@Pythonroux Ça va, laisse-moi copier/coller mes chapitres d'avance
-102-partie 2
-Charlize-
On arrivait dans la matinée, Calinette et son homme dormaient encore. Épuisés du trajet de nuit, maman et papa se recouchèrent aussitôt. Il fallait aussi dire qu'on avait perdu papa avant la cérémonie au temple, sans compter la honte qu'il m'avait fichue pendant l'échange des anneaux...
Josh n'osait pas entrer, cette maison, cette famille, cette ville, tout ici était nouveau pour lui et personne ne pouvait lui en vouloir d'avoir besoin d'un temps d'adaptation. C'est ainsi que je le trouvais les pieds dans la piscine.
Il avait l'air d'aller bien, détendu. Sauf que mon homme, celui que je surnommais dans mes pensées « mon caramel », était un dur à cuire. Jamais il n'aurait montré de trouble...bon, sauf le jour où j'ai débarqué à NewCrest, BeanLand, le pays ayant été renommé à l'époque d'or de la Grande Hélène Bean, ma...tante, du coup.
J'ôtais mes vêtements et m'installait à côté de lui. Il passa aussitôt un bras réconfortant autour de moi. Je scrutais ses yeux gris-vert pour savoir comment il allait.
« Charlie...je vais bien, arrête ça, d'ac ?
-Sûr ?
-Je suis près de toi, loin de tout Beanisator, pourquoi j'irais mal ?
-Le changement...je ne sais pas...
-Si le changement me faisait peur, jamais je n'aurais accepté de t'épouser, ni de vivre sous le toit de tes parents...
-C'est pas faux... »
Un nuage passa et le soleil frappa plus fort sur nous, nos alliances brillant sous sa lumière.
Mariée... un sursaut secoua mon ventre, les papillons habituels. Jamais je n'aurais pensé me marier un jour...
Jamais je n'aurais osé espérer revoir Josh un jour, aussi. Au fond de moi, je savais depuis enfant, le mariage de Kéno et Hélène, que personne d'autre n'aurait cette place réservée à Joshua Bean .
J'avais beau être une Zoreï, j'étais une demi-Bean, et je ne pouvais qu'en être fière. Je devais beaucoup à mon papa. À commencer par ma guitare...
Mais le Dieu Sim avait décidé de gâcher ma journée en m'enlevant mon précieux papa...
C'était sa deuxième vie qui s'achevait, la première ayant été brutalement achevée d'un coup de tramway, c'est de vieillesse qu'il s'était effondré devant maman. Son cri nous avait alertés, Cali à l'autre bout du lotissement, Naël dans la piscine...
Papa... Jules Bean , n'était plus.
Joshua le connaissait peu, mais il était l'un des premiers membres de la famille Bean, fils de William, le fondateur, et il était celui dont la mort infantile avait fait basculer toute la vie là-bas. C'est avec un grand respect qu'il assista à cette triste scène.
Les esprits de nos grands-parents n'étaient plus revenus depuis longtemps, et on disait que quand le fantôme ne revenait plus c'était qu'il avait trouvé le repos. Maman installa donc l'urne de papa sur ce modeste et morbide meuble... près de leur photo de mariage.
-Cassie-
Une partie de mon univers s'écroula à notre retour. Jules, fatigué du grand âge et de notre voyage dans sa famille, succomba d'une crise cardiaque. Je faisais ce que je pouvais pour me raisonner : notre voyage n'y était pour rien. Il était vieux, plus que moi, même si jusqu'ici nous tenions la forme.
Je n'avais plus goût à rien. Si Cali et Naël s'étaient bien occupés du jardin en notre absence, le départ – sans moi – de mon Jules le laissa en friche.
Cali m'avait parlé de sa rencontre avec Swann, et ce que cela impliquait : le mariage apparemment prochain de notre Miss « Gothik » avec le fils Plénozas-Gothik, Edouard Junior, et la ''prise en main'' de la ville par notre branche de la famille. Je m'étais longtemps voilé la face, mais depuis le refus de Sarah Gothik j'aurais du prendre cette place que ma petite fille allait endosser.
Je me montrais forte pour elle, et Charlize. Voulant laisser une image positive dans les esprits, je troquais mon habituel chemisier sans manches pour une tenue plus solennelle, plus en accord avec mon état de deuil, et le rang que notre famille avait prit.
J'étais effondrée, rien ne semblait pouvoir me rendre la joie de vivre.
Lizou se réfugia dans la musique, composant une magnifique ''Ôde à mon père'' qui aurait fait pleurer une pierre. Son effet sur moi était dévastateur, mais j'appréciais ce bel hommage qu'elle lui faisait.
Une fois l'annonce publique de la mort de mon mari faite, j'envoyais un mail à Kéno : « Nous sommes bien rentrés, mais je suis au regret de vous apprendre que Jules est décédé. »
Des mots qui me semblaient bien creux... « décédé » tout le monde décédait. Lui...
Avait emporté mon cœur, son sourire, ma joie, avec lui, de l'autre côté.
Ce qui rendait son départ encore plus dur... c'était que le sourire de ma Charlize s'était envolé lui aussi.
Elle me soutenait du mieux qu'elle pouvait, malgré tout, écoutant sa vieille maman que j'étais partager son chagrin, compatissante, présente.
À cet instant je regrettais encore plus de n'avoir pas été plus présente pendant leur enfance, de ne pas avoir été l'oreille attentive à l'adolescence... Mes filles s'étaient construites seules, j'étais fière d'elles, et bien peu de moi.
-Cali-
Le retour des parents et de Charlize... n'avait pas vraiment été ce à quoi Naël et moi nous nous attendions.
Un vent de tristesse avait soufflé sur la maison au départ de papa, et pas grand chose ne pouvait arriver à nous rendre le sourire.
Maman aurait prié Sakura pour qu'elle l'emmure dans la piscine, et Charlize semblait de plus en plus malade, ce qui commençait à tous nous inquiéter, elle qui avait toujours eu une santé de fer.
« Pardonne-moi, Cali...
- Te pardonner quoi, maman ?
- Ces responsabilités...mon absence quand vous étiez petites...
- Maman...personne ne t'en veut. C'est aussi grâce à toi si on a plus de 200 mille simflouzes à Sim-Bank, si on peut vivre si aisément, si on a pu construire un sous-sol, si la ville a un spa... Tu n'as jamais ''pris tes fonctions'' d'héritière en ville, mais ils considéraient déjà tous que tu l'étais. Je suis fière d'être ta fille, de reprendre ton flambeau... »
Ce que je n'avais pas prévu, c'était qu'elle pleure encore plus après ma tirade.
« J'ai...dit quelque chose de travers ? demandai-je à Naël.
- Non, Calinette, seulement ce qu'elle avait besoin d'entendre. »
On la retrouva dans le jardin, ce qui aurait pu être un bon signe si elle n'avait pas arrosé les plantes de ses larmes.
-Cassie-
Ce que ma Cali m'avait dit m'avait touché au-delà des mots, au-delà de tout. Si la tristesse était encore là, l'émotion de savoir ce que mon enfant pensait avait pris le dessus. Après avoir pleuré mon saoul, je rentrais dans la maison.
Je me trouvais alors nez-à-nez avec une adorable blondinette souriante avec un pull décoré d'une tortue.
La ressemblance avec sa mère au même âge était telle que jamais je n'aurais pu douter de l'identité de cette petite fille.
« Ça va ? Me demanda-t-elle.
- Oui, ça me fait plaisir de te voir.
