Han, non, ça ne colle pas, à moins que l'on parte dans le délire des mondes parallèles où Charles est un gentil calinours et que Vladislaus est un grand méchant vampire XD Dans mon histoire, Vladislaus ne transforme quasi personne.
Pff, tu spoiles que dalle Je me doutais bien que ce n'était pas Caleb qui allait transformer Lisa. Il est trop gentil lui.
J'étais dans les paillettes, l'amour comme s'il en pleuvait.
Et bam!
Oh misèèère c'est pire que tout ce que j'avais imaginé qui attend les Zorei
J'adore
Oh pour une fois que tu ne ferais pas dans la guimauve, ... et puis, ce n'est pas Pytisa et moi qui allons pouvoir te critiquer là-dessus, vu ce que nous, on réserve à nos sims ^^
En fin de journée, Cali reçut un étrange message...
<inconnu>
Je peux repasser dans ton monde pour un soir. J'ai besoin de te voir. Tu me manques tant mon amour.
Retrouve-moi au phare.
Mon amour...
Naël...
Cali se sentit ravivée. Elle s'habilla, fébrile comme une adolescente à son premier rencard. Elle se croisa dans le miroir, les joues rosies, le regard brillant. Une seconde jeunesse.
Elle le retrouva, son défunt amour, devant le restaurant où il lui avait donné rendez-vous.
À cet instant, elle n'aurait voulu qu'une chose, que son coeur la lâche, qu'elle le rejoigne. Lizzy était reine, protégée, rien ne pouvait leur arriver à présent, sans que les personnes attentant à leur vie ne puisse les atteindre. Elle voulait rejoindre Naël. Mais au lieu de cesser de battre, son coeur semblait s'accrocher de plus belle, battant comme un fou contre ses côtes, la faisant se sentir plus vivante encore.
Naël la relâcha, un sourire en coin aux lèvres.
"Je...euh...je vais commander...
- Oui, si j'y vais tu ne risques pas de manger grand chose."
Il était vrai qu'on ne pouvait apparaître à n'importe qui, et Naël restait invisible aux autres.
Son sourire restait accroché à son visage, elle flottait dans une bulle de bonheur.
"Ça va, ma chérie ? tu as l'air de planer...
- Mmh ?"
"Tu me regardes en souriant depuis un moment...
- Je suis juste tellement contente de te voir"
Une fois leur repas terminé, elle décida de faire de Naël son dessert.
Il devait bien y avoir dans ce restaurant un endroit - un placard - qui lui serait utile...
Elle sentit Naël sourire dans leur b.aiser.
Il la serra contre lui.
"Non, ma Cali, je ne t'aiderais pas à me rejoindre plus vite...
- Zut...comment tu as su ?
- Tu embrasses toujours de la même façon quand tu me veux comme ça."
Cali sourit contre l'épaule de Naël.
"Attends-moi encore un peu alors...
- Je t'attendrais toujours."
Puis son amour s'évapora, et elle quitta le phare, plus légère, plus sereine.
Plus vide aussi.
Legacy en cours : La famille Zoreï
Origin ID : Sakura5192 Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Je crois que je suis enceinte.
Tous les signes sont là, dont le plus connu. Les fameuses nausées.
Je passe mes journées à faire la sieste, j'ai mal aux seins...
Prévoyant, Akito avait blindé la petite pharmacie de tests de grossesse. Avec deux jeunes couples dans la maison, c'était à envisager.
Un ou une mini-Liam poussait donc bien en moi...je passais ma main sur mon ventre, par réflexe. Aucune différence, ou alors pas grande.
Je descendis les marches pour rejoindre Liam que j'avais entendu en grande discussion dans la cour, avec Joren.
Il allait rentrer quand je passais la porte.
"Liam ?
- Je dois aller au théâtre ce soir, j'ai un concerto à jouer...
- Oh...à tout à l'heure...et, au fait, je suis enceinte.
