Ohlalala Macha se retrouve dans une situation un peu délicate la pauvre. M'enfin, c'est la génération qui veut ça ^^ en tout cas encore une super MàJ ! tu nous blindes effectivement, c'est génial
J'adore ton histoire! C'est très bien raconté, un vrai plaisir à lire
Pauvre Macha qui se retrouve dans une situation bien difficile, je me demande comment elle va se sortir de là
Merci à tous pour vos commentaires qui me font vraiment plaisir ! Je me suis bien attachée à Macha et son entourage et c'est un plaisir de voir que ce que je partage ici vous plaît.
Effectivement, Macha est dans de beaux draps ! Heureusement pour elle, je pense qu'elle va vite redescendre sur terre et faire de meilleurs choix. Dans ce chapitre, Macha va oublier ses interrogations amoureuses et se préparer à passer à quelque chose de plus sérieux...
Page 06 : Comme Simile Zola
Cher journal,
lorsque j'ai commencé à t'écrire, j'ai demandé s'il était déjà arrivé à quelqu'un d'avoir l'impression que ses rêves étaient irréalisables.
Une part de moi a toujours su que j'étais destinée à de grandes choses. Qu'un jour, je ferai entendre ma voix au dessus du sim-monde. Il y a tellement de causes à défendre, de combats à mener... ! Alors voilà, j'ai décidé de devenir une militante. Je veux défendre les pauvres et opprimés, comme Simile Zola !
Bon. Le truc, c'est que je ne sais pas trop comment faire. C'est qu'au lycée, on ne nous apprend pas à devenir un défenseur des droits des sims... alors j'ai regardé sur simpédia ce que faisaient les gens pour faire entendre leur voix, et j'ai décidé que le meilleur moyen de débuter était de manifester. Et comme j'avais pas mal le trac, j'ai eu envie de m’entraîner à la maison.
Maman a été géniale et elle m'a tout de suite rejoint pour m’encourager. Elle trouve ça très bien que je me lance dans une cause qui me tient à coeur. C'est donc ainsi que j'ai mené ma première manifestation, avec succès ; et franchement, je trouve ça super cool de manifester ! Si c'est ça la vie politique, je crois que j'ai fais le bon choix.
Papa est un peu mitigé. Déjà parce qu'on l'empêche de travailler comme il faut avec tout notre boucan, et aussi car il pense que la politique doit être plus que ça, qu'il faut se battre pour quelque chose de vraiment important à nos yeux et pas se battre pour se battre. Il pense que c'est une lubie et que ça va me passer : mais deux secondes, je vais la trouver ma cause à défendre !
Pour être franche, je crois surtout qu'il a été surpris de voir une manifestation dans son salon et que ça l'a mis de mauvais poil. Ce qu'ils sont fermés d'esprit, les vieux...
Mis à part mes grands projets, la vie suis son cours. Maman travaille beaucoup et on a un train de vie confortable, la vie est tout compte fait assez simple. Même mes aventures amoureuses ne me semblent plus si incroyables que ça :
Je vois toujours Shingo assez souvent et Clément m'envoie toujours un certain nombre de messages, mais j'ai perdu cette impression de mener une double vie et le sentiment de culpabilité qui allait avec. Je n'ai pas revu Clément depuis plusieurs mois et j'ai déjà franchement songé à mettre fin à cette pseudo relation... seulement voilà, à chaque fois que j'y pense, je me sens vraiment mal pour lui. Et puis j'ai vraiment peur de me tromper : et si je faisais ma vie avec Shingo et que je me rendais compte trop tard que c'est Clément que j'aime ? Ou inversement ?
J'en ai parlé à maman, un jour, et elle m'a affirmé que lorsqu'on aime vraiment quelqu'un, on en est certain. Mais si je n'aime ni Clément ni Shingo, qu'est-ce que je ressens pour eux ? Et qu'est-ce que l'amour ?
Dès que je commence à me poser un peu trop de questions, j'essaie de m'occuper l'esprit. Je crois que tout ça me fait franchement flipper. Quelque part, j'espère franchement que l'un d'eux décidera de mettre fin à notre relation. Enfin... je crois.
D'après simpédia, après les manifs, il faut taguer ! J'ai donc fait un petit stock de bombes de peinture et je me suis attaquée au garage de la maison, avec les encouragements de maman et les grognements de papa.
Le truc bizarre, c'est que Lolita a eu envie de m'aider : on a jamais été très proches quand on était enfants, alors ça m'a étonnée... peut-être qu'elle a eu envie de renouer les liens ? En tout cas, même si ça m'arrache les doigts de l'écrire, on a passé un moment plutôt agréable.
Page 07 : Le collègue de maman. ♥
Journal, il me semble que la semaine dernière, je te disais que je passais d'agréables semaines.