- Tu m'as reconnue... »
Son sourire s'élargit.
Je posais péniblement le genou à terre pour prendre ma petite-fille dans mes bras.
« Evidement, ma petite Laëlia, joyeux anniversaire, ma puce...
- Merci mamie. Souris toi aussi... »
Oui, j'allais sourire à nouveau. Cette enfant était un soleil qui perçait entre les nuages. Si sa présence ne me rendait pas mon cœur arraché par la mort, il le soignait d'une bien belle façon.
« Je suis là, mamie. Je sais que Papi Jules est toujours là. »
__________
J'espère que vous n'aurez pas eu de problèmes d'affichage, les images sont un poil plus lourdes comme elles sont retouchées
ASSASSIN ! MEURTRIEUSE !
Juuuules ! Tu as tué Jules ! Après tout ce que j'ai fait pour le ramener, le voyage dans le passé, le duel au soleil, je l'ai élevé, je l'ai aimé, mon Jules est mooooort !
Je t'envoie mes sims et voilà comment tu me remercies, en tuant mon Jules ? Rends moi Joshua, tu vas surement le massacrer aussi !
Nooooon... T'avais pas le droit de nous faire ça ! Il était déjà mort une fois, et toi tu le retue, c'est hyper cruel ! Je m'en remettrais jamais ! T'es rien qu'une.. une .. une BEAN ! Voilà ! Bouhooooouhouuuu ! Juuules...
Hommage à ce pauvre petit, assassiné cruellement par Sakura dans la fleur de l'âge..
@LucieVisto T'as fait fort là je te préviendrais toujours à l'avance des morts de mes Sims, ça vaut le détour
Il a bien vécu, et tu as bien vu qu'il était à côté de ses pompes au mariage ... j'euthanasie quoi ? Je l'ai tué avant la sortie de ton chapitre, j'vois pas le rapport...
Il est mouru de "vieillesse" et pas de "tramway-dans-sa-face-de-petit-enfant" na
@Pythonroux Ben figure-toi que j'ai eu ta notif pour la demande express de chapitre quand je commençais à copier/coller (d'ailleurs : Est-ce qu'il y a une différence d'écriture ? Parce que cette fois j'ai tapé sur Word avant, donc c'est plus réfléchi normalement ^^)
Legacy en cours : La famille Zoreï
Origin ID : Sakura5192 Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Depuis l'anniversaire de Laëlia, c'est fiesta tous les jours, et Naël la soutient autant qu'il peut.
J'avoue que de bon matin, voir mon homme se trémousser torse nu donnait des idées assez sympa, mais surtout, m'empêchait de manger.
Comme on pouvait s'y attendre, ce n'est pas en une nuit que la tristesse de maman allait s'évaporer, mais elle nous a demandé de ne pas nous inquiéter de son état, que ça finirait par s'arranger.
Le pire, c'est que Charlize et Joshua commençaient à culpabiliser.
« Mais si on avait fait le mariage ici, papa ne serait peut-être pas mort...
- Ne dis pas n'importe quoi, Lize, marmonna maman. Il avait aussi accumulé beaucoup de stress avant de prendre sa retraite. Travailler dans les affaires en sachant que les Plénozas sont les PDG n'a pas du aider. Tu n'es pas responsable. Je pense que ce petit voyage lui a fait du bien, on aurait seulement du le faire plus tôt... »
-Charlize-
Maman avait sans doute raison, mais la voir dans cet était me faisait autant que peine que la mort de papa elle-même. Après le petit-déjeuner, je la pris à part.
« Maman, je sais que c'est dur, je le sais puisque je serais dans un état bien plus lamentable que le tien si Josh venait à disparaître, mais tu dois relever la tête, papa n'aurait jamais voulu ça, il savait déjà à quel point tu l'aimais...
...souviens-toi de ce que vous avez traversé ensemble, ce que vous avez fait. Cali et moi on est là, on a toujours besoin de toi, Laë aussi, alors essaie d'enlever cette expression du genre ''je vais m'emmurer dans la piscine'' de ton visage, d'accord ? Si tu le fais pas pour nous, fait-le pour papa. Jamais tu n'aurais voulu qu'il souffre comme tu te fais souffrir, pas vrai ? »
- Qu'est-ce que je ne serais pas sans vous, mes chéries ! » s'exclama maman avant de me serrer dans ses bras.
« Votre père aussi à de quoi être fier de vous ».
Merci, m'man.
-Cali-
Charlize s'est mise du jour au lendemain à composer une chanson toute joyeuse. Surprise, je suis montée l'écouter. Et là...
J'ai commencé à faire un lien dans ma tête : ce petit ventre qui poussait, les nausées de plus en plus fréquentes, la fatigue...
« Lizou, je crois que t'es enceinte. »
Elle planta un accord sur le clavier avant de se lever.
« Meuh nan, j'ai abusé du gâteau dans la famille , c'est tout, c'est comme ça les mariages... et puis c'est pas sympa comme façon de m'dire que j'ai grossi, Calinette », me taquina-t-elle.
Je lui tendis un test. « Fais-le, on verra qui a raison.
- T'es bornée, toi !
- Non, mais attends, c'est l'hôpital qui se fiche de la charité, là !
- Rooh, j'y vais, pisser sur ton bidule ! »
Elle disparu un moment aux WC et ressortit avec cette tête reconnaissable.
« Purée, Calinette, t'avais raison, j'suis enceinte !
- Combien de mois te dis le test ?
- Déjà entre trois et quatre apparement, sauf si ton truc bug...
- T'as crac-craqué chez Josh ???
- Je sais plus moi, t'es marrante, p'tetre ouais, sans doute, il serait pas là le bébé sinon. »
* * *
On a donc eu droit à un changement de look de la part de Lize, un truc moins...'fin, plus maman quoi. Par contre c'est pas demain la veille qu'on lui enlèvera sa casquette, ou ses santiags qu'elle avait reçues de la ''Grande Hélène Bean'' le jour de son mariage.
L'été était perpétuel ici, mais le soleil tapait fort quand Laëlia rentra de l'école ce jour-là.
Mon petit bébé avait le moral dans les chaussettes et je n'allais pas tarder à savoir pourquoi...
« Comment ça ils se moquent de toi à l'école ??
- Ben ils disent que je suis une bâtarde parce que papa et toi vous êtes pas mariés...
- Hein ?? mais c'est quoi ces gosses ?
- C'est vrai j'suis bâtarde, maman...
- Mais non, pas du tout ma princesse. On disait ça au temps des rois quand le roi faisait des bébés à d'autres que la reine.
- Oui, mais la reine et le roi étaient mariés...
- Tu sais, ma chérie, avec papa c'est comme si on était mariés, on vit ensemble depuis un moment déjà, beaucoup de couples ont des enfants sans êtres mariés de nos jours...
- Peut-être, mais ils disent que d'abord quand on est de la branche héritière c'est pas pareil, et puis d'abord ils sont tous mariés en ville, maman... »
Elle du sentir quelque chose parce qu'elle revint à la charge.
« Papa et toi vous allez vous marier ?
- C'est pas vraiment dans nos plans...disons que maman a eu des problèmes la dernière fois qu'elle a voulu se marier...
Mais je vais en parler avec papa, on verra, d'accord ?
- Moui...
- Tu n'as pas l'air convaincue...
- Les autres...
