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À son corps défendant... Chapitre 3

Réponses

  • julimojulimo Messages: 1,235 Membre
    Les pop corn se ramollissent :mrgreen:
    Challenge Histoire : NSB La famille Palmer

    Créations : Les créas de Julimo
  • HorthakHorthak Messages: 1,320 Membre
    J'avais même pas remarqué que tu n'avais pas fais de MAJ depuis longtemps :lol: Mais bon, je n'en suis pas mécontente, si ça te motive à poster ! :tongue:
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  • FanfaniFanfani Messages: 5,529 Membre
    *vient répondre rapidement et discrètement en espérant ne pas se faire remarquer*

    @Horthak , oui, j'ai un peu vite délaissé cette histoire pour cause d'exploration junglesque avec fiston, et comme on s'amuse comme des fous :smiley: , j'en ai oublié que j'avais déjà un truc sur le feu :D . Et justement, tu es passée par-là juste au moment où je faisais un peu de spéléologie dans mes vieux .png en vue d'une reprise ici :p

    *repart aussi discrètement que possible...*
  • agathe2013agathe2013 Messages: 1,837 Membre
    Vu @fanfani ! :mrgreen:
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  • Avengers7xAvengers7x Messages: 1,659 Membre
    Tu devais pas écrire ton chapitre @Fanfani ? ;)
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  • sirhc59sirhc59 Messages: 25,173 Modérateur
    Elle aime jouer avec nos nefs @Fanfani...

    Mais toi @Avengers7x tu n'en aurais pas quelques uns sur le feu des chapitres ? :mrgreen:
  • Avengers7xAvengers7x Messages: 1,659 Membre
    Touché @sirhc59 :smiley:
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  • FanfaniFanfani Messages: 5,529 Membre
    Modifié (juin 2018)
    Chapitre 3


    Propriété de Charles Steinbeck, Windenburg, 6h00

    La nuit avait été courte mais réparatrice.
    La veille au soir, la gouvernante, Madame Pinel, avait accompagné Salomé jusqu’à la dépendance prévue pour accueillir le personnel de sécurité, un petit deux-pièces confortable et fonctionnel niché sous la résidence et qui suffirait amplement pour le peu de temps qu’elle aurait à y passer.

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    Elle s’était levée tôt. Non qu’elle soit pressée de retrouver l’affreux jojo qu’il allait lui falloir suivre toute la journée. Seulement elle n’était bonne à rien tant qu’elle n’avait pas ingurgité ses trois cafés matinaux.

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    - Allez mon p’tit père, faut que j’y aille. Je te laisse les commandes. Et sois gentil avec le jardinier hein ! Grincheux va nous faire une jaunisse si tu transformes sa pelouse en champ de mines.

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    Après avoir ajusté son holster sous sa veste et s’être assurée que tous les boutons de sa chemise était bien attachés, Salomé rejoignit la cuisine où s’affairait déjà Lucette, la gouvernante.

    - Installez-vous donc Melle Takamine, c’est presque prêt. Que mangez-vous le matin ?

    - Ce que vous êtes en train de préparer, ça me paraît très bien.

    - Vous préférez vos oeufs baveux ou bien saisis ?

    - Baveux, ce sera parfait !

    - Ah ! Une fille selon mon coeur ! Enfin quelqu’un qui n’est pas difficile à contenter !

    - Parce que M.Steinbeck est ronchon à table aussi ?

    - Pas lui, ses petites amies ! Ne le répétez à personne mais… il a le chic pour s’enticher de filles incapables d’apprécier ma cuisine à sa juste valeur. Elles me font tout un plat de la moindre calorie superflue.

    Sentant la gouvernante disposée à s’épancher sur la vie dissolue de son patron, Salomé profita de la perche tendue pour l’amener à développer.

    - Ses petites amies ? Il en a eu tant que ça ?

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    La vieille dame s’esclaffa.

    - J’ai arrêté de compter depuis bien longtemps. Quel dommage quand même ! Un si bel homme à qui tout réussit, mais incapable de se trouver durablement une compagne digne de ce nom. Ça me désole de le voir papillonner de la sorte.