- À tout à l'heure."
Liam disparut derrière la porte.
"Tu crois qu'il a entendu ? demandai-je à mon frère.
- Oh oui, mais il a comprit à retardement, il doit être dans la voiture *il porta ses mains à sa bouche* oh, mon dieu, je vais être papa." Il explosa de rire, et je le rejoignis.
* * *
-Loan-
Les journées de lycée avaient commencé pour moi, et elles étaient déjà de plus en plus difficiles à supporter. J'étais dans la classe de Nolhann, ce qui n'était pas pour me déplaire, sauf que je passais mon temps à le regarder du coin de l'oeil.
Loan, tu serais une fille, je jurerais que tu en pinces pour Nolhann
Les mots assassins du prof me revinrent en tête. Mon coeur se serra.
Pourquoi "si j'étais une fille" ? Je l'aimais, je le savais. Il me manquait quand il n'était pas là, je souriais de toutes mes dents quand il arrivait le matin, et... je le regardais comme l'aurais regardé une fille.
Je n'osais plus quitter mon cahier des yeux, les regards, depuis, guettaient mes oeillades à Nolhann.
Les rires mal camouflés fusaient sur mon chemin. Je n'osais même plus lui parler, tant et si bien qu'il se vexa.
C'était compréhensible, j'aurais été blessé par une attitude semblable.
Je me confiais à notre majordome, craignant les réactions de ma famille.
Suivant son conseil, discrètement, je l'invitais à venir chez moi après les cours.
On s'était installés dehors, sous l'arbre où ma mère avait ajouté sa touche colorée, lumineuse, et chaleureuse.
Je réprimais un frisson de joie quand je sentis sa main se poser sur mon épaule alors que je lui montrais la dernière vidéo que j'avais regardée.
On s'assit, parlant de tout, dérivant sur l'école.
"Ne t'en fais pas pour ce qu'on t'a dit, on sait très bien qu'on est potes."
Son coeur se fissurait un peu plus.
"Oui...sans doute. Excuse-moi"
Je me levais en hâte et m'éloignais d'un pas vif. Une fois hors de vue, je courais me réfugier dans ma chambre.
"Votre Altesse ! m'apostropha Akito sur mon chemin.
- Pas maintenant, Akito...
- Désirez-vous quelque chose qui apaiserait votre peine palpable, votre Altesse ?
- Il n'y a rien qui m'apaiserait sinon lui, Akito.
- Je comprends, Altesse."
Quelques minutes passèrent, et on frappa à ma porte.
"J'ai dit que je ne voulais rien, Akito...soupirai-je.
- Loan...
- Oh...c'est toi. Désolé."
"Ton majordome m'a dit où te trouver. Ça va, mec ?"
J'opinai doucement du chef. Ça va. Ça irait. Il le fallait.
Je me murais dans le silence. Non, ça n'allait pas. Je mourais à l'intérieur, je voulais lui parler...qu'il sache...
Tapant ostensiblement sur son portable, il lut à voix haute.
"Je préfère quand tu souris."
Je tournais la tête vers lui.
"À moins que tu préfères me faire la gueule éternellement, hein...
- Jamais je pourrais, crois-moi..." dis-je.
J'étais si heureux que je passais un bras autour de lui pour le serrer contre moi.
Il souriait.
Je me perdis dans son regard vert, avant de reprendre mes esprits.
J'eus un rire nerveux, et je le lâchais.
"Désolé..."
"C'est rien, répondit-il. Ça me rassure que tu penses ça, j'ai cru que je t'avais perdu..."
Mon coeur commençait à battre fort.
"Moi aussi, j'ai cru."
Dis-lui !
Je m'exhortais au courage, mais mes yeux glissèrent sur ses lèvres...
Je n'arrivais plus à réfléchir correctement, mon coeur s'emballait, mon cerveau m'envoyait des images de possibles...de ce que je voulais faire...là, tout de suite...