- Laisse dire les autres. Tu n'es pas une bâtarde, ma Laëlia. On s'aime très fort, papa et moi, on t'a voulue, c'est aussi grâce à toi si je me suis rendue compte que j'aime ton père depuis bien des années... »
Je pris mon bébé dans mes bras.
« S'ils t'embêtent, dis-le moi, d'accord ?
- Oui, maman... tu sais, je les ai pas crus... »
Son air tristounet en arrivant avait dit le contraire pourtant...ma fille jouait les dures à cuire.
« N'aie pas honte de tes faiblesses, c'est en les acceptant qu'on devient plus fort... »
Elle soupira, son souffle me chatouillant l'oreille.
« Je les croyais...
- Et tu es plus forte parce que tu m'en as parlé et que plus jamais tu ne les croira, tu vois.
- Voui, maman. Et sinon, je pourrais avoir un petit frère ou une petite sœur ? »
Elle me planta là sans me laisser le temps de comprendre et monta jouer à la poupée à l'étage. Ça, ça sera sans doute négociable. Mais...
Ce que les enfants peuvent être méchants entre eux, parfois... heureusement qu'elle m'en a parlé...
Le souvenir de mon abandon devant l'arche par ''l'autre'' s'imposa à moi. Que faire ? Je serais incapable de refuser une fois de plus d'épouser Naël, je l'aime tellement...
Mais au fond de moi une petite voix me susurrait : « Et s'il fait comme son frère... ? »
Et cette petite voix, je ne parvenais pas à la faire taire...
Pour m'occuper, je partis en ville acheter quelques nouveaux meubles pour la chambre de Laëlia. « J'veux des tortues ! » avait été sa seule exigence.
Et sitôt la chambre meublée, elle partit à la sieste, ''parce qu'il faut bien tester, non ?''
Charlize m'offrait bien malgré elle un moyen de ne pas trop penser à ce que m'avait dit Laë.
« Eh ben, qu'est-ce qui t'arrive … ?
- J'ai un coup de blues, p'pa me manque, j'aurais bien aimé qu'il connaisse mon bébé...
- Mais faut pas te laisser abattre comme ça, on m'a dit que les bébés sentent nos émotions quand ils sont à l'intérieur de nous, c'est pas bon pour lui de te faire autant de mal...
- Mais qu'est-ce que je pourrais faire ?
- Ça fait combien de temps que tu n'as pas touché ta guitare ? » demandai-je alors.
Elle se jeta dans mes bras, autant que son ventre proéminent le lui permettait.
« Merci, Calinette, je sais pas ce que je ferais sans toi !
- De rien, grande sœur, et puis, si tu as un doute sur ta grossesse, demande-moi, ou à maman.
- C'est vrai que t'es passée par là avant moi », rit Charlize alors que Naël rentrait du boulot, très stressé.
-Naël-
Les filles se jetèrent un coup d'oeil complice avant de se tourner vers moi.
Sur le coup, je me demandai si ma journée n'allait pas encore empirer...
Mais non, fausse alerte.
Ça allait même grandement l'améliorer !
« Laëlia m'a demandé si c'était prévu qu'on lui fasse un petit frère ou une petite sœur...
- Mmh, intéressant...c'est la vue du ventre de tatie Charlize qui lui a donné l'idée ?
- Aucune idée...mais un deuxième bout'chou pourrait être bien.
- Tu sais, c'est pas moi qui vait me plaindre de la conception... » dus-je avouer.
On monta donc, le plan ''deuxième enfant'' entrant en vigueur de suite, bah oui, quand même, on allait pas repousser !
Au moment du grand saut, Cali fut prise d'un doute immense :
« Naël, souffla-t-elle.
- Oui mon ange ?
- Et si ça ne marchait pas ? Laëlia...on avait pas fait comme ça pour elle... »
Je tentais de la rassurer du mieux que je pouvais, et mon argument « depuis le temps qu'on s'entraîne ça devrait aller, tu ne crois pas ? » eut raison de ce vilain doute.
Et ma Cali se laissa aller dans mes bras.
tu nous laisses en plein suspense là, c'est pas gentil
sinon, encore un très bon chapitre dans la famille Bisounours ^^ (mais on l'aime bien cette famille )
Two things only a man cannot hide : that he is drunk and that he is in love.
P.S. : le CC c'est le mal ^^
Comment appelle-t-on un chien qui n'a pas de pattes ?
N'empêche que tu as tué Jules. Y'a intérêt à ce que Charlize ait une vie ultra méga heureuse, sinon ... *regard de tueuse* les accidents ça arrive vite.. *musique de mafia*
"J'aurais voulu vivre au pays des Bisounours pour toujours, mais ils m'ont virée quand j'ai fait mon premier commentaire sarcastique."
Je ne sais pas si c'est ma robe, ou mon ventre de femme enceinte qui faisait cet effet à mon Josh, mais il était tout coquin ce matin-là, alors que je me préparais un thé. Je me sentais presque rougir sous ses compliments.
J'étais au milieu du deuxième trimestre et bébé commençait à faire les loopings ou je sais pas quel genre d'acrobaties nauséeuses dans sa poche. Si je prenais rapidement le mal de mer et le chemin des toilettes, Josh trouvait bébé et ses mouvements ''trop mignons''.
C'est sûr, on voit pas les choses du même angle, mais quand je regarde mon homme, sa peau mate de caramel que j'adore, sa gueule d'amour, je me dis que je pourrais faire à cet homme autant d'enfants qu'il voudra de moi.
Oui, la grossesse bisounoursise aussi, mais quand même, j'étais prise des envies de grande famille.
Mais grand commence à deux enfants, donc peut-être que deux me suffiront... je vous dis ça après avoir largué le premier, si ça fait trop mal il sera enfant unique.
-Cali-
Négatif...
Une peur me pris soudain. Si je ne pouvais pas créer la vie de moi-même, sans hôpital ? Je me mis alors à pleurer. Tout ce que j'avais pensé avant d'en parler à Naël, les sorties au parc tous les quatre, jouer le monstre marin pour nos deux monstres à nous, tout cela n'existerait peut-être jamais.
Je pris un autre test, l'autre était peut-être défectueux...
Négatif...
Je pris sur moi pour ne pas crier, c'était peut-être un hasard...une simple coïncidence, il nous faudrait réessayer...
Mais je ne parvenais pas à croire ce que je pensais, j'avais seulement mal, mal au cœur.
Des coups furent frappés à la porte.
« Cali ? Ça va, mamour ? Ça fait une demi-heure que tu y es... ça donne quoi ? »
Naël...
« J'arrive » dis-je alors, la voix brisée.
Je déverrouillai la porte et je sortis.
« Calinette...
- Pas de bébé... » soufflai-je.
Il me prit par les épaules, rassurant.
« Ça va aller, on réessaiera, c'est que la première tentative, ça arrive, tu sais... »
Bizarrement, quand ça sortait d'entre ses lèvres à lui, j'y croyais.
« Laëlia... les gosses de l'école lui disent des choses méchantes parce qu'on est pas mariés, commençai-je.
Alors, je me demandais, si, par hasard, tu voudrais encore m'épouser », finis-je doucement.
De surprise, Naël resta bloqué, la bouche ouverte. « Euh... »
« Enfin, si tu veux pas c'est pas grave, hein, fis-je soudain, consciente du malaise qui approchait.
- C'est sûr, je vais refuser, depuis le temps que tu m'envoies sur les roses quand je tente une approche...
- Hein ? »
Il éclata de rire.