Et bien la donne à changé.
Premièrement, il y a eu un fauteur de trouble : Clément, qui m'a envoyé le lien d'une annonce d'appartement à louer à San Myshuno - avec un petit mot "Pour kon ne soi plus jamais si loin l'ain 2 l'autre".
Arf, je crois qu'il a définitivement rompu le charme. J'ai à peine dix-huit ans, pourquoi est-ce je voudrais déjà vivre en ménage ? Passer ma vie à faire la vaisselle et à manger ? Et puis quoi encore, avoir des enfants ?
Ce qui m'a mis le plus en rogne, c'est qu'il avait vraiment l'air sincère. J'ai été vraiment lâche, mais impossible de lui dire le fond de ma pensé : j'avais pas envie de lui faire plus de mal...
Et c'est là qu'est arrivé LE truc le plus dingue de ma vie : je suis descendue à la cuisine, avec la ferme intention de demander conseil à ma mère. En descendant les escaliers, j'ai bien entendu qu'elle parlait avec quelqu'un - et que ça voix ne me disait trop rien.
Quand je suis entrée dans la pièce, j'ai été choquée.
Tellement choquée que je n'ai rien dit, jusqu'à ce que maman ne dise un truc comme "Tiens, chérie, je te présente un collègue du labo."
Woh, maman, elle bosse avec des mecs vachement canons - c'est ce que je me suis dis. Dans les faits, j'ai répondu quelque chose qui ressemblait à : "A-ah, ouais, euh, salut, moi c'est Macha, ça vient du diminutif russe de Maria, mais ça s'écrit pas avec un s, c'est en anglais qu'on écrit avec un s."... et je me suis sentie vraiment bête, parce qu'il devait s'en ficher royalement.
Moi qui était tellement charismatique et qui parlait si bien, j'ai été franchement étonnée de réagir comme ça.
Le plus déroutant - après son visage - c'est qu'il n'a même pas eu l'air de me trouver bizarre et qu'il m'a saluée d'une façon super polie. Il s'est révélé assez bavard mais surtout vachement intéressant, si bien que j'ai vite oublié ma gêne et qu'on a parlé un peu de tout : de sa récente arrivée en ville, de ce qu'il faisait au laboratoire... le pire, c'est que j'ai trouvé ça super intéressant - alors que c'est totalement barbant quand c'est maman qui en parle.
Maman, d'ailleurs, m'a lancé plusieurs petits regards de maman. Tu sais, ce regard de maman, qui te dit "Ihihih, ma fille, je sais à quoi tu penses quand tu regardes ce garçon comme tu le regardes..."
J'ai ignoré son regard de mon mieux et j'ai poursuivit ma discussion avec son beau collègue, Néo.
Néo, franchement, si c'est pas bizarre comme nom... et ça lui va tellement bien ! Il m'a dit que ça venait d'un pays vachement loin que personne ne connaît. Exotique, le beau blond...
Je m'égare !
Finalement, maman est partie sans même qu'on le remarque.
Bon. Tu trouves peut-être que je parle un peu trop de Néo. C'est vrai que je lui ai accordé un certain nombre de lignes... mais tu comprends, c'est qu'il a quand même passé la soirée avec nous ! Et puis il n'a pas arrêté de me regarder, avec ses yeux envoûtants...
Je m'égare encore.
Il a fini par rester manger avec nous et j'avoue qu'on a vraiment passé un super repas. Néo est très cultivé et il parle de tout, aussi bien du labo de maman, de la politique que de la carrière d'humoriste de papa. En clair, il n'a pas plus qu'à moi. Enfin, je veux dire, je ne suis pas la seule à l'avoir trouvé sympathique... il est tellement drôle, on dirait presque qu'il a une aura d'amusement autour de lui !
Maman m'a encore regardé avec ce regard.
J'ai fini par aller me coucher sans penser un seul instant aux messages que Shingo et Clément avait dû m'envoyer dans la journée, délaissant mon téléphone pour des rêves plus beaux...
Je viens de découvrir ton histoire et mama mia j'adore ! Macha est si attachante, tu l'a rend très réaliste!
J'aime beaucoup ta façon d'écrire, et tes screens sont super ! Un favori en plus
Ahah l'amour rend un peu niais @lalia181211 !
Eh bien ça prouve au moins que c'est le grand amour @Luluswan... reste à voir comment elle va se dépatouiller de ses amours d'adolescence.
Merci @MmePoivre ! J'aime bien Néo moi aussi, c'est un chouette personnage, charmant et doux.
Et oui@KlOohma il faut bien réaliser cette fichue aspiration... mais je pense que les choses vont être différentes avec Néo.