    - Et pourquoi vous seriez désolée pour lui ? Je suis sûre que ça lui convient très bien comme ça.

    Lucette coupa le feu sous sa poêle, l’air pensif.

    - Peut-être… mais peut-être pas. Je le sens parfois si… seul !

    Voyez-vous ça ! La petite dame était donc préoccupée par le bien-être du pire butor que Windenburg ait connu ces cent dernières années. Étrange ! D’autant plus étrange qu’elle était la deuxième personne à montrer un semblant de compassion pour un type que la moitié de la ville aurait volontiers dépecé avec un couteau à beurre.

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    Rassasiée, Salomé laissa la gouvernante à ses fourneaux après l’avoir remerciée pour cet excellent petit-déjeuner. Aussitôt sortie de la cuisine, elle prit la direction du bureau où Steinbeck l’attendait pour planifier le déroulé de la journée.

    - Entrez !

    Lorsqu’elle pénétra dans la pièce, elle vit Steinbeck se lever de son siège pour la recevoir. Que de galanterie pour un personnage aussi odieux !

    - Vous êtes en avance !

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    Salomé s’efforça de ne pas lever les yeux au plafond mais ne put retenir le sarcasme qui lui chatouillait le bout de la langue.

    - Ah! mince… vous n’avez pas les moyens de me payer en minutes supplémentaires, c’est ça ? Ne vous inquiétez pas, j’arriverai avec sept minutes de retard demain. Je ne voudrais surtout pas mettre votre entreprise en péril !

    - Très drôle !

    - Merci ! J’la trouve assez bonne aussi ! lui répondit-elle avant de prendre place dans l’un des deux fauteuils destinés aux visiteurs tout en lançant un regard goguenard vers le fauteuil voisin…

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    … occupé par une grande et jolie blonde plutôt bien fichue de sa personne et que Salomé identifia immédiatement comme étant la flamboyante dernière en date de Steinbeck.

    - Eh bien mon chéri, tu ne me présentes pas à ta nouvelle employée ?

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    Agacé par la voix haut perchée de sa dernière conquête et ce petit surnom ridicule qu’elle avait la manie d’employer, Charles se raidit sur son fauteuil. Pourquoi avait-il fallu que son garde du corps arrive avant qu’il n’ait le temps de congédier Bridget ?

    Non qu’il soit gêné que l’une rencontre l’autre puisque Takamine serait amenée à la côtoyer à l’occasion de diverses sorties mondaines auxquelles ils se rendaient ensemble. Mais ce matin, Bridget était venue lui dire bonjour au saut du lit, en tenue légère, et encore toute échevelée de leurs ébats nocturnes, ce qu’il trouvait parfaitement inconvenant devant son personnel.

    - Melle Takamine sait déjà tout ce qu’il y a à savoir sur toi et j’ai beaucoup de travail. Je t’appelle demain. Bonne journée Bridget.

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    - Mais… c’est à dire que… tu m’avais promis que ce soir…

    Irrité par l’insistance de Bridget, Charles reporta son attention sur Salomé.

    - Allez m’attendre dehors, j’arrive dans un instant.

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    Salomé posa un regard navré sur la jeune maîtresse de Steinbeck et hésita un instant avant de se lever. La façon qu’il avait eu de la congédier manu militari l’avait horripilée au plus haut point et elle avait été à deux doigts d’intervenir en faveur de cette pauvre fille, aussi cruche puisse-t-elle paraître.

    Mais finalement elle s’était ravisée. Après tout, toute pauvre fille qu’elle soit, elle était majeure et vaccinée non ? Aussi Salomé ravala-t-elle sa bile et sortit sans broncher, laissant les deux tourtereaux régler leurs comptes entre adultes.