« Tu me connais donc si mal ? Murmura-t-il en glissant ses doigts sur ma joue. Je t'aime comme un fou, depuis tout ce temps, j'ai enduré tout ce que je pouvais, en silence, j'ai attendu que ton cœur guérisse de la bêtise de mon frère...
J'ai espéré que tu acceptes de m'épouser un jour, quand tu serais prête à porter à nouveau ta robe blanche, et toi, naïve et adorable tu crois que je pourrais, seulement oser te repousser alors qu'enfin tu souhaites devenir ma femme chérie... »
Mon cœur menaçait de me lâcher, déjà mes genoux chancelaient.
« Tu croyais que je résisterais à cette bouille d'amour ?
- Tu aurais pu, non ?
- Si j'avais fait ça, je n'aurais pas été moi-même alors. »
Mon cœur battait comme un fou, douce musique assourdissante, et mes jambes semblaient tout à coup n'être qu'en coton. Naël me pris à la taille, me soutenant avant de poser ses lèvres sur ma joue en un doux bisou.
« Oui, Cali Zoreï, je veux t'épouser, et chaque jour où tu me le demanderas je te répondrais ce ''oui''...
- Je t'aime, mon Naël...
- Ton Naël, bientôt je serais à toi pour toujours sur le papier aussi. »
Aussi...
Mon cœur fit un looping dans ma poitrine.
On décida de tenter de faire un bébé à chaque fois, sans faire de test pour ne pas stresser, et on verra quand il décidera de rester.
À deux heures du matin, et après avoir épuisé homme et matelas, je sortis me défouler en faisant un jogging. Ça vidait la tête, et ça m'épuiserait, normalement.
Je rentrais à la maison sereine et fatiguée, comme prévu.
Le lendemain matin, maman nous prépara de la crème glacée. J'ai beau être contre cet engin et les calories qu'il donne, c'est quand même super bon, une fois de temps en temps.
Si y'en avait une à qui le régime seulement à base de glace conviendrait c'était ma Laëlia. Ça allait me prendre des siècles pour rattraper le niveau de cuisine de ma mère... et c'est pas demain que je pourrais refaire cette glace à la pêche...
Je regardais ma fille dévorer sa part. Quand je l'observais, je revoyais des traits que j'avais quand j'avais son âge, mais je voyais aussi dans ses yeux cette gentillesse infinie qu'elle tenait de son père, cet air taquin qu'elle avait prit de Charlize, de mon père, du coup...
« J'ai de la glace sur le visage ?
- Non ma puce, je te regarde juste.
- Ah...
- Tu es très belle ma chérie... »
Elle rougit.
« Toi aussi maman. Je voudrais bien te voir avec les cheveux détachés un jour... »
Naël se réveilla et nous rejoignit en bas. Alors, je pris sur moi d'annoncer la nouvelle à Laëlia.
« Avec papa on a discuté, et on a décidé qu'on allait se marier.
- Tu n'as pas vraiment eu à me convaincre, chérie », rit doucement Naël.
S'il a fallu un temps à notre fille pour assimiler la nouvelle...
« C'est vrai ?!
- Oui. »
...Charlize avait l'air sur le point de tomber de sa chaise, et je pense que ça aurait été le cas si elle n'avait pas été retenue par la gravité supplémentaire donnée par son ventre.
Elle me jeta un regard complice du style « c'est pas trop tôt » avant de continuer de manger sa glace.
-Laëlia-
Je suis la petite fille la plus heureuse du monde ! Mon papa et ma maman vont se marier, mon cousin ou ma cousine va naître dans quelques mois. En attendant, maman joue avec moi.
J'ai aidé à préparer la chambre du bébé de tatie Charlize. Comme elle espère avoir deux bébés d'un coup, on a mit deux berceaux, et j'ai laissé Pinpin avec. Je pourrais toujours venir dans sa chambre pour jouer.
Mamie a changé des photos de place. Celle de son mariage avec papi Jules a une place à elle.
Le bouquet c'est toutes les roses que papi Jules lui a donné un jour. Elle les avait faites sécher pour les garder. Finalement, ça sert de garder des choses. Quand les gens sont plus là on se les rappelle après. Mamie a mis une bougie sur la petite table, c'est beau.
J'espère que Mamie Cassie elle meurt jamais, mais c'est 'goïste, dit maman, parce que Mamie elle veut retrouver vite papi Jules alors on a pas le droit de la retenir. Ça me rend triste. Je voudrait que mamie soit heureuse avec nous et qu'elle attende que je grandisse avant de partir.
Mais bon.
Mon papa c'est le meilleur. Il est grand et fort, et il est super câlin et gentil avec maman. Quand je serais grande, je voudrais un chéri grand, beau et fort, et surtout gentil comme mon papa que j'aime à la folie. Et aussi, je serais une aussi gentille maman que ma maman à moi, parce que les maris gentils, ça se mérite, je dis, moi.
J'ai vu tatie Charlize aller dans la cour, elle allait jouer de la guitare. Maman m'a dit, c'est papi Jules qui lui a acheté, parce que son papa à lui il en jouait et il chantait bien.
C'était pas facile avec son bidou avec le bébé, mais elle joue bien. Quand je serais grande moi aussi je jouerais DoudaDouda à la guitare.
Mamie est venue écouter, et aussi féliciter tatie. « Ton père a de quoi être fier » elle a dit, avec une larme à l'oeil. Tatie Charlize aussi a eu une petite larme.
* * *
C'est le week-end, alors on s'amuse dans la piscine. Maman a détaché ses cheveux. Ils ont drôlement poussé.
Elle est trop belle maman, c'est pas pour rien que papa est tout 'moureux d'elle. Mamie est contente, parce que maman va mieux, elle dit.
Je me rappelle pas avoir vu maman qui va pas bien, mais elle a dit c'était avant que j'arrive, alors c'est normal. Maman, quand elle allait pas bien, elle a coupé ses cheveux tout courts, comme sur les photos, et mamie dit que comme elle les coupe plus c'est qu'elle va bien. Et puis ils poussent super vite ses cheveux, apparemment c'est parce qu'on mange bien et bon. Ça je savais que c'était bon.
Tatie Charlize taquine maman « tu vas les laisser pousser jusqu'où ? » qu'elle demande. Et maman dit je sais pas, on verra. J'ai décidé de soutenir maman et me laisser pousser les cheveux aussi.
-Cali-
Mon neveu ou ma nièce arrivera bientôt, ''ou les deux'' dit Charlize. Ce serait possible, vu la circonférence, mais je ne me rappelle pas avoir été plus mince quand j'attendais Laëlia.
Naël m'a dit que ma mère avait du raconter à Laë les grandes lignes du ''pourquoi maman s'est coupé les cheveux'' parce qu'elle a décidé de se les laisser pousser elle aussi, pour me soutenir. J'ai trouvé ça adorable. J'espère seulement que ses cheveux ne la gêneront pas...
« Chérie, c'est hors sujet, mais tu pensais qu'on se marie quand ?
- Plutôt après la naissance du bébé de Lize, qu'elle puisse rentrer dans sa robe...
- Ça marche.»
Maman avait retrouvé la joie de vivre, et ça faisait plaisir à voir.
ben non, je veux la suite maintenant moi là ^^ après une première suite prévue demain déjà arrivé
je suis pas gentil franchement, très bonne suite. Cali a enfin craqué pour son Naël et sa petite fille
Two things only a man cannot hide : that he is drunk and that he is in love.
P.S. : le CC c'est le mal ^^
Comment appelle-t-on un chien qui n'a pas de pattes ?