Merci @SimsStoryFanatic ! Je suis contente de voir que tu t'attaches à Macha, c'est pas toujours facile de composer avec les exigences de la G2 mais c'est un personnage que j'aime beaucoup moi aussi.
Page 08 : Il s'appelle Néo
Journal,
une petite semaine est passée depuis la dernière fois que j'ai écrit et ma rencontre avec Néo.
Je crois que j'ai vraiment sous-estimé l'importance de cette rencontre. Est-ce que c'est le coup de foudre ? Le coeur qui bat lorsque je pense à lui, mes pensées qui convergent vers lui, ma bouche qui ne parle que de lui... j'avais jamais ressenti ça. Le plus incroyable, c'est que ça ne me fait même pas peur. Je me sens pousser des ailes, j'ai l'impression d'être constamment émerveillée, comme si j'avais rencontré un dieu.
Maman, avec ses yeux et sa compréhension de maman, a très bien compris ce qui se passait dans ma tête. Elle était au début très contente, mais maintenant... eh bien je pense que ça l'agace. Pas ce que je ressens, non, mais le genre de conversations que nous avons :
" Eh, maman, tu ne pourrais pas inviter Néo à la maison ? Pour, euh, je sais pas... parler boulot ?
- Macha, il y a d'autres moyens de voir un garçon que de passer par sa mère.
- Mais s'il te plaît, il te connaît bien et c'est plus simple pour moi ! Ou alors, tu pourrais m'emmener avec toi au travail, hein, dis ?
- Si tu veux, je te donne son numéro et tu prévois d'aller le voir, mais c'est tout.
- Maman, je n'ose pas ! Pourquoi tu ne veux pas m'aider ? Et s'il refuse, c'est super gênant !
- Ecoute jeune fille, je suis heureuse de t'avoir présenté ce garçon qui te plaît tellement et je serais très contente que tu le vois ; mais c'est ta relation, ton histoire, et ce n'est pas à moi de la construire pour toi. Je te donne son adresse : va le voir, enfin, prend les choses en main ! "
C'est une discussion qu'on a, à quelques mots prêts, tous les jours. Bon, je comprend maman : elle n'a pas envie de s’immiscer dans mes histoires d'amour. Je suppose que la plupart des jeunes filles ne supporteraient pas que leur mère se mêle de ça... et à vrai dire, je crois que si maman essayait en fait de s'en mêler, je me dirais : "Eh, c'est ma vie, ça te regarde pas, laisse moi vivre !". Mais bon, là tout de suite, si elle pouvait quand même me donner un coup de main...
Du coup, depuis deux jours, je passe de longues minutes devant mon miroir pour essayer de déterminer ce qui serait le mieux de lui dire. Aller chez Néo, d'accord, avec plaisir... mais pour lui dire quoi ? "Eh, salut Néo, c'est Macha, la fille de Gervaise...", ou "Coucou, c'est moi, tu sais, Macha ?" Et s'il ne se souvient pas de moi, si notre rencontre n'a aucune importance pour lui ?
Même s'il est content de me voir et qu'il me replace, je suis sensée dire quoi pour expliquer ma venue ? "Je suis raider dingue de toi, du coup je suis passé te faire un petit coucou." ou "Je savais pas si je devais te suivre partout pendant des mois sans rien dire ou directement venir te parler, j'ai préféré venir te parler" ? Il va me prendre pour une folle...
J'avoue que, lorsque je ne travailles pas à la défense de ma cause - un peu mise de côté cette semaine, je l'avoue, je surf sur les réseaux sociaux dans l'espoir d'en apprendre plus sur le blond qui fait battre mon coeur : mais rien, nada ! Ce type n'a aucune existence virtuelle, il n'est nul par, pas une trace. C'est à croire qu'il vient d'une autre planète.
Cette semaine, j'ai donc été atrocement perturbée. Et même Dandy à fini par s'inquiéter pour moi, j'te jure ! Ou peut-être qu'il me reprochait aussi de ne pas prendre mon courage à deux mains. Mais j'avais l'impression que c'était impossible : on ne s'était vu qu'une fois, et quelles étaient les chances qu'il ait ressenti la même chose que moi ? De puis, j'avais tout juste dix-neuf ans... et lui, hein ?
Page 09 : Prendre son courage à deux mains.
Je ne sais pas trop comment je suis arrivée là, finalement. Devant chez lui, avec l'adresse que maman m'avait donnée sur un bout de papier, précieusement rangé dans une de mes poches, comme un trésor.
J'ai frappé dans une grande inspiration, fébrile ; et dès que j'ai entendu des pas à l'intérieur, j'ai regretté : je ne savais toujours pas ce que j'allais lui dire. Et puis courir après lui comme ça, c'était ridicule : on ne se connaissait même pas ! J'ai pensé à partir en courant mais trop tard, la poignée a tourné.
