Dagan Le Rouzic , est né dans le petit village de Sironen.
Il y avait passé une enfance heureuse et douce auprès de son père Thallion forgeron et sa mère Luinil femme au foyer, pendant son enfance, Dagan avait peu d'amis, mais ce n'était pas important pour lui d'en avoir beaucoup, car il avait les deux meilleurs du monde entier Eros et Isil, qu'il a d'ailleurs épousé bien des années plus tard.
Le village de Sironen était jonché de fleurs et de champignons aux couleurs chatoyantes, grand-père Tulkaï me racontais souvent la clairière et sa cascade magique, c'est à cet endroit, que mon arrière-arrière-grand-père Dagan avait rencontrer la petite Isil. L'histoire avait traversé les âges, grand-père Tulkaï l'avait apprise de son père qui l'avait appris de son père et ainsi de suite.
Mais moi, j'avais la chance d'avoir encore mon papy pour me la raconter, au fait, ce sont mes parents en premiers plans, mon père Drazaïl et ma mère Jeanne qui est humaine, oui, car nous sommes des descendants et survivants d'une longue lignée d'elfes des bois, mais avec le temps, la plupart d'entre nous sont mort où se sont marier avec des humains et de ce fait, nous avons perdu nos longues oreilles, enfin ceux qui ont du sang mi-elfe, mi-humain, ainsi que nos pouvoirs.

Grand-père disait souvent, que les papillons dansaient en tournoyant au-dessus des fleurs au rythme des musiques de ce temps-là, il disait aussi qu'une grotte arborait la clairière et que nul n'osait y pénétrer, non loin de là, mystique et majestueux, se trouvait le fameux arbre-monde, où tout du moins c'est comme ça qu'il était nommé, l'arbre-monde regorgeait d'une source, que tous les autres elfes, y compris Dagan mon arrière-arrière-grand-père pensaient être, inépuisable de magie, que seuls les elfes mages et sorciers pouvaient pénétrer à l'exception près de la petite déesse elfique à la voix d'ange prénommé Yukiko qui avait de nombreux talents, mais surtout celui d'apaiser ses semblables.
Yukiko avait de grand yeux rond pigmenter de bleu le teint pâle et de beau cheveux noir elle semblait si douce à la façon qu'avait mon grand-père de la décrire.
Mais alors qu'ils n'étaient encore que des enfants, Dagan, Elros et la petite Isil se lancèrent pour défis de traverser la grotte que personne n'osait pénétrer, malheureusement, ils n'en sont jamais revenu et c'est là que tout à commencer.
Le village de Sironen fut assailli par d'étranges bulbes à la couleur vert fluorescent ressemblant à de la gelée, peu à peu les elfes tombèrent malade à tour de rôle, ni les mages ni les sorciers ne parvenaient à trouver une solution, alors certains elfes encore en bonne santé décidèrent de traverser la grotte pour s'enfuir, mais cela eu pour conséquence d'empirer les choses.
L'arbre monde se mourait et la petite Yukiko avec lui, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien du village hormis, son souvenir.
Réponses
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Je me demandais d'ailleurs pourquoi la petite dame n'avait pas les oreilles pointues sur la première image ^^ mais j'ai eu ma réponse très rapidement.
J'espère qu'il ne va pas y avoir trop de déconvenues pour l'Arbre Monde et tous les elfes. Où ont bien pu passer Dagan, Isil et Elros ????
Petite question cependant : où as tu trouvé les oreilles pointues ?
Ce prologue m'inspire beaucoup.
J'ai tout un tas de questions déjà mais je vais attendre sagement la suite
voici ma maison où plutôt, la maison de grand-père Tulkaï, la personne de dos là, c'est moi, je m'appelle Tulkas, oui, je sais bien que ça vous rappel quelque chose, mais mes parents trouvaient ça original que je porte un nom ressemblant à celui de pépé Tulkaï et ils ont eu raison, parce que je ressemble beaucoup à grand-père, j'ai hérité de son caractère.
Aujourd'hui, je vais au lycée, j'ai seize ans, j'ai beaucoup d'amis comme la plupart des jeunes de mon âge, mais deux, principalement, sortent du lot.La fratrie Backer.