Youpiiiii la suite !! Et pas qu'un peu en plus
C'était trop chou, mais je savais déjà une petite chose, vu que j'ai pas pu résister à l'appel du spoil sur la page des impressions d'écrans
Réponses
Allez, photo bonus parce qu'ils sont chou ^^
Origin ID : Sakura5192
Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Illidan & Tyrande
Découverte simple du jeu : La 4ème Dimension
@Pythonroux Ça va, laisse-moi copier/coller mes chapitres d'avance
-Charlize-
On arrivait dans la matinée, Calinette et son homme dormaient encore. Épuisés du trajet de nuit, maman et papa se recouchèrent aussitôt. Il fallait aussi dire qu'on avait perdu papa avant la cérémonie au temple, sans compter la honte qu'il m'avait fichue pendant l'échange des anneaux...
Josh n'osait pas entrer, cette maison, cette famille, cette ville, tout ici était nouveau pour lui et personne ne pouvait lui en vouloir d'avoir besoin d'un temps d'adaptation. C'est ainsi que je le trouvais les pieds dans la piscine.
Il avait l'air d'aller bien, détendu. Sauf que mon homme, celui que je surnommais dans mes pensées « mon caramel », était un dur à cuire. Jamais il n'aurait montré de trouble...bon, sauf le jour où j'ai débarqué à NewCrest, BeanLand, le pays ayant été renommé à l'époque d'or de la Grande Hélène Bean, ma...tante, du coup.
J'ôtais mes vêtements et m'installait à côté de lui. Il passa aussitôt un bras réconfortant autour de moi. Je scrutais ses yeux gris-vert pour savoir comment il allait.
« Charlie...je vais bien, arrête ça, d'ac ?
-Sûr ?
-Je suis près de toi, loin de tout Beanisator, pourquoi j'irais mal ?
-Le changement...je ne sais pas...
-Si le changement me faisait peur, jamais je n'aurais accepté de t'épouser, ni de vivre sous le toit de tes parents...
-C'est pas faux... »
Un nuage passa et le soleil frappa plus fort sur nous, nos alliances brillant sous sa lumière.
Mariée... un sursaut secoua mon ventre, les papillons habituels. Jamais je n'aurais pensé me marier un jour...
Jamais je n'aurais osé espérer revoir Josh un jour, aussi. Au fond de moi, je savais depuis enfant, le mariage de Kéno et Hélène, que personne d'autre n'aurait cette place réservée à Joshua Bean .
J'avais beau être une Zoreï, j'étais une demi-Bean, et je ne pouvais qu'en être fière. Je devais beaucoup à mon papa. À commencer par ma guitare...
Mais le Dieu Sim avait décidé de gâcher ma journée en m'enlevant mon précieux papa...
C'était sa deuxième vie qui s'achevait, la première ayant été brutalement achevée d'un coup de tramway, c'est de vieillesse qu'il s'était effondré devant maman. Son cri nous avait alertés, Cali à l'autre bout du lotissement, Naël dans la piscine...
Papa... Jules Bean , n'était plus.
Joshua le connaissait peu, mais il était l'un des premiers membres de la famille Bean, fils de William, le fondateur, et il était celui dont la mort infantile avait fait basculer toute la vie là-bas. C'est avec un grand respect qu'il assista à cette triste scène.
Les esprits de nos grands-parents n'étaient plus revenus depuis longtemps, et on disait que quand le fantôme ne revenait plus c'était qu'il avait trouvé le repos. Maman installa donc l'urne de papa sur ce modeste et morbide meuble... près de leur photo de mariage.
-Cassie-
Une partie de mon univers s'écroula à notre retour. Jules, fatigué du grand âge et de notre voyage dans sa famille, succomba d'une crise cardiaque. Je faisais ce que je pouvais pour me raisonner : notre voyage n'y était pour rien. Il était vieux, plus que moi, même si jusqu'ici nous tenions la forme.
Je n'avais plus goût à rien. Si Cali et Naël s'étaient bien occupés du jardin en notre absence, le départ – sans moi – de mon Jules le laissa en friche.
Cali m'avait parlé de sa rencontre avec Swann, et ce que cela impliquait : le mariage apparemment prochain de notre Miss « Gothik » avec le fils Plénozas-Gothik, Edouard Junior, et la ''prise en main'' de la ville par notre branche de la famille. Je m'étais longtemps voilé la face, mais depuis le refus de Sarah Gothik j'aurais du prendre cette place que ma petite fille allait endosser.
Je me montrais forte pour elle, et Charlize. Voulant laisser une image positive dans les esprits, je troquais mon habituel chemisier sans manches pour une tenue plus solennelle, plus en accord avec mon état de deuil, et le rang que notre famille avait prit.
J'étais effondrée, rien ne semblait pouvoir me rendre la joie de vivre.
Lizou se réfugia dans la musique, composant une magnifique ''Ôde à mon père'' qui aurait fait pleurer une pierre. Son effet sur moi était dévastateur, mais j'appréciais ce bel hommage qu'elle lui faisait.
Une fois l'annonce publique de la mort de mon mari faite, j'envoyais un mail à Kéno : « Nous sommes bien rentrés, mais je suis au regret de vous apprendre que Jules est décédé. »
Des mots qui me semblaient bien creux... « décédé » tout le monde décédait. Lui...
Avait emporté mon cœur, son sourire, ma joie, avec lui, de l'autre côté.
Ce qui rendait son départ encore plus dur... c'était que le sourire de ma Charlize s'était envolé lui aussi.
Elle me soutenait du mieux qu'elle pouvait, malgré tout, écoutant sa vieille maman que j'étais partager son chagrin, compatissante, présente.
À cet instant je regrettais encore plus de n'avoir pas été plus présente pendant leur enfance, de ne pas avoir été l'oreille attentive à l'adolescence... Mes filles s'étaient construites seules, j'étais fière d'elles, et bien peu de moi.
-Cali-
Le retour des parents et de Charlize... n'avait pas vraiment été ce à quoi Naël et moi nous nous attendions.
Un vent de tristesse avait soufflé sur la maison au départ de papa, et pas grand chose ne pouvait arriver à nous rendre le sourire.
Maman aurait prié Sakura pour qu'elle l'emmure dans la piscine, et Charlize semblait de plus en plus malade, ce qui commençait à tous nous inquiéter, elle qui avait toujours eu une santé de fer.
« Pardonne-moi, Cali...
- Te pardonner quoi, maman ?
- Ces responsabilités...mon absence quand vous étiez petites...
- Maman...personne ne t'en veut. C'est aussi grâce à toi si on a plus de 200 mille simflouzes à Sim-Bank, si on peut vivre si aisément, si on a pu construire un sous-sol, si la ville a un spa... Tu n'as jamais ''pris tes fonctions'' d'héritière en ville, mais ils considéraient déjà tous que tu l'étais. Je suis fière d'être ta fille, de reprendre ton flambeau... »
Ce que je n'avais pas prévu, c'était qu'elle pleure encore plus après ma tirade.
« J'ai...dit quelque chose de travers ? demandai-je à Naël.
- Non, Calinette, seulement ce qu'elle avait besoin d'entendre. »
On la retrouva dans le jardin, ce qui aurait pu être un bon signe si elle n'avait pas arrosé les plantes de ses larmes.
-Cassie-
Ce que ma Cali m'avait dit m'avait touché au-delà des mots, au-delà de tout. Si la tristesse était encore là, l'émotion de savoir ce que mon enfant pensait avait pris le dessus. Après avoir pleuré mon saoul, je rentrais dans la maison.