Il a semblé très surpris de me voir mais n'en a pas montré plus. Il avait l'air de sacrément bien contrôler ses émotions, dis donc. Ce que c'est seks- hem, je m'égare.
Je crois qu'il n'a pas su quoi me dire et moi non plus mais, bizarrement, je sais que ça m'a parut tout de suite moins effrayant maintenant qu'il était là.
Néo m'a fait rentrer chez lui, donc, avec une gêne non-dissimulée cette fois. Il m'a dit de ne pas faire attention à son appartement, qu'il n'avait pas eu le temps de bien aménager : c'est vrai, on aurait presque dit qu'il ne vivait pas ici. Pas d'affaires personnelles, à peine quelques meubles... moi qui espérait en apprendre un peu plus sur lui.
Vu que ça devenait vraiment bizarre, il m'a proposé d'aller nous balader sur la plage ; et j'ai trouvé ça franchement romantique !
Pour tout te dire, au début, je ne savais pas comment me comporter. Marche à côté de lui ou non ? A quelle distance ? Je ne veux pas l'envahir. Le regarder ? Beaucoup ? Comment ? Lui sourire ? A quelle fréquence ? Au, mon dieu, il me regarde. Qu'est-ce que ça veut dire ? Est-ce qu'il voit que je rougis ? Est-ce que je dois dire quelque chose ?
Raaaah, je ne me suis jamais posé autant de question de ma vie !
Lorsqu'on s'est assis sur la plage, j'avoue avoir franchement regretté d'être venue. Il était clairement mal à l'aise, je devais le déranger... et là, comme s'il avait lu dans mes pensées, il m'a dit : "Je suis content de te voir, Macha, c'est juste que je n'ai pas l'habitude de me retrouver seul avec quelqu'un hors du boulot."
Ça a complètement décoincé la conversation. Je l'ai questionné sur sa famille, ses amis, et il m'a raconté que tous vivaient dans le pays d'où il était originaire et qu'il ne connaissait pas grand monde à Brindleton Bay. Il a aussi dit quelque chose comme "je suis content de te connaître, au moins" et j'ai fondu sur place.
Au final, contre toute attende, on a énormément discuter. Comme lorsqu'il est venu à la maison mais plus librement. Plus on parlait, plus je souriais... et lui aussi !
Je préfère ne pas trop parler de ce moment. D'abord parce que c'est gênant ; ensuite car aucun mot ne peut décrire cet instant magique.
Je suis tellement heureuse, journal. Tu dois que dire qu'il ne s'est pas passé grand chose, qu'on a tout juste échangé quelques mots... mais j'ai l'impression d'avoir vécu le jour le plus important de ma vie. C'est simplement incroyable.
A vrai dire, j'en oublierai presque ce qui s'est passé lorsque je suis rentrée de chez Néo. Ah, oui, je n'en ai pas encore parlé :
Je suis rentrée à la maison, donc, impatiente de raconter à maman cette journée fabuleuse : et c'est là que je l'ai vu. Shingo.
J'ai été incroyablement surprise ; sur le moment, ça a été comme une douche froide. J'en avais presque oublié mes amourettes avec Clément et lui - qui m'ont tout à coup parues extrêmement dérisoires.
J'ai été peinée de le voir, parce que je savais bien qu'il était temps de mettre un terme à cette mascarade. Toutes ces histoires de lycée, c'était terminé. Je connaissais l'amour maintenant. Je me suis alors promis de faire ça plus tard, bien, dans de meilleures conditions qu'un soir devant la maison. Parce qu'il méritait mieux - et Clément aussi.
Quand il m'a dit qu'il me sentait distante et s'inquiétait pour moi depuis plusieurs jours, je lui ai promis qu'on en parlerait plus tard - et je lui ai donné rendez-vous samedi.
Je pense qu'il a compris, ou en tout cas qu'il se doute de ce qui va suivre. Il n'a pourtant rien montré, même lorsque j'ai tourné la tête pour qu'il ne m'embrasse pas sur la bouche : et il est parti, quand même un peu penaud.
Seulement voilà, moi, je n'y penses déjà presque plus.
Macha qui grandie est qui oublie ses amourettes de lycéennes. C'est pas plus mal, ça lui fait ça en moins à penser !
Ce beau Néo, seul, dans un appartement presque vide, avec une famille originaire d'un autre pays.... qui lirait presque dans les pensées... qui bosse au laboratoire avec Gervaise.... Dis moi je me fais des idées ou ce petit bonhomme pourrait bien être vert ? (ou bleu ou rose )
Un extraterrestre ? Mais quelle idée !
Hem... eh bien on ne peut rien te cacher, m'enfin j'avoue avoir mis quelques indices Je ne sais plus trop comment j'ai eu l'idée mais tu verras un peu plus tard que sa nature sert très bien les objectifs de la G2 et de la G3 !