"J'dois y aller, il est tard, l'internat va fermer avant que je rentre sinon...
- Nolhann ! Attend !"
Non...j'avais loupé mon moment parfait...
"Je t'accompagne", dis-je finalement.
Au portail, je voulus l'enlacer pour lui dire au revoir.
"Hey !
- Pardon..."
"Loan...
- Je suis désolé, je...
- C'est rien...c'est moi. J'suis con.
- Mais non...
- Je voulais pas voir l'évidence, même avec tous les signaux que t'envoies sans faire gaffe..."
Il fit une pause. Je retins mon souffle.
"J'suis flatté, vraiment...
- Nolhann...
- Je sais, Loan.
- Je t'aime."
Il t'attira à lui dans une virile accolade un peu bourrine.
Ses bras de détendirent après qu'il eut prit une longue inspiration.
"Nolhann ?
- Tais-toi..." dit-il dans un souffle.
Il me serra plus fort, plus tendrement. Des larmes de joie dévalèrent mes joues alors que je comprenais.
Alors qu'on s'éloignait l'un de l'autre, je pris mon courage à deux mains.
Mon coeur s'échappait de sa prison, et laissait libre-cours à mon amour.
Je mis vite fin à mon b.aiser volé, guettant avec appréhension sa réaction.
Il s'approcha doucement de moi, jusqu'à ce que nos fronts se touchent.
"Je t'aime aussi Loan."
Il pencha la tête sur le côté, allant à son tour cueillir un b.aiser sur ma bouche. Nos bras entourèrent l'autre aussitôt.
Je voudrais que ce moment dure toujours...et je sais que Nolhann aussi...
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Legacy en cours : La famille Zoreï
Origin ID : Sakura5192 Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
C'est triste pour Mamie Cali... C'est vraiment très beau mais tellement triste. L'amour n'a pas de frontière même avec "l'autre côté".
Par contre pour Loan et Nolhann, c'est juste adorable J'ai eu peur que ce dernier ne partage pas ses sentiments... Mais non c'est bon. Tellement chou, olalala
Réponses
Origin ID : Sakura5192
Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Illidan & Tyrande
Pff, tu spoiles que dalle Je me doutais bien que ce n'était pas Caleb qui allait transformer Lisa. Il est trop gentil lui.
Si vous souhaitez en savoir plus sur mon univers, faites un tour dans mon humble studio
OriginID : Little_Lams
Ma chaîne Youtube : Lamé Gaming
A tendance à créer des Sims d'après mes goûts musicaux
Origin ID : Sakura5192
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Illidan & Tyrande
Et bam!
Oh misèèère c'est pire que tout ce que j'avais imaginé qui attend les Zorei
J'adore
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En fin de journée, Cali reçut un étrange message...
Mon amour...
Naël...
Cali se sentit ravivée. Elle s'habilla, fébrile comme une adolescente à son premier rencard. Elle se croisa dans le miroir, les joues rosies, le regard brillant. Une seconde jeunesse.
Elle le retrouva, son défunt amour, devant le restaurant où il lui avait donné rendez-vous.
À cet instant, elle n'aurait voulu qu'une chose, que son coeur la lâche, qu'elle le rejoigne. Lizzy était reine, protégée, rien ne pouvait leur arriver à présent, sans que les personnes attentant à leur vie ne puisse les atteindre. Elle voulait rejoindre Naël. Mais au lieu de cesser de battre, son coeur semblait s'accrocher de plus belle, battant comme un fou contre ses côtes, la faisant se sentir plus vivante encore.
Naël la relâcha, un sourire en coin aux lèvres.
"Je...euh...je vais commander...
- Oui, si j'y vais tu ne risques pas de manger grand chose."
Il était vrai qu'on ne pouvait apparaître à n'importe qui, et Naël restait invisible aux autres.
