère Watson, je serais ravie de continuer ce petit jeu mais je suis ici en tant que votre supérieur.
- La belle affaire.
- Installez-vous une vous prie, il y a une discutions que nous devons avoir.



- Je connaissais Jon Watson mieux que vous le pensez Miss Watson. Votre père était...
- Pas de blabla, des faits Mycroft, des faits..
- Je vois. Il vous a également transmit son agaçant comportement... Bien puisque vous voulez aller directement aux faits, je vais suivre vos envies. Le fils d'un vieil ami ma contacté tout à l'heure, me demandant de l'aider.
- Et ? En quoi cela me concerne-t-il ?


- En temps normal, j'évite de me déplacer moi même mais voilà, quand il s'agit d'une scène de crime avec écrit en gros Watson à la peinture verte, on ne m'en voudra pas de me déplacer afin de voir la principale concernée.
- C'est pas vrai...
- Monsieur Lestrade n'a pas eut d'autre choix que de m'informer de votre petite... Conversation. Miss Watson, il semblerait que ses deux années d'indulgence à votre égare vous ait rendu... Fainéante.
- J'ai était blessé après ma mission à Selvadorada et vous le savez. Et puis la mort de Sherlock...
- Oui c'est triste, vous y était très attaché mais deux ans, cela commence à faire long pour un deuil.



- Je me doutez que vous ne pourriez pas comprendre monsieur Holmes. Votre relation avec Sherlock n'était pas ce qu'on pourrait décrire d’harmonieuse.
- Il était mon frère. Serte nous ne nous faisions pas un repas familial tout les dimanches, mais j'ai grandi avec Sherlock et tout ce que j'ai fais avec ou contre lui, était pour le protéger. Maintenant Miss Watson je n'ai que deux chose à vous dire. Les services secrets ont été bien plus que compréhensif a votre douleurs mais cela doit cesser.
- Je suis toujours blessé.
- Me prenez-vous pour un idiot Watson ? En arrivant j'ai vérifié vos données sur la machine d 'entrainement de combat. Vous n'avez jamais était en meilleure forme.



- Je vais tuer ce moustique de Lestrade...
- Le lieutenant n'y est absolument pour rien et je vous prierez de vous tenir tranquille.
- Ce ne sont pas mes affaires. Que mon nom soit écrit sur un mur avec de la peinture, de la confiture ou du lait, je ne suis pas inspecteur et je ne suis plus inspectrice depuis la disparition de Sherlock.
- Mademoiselle Watson, je n'ai vraiment pas envie d’utiliser mon autorité sur vous. Alors voilà ce que je peux vous offrir, soit, vous prenez place dans l'enquête aux cotés Gedeon Lestrade afin de démasquer le tordu qui s'est infiltré dans le labo de la base secrète militaire....
- Je ne vois pas pourquoi je devrais prendre cette enquête sous prétexte que mon nom est inscrit sur le mur. Vous savez combien il y a de Watson ici ? Rien que dans ce quartier nous sommes huit à porter ce nom.
- Commandant Rossamund Mary Watson, lorsque un fou furieux s’infiltre dans une base militaire ultra secrète, dérobe un virus extrêmement nocif récupérer dans un laboratoire ultra secret de Moscow et demande à vous voir, je n'ai vraiment pas envie de plaisanter. Ce virus à été emmener ici par les services secrets, c 'est donc aux services secrets de le retrouver. Et ôtez-moi d'un doute, vous êtes le commandant de quoi ?
- Des services secrets...
- Bien... Alors vous allez prendre part à cette enquête. De l'extérieur vous serez la consultante de Lestrade. De l'intérieur, je demande au commandant Watson de retrouver ce virus qui pourrait faire des milliers de morts et de m'en faire un rapport régulier.



- Et la deuxième options ?
- Pardon ?
- Si je refuse, c'est quoi la deuxième option dont vous parlez ?
- Je vous retire votre grade et vous envoie au SSRI. Je suis sur que mon très cher ami Shafik vous trouveras une place derrière un bureau aux service secrets des renseignements d'Israël.