Après, sera-t-il vert, bleu ou rose... je garde une part de mystère ! xD
Cool, un extraterrestre
Macha est très attachante, je l'aime de plus en plus! Elle semble plus mature aussi, j'ai hâte de voir comment elle va se dépatouiller avec Shingo et Clément...
Réponses
Macha est dans une situation délicate.... Ca va forcement faire des dégâts....
Challenge Génération : la génération 2 brille de milles feux
Pauvre Macha qui se retrouve dans une situation bien difficile, je me demande comment elle va se sortir de là
J'aime beaucoup Macha et sa petite famille parcontre c'est compliqué dans sa tête ! Elle se retrouve malgré elle dans deux relations ^^
Effectivement, Macha est dans de beaux draps ! Heureusement pour elle, je pense qu'elle va vite redescendre sur terre et faire de meilleurs choix. Dans ce chapitre, Macha va oublier ses interrogations amoureuses et se préparer à passer à quelque chose de plus sérieux...
Page 06 : Comme Simile Zola
Cher journal,
lorsque j'ai commencé à t'écrire, j'ai demandé s'il était déjà arrivé à quelqu'un d'avoir l'impression que ses rêves étaient irréalisables.
Une part de moi a toujours su que j'étais destinée à de grandes choses. Qu'un jour, je ferai entendre ma voix au dessus du sim-monde. Il y a tellement de causes à défendre, de combats à mener... ! Alors voilà, j'ai décidé de devenir une militante. Je veux défendre les pauvres et opprimés, comme Simile Zola !
Bon. Le truc, c'est que je ne sais pas trop comment faire. C'est qu'au lycée, on ne nous apprend pas à devenir un défenseur des droits des sims... alors j'ai regardé sur simpédia ce que faisaient les gens pour faire entendre leur voix, et j'ai décidé que le meilleur moyen de débuter était de manifester. Et comme j'avais pas mal le trac, j'ai eu envie de m’entraîner à la maison.
Maman a été géniale et elle m'a tout de suite rejoint pour m’encourager. Elle trouve ça très bien que je me lance dans une cause qui me tient à coeur. C'est donc ainsi que j'ai mené ma première manifestation, avec succès ; et franchement, je trouve ça super cool de manifester ! Si c'est ça la vie politique, je crois que j'ai fais le bon choix.
Papa est un peu mitigé. Déjà parce qu'on l'empêche de travailler comme il faut avec tout notre boucan, et aussi car il pense que la politique doit être plus que ça, qu'il faut se battre pour quelque chose de vraiment important à nos yeux et pas se battre pour se battre. Il pense que c'est une lubie et que ça va me passer : mais deux secondes, je vais la trouver ma cause à défendre !
Pour être franche, je crois surtout qu'il a été surpris de voir une manifestation dans son salon et que ça l'a mis de mauvais poil. Ce qu'ils sont fermés d'esprit, les vieux...
Mis à part mes grands projets, la vie suis son cours. Maman travaille beaucoup et on a un train de vie confortable, la vie est tout compte fait assez simple. Même mes aventures amoureuses ne me semblent plus si incroyables que ça :
Je vois toujours Shingo assez souvent et Clément m'envoie toujours un certain nombre de messages, mais j'ai perdu cette impression de mener une double vie et le sentiment de culpabilité qui allait avec. Je n'ai pas revu Clément depuis plusieurs mois et j'ai déjà franchement songé à mettre fin à cette pseudo relation... seulement voilà, à chaque fois que j'y pense, je me sens vraiment mal pour lui. Et puis j'ai vraiment peur de me tromper : et si je faisais ma vie avec Shingo et que je me rendais compte trop tard que c'est Clément que j'aime ? Ou inversement ?
J'en ai parlé à maman, un jour, et elle m'a affirmé que lorsqu'on aime vraiment quelqu'un, on en est certain. Mais si je n'aime ni Clément ni Shingo, qu'est-ce que je ressens pour eux ? Et qu'est-ce que l'amour ?
Dès que je commence à me poser un peu trop de questions, j'essaie de m'occuper l'esprit. Je crois que tout ça me fait franchement flipper. Quelque part, j'espère franchement que l'un d'eux décidera de mettre fin à notre relation. Enfin... je crois.
D'après simpédia, après les manifs, il faut taguer ! J'ai donc fait un petit stock de bombes de peinture et je me suis attaquée au garage de la maison, avec les encouragements de maman et les grognements de papa.
Le truc bizarre, c'est que Lolita a eu envie de m'aider : on a jamais été très proches quand on était enfants, alors ça m'a étonnée... peut-être qu'elle a eu envie de renouer les liens ? En tout cas, même si ça m'arrache les doigts de l'écrire, on a passé un moment plutôt agréable.