    - … assez de tes caprices… à quoi t’en tenir…

    - … mais… je croyais que…

    - … ça suffit… à prendre ou à laisser…

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    ***



    Restaurant « L’Escapade », San Myshuno, 11h50

    Durant tout le trajet vers l’hyper-centre de San Myshuno, Salomé avait gardé le silence, ruminant des reproches qui ne demandaient qu’à sortir de sa bouche. S’il n’en tenait qu’à elle, Steinbeck aurait entendu son opinion sur sa désastreuse conception du couple. Mais à n’en pas douter, Vincent aurait peu apprécié qu’elle se mêle de la vie sentimentale de son client au risque de compromettre une collaboration pour le moins précaire. Il n’empêche qu’elle n’en pensait pas moins. Encore une fois, Steinbeck avait été magnifique dans son mépris des sentiments d’autrui.

    Elle ne daigna ouvrir la bouche que lorsqu’ils arrivèrent devant la porte du restaurant.

    - Motif du déjeuner ?

    - Repas d’affaires.

    - Soit ! Mais encore ? Il serait bienvenu que je connaisse l’identité de la personne qui va certainement avoir envie de vous trancher la gorge avant la fin du repas.

    - Je déjeune avec Maître Gims. Il représente une association de propriétaires qui refusent de se soumettre à une expropriation jugée en première instance par le Tribunal de Windenburg. Ils souhaitent négocier un arrangement avant que l’affaire ne passe en appel.

    - Je vois… avec un peu de chance je n’aurai pas à intervenir avant le plat de résistance.

    Steinbeck dédaigna sa boutade et entra d’un pas confiant dans l’établissement. A peine était-il entré qu’une jeune serveuse se présenta devant lui pour le guider jusqu’à une salle située au premier étage.

    - Maître Gims…

    - Monsieur Steinbeck…

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    Restée en retrait, Salomé se posta stratégiquement au bar de la terrasse. Suffisamment près pour garder un oeil et une oreille attentifs sur son client. Mais suffisamment à l’écart pour faire oublier sa présence.

    Tandis que les deux hommes échangeaient les politesses d’usage malgré leur évident différend, elle s’occupa en consultant la carte du restaurant. Pas un burger ni une frite à l’horizon. Quant aux prix, ils devaient être si indécents qu’ils n’étaient même pas spécifiés. C’était bien le genre d’endroit où le commun des mortels devait hypothéquer sa maison pour pouvoir déguster une cuisse de grenouille assortie de quatre feuilles de batavia.

    Salomé continua de se délecter des noms pompeux de certains plats tout en s’efforçant de suivre la conversation en cours sans en avoir l’air.

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    - Cessons de tourner autour du pot monsieur Steinbeck. Mes clients attendent un geste de votre part. Ils sont tout à fait conscients que vous avez le bras suffisamment long pour que le tribunal ne revienne pas sur le jugement en première instance. De fait, ils sont prêts à vous simplifier la vie en mettant fin à la procédure d’appel si vous êtes disposé à reconsidérer les conditions de leur expropriation.

    Charles réprima un sourire. La requête de l’avocat était tellement prévisible qu’il s’en serait presque amusé s’il n’avait pas eu l’impression de perdre un temps précieux.

    - Bien ! Laissez-moi deviner… Vos clients pensent qu’une simple rémunération est insuffisante et ils souhaitent que j’organise un plan de relogement. Me trompè-je ?

    Bien qu’il se soit attendu à la clairvoyance de son adversaire, Maître Gims se racla la gorge et acquiesça.

    - C’est à peu près ce qu’ils attendent de vous oui, dans les grandes lignes…

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    Cette fois-ci, l’homme d’affaires ne cacha pas davantage son agacement.

    - Désolé Gims, mais vous savez aussi bien que moi que cette affaire est définitivement entendue et que je ne reviendrai pas sur l’offre qui a été présentée dans le dossier. J’estime avoir été plus que généreux sur les indemnités allouées. A vos clients de se débrouiller pour savoir quoi faire de cet argent pour retrouver un logement là où bon leur semble.

    Le ton monta encore d’un cran lorsque l’avocat s’enflamma à son tour, haussant le ton en tapant du poing sur la table.