Son sourire restait accroché à son visage, elle flottait dans une bulle de bonheur.
"Ça va, ma chérie ? tu as l'air de planer...
- Mmh ?"
"Tu me regardes en souriant depuis un moment...
- Je suis juste tellement contente de te voir"
Une fois leur repas terminé, elle décida de faire de Naël son dessert.
Il devait bien y avoir dans ce restaurant un endroit - un placard - qui lui serait utile...
Elle sentit Naël sourire dans leur b.aiser.
Il la serra contre lui.
"Non, ma Cali, je ne t'aiderais pas à me rejoindre plus vite...
- Zut...comment tu as su ?
- Tu embrasses toujours de la même façon quand tu me veux comme ça."
Cali sourit contre l'épaule de Naël.
"Attends-moi encore un peu alors...
- Je t'attendrais toujours."
Puis son amour s'évapora, et elle quitta le phare, plus légère, plus sereine.
Plus vide aussi.
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Illidan & Tyrande
Si vous souhaitez en savoir plus sur mon univers, faites un tour dans mon humble studio
OriginID : Little_Lams
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-Rosie-
Je crois que je suis enceinte.
Tous les signes sont là, dont le plus connu. Les fameuses nausées.
Je passe mes journées à faire la sieste, j'ai mal aux seins...
Prévoyant, Akito avait blindé la petite pharmacie de tests de grossesse. Avec deux jeunes couples dans la maison, c'était à envisager.
Un ou une mini-Liam poussait donc bien en moi...je passais ma main sur mon ventre, par réflexe. Aucune différence, ou alors pas grande.
Je descendis les marches pour rejoindre Liam que j'avais entendu en grande discussion dans la cour, avec Joren.
Il allait rentrer quand je passais la porte.
"Liam ?
- Je dois aller au théâtre ce soir, j'ai un concerto à jouer...
- Oh...à tout à l'heure...et, au fait, je suis enceinte.
- À tout à l'heure."
Liam disparut derrière la porte.
"Tu crois qu'il a entendu ? demandai-je à mon frère.
- Oh oui, mais il a comprit à retardement, il doit être dans la voiture *il porta ses mains à sa bouche* oh, mon dieu, je vais être papa." Il explosa de rire, et je le rejoignis.
-Loan-
Les journées de lycée avaient commencé pour moi, et elles étaient déjà de plus en plus difficiles à supporter. J'étais dans la classe de Nolhann, ce qui n'était pas pour me déplaire, sauf que je passais mon temps à le regarder du coin de l'oeil.
Loan, tu serais une fille, je jurerais que tu en pinces pour Nolhann
Les mots assassins du prof me revinrent en tête. Mon coeur se serra.
Pourquoi "si j'étais une fille" ? Je l'aimais, je le savais. Il me manquait quand il n'était pas là, je souriais de toutes mes dents quand il arrivait le matin, et... je le regardais comme l'aurais regardé une fille.
Je n'osais plus quitter mon cahier des yeux, les regards, depuis, guettaient mes oeillades à Nolhann.
Les rires mal camouflés fusaient sur mon chemin. Je n'osais même plus lui parler, tant et si bien qu'il se vexa.
C'était compréhensible, j'aurais été blessé par une attitude semblable.
Je me confiais à notre majordome, craignant les réactions de ma famille.
Suivant son conseil, discrètement, je l'invitais à venir chez moi après les cours.
On s'était installés dehors, sous l'arbre où ma mère avait ajouté sa touche colorée, lumineuse, et chaleureuse.
Je réprimais un frisson de joie quand je sentis sa main se poser sur mon épaule alors que je lui montrais la dernière vidéo que j'avais regardée.
On s'assit, parlant de tout, dérivant sur l'école.
"Ne t'en fais pas pour ce qu'on t'a dit, on sait très bien qu'on est potes."
Son coeur se fissurait un peu plus.