Page 07 : Le collègue de maman. ♥
Journal, il me semble que la semaine dernière, je te disais que je passais d'agréables semaines.
Et bien la donne à changé.
Premièrement, il y a eu un fauteur de trouble : Clément, qui m'a envoyé le lien d'une annonce d'appartement à louer à San Myshuno - avec un petit mot "Pour kon ne soi plus jamais si loin l'ain 2 l'autre".
Arf, je crois qu'il a définitivement rompu le charme. J'ai à peine dix-huit ans, pourquoi est-ce je voudrais déjà vivre en ménage ? Passer ma vie à faire la vaisselle et à manger ? Et puis quoi encore, avoir des enfants ?
Ce qui m'a mis le plus en rogne, c'est qu'il avait vraiment l'air sincère. J'ai été vraiment lâche, mais impossible de lui dire le fond de ma pensé : j'avais pas envie de lui faire plus de mal...
Et c'est là qu'est arrivé LE truc le plus dingue de ma vie : je suis descendue à la cuisine, avec la ferme intention de demander conseil à ma mère. En descendant les escaliers, j'ai bien entendu qu'elle parlait avec quelqu'un - et que ça voix ne me disait trop rien.
Quand je suis entrée dans la pièce, j'ai été choquée.
Tellement choquée que je n'ai rien dit, jusqu'à ce que maman ne dise un truc comme "Tiens, chérie, je te présente un collègue du labo."
Woh, maman, elle bosse avec des mecs vachement canons - c'est ce que je me suis dis. Dans les faits, j'ai répondu quelque chose qui ressemblait à : "A-ah, ouais, euh, salut, moi c'est Macha, ça vient du diminutif russe de Maria, mais ça s'écrit pas avec un s, c'est en anglais qu'on écrit avec un s."... et je me suis sentie vraiment bête, parce qu'il devait s'en ficher royalement.
Moi qui était tellement charismatique et qui parlait si bien, j'ai été franchement étonnée de réagir comme ça.
Le plus déroutant - après son visage - c'est qu'il n'a même pas eu l'air de me trouver bizarre et qu'il m'a saluée d'une façon super polie. Il s'est révélé assez bavard mais surtout vachement intéressant, si bien que j'ai vite oublié ma gêne et qu'on a parlé un peu de tout : de sa récente arrivée en ville, de ce qu'il faisait au laboratoire... le pire, c'est que j'ai trouvé ça super intéressant - alors que c'est totalement barbant quand c'est maman qui en parle.
Maman, d'ailleurs, m'a lancé plusieurs petits regards de maman. Tu sais, ce regard de maman, qui te dit "Ihihih, ma fille, je sais à quoi tu penses quand tu regardes ce garçon comme tu le regardes..."
J'ai ignoré son regard de mon mieux et j'ai poursuivit ma discussion avec son beau collègue, Néo.
Néo, franchement, si c'est pas bizarre comme nom... et ça lui va tellement bien ! Il m'a dit que ça venait d'un pays vachement loin que personne ne connaît. Exotique, le beau blond...
Je m'égare !
Finalement, maman est partie sans même qu'on le remarque.
Bon. Tu trouves peut-être que je parle un peu trop de Néo. C'est vrai que je lui ai accordé un certain nombre de lignes... mais tu comprends, c'est qu'il a quand même passé la soirée avec nous ! Et puis il n'a pas arrêté de me regarder, avec ses yeux envoûtants...
Je m'égare encore.
Il a fini par rester manger avec nous et j'avoue qu'on a vraiment passé un super repas. Néo est très cultivé et il parle de tout, aussi bien du labo de maman, de la politique que de la carrière d'humoriste de papa. En clair, il n'a pas plus qu'à moi. Enfin, je veux dire, je ne suis pas la seule à l'avoir trouvé sympathique... il est tellement drôle, on dirait presque qu'il a une aura d'amusement autour de lui !
Maman m'a encore regardé avec ce regard.
J'ai fini par aller me coucher sans penser un seul instant aux messages que Shingo et Clément avait dû m'envoyer dans la journée, délaissant mon téléphone pour des rêves plus beaux...
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Eh bien ça prouve au moins que c'est le grand amour @Luluswan... reste à voir comment elle va se dépatouiller de ses amours d'adolescence.
Merci @MmePoivre ! J'aime bien Néo moi aussi, c'est un chouette personnage, charmant et doux.
Et oui@KlOohma il faut bien réaliser cette fichue aspiration... mais je pense que les choses vont être différentes avec Néo.
Merci @SimsStoryFanatic ! Je suis contente de voir que tu t'attaches à Macha, c'est pas toujours facile de composer avec les exigences de la G2 mais c'est un personnage que j'aime beaucoup moi aussi.