    - Généreux ? Vous estimez avoir été généreux ? Mais bon sang Steinbeck, ces gens n’auront même pas de quoi racheter la moitié de ce que vous les obligez à abandonner ! Ce sont des familles entières qui vont devoir vivre dans des conditions bien en deçà de ce qu’ils ont connu, si tant est qu’ils retrouvent quelque chose de décent sur le marché actuel. La moindre des choses serait que vous les aidiez à se reloger dignement.

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    Sur le fond, Salomé ne pouvait qu’acquiescer en son for intérieur. Mais sachant que Steinbeck ne se laisserait pas attendrir par l’idéalisme de son adversaire, sur la forme elle jugea préférable de se rapprocher du conflit pour calmer la virulence de l’avocat par sa seule proximité.

    - Ecoutez-moi bien Gims, il est hors de question que je cède à un quelconque chantage de la part de vos clients. Ils veulent faire traîner l’affaire en appel ? Grand bien leur fasse ! Mon activité peut supporter ce genre de contre-temps. Mais les conditions de l’expropriation qui ont été validées par le juge resteront non-négociables.

    L’avocat chercha dans le regard de Salomé un soutien qu’elle n’était pas en mesure de lui apporter. Aussi coupa-t-il court à la conversation.

    Bien ! J’en conclus que cette entrevue aura été une perte de temps pour tout le monde, si vous le permettez je vais donc vous laisser déjeuner et aller en référer à mes clients, dit-il en se levant. M. Steinbeck, mademoiselle…

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    Imperturbable, Steinbeck regarda son interlocuteur quitter le restaurant tandis que Salomé bouillonnait de colère.

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    Ce n’est qu’une fois sortie de l’établissement qu’elle laissa s’exprimer son exaspération.

    - Non mais c’est quoi votre problème ?

    - Quel problème ?

    - Tout ce cirque là ! Sans blague, qu’est-ce que ça vous coûtait de prendre en considération la demande de ces gens que vous avez foutu dehors ? C’est pas comme s’ils vous avaient demandé une rallonge ! Ils espèrent juste un peu de soutien logistique de votre part. L’immobilier c’est votre domaine non ?

    - Je ne fais pas dans le social Melle Takamine ! Il y a des organismes tout à fait compétents en la matière vers lesquels se tourner.

    - C’est ça ! Des organismes avec des listes d’attente longues comme le bras d’un chimpanzé et qui vont leur refiler le premier taudis qu'ils trouveront ! Mais bon sang de bon soir, ça ne vous fait ni chaud ni froid de savoir que vous mettez ces gens dans une mouise intégrale alors que ça vous coûterait presque peanuts de limiter les dégâts ? On ne vous demande pas d'être philanthrope, faut pas rêver non plus, mais ayez un minimum de compassion crotte à la fin !

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    Charles fronça les sourcils et la dévisagea froidement.

    - Vous allez trop loin Salomé ! Je n’ai à me justifier auprès de personne. Compris !

    - Non ! Pas compris du tout ! Virez-moi si vous le voulez, je m’en fous comme de ma première grenouillère, mais je refuse de la fermer quand je suis témoin d’une férocité pareille, surtout quand elle est gratuite !

    - Okay… vous êtes virée !!!

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    - Super ! Du coup je peux l’ouvrir maintenant ? Alors voilà comment je vois les choses. Vous pensez que les gens vous respectent parce que vous vous montrez inflexible en toutes circonstances ? Vous craignez de perdre votre crédibilité si vous lâchez un peu de lest ? Vous imaginez que ces gens vont vous rire au nez parce que vous aurez fait un geste en leur faveur ? Fumisterie ! Donnez-leur ce qu’ils demandent dans la mesure du raisonnable et là ils vous respecteront, parce que vous aurez fait preuve d’un tant soit peu d’altruisme. Le respect ça se gagne Monsieur Steinbeck, ça ne s’impose pas ! Et puis, au cas où ça vous aurait échappé, le respect est une réciproque. Respectez-les et ils vous respecteront. Et ce jour-là vous n’aurez peut-être plus besoin d’avoir un garde du corps aux fesses pour protéger vos arrières.