"Oui...sans doute. Excuse-moi"
Je me levais en hâte et m'éloignais d'un pas vif. Une fois hors de vue, je courais me réfugier dans ma chambre.
"Votre Altesse ! m'apostropha Akito sur mon chemin.
- Pas maintenant, Akito...
- Désirez-vous quelque chose qui apaiserait votre peine palpable, votre Altesse ?
- Il n'y a rien qui m'apaiserait sinon lui, Akito.
- Je comprends, Altesse."
Quelques minutes passèrent, et on frappa à ma porte.
"J'ai dit que je ne voulais rien, Akito...soupirai-je.
- Loan...
- Oh...c'est toi. Désolé."
"Ton majordome m'a dit où te trouver. Ça va, mec ?"
J'opinai doucement du chef. Ça va. Ça irait. Il le fallait.
Je me murais dans le silence. Non, ça n'allait pas. Je mourais à l'intérieur, je voulais lui parler...qu'il sache...
Tapant ostensiblement sur son portable, il lut à voix haute.
"Je préfère quand tu souris."
Je tournais la tête vers lui.
"À moins que tu préfères me faire la gueule éternellement, hein...
- Jamais je pourrais, crois-moi..." dis-je.
J'étais si heureux que je passais un bras autour de lui pour le serrer contre moi.
Il souriait.
Je me perdis dans son regard vert, avant de reprendre mes esprits.
J'eus un rire nerveux, et je le lâchais.
"Désolé..."
"C'est rien, répondit-il. Ça me rassure que tu penses ça, j'ai cru que je t'avais perdu..."
Mon coeur commençait à battre fort.
"Moi aussi, j'ai cru."
Dis-lui !
Je m'exhortais au courage, mais mes yeux glissèrent sur ses lèvres...
Je n'arrivais plus à réfléchir correctement, mon coeur s'emballait, mon cerveau m'envoyait des images de possibles...de ce que je voulais faire...là, tout de suite...
"J'dois y aller, il est tard, l'internat va fermer avant que je rentre sinon...
- Nolhann ! Attend !"
Non...j'avais loupé mon moment parfait...
"Je t'accompagne", dis-je finalement.
Au portail, je voulus l'enlacer pour lui dire au revoir.
"Hey !
- Pardon..."
"Loan...
- Je suis désolé, je...
- C'est rien...c'est moi. J'suis con.
- Mais non...
- Je voulais pas voir l'évidence, même avec tous les signaux que t'envoies sans faire gaffe..."
Il fit une pause. Je retins mon souffle.
"J'suis flatté, vraiment...
- Nolhann...
- Je sais, Loan.
- Je t'aime."
Il t'attira à lui dans une virile accolade un peu bourrine.
Ses bras de détendirent après qu'il eut prit une longue inspiration.
"Nolhann ?
- Tais-toi..." dit-il dans un souffle.
Il me serra plus fort, plus tendrement. Des larmes de joie dévalèrent mes joues alors que je comprenais.
Alors qu'on s'éloignait l'un de l'autre, je pris mon courage à deux mains.
Mon coeur s'échappait de sa prison, et laissait libre-cours à mon amour.
Je mis vite fin à mon b.aiser volé, guettant avec appréhension sa réaction.
Il s'approcha doucement de moi, jusqu'à ce que nos fronts se touchent.
"Je t'aime aussi Loan."
Il pencha la tête sur le côté, allant à son tour cueillir un b.aiser sur ma bouche. Nos bras entourèrent l'autre aussitôt.
Je voudrais que ce moment dure toujours...et je sais que Nolhann aussi...
Origin ID : Sakura5192
Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Illidan & Tyrande
A tendance à créer des Sims d'après mes goûts musicaux
Par contre pour Loan et Nolhann, c'est juste adorable J'ai eu peur que ce dernier ne partage pas ses sentiments... Mais non c'est bon. Tellement chou, olalala
J'ai adoré les deux chapitres