- Je vais réfléchir. La deuxième proposition n'a pas l'air mal...
- Sherlock serait terriblement déçu de voir sa petite protégé détruire ses années d'enseignement acharné. Je suis sur que vous ferez le bon choix mademoiselle Watson..



- Ah, et vous devriez mettre en place une sécurité pour votre domicile. Ce squelette ne peut pas faire grand chose a part sourire. Ce n'est parce que mon frère était un inconscient quand il s'agissait de sa sécurité que vous devez tout faire comme lui. J'attend votre réponse avec impatiente Mademoiselle Watson.




- Ah c'est pas vrai... Sherlock !



- Il me rend dingue ! SHERLOCK !




- Comment voulez-vous que j'arrive à entendre les enregistrements que vous m'avez demandé d'analyser avec tout ce raffut.
- Il a été prouvé scientifiquement que le classique aide à la concentration.
- Le classique oui ! Pas le bruit d'une corde qui crie souffrance !
- Allons Watson, votre mauvaise humeur vous empêches simplement de réfléchir et de vous concentrer.



- Ma mauvaise humeur est apparut par votre faute. J'ai déjà mes examens finaux à passer et vous m'encombrer d'exercices sur une affaire déjà classé.
- Si vous voulez réussir en tant que détective, c'est nécessaire. Si j'avais imaginé que votre boite crânienne contenait un petit poids, je n'aurais pas mit tant d'effort dans votre formation.



- Vous n'avez pas une affaires en cours ? Un truc qui vous occuperez pendant que je réfléchie à... Qu'est-ce que c'est que cela ?
- Ah, je me demandais quand vous le remarqueriez Watson. Il est ici depuis trois jours. Votre analyse des choses laisse à désirer.



- Je vous présente Hamlet. Ce gentleman souriant sera dorénavant notre assistant durant nos heures de travail et surveillera la maison.
- Et où ce trouve Angus ? Qu'est-ce vous en avez fait ?
- Il a eut un malheureux accident durant une expérience. Il a succomber à un attaque foudroyante.
- Euh... Ok... Et qu'elle genre d'attaque foudroyante ?
- Le lieutenant Lestrade m'a demandé de faire des recherches sur un nouvel explosif trouver dans le hangars du dernier suspects dans l'affaire des billets de banque disparus. Mais n'ayez crainte Watson, j'ai offert de digne funérailles à notre ami en bronze.



- Je vois. Mais, qu'est-ce que... Vous avez mit une caméra dans les yeux d'Hamlet ?
- Intéressant... Vous êtes incapable de voir un squelette d'un mètre soixante-dix-sept en plein milieu de la pièce mais vous décelez une micro caméra dans les yeux de celui-ci... J'aimerais vraiment disséquer votre cervelle... C'est fascinant... Et pour répondre à votre question, effectivement, je ne plaisantais pas quand je disait qu'Hamlet serez chargé de notre sécurité. J'ai placé plusieurs caméra de surveillance dans la maison mais les deux plus importantes sont dans Hamlet. Avec lui, il ne nous arrivera rien.
- Si vous le dite. En attendant arrêtez de faire crier les cordes du violon, j'ai du travail !



- Sherlock n'était pas inconscient de sa sécurité... Je suis très bien protégé....

Nicole46

Quelle histoire !
tous les ingrédients du roman policier et d'espionnage sont réunis ...
Les images format BD sont supers bien faites ...c'est facile à lire et le mystère s'épaissit au fil des chapitres

Luluswan

C'est tellement plein de mystère, j'adore !
En tout cas, Rosie ne va peut-être pas avoir le choix avec cet ultimatum...
Hum, en tout cas, Sherlock n'était pas si inconscient que ce que son frère pense...
(D'ailleurs, c'est toi qui a fait Sherlock ? Il a bien des airs de Benedict Cumberbatch je trouve, coïncidence ? )