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    Essouflée par sa tirade, Salomé fouilla calmement dans ses poches pour en sortir les clés de la grosse berline qu’elle tendit à Steinbeck sans le quitter des yeux.

    - Je passerai récupérer mon chien et mes affaires dans la soirée. Bonne continuation Monsieur Steinbeck. Vincent vous appellera dès que je l’aurai informé de la situation…

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    Post edited by Fanfani on
  • pytisapytisa Messages: 6,349 Membre
    Modifié (juin 2018)
    Quel caractère! :mrgreen: Des deux côtés, cela étant dit :sweat_smile:
    Ils sont vraiment faits l'un pour l'autre, ces deux-là :blush:
    J'ai adoré, je me suis régalée. Quel bonheur de les retrouver, ces deux-là, oui oui oui :heart:

    Edit: bon, en même temps, je ne peux m'empêcher de "Mais les conditions de l’expropriation qui ont été validées par le juge resteront non-négociables" défendre quelque peu Monsieur Charles. Celui-ci est et reste un homme d'affaires qui agit dans la légalité avec l'aval du juge. Je ne connais pas les dessous de l'affaire et ce n'est pas parce que Me Gims déclare que ses clients vont être lésés par la décision du juge qu'ils le sont effectivement :/ En plus, il s'agit quand même d'une mesure d'expropriation, commandée par la ville, par l'état donc :/ et bref, je ne veux pas me faire l'avocat du diable, mais bon, il a quand même de très beaux yeux, ce Monsieur Charles, moi, je dis :mrgreen: et de si beaux yeux ne peuvent pas appartenir à un homme totalement pourri, moi, je dis encore :mrgreen:
    Post edited by pytisa on
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  • Avengers7xAvengers7x Messages: 1,659 Membre
    Salomé : 100 / Steinbeck : 0 pointé et encore suis gentille :mrgreen:

    Mais honnêtement, je pensais pas qu'elle poserait sa démission dès le 3ème chapitre :sweat_smile: mon premier ressenti à été de me dire qu'elle jetait l'éponge à la première contrariété (cela vaut pour lui aussi hein) et du coup, ça m'a déçu de la part de Salomé… De plus, on comprend plus ou moins grâce à la gouvernante que Steinbeck dissimule sa solitude comme il peut et j'ai été surprise de voir que Salomé ne cherchait pas à en savoir d'avantage de ce côté-là.

    Je te dis à dans 6 mois pour la suite de leurs aventures ou bien :mrgreen: ?
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  • OxianeOxiane Messages: 171 Membre
    Oh j'ai bien choisi mon moment pour revenir sur le forum moi :D Trop bien, ils ne peuvent pas s'encadrer mais on sent bien que tout cela pourrait évoluer dans le bon sens. Ceci dit, elle a raison Salomé, je n'aurais pas pu me taire non plus o:)
  • KlOohmaKlOohma Messages: 1,785 Membre
    Bon , ce fut cour quand même leur collaboration :D

    En même temps je la comprends, quand on bouillonne à l'intérieur il faut que ça sorte!

    J'ai adoré le chapitre ça vaut le coup d'attendre :)
    ● viens visiter mon blog ici Random legacy en cours (G5) ● Les potins ● Histoire surnaturelle et pleins d'autres choses !
  • sirhc59sirhc59 Messages: 25,173 Modérateur
    Salomé.... Tout ce que j'aime...
  • HorthakHorthak Messages: 1,320 Membre
    Et bim ! Depuis le temps (comment ça y'a que trois chapitres ?) que j'attendais qu'elle lui colle une baffe ! Bon, ok, là, c'est qu'avec des mots, mais c'est tout aussi bien, hihi ! Si elle pouvait lui encastrer la tête dans un mur ça serait pas mal aussi :smirk: Comment ça, c'est pas légal ? :lol:
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