Je me trouvais alors nez-à-nez avec une adorable blondinette souriante avec un pull décoré d'une tortue.
La ressemblance avec sa mère au même âge était telle que jamais je n'aurais pu douter de l'identité de cette petite fille.
« Ça va ? Me demanda-t-elle.
- Oui, ça me fait plaisir de te voir.
- Tu m'as reconnue... »
Son sourire s'élargit.
Je posais péniblement le genou à terre pour prendre ma petite-fille dans mes bras.
« Evidement, ma petite Laëlia, joyeux anniversaire, ma puce...
- Merci mamie. Souris toi aussi... »
Oui, j'allais sourire à nouveau. Cette enfant était un soleil qui perçait entre les nuages. Si sa présence ne me rendait pas mon cœur arraché par la mort, il le soignait d'une bien belle façon.
« Je suis là, mamie. Je sais que Papi Jules est toujours là. »
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J'espère que vous n'aurez pas eu de problèmes d'affichage, les images sont un poil plus lourdes comme elles sont retouchées
Les autres (la suite donc) arrivera rapidement
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Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Illidan & Tyrande
Juuuules ! Tu as tué Jules ! Après tout ce que j'ai fait pour le ramener, le voyage dans le passé, le duel au soleil, je l'ai élevé, je l'ai aimé, mon Jules est mooooort !
Je t'envoie mes sims et voilà comment tu me remercies, en tuant mon Jules ? Rends moi Joshua, tu vas surement le massacrer aussi !
Nooooon... T'avais pas le droit de nous faire ça ! Il était déjà mort une fois, et toi tu le retue, c'est hyper cruel ! Je m'en remettrais jamais ! T'es rien qu'une.. une .. une BEAN ! Voilà ! Bouhooooouhouuuu ! Juuules...
Hommage à ce pauvre petit, assassiné cruellement par Sakura dans la fleur de l'âge..
@Sakura5192 : j'ai faillit attendre quand même La petite Laëlia est magnifique.
Toutes mes condoléances à toutes les deux pour la perte de Jules. Il nous manquera.
Il a bien vécu, et tu as bien vu qu'il était à côté de ses pompes au mariage ... j'euthanasie quoi ? Je l'ai tué avant la sortie de ton chapitre, j'vois pas le rapport...
Il est mouru de "vieillesse" et pas de "tramway-dans-sa-face-de-petit-enfant" na
@Pythonroux Ben figure-toi que j'ai eu ta notif pour la demande express de chapitre quand je commençais à copier/coller (d'ailleurs : Est-ce qu'il y a une différence d'écriture ? Parce que cette fois j'ai tapé sur Word avant, donc c'est plus réfléchi normalement ^^)
Origin ID : Sakura5192
Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Illidan & Tyrande
-Cali-
Depuis l'anniversaire de Laëlia, c'est fiesta tous les jours, et Naël la soutient autant qu'il peut.
J'avoue que de bon matin, voir mon homme se trémousser torse nu donnait des idées assez sympa, mais surtout, m'empêchait de manger.
Comme on pouvait s'y attendre, ce n'est pas en une nuit que la tristesse de maman allait s'évaporer, mais elle nous a demandé de ne pas nous inquiéter de son état, que ça finirait par s'arranger.
Le pire, c'est que Charlize et Joshua commençaient à culpabiliser.
« Mais si on avait fait le mariage ici, papa ne serait peut-être pas mort...
- Ne dis pas n'importe quoi, Lize, marmonna maman. Il avait aussi accumulé beaucoup de stress avant de prendre sa retraite. Travailler dans les affaires en sachant que les Plénozas sont les PDG n'a pas du aider. Tu n'es pas responsable. Je pense que ce petit voyage lui a fait du bien, on aurait seulement du le faire plus tôt... »
-Charlize-
Maman avait sans doute raison, mais la voir dans cet était me faisait autant que peine que la mort de papa elle-même. Après le petit-déjeuner, je la pris à part.
« Maman, je sais que c'est dur, je le sais puisque je serais dans un état bien plus lamentable que le tien si Josh venait à disparaître, mais tu dois relever la tête, papa n'aurait jamais voulu ça, il savait déjà à quel point tu l'aimais...
...souviens-toi de ce que vous avez traversé ensemble, ce que vous avez fait. Cali et moi on est là, on a toujours besoin de toi, Laë aussi, alors essaie d'enlever cette expression du genre ''je vais m'emmurer dans la piscine'' de ton visage, d'accord ? Si tu le fais pas pour nous, fait-le pour papa. Jamais tu n'aurais voulu qu'il souffre comme tu te fais souffrir, pas vrai ? »
- Qu'est-ce que je ne serais pas sans vous, mes chéries ! » s'exclama maman avant de me serrer dans ses bras.
« Votre père aussi à de quoi être fier de vous ».
Merci, m'man.
-Cali-
Charlize s'est mise du jour au lendemain à composer une chanson toute joyeuse. Surprise, je suis montée l'écouter. Et là...
J'ai commencé à faire un lien dans ma tête : ce petit ventre qui poussait, les nausées de plus en plus fréquentes, la fatigue...
« Lizou, je crois que t'es enceinte. »
Elle planta un accord sur le clavier avant de se lever.
« Meuh nan, j'ai abusé du gâteau dans la famille , c'est tout, c'est comme ça les mariages... et puis c'est pas sympa comme façon de m'dire que j'ai grossi, Calinette », me taquina-t-elle.
Je lui tendis un test. « Fais-le, on verra qui a raison.
- T'es bornée, toi !
- Non, mais attends, c'est l'hôpital qui se fiche de la charité, là !
- Rooh, j'y vais, pisser sur ton bidule ! »
Elle disparu un moment aux WC et ressortit avec cette tête reconnaissable.
« Purée, Calinette, t'avais raison, j'suis enceinte !
- Combien de mois te dis le test ?
- Déjà entre trois et quatre apparement, sauf si ton truc bug...
- T'as crac-craqué chez Josh ???
- Je sais plus moi, t'es marrante, p'tetre ouais, sans doute, il serait pas là le bébé sinon. »
On a donc eu droit à un changement de look de la part de Lize, un truc moins...'fin, plus maman quoi. Par contre c'est pas demain la veille qu'on lui enlèvera sa casquette, ou ses santiags qu'elle avait reçues de la ''Grande Hélène Bean'' le jour de son mariage.
L'été était perpétuel ici, mais le soleil tapait fort quand Laëlia rentra de l'école ce jour-là.
Mon petit bébé avait le moral dans les chaussettes et je n'allais pas tarder à savoir pourquoi...
« Comment ça ils se moquent de toi à l'école ??
- Ben ils disent que je suis une bâtarde parce que papa et toi vous êtes pas mariés...
- Hein ?? mais c'est quoi ces gosses ?
- C'est vrai j'suis bâtarde, maman...
- Mais non, pas du tout ma princesse. On disait ça au temps des rois quand le roi faisait des bébés à d'autres que la reine.
- Oui, mais la reine et le roi étaient mariés...
- Tu sais, ma chérie, avec papa c'est comme si on était mariés, on vit ensemble depuis un moment déjà, beaucoup de couples ont des enfants sans êtres mariés de nos jours...
- Peut-être, mais ils disent que d'abord quand on est de la branche héritière c'est pas pareil, et puis d'abord ils sont tous mariés en ville, maman... »
Elle du sentir quelque chose parce qu'elle revint à la charge.