Bailey, c'est le genre de fille vivant à cent à l'heure et c'est un moulin à paroles, quant à son frère Jordan, lui est plutôt un romantique et un sensible, toujours sûr de lui, mais un tantinet mauviette.
Nous sommes en vacances présentement, la chaleur, les grillons, la bonne odeur de l'herbe tondu et les bonnes glaces qui gèlent le cerveau, c'est l'été, le dernier, mais le plus beau de tous, j'y avais fait une grande découverte.
Ce n'est pas que je n'aimais pas passer du temps avec grand-père où mes parents, mais mes amis étaient plus important à cette période.
Jordan m'accueillait toujours le premier, mais il était aussi toujours le premier à raconter des sottises pour me faire rire.
Je ne manquais pas une occasion pour lui montrer mes muscles qui avaient encore grossi, faut dire que pépé m'entraînais beaucoup.
Sa sœur, Bailey, était si belle qu'elle m'impressionnais, belle et intelligente, je me sentais parfois ridicule à coté d'elle, moi, mes principaux centres d'intérêt, c'était loin d'être l'école, je suis un sportif comme pépé et mes muscles, c'est mon atout majeur, c'est d'ailleurs pour ça que je fais fondre la plupart des filles.
Et puis comme tout les adolescents de notre âge, ensemble, on passait notre temps à trainer dans le quartier, parfois, on allait en ville où encore en bord de mer à Brindelton Bay la vue là-bas est magique.
Je ne savais pas encore comment gérer ces sentiments-là, c'était nouveau pour moi, enfin pas si nouveau puisque je les avais eus depuis la primaire, tout les trois avions suivi le même cursus scolaire.
Je me mettais trop la pression du coup, j'eu à peine le temps d'ouvrir la bouche que son frère nous avait déjà rejoins.
Dans mon souvenir, il m'avait montré ce jour-là une toute nouvelle application de smartphone qui était en vogue "Atomes Crochus", je l'avais aussi ajouté pour essayer, je voulais savoir si Bailey et moi ça pouvais matcher.
Bien que ça peut sembler sans importance aujourd'hui, cette application fût le déclencheur de ce qui allait se produire, je ne sais pas pourquoi j'y ai cru, je devais être trop stupide, mais à cet âge, on l'était tous.
Puis elle prit la parole.
-Je dois te dire une chose Tulkas, je sais que tu es amoureux de moi depuis longtemps, je le vois bien dans ta façon de me regarder et je t'aime aussi, enfin, je crois, c'est assez confus.
Je ne sais pas ce qui m'avais prit de faire ça, j'étais guidé comme par une force mystique,(en fait surtout par une poussée hormonal), je refermai mon bouquin m'avançant vers elle, apposant mon doigt sur ses lèvres pour la faire taire et je l'embrassai, mon corps basculant en avant je me suis vite retrouvé sur elle.
Après quoi, elle me gifla, puis partit en courant, pépé toujours sur tout les fronts avait vue toute la scène et me regarda en secouant la tête, je détestais quand il faisait ça.
Mais qu'avais-je donc bien pu faire de si grave pour qu'elle m'en veuille autant ? Je ne le sus que bien des années plus tard.
Le mois de juillet s'achevait.
Août :
C'était un mardi, je crois, le jour où j'ai surpris Jojo parler à ce gars presque sorti d'une couverture de magazine tellement sa prestance était forte, il m'avait vu, je le sais alors pourquoi m'avait t'il ignoré et qu'est-ce que ce gars lui voulait ? J'ai donc décider d'en avoir le cœur net, je me mis à les suivre en toute discrétion.
Je les vois au loin, ils s'étaient arrêtés devant une maison aux allures bourgeoise, mais qu'est-ce qu'il traficotait Jojo ? Quand je les vis entrer dans la maison, j'en ai profité pour aller voir ce qu'il se passait à l'interieur et si besoin j'étais pret à intervenir.
Ce que je vis ce jour-là, me révolta. Mon cœur se serra dans ma poitrine, tout mes sentiments se mélangeaient entre eux, colère, tristesse, je suffoquais, mon cœur se serrait, j'avais l'impression de mourir, je posai à nouveau une dernière fois mon regard au travers de la vitre pour m'assurer que ce n'était mon imagination qui me jouait des tours, puis je suis parti en courant jusqu'à la maison claquant la porte d'entrer de celle-ci derrière moi, me réfugiant dans ma chambre.