Journal,
une petite semaine est passée depuis la dernière fois que j'ai écrit et ma rencontre avec Néo.
Je crois que j'ai vraiment sous-estimé l'importance de cette rencontre. Est-ce que c'est le coup de foudre ? Le coeur qui bat lorsque je pense à lui, mes pensées qui convergent vers lui, ma bouche qui ne parle que de lui... j'avais jamais ressenti ça. Le plus incroyable, c'est que ça ne me fait même pas peur. Je me sens pousser des ailes, j'ai l'impression d'être constamment émerveillée, comme si j'avais rencontré un dieu.
Maman, avec ses yeux et sa compréhension de maman, a très bien compris ce qui se passait dans ma tête. Elle était au début très contente, mais maintenant... eh bien je pense que ça l'agace. Pas ce que je ressens, non, mais le genre de conversations que nous avons :
" Eh, maman, tu ne pourrais pas inviter Néo à la maison ? Pour, euh, je sais pas... parler boulot ?
- Macha, il y a d'autres moyens de voir un garçon que de passer par sa mère.
- Mais s'il te plaît, il te connaît bien et c'est plus simple pour moi ! Ou alors, tu pourrais m'emmener avec toi au travail, hein, dis ?
- Si tu veux, je te donne son numéro et tu prévois d'aller le voir, mais c'est tout.
- Maman, je n'ose pas ! Pourquoi tu ne veux pas m'aider ? Et s'il refuse, c'est super gênant !
- Ecoute jeune fille, je suis heureuse de t'avoir présenté ce garçon qui te plaît tellement et je serais très contente que tu le vois ; mais c'est ta relation, ton histoire, et ce n'est pas à moi de la construire pour toi. Je te donne son adresse : va le voir, enfin, prend les choses en main ! "
C'est une discussion qu'on a, à quelques mots prêts, tous les jours. Bon, je comprend maman : elle n'a pas envie de s’immiscer dans mes histoires d'amour. Je suppose que la plupart des jeunes filles ne supporteraient pas que leur mère se mêle de ça... et à vrai dire, je crois que si maman essayait en fait de s'en mêler, je me dirais : "Eh, c'est ma vie, ça te regarde pas, laisse moi vivre !". Mais bon, là tout de suite, si elle pouvait quand même me donner un coup de main...
Du coup, depuis deux jours, je passe de longues minutes devant mon miroir pour essayer de déterminer ce qui serait le mieux de lui dire. Aller chez Néo, d'accord, avec plaisir... mais pour lui dire quoi ? "Eh, salut Néo, c'est Macha, la fille de Gervaise...", ou "Coucou, c'est moi, tu sais, Macha ?" Et s'il ne se souvient pas de moi, si notre rencontre n'a aucune importance pour lui ?
Même s'il est content de me voir et qu'il me replace, je suis sensée dire quoi pour expliquer ma venue ? "Je suis raider dingue de toi, du coup je suis passé te faire un petit coucou." ou "Je savais pas si je devais te suivre partout pendant des mois sans rien dire ou directement venir te parler, j'ai préféré venir te parler" ? Il va me prendre pour une folle...
J'avoue que, lorsque je ne travailles pas à la défense de ma cause - un peu mise de côté cette semaine, je l'avoue, je surf sur les réseaux sociaux dans l'espoir d'en apprendre plus sur le blond qui fait battre mon coeur : mais rien, nada ! Ce type n'a aucune existence virtuelle, il n'est nul par, pas une trace. C'est à croire qu'il vient d'une autre planète.
Cette semaine, j'ai donc été atrocement perturbée. Et même Dandy à fini par s'inquiéter pour moi, j'te jure ! Ou peut-être qu'il me reprochait aussi de ne pas prendre mon courage à deux mains. Mais j'avais l'impression que c'était impossible : on ne s'était vu qu'une fois, et quelles étaient les chances qu'il ait ressenti la même chose que moi ? De puis, j'avais tout juste dix-neuf ans... et lui, hein ?
Page 09 : Prendre son courage à deux mains.
Je ne sais pas trop comment je suis arrivée là, finalement. Devant chez lui, avec l'adresse que maman m'avait donnée sur un bout de papier, précieusement rangé dans une de mes poches, comme un trésor.
J'ai frappé dans une grande inspiration, fébrile ; et dès que j'ai entendu des pas à l'intérieur, j'ai regretté : je ne savais toujours pas ce que j'allais lui dire. Et puis courir après lui comme ça, c'était ridicule : on ne se connaissait même pas ! J'ai pensé à partir en courant mais trop tard, la poignée a tourné.