« Papa et toi vous allez vous marier ?
- C'est pas vraiment dans nos plans...disons que maman a eu des problèmes la dernière fois qu'elle a voulu se marier...
Mais je vais en parler avec papa, on verra, d'accord ?
- Moui...
- Tu n'as pas l'air convaincue...
- Les autres...
- Laisse dire les autres. Tu n'es pas une bâtarde, ma Laëlia. On s'aime très fort, papa et moi, on t'a voulue, c'est aussi grâce à toi si je me suis rendue compte que j'aime ton père depuis bien des années... »
Je pris mon bébé dans mes bras.
« S'ils t'embêtent, dis-le moi, d'accord ?
- Oui, maman... tu sais, je les ai pas crus... »
Son air tristounet en arrivant avait dit le contraire pourtant...ma fille jouait les dures à cuire.
« N'aie pas honte de tes faiblesses, c'est en les acceptant qu'on devient plus fort... »
Elle soupira, son souffle me chatouillant l'oreille.
« Je les croyais...
- Et tu es plus forte parce que tu m'en as parlé et que plus jamais tu ne les croira, tu vois.
- Voui, maman. Et sinon, je pourrais avoir un petit frère ou une petite sœur ? »
Elle me planta là sans me laisser le temps de comprendre et monta jouer à la poupée à l'étage. Ça, ça sera sans doute négociable. Mais...
Ce que les enfants peuvent être méchants entre eux, parfois... heureusement qu'elle m'en a parlé...
Le souvenir de mon abandon devant l'arche par ''l'autre'' s'imposa à moi. Que faire ? Je serais incapable de refuser une fois de plus d'épouser Naël, je l'aime tellement...
Mais au fond de moi une petite voix me susurrait : « Et s'il fait comme son frère... ? »
Et cette petite voix, je ne parvenais pas à la faire taire...
Pour m'occuper, je partis en ville acheter quelques nouveaux meubles pour la chambre de Laëlia. « J'veux des tortues ! » avait été sa seule exigence.
Et sitôt la chambre meublée, elle partit à la sieste, ''parce qu'il faut bien tester, non ?''
Charlize m'offrait bien malgré elle un moyen de ne pas trop penser à ce que m'avait dit Laë.
« Eh ben, qu'est-ce qui t'arrive … ?
- J'ai un coup de blues, p'pa me manque, j'aurais bien aimé qu'il connaisse mon bébé...
- Mais faut pas te laisser abattre comme ça, on m'a dit que les bébés sentent nos émotions quand ils sont à l'intérieur de nous, c'est pas bon pour lui de te faire autant de mal...
- Mais qu'est-ce que je pourrais faire ?
- Ça fait combien de temps que tu n'as pas touché ta guitare ? » demandai-je alors.
Elle se jeta dans mes bras, autant que son ventre proéminent le lui permettait.
« Merci, Calinette, je sais pas ce que je ferais sans toi !
- De rien, grande sœur, et puis, si tu as un doute sur ta grossesse, demande-moi, ou à maman.
- C'est vrai que t'es passée par là avant moi », rit Charlize alors que Naël rentrait du boulot, très stressé.
-Naël-
Les filles se jetèrent un coup d'oeil complice avant de se tourner vers moi.
Sur le coup, je me demandai si ma journée n'allait pas encore empirer...
Mais non, fausse alerte.
Ça allait même grandement l'améliorer !
« Laëlia m'a demandé si c'était prévu qu'on lui fasse un petit frère ou une petite sœur...
- Mmh, intéressant...c'est la vue du ventre de tatie Charlize qui lui a donné l'idée ?
- Aucune idée...mais un deuxième bout'chou pourrait être bien.
- Tu sais, c'est pas moi qui vait me plaindre de la conception... » dus-je avouer.
On monta donc, le plan ''deuxième enfant'' entrant en vigueur de suite, bah oui, quand même, on allait pas repousser !
Au moment du grand saut, Cali fut prise d'un doute immense :
« Naël, souffla-t-elle.
- Oui mon ange ?
- Et si ça ne marchait pas ? Laëlia...on avait pas fait comme ça pour elle... »
Je tentais de la rassurer du mieux que je pouvais, et mon argument « depuis le temps qu'on s'entraîne ça devrait aller, tu ne crois pas ? » eut raison de ce vilain doute.
Et ma Cali se laissa aller dans mes bras.
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La suite arrive
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Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Illidan & Tyrande
sinon, encore un très bon chapitre dans la famille Bisounours ^^ (mais on l'aime bien cette famille )
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Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Illidan & Tyrande
-Charlize-
Je ne sais pas si c'est ma robe, ou mon ventre de femme enceinte qui faisait cet effet à mon Josh, mais il était tout coquin ce matin-là, alors que je me préparais un thé. Je me sentais presque rougir sous ses compliments.
J'étais au milieu du deuxième trimestre et bébé commençait à faire les loopings ou je sais pas quel genre d'acrobaties nauséeuses dans sa poche. Si je prenais rapidement le mal de mer et le chemin des toilettes, Josh trouvait bébé et ses mouvements ''trop mignons''.
C'est sûr, on voit pas les choses du même angle, mais quand je regarde mon homme, sa peau mate de caramel que j'adore, sa gueule d'amour, je me dis que je pourrais faire à cet homme autant d'enfants qu'il voudra de moi.
Oui, la grossesse bisounoursise aussi, mais quand même, j'étais prise des envies de grande famille.
Mais grand commence à deux enfants, donc peut-être que deux me suffiront... je vous dis ça après avoir largué le premier, si ça fait trop mal il sera enfant unique.
-Cali-
Négatif...
Une peur me pris soudain. Si je ne pouvais pas créer la vie de moi-même, sans hôpital ? Je me mis alors à pleurer. Tout ce que j'avais pensé avant d'en parler à Naël, les sorties au parc tous les quatre, jouer le monstre marin pour nos deux monstres à nous, tout cela n'existerait peut-être jamais.
Je pris un autre test, l'autre était peut-être défectueux...
Négatif...
Je pris sur moi pour ne pas crier, c'était peut-être un hasard...une simple coïncidence, il nous faudrait réessayer...
Mais je ne parvenais pas à croire ce que je pensais, j'avais seulement mal, mal au cœur.
Des coups furent frappés à la porte.
« Cali ? Ça va, mamour ? Ça fait une demi-heure que tu y es... ça donne quoi ? »
Naël...
« J'arrive » dis-je alors, la voix brisée.
Je déverrouillai la porte et je sortis.
« Calinette...
- Pas de bébé... » soufflai-je.
Il me prit par les épaules, rassurant.
« Ça va aller, on réessaiera, c'est que la première tentative, ça arrive, tu sais... »
Bizarrement, quand ça sortait d'entre ses lèvres à lui, j'y croyais.
« Laëlia... les gosses de l'école lui disent des choses méchantes parce qu'on est pas mariés, commençai-je.
Alors, je me demandais, si, par hasard, tu voudrais encore m'épouser », finis-je doucement.
De surprise, Naël resta bloqué, la bouche ouverte. « Euh... »
« Enfin, si tu veux pas c'est pas grave, hein, fis-je soudain, consciente du malaise qui approchait.
- C'est sûr, je vais refuser, depuis le temps que tu m'envoies sur les roses quand je tente une approche...
- Hein ? »
Il éclata de rire.
« Tu me connais donc si mal ? Murmura-t-il en glissant ses doigts sur ma joue. Je t'aime comme un fou, depuis tout ce temps, j'ai enduré tout ce que je pouvais, en silence, j'ai attendu que ton cœur guérisse de la bêtise de mon frère...