Qu'est-ce qu'il m'arrive me suis-je demandé à ce moment-là.
Pourquoi je me sentais si mal, je me regardais dans le miroir de ma chambre les poings serrer, la colère m'envahissait, accompagnée d'une boule dans ma gorge qui me la serrait et le coup partit.
Pourquoi m'écriais-je au fond de moi, pourquoi, mais pourquoi jetant un coup de pied dans la poubelle qui gisait là non loin de mon bureau.
Pépé, comme à son habitude entra dans ma chambre sans frapper, interpeller par les bruits de verre en me disant :
-Mais qu'est-ce que ton foutu gamin, regarde moi ce foutoir t'a intérêt à ramasser avant que ton père rentre, sinon tu vas goûter mon 42 et demi.(taille de la pointure de pépé)
Quand son regard se posa sur ma main, il prit un ton plus doux.
-Tu es sûr que ça va aller gamin, ta main saigne laisse moi soigné ça.
C'était la première fois que j'insultais mon pépé, quittant ma chambre comme une furie, me dirigeant près de la fontaine pour me calmer, aussitôt pépé m'avais rejoins, je me souviens encore de ses mots :
-Tu n'es pas obligé de tout me dire gamin, mais parler te ferais du bien.
-Mais ça va, je te dis, laisse moi tranquille !!
-Très bien, je te laisse.
À peine s'était-il levé que j'agrippasse son poignet, attend, en fait.. Et là, je me levai à mon tour pour tout lui déballer ce que j'avais vue. Cette conversation étant privée, je ne la divulguerais pas.
Et autant dire que je n'étais pas prêt à l'affronter en face.
Sauf que, je n'arrêtais pas de penser à ce fameux jour et sous les conseils de pépé à qui je me confiais sans retenue à présent, j'appelai Jordan sur son portable l'invitant à passer du temps à la maison.
J'avais décidé de l'attendre de pied ferme devant la maisonnée de pépé, quand enfin, il se montra et qu'il se trouva en face de moi, je n'avais pu m'empêcher de contenir ma colère comme me l'avait conseiller pépé.
Pépé observait la scène discrètement de loin, depuis une des fenêtre de l'étage, quand ma mère vint le rejoindre, elle avait ouvert la fenêtre qui donnait sur le jardin, mais arrête s'écriait t'elle peur que je ne sois blessé, mais pépé lui expliqua que parfois les hommes ont besoin de se cogner sur la face pour arranger les choses.
Mon corps bouillonnait, prisonnier de ce torrent de feu, ce tourbillon de chaleur qui m'inondait alors et dont je ne voulais me dépêtrer, me révéla au grand jour et révéla ma vraie nature.
J'étais amoureux de lui tout comme j'étais amoureux de sa sœur, ça devint très rapidement confus dans mon esprit, pépé avait raison et ses conseils avaient eut un impact majeur sur ce qui venait de se produire.
J'avais appris cet été-là qui j'étais vraiment et mieux encore, j'avais appris le sens réel du mot Tolérance.
La grande aventure me tendait ses bras que, je jubilais d'enlacer, mais c'était aussi le moment de dire adieu à mon amour de cet été-là, Jojo partait étudier dans une autre université et nous n'allons pas nous voir pendants au moins cinq ans.
Bien que je n'étais pas un grand admirateur de l'école, j'avais obtenu une bourse pour étudier le sport à l'université des Ligaments.
Après de longues, très longues heures de train, j'étais arrivé sur le campus, là où j'allais dormir pendant les cinq prochaines années avec pizza.
À peine le bus nous avaient déposer sur le campus, pizza était déjà en train de renifler tout le monde.
Je me présentai sans trop de difficultés à la bande de jeunes qui étaient descendu du bus en même temps que moi.
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J'ai beaucoup aimé le récit de la révélation - douloureuse - des sentiments amoureux de Tulkas pour Jojo
Je ne m'attendais pas à ce déroulé dans le récit et j'aime beaucoup être surprise