Il a semblé très surpris de me voir mais n'en a pas montré plus. Il avait l'air de sacrément bien contrôler ses émotions, dis donc. Ce que c'est seks- hem, je m'égare.
Je crois qu'il n'a pas su quoi me dire et moi non plus mais, bizarrement, je sais que ça m'a parut tout de suite moins effrayant maintenant qu'il était là.
Néo m'a fait rentrer chez lui, donc, avec une gêne non-dissimulée cette fois. Il m'a dit de ne pas faire attention à son appartement, qu'il n'avait pas eu le temps de bien aménager : c'est vrai, on aurait presque dit qu'il ne vivait pas ici. Pas d'affaires personnelles, à peine quelques meubles... moi qui espérait en apprendre un peu plus sur lui.
Vu que ça devenait vraiment bizarre, il m'a proposé d'aller nous balader sur la plage ; et j'ai trouvé ça franchement romantique !
Pour tout te dire, au début, je ne savais pas comment me comporter. Marche à côté de lui ou non ? A quelle distance ? Je ne veux pas l'envahir. Le regarder ? Beaucoup ? Comment ? Lui sourire ? A quelle fréquence ? Au, mon dieu, il me regarde. Qu'est-ce que ça veut dire ? Est-ce qu'il voit que je rougis ? Est-ce que je dois dire quelque chose ?
Raaaah, je ne me suis jamais posé autant de question de ma vie !
Lorsqu'on s'est assis sur la plage, j'avoue avoir franchement regretté d'être venue. Il était clairement mal à l'aise, je devais le déranger... et là, comme s'il avait lu dans mes pensées, il m'a dit : "Je suis content de te voir, Macha, c'est juste que je n'ai pas l'habitude de me retrouver seul avec quelqu'un hors du boulot."
Ça a complètement décoincé la conversation. Je l'ai questionné sur sa famille, ses amis, et il m'a raconté que tous vivaient dans le pays d'où il était originaire et qu'il ne connaissait pas grand monde à Brindleton Bay. Il a aussi dit quelque chose comme "je suis content de te connaître, au moins" et j'ai fondu sur place.
Au final, contre toute attende, on a énormément discuter. Comme lorsqu'il est venu à la maison mais plus librement. Plus on parlait, plus je souriais... et lui aussi !
Je préfère ne pas trop parler de ce moment. D'abord parce que c'est gênant ; ensuite car aucun mot ne peut décrire cet instant magique.
Je suis tellement heureuse, journal. Tu dois que dire qu'il ne s'est pas passé grand chose, qu'on a tout juste échangé quelques mots... mais j'ai l'impression d'avoir vécu le jour le plus important de ma vie. C'est simplement incroyable.
A vrai dire, j'en oublierai presque ce qui s'est passé lorsque je suis rentrée de chez Néo. Ah, oui, je n'en ai pas encore parlé :
Je suis rentrée à la maison, donc, impatiente de raconter à maman cette journée fabuleuse : et c'est là que je l'ai vu. Shingo.
J'ai été incroyablement surprise ; sur le moment, ça a été comme une douche froide. J'en avais presque oublié mes amourettes avec Clément et lui - qui m'ont tout à coup parues extrêmement dérisoires.
J'ai été peinée de le voir, parce que je savais bien qu'il était temps de mettre un terme à cette mascarade. Toutes ces histoires de lycée, c'était terminé. Je connaissais l'amour maintenant. Je me suis alors promis de faire ça plus tard, bien, dans de meilleures conditions qu'un soir devant la maison. Parce qu'il méritait mieux - et Clément aussi.
Quand il m'a dit qu'il me sentait distante et s'inquiétait pour moi depuis plusieurs jours, je lui ai promis qu'on en parlerait plus tard - et je lui ai donné rendez-vous samedi.
Je pense qu'il a compris, ou en tout cas qu'il se doute de ce qui va suivre. Il n'a pourtant rien montré, même lorsque j'ai tourné la tête pour qu'il ne m'embrasse pas sur la bouche : et il est parti, quand même un peu penaud.
Seulement voilà, moi, je n'y penses déjà presque plus.
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Ce beau Néo, seul, dans un appartement presque vide, avec une famille originaire d'un autre pays.... qui lirait presque dans les pensées... qui bosse au laboratoire avec Gervaise.... Dis moi je me fais des idées ou ce petit bonhomme pourrait bien être vert ? (ou bleu ou rose
Challenge Génération : la génération 2 brille de milles feux
Hem... eh bien on ne peut rien te cacher, m'enfin j'avoue avoir mis quelques indices
Après, sera-t-il vert, bleu ou rose... je garde une part de mystère ! xD
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Macha est très attachante, je l'aime de plus en plus! Elle semble plus mature aussi, j'ai hâte de voir comment elle va se dépatouiller avec Shingo et Clément...