J'ai espéré que tu acceptes de m'épouser un jour, quand tu serais prête à porter à nouveau ta robe blanche, et toi, naïve et adorable tu crois que je pourrais, seulement oser te repousser alors qu'enfin tu souhaites devenir ma femme chérie... »
Mon cœur menaçait de me lâcher, déjà mes genoux chancelaient.
« Tu croyais que je résisterais à cette bouille d'amour ?
- Tu aurais pu, non ?
- Si j'avais fait ça, je n'aurais pas été moi-même alors. »
Mon cœur battait comme un fou, douce musique assourdissante, et mes jambes semblaient tout à coup n'être qu'en coton. Naël me pris à la taille, me soutenant avant de poser ses lèvres sur ma joue en un doux bisou.
« Oui, Cali Zoreï, je veux t'épouser, et chaque jour où tu me le demanderas je te répondrais ce ''oui''...
- Je t'aime, mon Naël...
- Ton Naël, bientôt je serais à toi pour toujours sur le papier aussi. »
Aussi...
Mon cœur fit un looping dans ma poitrine.
On décida de tenter de faire un bébé à chaque fois, sans faire de test pour ne pas stresser, et on verra quand il décidera de rester.
À deux heures du matin, et après avoir épuisé homme et matelas, je sortis me défouler en faisant un jogging. Ça vidait la tête, et ça m'épuiserait, normalement.
Je rentrais à la maison sereine et fatiguée, comme prévu.
Le lendemain matin, maman nous prépara de la crème glacée. J'ai beau être contre cet engin et les calories qu'il donne, c'est quand même super bon, une fois de temps en temps.
Si y'en avait une à qui le régime seulement à base de glace conviendrait c'était ma Laëlia. Ça allait me prendre des siècles pour rattraper le niveau de cuisine de ma mère... et c'est pas demain que je pourrais refaire cette glace à la pêche...
Je regardais ma fille dévorer sa part. Quand je l'observais, je revoyais des traits que j'avais quand j'avais son âge, mais je voyais aussi dans ses yeux cette gentillesse infinie qu'elle tenait de son père, cet air taquin qu'elle avait prit de Charlize, de mon père, du coup...
« J'ai de la glace sur le visage ?
- Non ma puce, je te regarde juste.
- Ah...
- Tu es très belle ma chérie... »
Elle rougit.
« Toi aussi maman. Je voudrais bien te voir avec les cheveux détachés un jour... »
Naël se réveilla et nous rejoignit en bas. Alors, je pris sur moi d'annoncer la nouvelle à Laëlia.
« Avec papa on a discuté, et on a décidé qu'on allait se marier.
- Tu n'as pas vraiment eu à me convaincre, chérie », rit doucement Naël.
S'il a fallu un temps à notre fille pour assimiler la nouvelle...
« C'est vrai ?!
- Oui. »
...Charlize avait l'air sur le point de tomber de sa chaise, et je pense que ça aurait été le cas si elle n'avait pas été retenue par la gravité supplémentaire donnée par son ventre.
Elle me jeta un regard complice du style « c'est pas trop tôt » avant de continuer de manger sa glace.
-Laëlia-
Je suis la petite fille la plus heureuse du monde ! Mon papa et ma maman vont se marier, mon cousin ou ma cousine va naître dans quelques mois. En attendant, maman joue avec moi.
J'ai aidé à préparer la chambre du bébé de tatie Charlize. Comme elle espère avoir deux bébés d'un coup, on a mit deux berceaux, et j'ai laissé Pinpin avec. Je pourrais toujours venir dans sa chambre pour jouer.
Mamie a changé des photos de place. Celle de son mariage avec papi Jules a une place à elle.
Le bouquet c'est toutes les roses que papi Jules lui a donné un jour. Elle les avait faites sécher pour les garder. Finalement, ça sert de garder des choses. Quand les gens sont plus là on se les rappelle après. Mamie a mis une bougie sur la petite table, c'est beau.
J'espère que Mamie Cassie elle meurt jamais, mais c'est 'goïste, dit maman, parce que Mamie elle veut retrouver vite papi Jules alors on a pas le droit de la retenir. Ça me rend triste. Je voudrait que mamie soit heureuse avec nous et qu'elle attende que je grandisse avant de partir.
Mais bon.
Mon papa c'est le meilleur. Il est grand et fort, et il est super câlin et gentil avec maman. Quand je serais grande, je voudrais un chéri grand, beau et fort, et surtout gentil comme mon papa que j'aime à la folie. Et aussi, je serais une aussi gentille maman que ma maman à moi, parce que les maris gentils, ça se mérite, je dis, moi.
J'ai vu tatie Charlize aller dans la cour, elle allait jouer de la guitare. Maman m'a dit, c'est papi Jules qui lui a acheté, parce que son papa à lui il en jouait et il chantait bien.
C'était pas facile avec son bidou avec le bébé, mais elle joue bien. Quand je serais grande moi aussi je jouerais DoudaDouda à la guitare.
Mamie est venue écouter, et aussi féliciter tatie. « Ton père a de quoi être fier » elle a dit, avec une larme à l'oeil. Tatie Charlize aussi a eu une petite larme.
C'est le week-end, alors on s'amuse dans la piscine. Maman a détaché ses cheveux. Ils ont drôlement poussé.
Elle est trop belle maman, c'est pas pour rien que papa est tout 'moureux d'elle. Mamie est contente, parce que maman va mieux, elle dit.
Je me rappelle pas avoir vu maman qui va pas bien, mais elle a dit c'était avant que j'arrive, alors c'est normal. Maman, quand elle allait pas bien, elle a coupé ses cheveux tout courts, comme sur les photos, et mamie dit que comme elle les coupe plus c'est qu'elle va bien. Et puis ils poussent super vite ses cheveux, apparemment c'est parce qu'on mange bien et bon. Ça je savais que c'était bon.
Tatie Charlize taquine maman « tu vas les laisser pousser jusqu'où ? » qu'elle demande. Et maman dit je sais pas, on verra. J'ai décidé de soutenir maman et me laisser pousser les cheveux aussi.
-Cali-
Mon neveu ou ma nièce arrivera bientôt, ''ou les deux'' dit Charlize. Ce serait possible, vu la circonférence, mais je ne me rappelle pas avoir été plus mince quand j'attendais Laëlia.
Naël m'a dit que ma mère avait du raconter à Laë les grandes lignes du ''pourquoi maman s'est coupé les cheveux'' parce qu'elle a décidé de se les laisser pousser elle aussi, pour me soutenir. J'ai trouvé ça adorable. J'espère seulement que ses cheveux ne la gêneront pas...
« Chérie, c'est hors sujet, mais tu pensais qu'on se marie quand ?
- Plutôt après la naissance du bébé de Lize, qu'elle puisse rentrer dans sa robe...
- Ça marche.»
Maman avait retrouvé la joie de vivre, et ça faisait plaisir à voir.
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suite demain (pour de vrai )
Origin ID : Sakura5192
Le Blog màj Illidan-Maiev le 02/01/17.
Illidan & Tyrande
je suis pas gentil franchement, très bonne suite. Cali a enfin craqué pour son Naël et sa petite fille
Origin ID : Sakura5192
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Illidan & Tyrande
C'était trop chou, mais je savais déjà une petite chose, vu que j'ai pas pu résister à l'appel du spoil sur la page des impressions d'écrans
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